Les Archives d'Oreline (C4)

"La vie de Flora"


Description : C’est une elfe blonde aux yeux Bleu profond. Jeune elle a perdu c’est parent. Flora a une sœur jumelle nommé Fériwen.

Signe distinctif : Flora a une tache de naissance en forme de papillon au dessus de sa fesse droite.

Couleur préféré : Le mauve

Ses passions : Adore les cascades, aime beaucoup les fleurs et les paysages.

Image:Lescascadesdeflora.jpg
[modifier] Voici son histoire
[modifier] Première partie : Rencontre avec un homme mystérieux

Flora : Bonjour messire -fait une révérence-

L’homme : Bonjour belle demoisselle -la salut poliment-

Flora : Permettez moi de me présenter, Je m’appelle Flora.

L’homme : Quel charment prénom que vous avez la, vous le portez fort bien.

Flora : -rougie et le remercie d’un simple geste avec sa tête.-

L’homme : Et que fait une si ravissante jeune Elfe par ici ?

Flora : -sourit- Je suis a la recherche de ma sœur…

L’homme : -lève un sourcil- votre sœur dites vous ?

Flora : -a voix basse- Oui ma sœur… Ma sœur jumelle…

L’homme : votre sœur Jumelle ? hum il existe donc une autre créature aussi délicieuse que vous?

Flora : -rougie- Nous avons été séparé des notre plus jeune age… -baisse la tête tristement-

L’homme : séparé?

Flora : oui… Notre famille c’est fait pourchasser… Je me souviens qu’ils avaient brûler notre maison… -une larme perla sur son doux visage- Nous avons couru, couru encore et encore… Mon père nous disait de ne pas nous retourner et de continuer à courir le plus loin que possible. J’entendais ma sœur criée fort, très fort… "Ne me laissez pas ! Ne m’abandonnez pas ! Père ! Mère ! Flora !" –laisse couler une larme-

L’homme : -Essuie délicatement le visage de la jeune fille- ne pleuré pas voyons…que s’est il passé ensuite ?

Flora : -elle redressa sa tête et poursuivi son histoire-J’allais me retourner quand mon père me dit "non ! Je t’interdis de te retourner" c’est alors que je vis sur son visage la peur et la tristesse… j’ai continué a courir tant qu’il me resta des forces allant droit devant…J’ai entendu des cris de douleur… je suppose que c’était ma mère… Je ne sais plus trop… Je poursuivais ma course comme me l’avait ordonner mon père… Et la plus rien… plus un bruit… le silence total… -regarde le ciel-Je ne les ai plus jamais revu après cela… Je les ai cherché encore et encore… Et cinq ans après ce drame, on m’annonce que mes parents étaient décédés, une personne avait mis un contrat sur leurs têtes… Je n’ai jamais su qui, ni pourquoi… j’ai été désemparé, je ne voulais pas y croire… c’est alors que j’ai demandé si ma sœur avait été tuer aussi…Il n’a pas su me le dire, mais au fond de moi je le ressentais, elle était toujours en vie ! Voila déjà vingt longues années que je la cherche et que je garde toujours l’espoir de la retrouver…

L’homme : Bien madame je souhaite de tout cœur que vous retrouviez votre sœur !

Flora : Je vous remercie messire -elle regarda un instant la cascade- Vous ne m’avez pas dit votre nom messire... -elle se retourna vers lui, mais l’homme avait déjà disparut-
[modifier] Troisième partie : Rencontre avec une Elfe noire

J’ai parcouru de nombreuses villes sans aucun indice sur ma sœur. Epuisé je me suis reposer a la taverne de Guldio et c’est la que j’ai rencontré une Elfe noire. J’avais un peut peur d’elle au début… Sont visage était si triste lorsqu’elle regarda cet humain. Il était jeune et charment, mais triste aussi.... Sont regard était plein de haine… il semblait froid…

Flora : - Vous le connaissez ? *regardant l’Elfe noire *

l’Elfe noire : - *Regarde l’elfe tristement* Il lui ressemble trait port trait a… une personne qui met très chère… mais c’est impossible !

Flora : - *regard intriguée* Mais pour quoi cela ? Pourquoi es-ce impossible ?

l’Elfe noire : - *Une larme perla sur son visage bleuâtre* Il est mort…

Flora : - *abaisse sa tête, triste pour l’Elfe noire * Je suis vraiment désolée… Mais qui est cet homme alors ?

l’Elfe noire : - Il semblerais que… *met ses mains sur son visage* non je ne veux pas y croire…

Flora : - Ne pleurais pas madame… *essaye de la réconforter* Vous semblez différente des autres de votre race…

l’Elfe noire : - En quelque sorte… *elle se retourna et regarda l’humain* Il dis êtres son frère mais ne veux pas croire que j’étais sa meilleur amie… Excusez moi je vais prendre un peut l’air…

Flora : - je vous en pris fait… si vous avez besoin de moi je suis la ! - je vous remercie…

J’étais très curieuse et je ne pouvais pas m’empêcher d’en savoir plus sur cet homme. J’ai essaye de discuté avec lui mais il a était très froid. Je n’ai pas insisté… Puis j’entends au loin deux personnes se disputer et je me suis approché de l’entrer. C’était l’Elfe noire et cet homme. Je fis un peut trop de bruit et l’homme s’aperçu que j’étais la a les espionner !

Rage : - Que faites vous ici ? Ca ne vous regarde pas ! Partez !

Flora : - *honteuse* Euh oui excusez moi messire Je voulais juste voir si cette dame aller bien…*regarde l’Elfe noire *

l’Elfe noire: - Ne vous en faites pas pour moi… Il va bien finir par comprendre…

Rage : - et si c’est a cause de vous qu’il est morte je vais vous tuer !

l’Elfe noire : - non se n’ai pas moi… votre frère était marier avec Samode… moi je n’était qu’une amie…une très bonne amie… sa confidente…

Rage : - Alors que c’est il passé ! Dites moi !!

l’Elfe noire : - il a était perdument amoureux de cette Elfe noire … mais un jour une chose bouscula sa vie… on se voyait de moins en moins… Je pense qu’il était amoureux d’une autre femme… Je n’en sais pas plus…

Rage : *sous la rage* je retrouverais cette femme et je la turais ! Et vous je ne veux plus vous voir !!

l’Elfe noire partit très triste et je ne l’ai plus revu…
[modifier] Deuxième partie : Rencontre inattendu

J’étais la à parcourir les plages, le cœur remplit de désespoir… Je ne la retrouverais jamais, je commençais à y croire… Le seul indice que j’avais n’été pas encore fondais… mais je devais en avoir le cœur net… On ma dis qu’un jeune elfe me ressemblant, vivait a Heine avec un humain. J’avais peur d’y aller mais pourtant il le fallait. Mais si c’était elle… que lui dirai-je ? Quelle sera sa réaction ? M’en voudra telle de l’avoir laisser seule ? Et si se n’était pas elle ? Je ne sais pas si je supporterais un nouvel échecs…Tellement de question mais aucune réponse…
Je m’allongeais sur le sable chaud a réfléchir quand soudain j’aperçu une ombre allant sur moi. J’ai pris les devant en prenant en main mon arc et une flèche.

Flora : *surprise de voir l’homme de la taverne* Ah c’est vous… vous m’avez fait peur…

Rage : tiens donc… que craignez vous… étés vous rechercher pour un crime ?

Flora : *étonner* Comment ? Je n’ai jamais tuer personne moi…

Rage : Je ne vais pas y aller par quatre chemin… connaissez vous Raven ?

Flora : Raven vous dites ? Non cela ne me dit rien…

Rage : donc se n’est pas vous…

Flora : mais que rechercher vous et pour quel raison ?

Rage : Une elfe…celle qui a causer la mort de mon frère !

Flora : Au je vois… Raven c’est votre frère… je suis vraiment désolée je suis ici depuis peut… je suis a la recherche de ma sœur…

Rage : est vous avez un indice ?

Flora : je sais seulement qu’une femme me ressemblant réside a Heine avec un humain… je n’ose pas y aller…

Rage : Pourquoi ?

Flora : j’ai peur d’être déçus… que se ne sois pas elle… ou qu’elle ne me reconnaisse pas… ou qu’elle ne veux plus me voir…

Rage : je comprends… si vous voulais…Je pourrais y aller… pour voir si se qu’on dis et vrai…

Flora : vraiment ?

Rage : Oui, mais il me faudrait savoir s’il y a un signe distinctif afin de la reconnaître…

Flora : bien nous somme jumelle… je pense donc qu’elle dois me ressembler… de plus il y a bien autre chose sur la quelle je suis sur. *rougis un peu*

Rage : oui quoi donc ?

Flora : en bien… c’est que c’est gênant de vous le dire… on se connais a peine…

Rage : si c’est important pour que je sois sur que se soit elle… dite le…

Flora : très bien… elle a une tache de naissance…

Rage : une tache de naissance ! C’est va êtres facile de savoir si c’est elle ou pas *rit* ou se trouve t’elle ?

Flora : Bien c’est un peu délicat…cette tache ressemble un peu a un papillon… elle se trouve au dessus de sa fesse Gauche…

Rage : *rougie* bien… je vais y aller de se pas… c’est bien a Heine ?

Flora : oui tout a fait… merci beaucoup ! Je vous attendrais a la taverne de Guldio.

Voila Rage était partis… et je me retrouvée a nouveau seule face a mon destin. Me demandant si il va vraiment y aller, si c’est ma sœur… j’étais décidée de lui faire confiance et retourner a la taverne l’attendre…

L'histoire de Gina
[modifier] Une enfant trouvée

Il y a 29 ans, le soleil se leve sur le village des Chasseur. Le marchand d'armes Edroc se leve comme tout les matins pour ouvrir sont magasin. Joyeux comme à son habitude Edroc sifflote en chemin mais quand il arriva pres de la porte en bois de son magasin, il entendit des sons provenant de sous l'escalier pres de sa boutique. Edroc sortit sont épee, croyant qu'il avait à faire à une bete entrée dans le village. Soucieux il s'approcha lentement de l'escalier et surgit en dessous pres a passer a l'attaque.

Devant lui se trouvait quelques chose enveloppée dans une cape. Edroc fixa la cape avant de la derouler delicatement pour voir ce qui se trouvait a l'interieur. A cet instant Edroc fut surpis et horrifier: Un Enfant. Il regarda cette petite fille en ce demandant quel monstre aurait pu abandonner un enfant come cela. Il regarda la petite qui lui adressait de nombreux sourires innocents. Edroc la pris dans ces bras et lui dit: "Qu'est ce que je vais faire de toi? " Le bébé lui repondit encore avec d'autres sourires. Le marchand regarda la cape dans laquelle l'enfant se trouvait. Dessus il y avait brodé: GINA

Apres quelques temps de reflexions Edroc pris la lourde décision de garder l'enfant et de prendre le soin de l'élever.
[modifier] Servir Aden

Gina: J'étais partie tres tot ce matin dans le but d'aller voir cette magnifique citée que l'on appelle Aden. En pensant a celle ci, je pensais surtout a réaliser le but de toute ma vie : Servir le Royaume d'Aden. Dès mon arrivée dans la ville, je vis toutes ces magnifiques architectures, la lumiere, la vie,....

Je realisais que meme en temps de conflit, Aden etait magnifique. Je passais ma journée a visiter la cité. Le soir venu , je me trouvais juste devant le temple d'Aden que je venais de visiter, et je rencontrais un homme qui , je ne le sus que bien plus tard, était un ancien membre de l'armée maintenat maitre d'arme d'Aden. Il se nomait Kerym. Nous discutâmes des evenements passés, de l'histoire du Royaume et de toutes les autres choses qui me passaient par la tete.

Je lui fit part de mon envie d'entrer dans l'armee. Apres quelques heures de discussion. Une "lueur rouge" fit son apparition au loin :

"-Tu voit la lumiere, me dit kerym, C'est le commandant Belgarionn."

Il l'appela. Celui ci vint quelque seconde apres. Belgarionn me salua et se presenta. Kerym lui fit part de mon envie d'entrer au service du ROi. Nous discutame tous les trois pendant quelques temps jusqu'a ce que le Héros Juan nous rejoigne et nous avons continué la discution a plusieurs.

Le temps s'ecoula tres vite a partir de ce moment:

Le lendemain soir etant au meme endroit, je fis la connaissance d'une femme se noment Samira. Nous commencons a discuter quand le Commandant Belgarionn arriva nous salua et nous demanda: "-Vous voulez toutes les deux entrer dans l'armee? -Plus que tout, repondis-je -Oui, repondit Samira -Suivez moi, ajouta Belgarionn, je vais vous conduire au Roi."

Je ne croyais pas ce que je venais d'entendre. J'allais avoir la possibliter de realiser mon reve. Nous arrivames tous les trois dans la cour du chateau. Je fus emmerveillée par le magnifique spectacle qui s offrait a moi. La beauté du chateau me surprit.

Nous arrivames dans la salle du trone. En haut se trouvait le Roi. Belgarionn nous conduisit jusqu'a lui. Apres quelques presentation le Roi nous posa une simple question: "-Savez vous vous battre? -Oui, repondimes Samira et Moi." Il nous prit donc a l'essai et nous accorda le titre de Recrue d'Aden.

Le reste defila tres vite : nous partimes pour une mission d'infiltration qui ne fut pour moi ni un succes ni un echec...

Ginhry

[modifier] Par feu et métal

http://kyunshir.free.fr/Wiki/Ginhry/Village.jpg
[modifier] Un choix, une route

Plancher…Blanc…trop blanc…Un bruit monte du rez-de-chaussée, puis un autre, et un autre…Ses parents sont rentrés de leur chasse…Elle se tourne lentement pour se mettre sur le dos et contemple la lucarne située au dessus de son lit.

Le jour est déjà bien présent, elle a encore veillé trop tard hier, mais ses séances d’entraînements manuels ne peuvent se faire que lorsque la chaumière est vide de témoin, son père en ferait toute une histoire. Elle l’entend déjà lui hurler aux oreilles qu’elle choisit la facilité à vouloir devenir artisane, que le vrai défi est dans la collecte des ingrédients nécessaires à la fabrication d’objets, que leur famille ne compte que des chasseurs de trésors depuis des générations, qu’elle doit reprendre le flambeau.

Mais cette naine encore jeunette ne veut pas suivre la voie de ses parents. Chasser les trésors ne la rebute en aucun cas, ayant comme la plupart de ses congénères une relation privilégiée avec les richesses, de toutes sortes. Cependant, elle désire plus que tout créer de ses mains plus que dénicher les trésors utilisés dans ce qu’elle voit comme un noble art.

http://kyunshir.free.fr/Wiki/Ginhry/dwarf3.jpg

Elle sait aussi qu’elle ne pourra rester dans ce village éternellement pour atteindre les différents buts qu’elle s’est fixé, qu’elle devra se mettre en quête de formateurs pour lui enseigner les ficelles du métier. Le forgeron du village a bien sûr commencé à lui inculquer les bases, et c’est lui-même qui l’a mise en garde sur les sacrifices à venir pour parvenir aux sommets qu’elle convoite, qu’il lui faudra trouver de par le monde des professeurs talentueux, et surtout travailler énormément. Sur ses conseils, elle passe aussi beaucoup de temps à étudier les commerçants du village et leur façon de travailler : trouver de bons fournisseurs de matières premières, négocier les prix, tout cela la passionne ; elle veut elle aussi être connue dans cette vaste organisation marchande. Son désir ne se limite plus à la simple richesse, elle veut devenir influente, obtenir une place chez les décideurs nains, dans la politique commerciale du monde…

Elle sait que ses aspirations sont élevées, et si cela en fait rire certains, la difficulté à réaliser son rêve ne lui donne que plus de force et de persévérance.

Tout se mélange dans sa tête, un tourbillon qui lui fait perdre un instant conscience de ce qui l’entoure, une seule chose est claire dans le tumulte de son esprit : elle doit suivre son cœur, et maintenant ! A trop attendre, il ne lui restera que des remords qui deviendront avec les années des regrets pour ses actes manqués…

Un pied glisse timidement hors du lit, le second le suit d’un mouvement déjà bien plus décidé. Après une longue inspiration, elle finit par se lever, s’habille à la va vite et descend rejoindre ses parents.

Pour la première fois depuis qu’elle aspire à devenir artisan, elle parvient à prononcer ces mots qui d’ordinaire restent coincés dans sa gorge :

Je dois vous dire quelque chose d’important.

Contrairement à ce qu’elle pensait, ses parents ne lui firent aucun reproche, aucune critique, ils l’encouragent même. Voir son père saluer son courage pour entreprendre un tel périple avec tant de volonté lui apporte encore une motivation supplémentaire de réussir. Ses bagages sont vite faits, sa mère lui fait ses dernières recommandations, lui fait jurer de revenir les voir de temps en temps et de donner des nouvelles très souvent. La jeune naine acquiesce docilement en cachant sa propre émotion à quitter sa famille.

Le moment du départ arrive finalement, elle adresse un signe de main à ses parents, sa mère qui essuie des larmes maladroitement, son père qui bombe le torse pour montrer sa fierté aux nains du village qui observent la scène.

Arrivée à la sortie du village, elle s’arrête un instant et se lance comme à elle-même

Vous serez fiers de moi, et le nom de Ginhry sera gravé dans la pierre. C’est ma promesse

Elle sort alors une dague de sa ceinture et s’entaille la main.

Je le jure par mon sang et celui de mes aïeux

Ginhry part alors à la conquête se ses rêves, au pas de course, un large sourire illuminant son visage.

Gnyarkk
Un article de Le RP d'Oreline.
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Gnyarkk, Shaman


Son histoire

De son passé, Gnyarkk ne garde pas de souvenirs, avant cette errance d'orc adolescent qui le mena à être recueilli par les prêtres de Paagrio, devant lesquels il ne sut prononcer qu'un mot : "gnyark", du fait de l'absence d'instruction d'aucune sorte, hormis la survie qu'il dut apprendre au péril de sa vie naissante.

Il reçu donc une éducation particulièrement marqué par la religion, les valeurs de Paagrio, la tradition orque, ce qui le conduisit naturellement à devenir un apprenti du Temple, et lorsqu'enfin il eut appris les noms des esprits, leur langage, permettant d'appeler à lui le pouvoir de la Flamme, il devint shaman, avec l'autorisation de quitter orc village afin d'achever son enseignement, pour devenir Prêtre de Paagrio

Dans la vie, Gnyarkk parle peu, une habitude de solitaire qu'il a conservé, il écoute, observe, et ne se prononce que si l'on attend de lui une parole. Il ne semble pas non plus hair un peuple particulier et apparait ainsi dans les villes cosmopolites comme un être calme, indifférent aux présences, même s'il reste difficile de parler de tolérance car il demeure un orc, élevé dans un cadre particulièrement spartiate qui ne permet pas à l'esprit de remettre en doute les dires des prêtres de Paagrio, ni la tradition.

Gnyarkk sert son dieu, Gnyarkk sert son peuple, et cette double fidélité se doit de toujours communier, il ne servira pas un ordre religieux allant a l'encontre de l'interet des siens, inversement il ne reniera jamais les préceptes de Paagrio, même si dans une situation bien particulière ce serait préférable pour son peuple. Un peuple fort, uni dans la foi de Paagrio, voilà l'idéal qu'il se fait de l'avenir du peuple orc, particulièrement éloigné de ce présent d'incertitude, où le départ d'Urukai sonna le démentèlement de la Horde en tribus se querellant inutilement pour un bout de territoire.

Qui sait, l'avenir se révélera peut-être meilleur pour les fils de Paagrio...

VOYAGE ALLER
[modifier] Du Village Orc aux montagnes du poste avancé (Border Outpost)
"*Shrrrkkkk*

Le bruit des feuilles et des branches pliant sous l’énorme pied vert foulant le sol. Comme un rythme de tambour, le pas de l’Orc sur le sol rythmait sa marche lente et lascive. La hache sur l’épaule, quand elle ne traînait par terre, le bouclier recouvrant le dos noué de muscles, tout cela projetait une ombre malsaine et massive sur le chemin. Elle semblait prévenir les animaux et les voyageurs que quelque chose s’approchait d’eux.

Golak leva le nez comme pour capturer de ses narines la légère brise qui flottait dans la forêt. Une odeur suspecte planait dans l’air.

Des chasseurs.

A en croire les effluves qu’ils répandaient inconsciemment, ils était trois, humains. Golak ne sentait pas cette odeur caractéristique de la peur. Ils étaient confiants car ils étaient en surnombre. Du moins, c’est ce qu’ils pensaient.

Un posté sur son flanc Sud-ouest et deux plus au Sud.

La poigne de Golak se resserra sur le manche de la masse tandis que son autre main glissa dans son dos à la recherche de la poignée du bouclier. Le sentier passait à quelques mètres de là entre deux renflements de terre. C’est probablement ce passage qu’ils ont choisi pour attaquer.

Golak plongea sa main dans sa poche droite et passa un doigt dans le petit sac qui s’y trouvait. Il le ressortit et étala le léger pigment rouge sur son visage. Un trait de plus voulait dire quelques victimes…

Tout se passa très vite. Les humains sortirent des fourrés pensant le prendre par surprise. Golak écrasa sa masse sur la tête du premier pendant qu’il bloquait le second contre un arbre avec son bouclier. Pis se fut son tour, l’écorce derrière sa tête craqua sous le choc de la masse. Le troisième était resté en retrait, c’était un archer. La rapidité des coups l’avait surpris. Il faut dire qu’un orc cache toujours sous une démarche flegmatique un instinct guerrier plein de rage et de fureur.
Golak libéra sa masse de la tête de l’humain et de l’écorce de l’arbre et regarda le troisième rodeur.
Ses yeux n’exprimaient rien, comme si l’Orc agissait sans sentiment, par réflexe. L’humain, paralysé, tarda à décocher sa flèche.

Le bouclier vola dans les airs, faisant basculer en arrière l’archer. Le temps que ce dernier relève la tête pour voir où était son ennemi, la masse dessinait déjà dans l’air un arc de cercle dont la course se terminait entre les deux yeux du malheureux.

Dans un bruit de succion, la masse revint sur l’épaule de Golak et se dernier repris sa marche au pas lourd et résonnant.

Ni bien, ni mal lui avait on enseigné depuis tout petit. Juste des actes."
[modifier] Passage près de la Tour d'Ivoire
Encore une journée de plus, pensa Golak.

Le petit matin se levait doucement comme encore las d'une nuit agitée. Au nord, les montagnes qui séparaient les terres orcques des terres humaines dessinaient une vague légère jouant avec l'horizon. Quelques nuages parsemaient le ciel, teintant ça et là le bleu immaculé de touches roses. La végétation était différente ici, plus moelleuse, plus verte. L'herbe était grasse, les rochers avait des formes arrondies. Golak se frotta la nuque. Il n'était pas habitué à dormir dans d'aussi bonnes conditions. Son regard se porta au Sud. La Tour d'Ivoire se tenait là reflétant les premiers rayons de soleil tel torche projettant la lumière de la connaissance en tout point du pays.

Si d'ordinaire les orcs aimaient arborrer un masque sauvage devant des étrangers, il en était tout autrement lorsqu'ils étaient seuls ou entre eux. Inspirer la peur était la première chose que l'on vous apprenait tout petit. Que ce soit un animal ou un ête doté d'âme, la peur retient de nombreux gestes. Golak s'interrogeait encore sur les raisons de son voyage. Il avait pourtant une femme et des enfants mais son périple lui avait paru nécessaire. Comme un voyage initiatique, il avait resenti le besoin de partir voir le monde, peut être pour faire de lui un Orc et laisser derrière une enfance un peu trop précipité. Que cherchait il au bout de ce chemin ? Il ne savait pas trop lui même mais il savait que tout cela se terminerait là où tout avait commencé : chez lui. Ce qu'il y avait entre n'était pas vraiment important. Du moins, c'est ce qu'il croyait quand il était parti.

Golak étira ses jambes et fit craquer quelques articulations. Son ventre poussa une petite protestation mais se tut très vite. L'heure de se mettre à table viendrait mais pour l'instant, il lui fallait marcher. Un orc en terres humaines n'était pas courant, mieux valait être prudent. Certes, l'époque où ses pères étaient descendus jusqu'à Dion était révolue mais elle n'était pas enterrée comme voulait nous le faire croire les anciens accords. Son arme portait encore le sang des brigands rencontrés quelques jours plus tôt aussi, marcher un peu n'était pas une si mauvaise idée.

Golak marchait en regardant la Tour d'Ivoire. Il était curieux, intrigué par ce quelle pouvait renfermer. Il savait que des elfes la visitaient régulièrement. Non pas qu'il les avait vu, mais les traces légères laissées dans la terre séchée révélées un petit groupe d'Elfes marchant dans cette direction. Ils étaient passés alors qu'il pleuvait, cela devait remonter à deux ou trois jours.

Un elfe, il n'en avait encore jamais vu tout comme tant d'autres choses d'ailleurs.

Quelques minutes passèrent tandis que Golak s'interrogeait sur ce peuple, sur son histoire fabuleuse et ses humiliations dernières. Un sourir naquit sur son visage quand il pensa que, de par leur longévité, les acteurs qui signèrent le traité de soumission aux humains étaient encore au pouvoir.

Pis ses pensées revinrent à son propre peuple. Il avait rencontré à plusieurs lieues de là un de ses frères. Ils avaient discuté du Grand Urukai, le chef unificateur des tribues orcques. Ce dernier l'avait enclin à les rejoindre dans leur lutte pour la Famille. Golak avait refusé bien évidemment. Servir Urukai serait un honneur pour lui mais les manières bestiales de son frère l'avait encouragé à continuer sur sa route. Certains avaient encore les manières de la grande Guerre de la dernière décennie, c'était regrettable.

Arrivé au sommet de la coline, Golak prit vers l'Ouest pour contourner la tour. Des défenses magiques étaient peut être installées, mieux valait faire un large détour. Tout en marchant, il déplia sa carte. Il resterait sur les terres humaines mais il ne pouvait penser qu'il frolerait le Village Elfe. Allons la ville d'Oren n'était plus très loin maintenant, peut être se risquera-t-il à la visiter...
[modifier] Entre les terres Elfes et Humaines

Oren n'avait pas inspiré Golak. Le monde, les bruits des commerces, tout cela restait assez peu commun pour un Orc qui marchait depuis plusieurs jours seul au milieu des champs. Les grandes murailles et les meurtriètes avaient terminé de dissuader le voyageur. Il avait contourné la ville par l'Ouest, en veillant bien à laisser assez d'espace entre lui et ce nid d'humains.

Après quelques heures de marche, Golak souriait intèrieurement. A sa gauche s'étendait les terres humaines, à sa droite, bien cachée derrières des montagnes, les terres Elfes. Il s'amusa pendant quelques lieues à marcher sur cette ligne imaginaire séparant deux royaumes qui n'avaient eu de cesse que de comploter contre sa race. Faisant semblant de perdre l'équilibre de temps à autre, l'orc s'amusait à envahir une fois les humains, une fois les elfes. Deux jours plus tard, cette situation n'avait plus rien d'amusant. Golak se sentait comme pris dans un étau entre les deux peuples. L'air semblait l'oppresser, projetant sur des effluves en provenance des terres Elfes et des terres Humaines.

Bientôt, il atteindrait a fin de son voyage, il le sentait. Bien qu'il n'eu pas de carte sur lui, que son itinéraire était improvisé, il comprit finalement quel était la dernière étape de son périple. Au sud, le sol devenait de plus en plus accidenté, déchirant l'horizon comme une lame mal aiguisée. Le silence devenait de plus en plus présent, chassant les cris d'animaux et les piallements d'oiseaux. Une bourasque s'éleva brusquement, transportant avec elle un nuage de poussière épais et nauséabond. Comme un avertissement au voyageur qui se dirigeait droit vers elle, la Vallée de la Mort s'éveillait à l'approche de Golak.

[modifier] La Vallée de la Mort

Un frémissement parcouru l'échine de l'orc. Une vallée arride, désertée depuis longtemps par les êtres civilisés, elle abritait depuis des temps reculés des hordes d'animaux sauvages et de montres assoifés de sang. Une légende veut que cette vallée sert d'ultime barrière à un mal terrifiant, tapis au fond d'une grotte sombre et lugubre.

Quelques lieues plus en avant et Golak posa un pied lourd de poussière sur le bord de la falaise séparant les terres habitées de la vallée de la Mort. Le vertige tenta de s'emparer du guerrier comme pour l'attirer vers une chute mortelle et l'avaler d'un seul coup. Golak jeta sa tête en arrière pour résister et s'assis en tailleur, observant le gouffre s'offrant à lui. Les vents violents transportaient des boules de poussières, les faisant tourbilloner sur elles-mêmes pour finir par les projeter à plusieurs mètres de hauteur. La végétation était rare mais les quelques plants semblaient hostiles. Une gerbille trottait prudemment entre deux roches à plusieurs dizaines de mètre en contre bas. Golak usa de sa concentration pour mieux la distinguer. La bestiole coura rapidement vers un autre abri quand un nuage de poussière se souleva tout d'un coup. Golak ne la distinguait plus. Il prit plusieurs minutes pour observer, cherchant la petite bête des yeux.

Rien

Plissant les yeux au maximum, il comprit finalement où était passée la gerbille en remarquant que la tige de la fleur était déformée. Elle était à l'intèrieur, tentant surement de se débattre pour échapper à sa triste mort. La Vallée de la Mort. Un endroit où l'on ne s'y rend pas pour le plaisir.

Golak passa deux jours assis sur le bord du précipice à observer. Sans bouger pour que la vallée s'habitue à sa présence. Au fil des heures, il dicernait des yeux cachés sous des rochers, un monstre qui était camouflé de couleur terre en plein soleil, une faille dans la roche poussa des petits cris stridents, etc... Le lendemain matin, il vit une petite caravane d'humains marcher au centre du gouffre. Tout semblait bien se passer. Le cocher de la caravane maitrisaient ses chevaux et trois humains marchaient à côté. Un léger cri d'enfant se fit entendre de derrière les tentures de la caravane. La vallée ne bougea pas et les laissa avancer jusqu'au centre du précipice. Golak observa la scène avec attention. De légers mouvements de poussières presque imperceptibles avançaient en cercle autour des humains. Plus ces derniers s'approchaient du centre du gouffre, plus le cercle se refermait. Tout se passa très vite. Une bourrasque de vent souleva le lourd rideau à l'arrière de la caravane. Le cri du bébé s'étouffa. Inconscients de ce qu'il venait de se passer presque sous leurs yeux, les humains continuer d'avancer, regardant toujours dans la mauvaise direction. Plusieurs mètre plus tard, le cercle de poussière se souleva d'un seul coup. Le nuage entourait la caravane, cachant la vue à l'orc mais pas les cris. Le combat ne dura pas plus de trente secondes et quand, plusieurs minutes plus tard, la poussière retomba, il ne restait plus que la caravane, sans montures... Quelques minutes plus tard, le cri strident provenant de la faille dans la roche s'éleva jusqu'au sommmet du gouffre. Deux grandes ailes bleutées se déplièrent et foncèrent sur la caravane. Les griffes du dragon s'emparèrent de la roulotte et l'emportèrent au loin. Golak resta immobile pendant tout le spectacle que lui avait offert la Vallée. Elle lui avait donné un avertissement. Il s'était senti observé pendant toute la scène et il était sûr que la vallée le regardait encore. Golak ne détourna pas le regard, il voulait regarder la Vallée dans les yeux. Un tourbillon de vent monta du précipice jusqu'à lui, comme si elle l'invitait à descendre. Mais il était encore trop tôt, il n'était pas prêt...

Golak resta encore deux jours assis à ne pas bouger. Il voulait comprendre, dialoguer avec la Vallée de la Mort.
[modifier] Seul face à soit même

A l'aube du deuxième jour, Golak ouvrit les yeux. Il avait passé la nuit les yeux fermés pour écouter le moindre son émanant du contre bas. Des frottements sur la terre, la rocaille qui s'entrechoque, l'effleurement du vent sur la roche, tout ça formait comme un requiem. Telle une sirène poussant un chant hypnotique, la Vallée de la Mort berçait ses habitants de ses sons comme pour entretenir leurs peurs et leur soif de vie.

Golak déplia ses jambes et la Vallée répondit à ses craquements par un bruissement de feuilles et de branches. Il se leva et entama la descente vers le bas. Il était prêt maintenant, leur rencontre était inévitable.

Comme pour saluer sa venue, la vallée étouffa chaque bruit, lui offrant ainsi un silence pesant pour sa descente. Golak sentait que la vallée voulait le couper du monde, lui dire qu'il n'en reviendrait peut être pas.

* poufffff*

Le bruit de ses pas attérissant sur le sol poussièreux rebondit sur les parois de roche. Le vent tomba brutalement, comme pour lui offrir un passage vers le centre du gouffre.

Elle offrait la Mort, lui apportait la Vie.

Golak observa les hautes falaises que le soleil avait du mal à franchir. Il sentait une myriade d'yeux posés sur lui. Autant de dents aiguisées qui attendaient de se planter dans sa chair. Il emprunta le couloir que lui offrait la Vallée et s'assis en tailleur au centre du précipice, sous un soleil de plomb.

Il ferma les yeux et écouta le discours venteux que la Mort lui chuchotait à l'oreille.

"Je suis Golak ! Je suis la Vie! " clama-t-il pour répondre aux douces propositions de repos et de solitude que lui offrait la faucheuse.

Devant lui, sous le sable, un serpent avançait doucement vers l'orc. Golak posa sa hache sur la pierre brulante et ramena ses mains sur ses genoux.

Le reptile avança jusqu'à froler les jambes du guerrier. Golak ouvrit les yeux et regarda l'animal. Il leva doucement la main et la dirigea vers la tête du serpent. Ce dernier siffla, comme pour prévenir de ce qu'il apportait si l'orc dépassait les limites. Doucement, dans un geste fluide, Golak posa la main sur la tête du serpent tout en plongeant sur regard dans le sien. Le reptile ne bougea pas mais siffla de plus belle. Puis il le mordit à la main dans un geste rapide et précis. Golak ne bougea pas, étouffant la grimace de douleur qui remontait vers son visage. Le serpent lacha la prise et croisa les yeux de l'orc. Il se glissa en arrière, coupant ainsi les quelques fils de venin qui sortaient de la blessure. Golak porta la main à la bouche, aspira le venin et le cracha à terre.

"Je suis Golak, Orc au coeur simple !" répondit l'orc à l'attaque du serpent. Puis il reposa sa main sur le genoux.

Le reptile fit demi tour et s'en alla. La vallée savait maitenant que l'orc n'avait pas peur d'elle, ni de la mort.

Le soleil assomait le guerrier assis au centre du précipice, brouillant ses idées et ses sens. Les yeux fermés, Golak attendait la réponse. La réponse à son voyage depuis son village au Nord du continent. Puis, il entrouvrit la bouche. Il murmurait les chants des shamans. Lents, monotnes, ses paroles se perdaient dans l'infini des falaises qui l'entouraient. Peu à peu, il entrait en transe. Ses yeux étaient fermés mais il n'en avait pas besoin pour voir. Les autres sens le guidaient au fur et à mesure que son âme s'élevait. Le temps s'allongeait au fil des chants, son corps s'effaçait au rythme des phrases. Le vent qui tournait autour de lui semblait entrer dans son esprit, malmenant ses pensées, berçant son être.

Golak se fiait aux battements de son coeur, sentant chaque impulsions propulser le sang dans ses veines. La Vallée l'enveloppait de son doux manteau de chaleur, projetant de vives couleurs dansantes sur ses paupières.

Nul ne sait au bout de combien de temps Golak ouvrit les yeux mais ce qui est sur c'est que la Mort l'avait invité à le faire. Autour de lui, des centaines de serpents formaient un tapis mouvant de corps luisants et enlacés. Des corps sans tête se tenaient au abords, portant le casque à la main et une épée dans l'autre. Ils semblaient observer Golak. Derrière eux, deux dragons côte à côté enveloppés mutuellement dans leurs ailes d'écailles soufflaient leur haleine de souffre. Ils ouvrirent leur ailes dévoillant une ombre à forme vaguement humaine en leur sein. Plus qu'une ombre. La forme semblait aspirer l'air autour d'elle, comme un trou béant sans couleur et sans vie.

Golak ne voyait plus avec ses yeux, il en était certain. Sa transcandence avait élevé son esprit bien au delà de son corps. Il se tenait face à la Mort, il en était certain. Entre eux deux, un gouffre sans fond dont remontaient des odeurs de sang mêlées au goût des os.

"Golak, fils de Turpin, penses tu pouvoir bravrer la Mort avec tant d'audace ?" Ce n'était pas une voix. Pas même une pensée. Golak était incapable de savoir d'où ce message provenait.

"Ma mort est tienne, tout comme ma vie est à la terre" répondit l'orc. Le trou s'aggrandit quelque peu.

"Ta mort est mienne effectivement mais ta vie m'appartient aussi. Sache que je suis un tout que l'on me nomme Vie ou Mort"

"Alors ne suis-je que l'ombre d'une âme ?" demanda Golak

"Non, Vie et Mort sont liées mais ta destinée est la seule chose qui t'appartienne. Tes actes sont libres bien qu'ils me servent également".

"Mais pourquoi m'offrir un chemin si le départ et le même lieu que l'arrivée ?"

Le trou s'aggrandit encore plus et tonna " Pourquoi partir de ton village pour aller à ma rencontre alors que tu savais que tu reviendrais au près des tiens ?"

Golak comprit à ce moment précis. Le trou s'aggrandit jusqu'à tout envelopper dans un vacarme assourdissement. Aspiré très violemment, baloté au grè des vents, Golak finit par ouvrir les yeux.

Il avait retrouvé son corps, assis sur le rocher brûlant au centre de la Vallée de la Mort. Au milieu du silence de la vallée, son esprit réalisait ce que son âme avait rapporté de sa transe.

Il tenait sa réponse depuis le premier pas qu'il avait fait pour quitter son village mais il ne la comprenait que maintenant.

Il était parti, sachant qu'il reviendrait. Il était né sachant qu'il devrait mourir.

Entre ces deux points se tenait l'inconnu. Entre ces deux points se tenait Golak, Orc des terres d'Elmore.

"La vie de Grimila"

Description : Grimila est sauvage avec les personnes qu'elle ne connais pas. Elle a confiance en tres peut de personne. elle est tres affectueuse avec ceux qu'elle aime. elle deteste les efles pardessus tout, et ne supporte pas les humains

Signe distinctif : Gimila a les yeux bleu

Couleur préféré : le vert

Ses passions : son mari et sa fille
[modifier] Voici son histoire
[modifier] Son enfance

Grimila, jeune orc du Nord naquit dans une petite cabane avec pour seul contact son père et sa mère, ses parents avait décidé de vivre reclus pour éviter les persécutions et leurs permettrent d’élevé leur enfant dans la paix d’un foyer, mais un jour, lors de la huitième année de cette enfant quelque chose se produisit… La nuit était tombée dehors, le père de la petite Grimila entendu des bruits a l’extérieur, beaucoup de bruit... Il interdit à sa femme et sa fille de sortir et il partit faire face à ce qu’il avait entendu. C’était à sa surprise, une trentaine d’humain et trois cavaliers encapuchonner dont celui du centre était remarquable car il portait une armure et … Tous ces gens semblaient s’être déplacé pour eux.

( l’orc s’avança… )

- Que voulait vous ?

Le cavalier en armure ne fit qu’un geste et les trente humains qui semblaient être des villageois foncèrent sur l’orc qui n’était pas armé… Il ce défendit du mieux qu’il pus à main nue, tuant aux moins dix hommes dans le combat mais, sous le poids du nombre il finit par s’écrouler à cause de multiples blessures qui avait subit.

La mère qui compris ce qui s’était dérouler, attrapa sa fille, l’embrassa sur le front et lui dit de fuir, de fuir le plus loin possible de cette maison. Elle ouvrit la porte qui donnait derrière la maison et poussa Grimila dehors ceci fait elle ferma la porte fit demi-tour et sorti par la porte de devant.

Il restait 20 hommes debout et les 3 cavaliers, quand ceux ci l’aperçu, le cavalier de tête ne fit qu’un geste, la suite aurait été prévisible mais, quand elle aperçu la dépouille de son mari ensanglanté, elle rentra dans une rage telle que les humains ne pouvaient le prévoir… Elle se battit avec une telle violence qu’elle balaya les humains avec une vitesse surprenante, certain tentèrent de s’échapper mais aucun n’y réussi…

Il ne restait que les trois cavaliers, celui de devant descendit de cheval, la mère de Grimila couru vers lui, il leva son capuchon et brandit une épée en criant, « meurt, créature immonde ! » Il s’agissait d’un elf et … d’un coup d’épée il décapita l’orc en disant… « Des abominations tels que ces créatures ne devrait pas exister… » Et l’enfant qui n’avait pas obéit à sa mère était la… caché derrière un buisson a coté de la maison, elle avait tout vu, tout entendu… ces humains, ces elfs… Sa colère était telle qu’elle ne pus la contenir, elle coura, coura loin de cet endroit et elle n’avait plus qu’un seul but désormais, devenir forte et venger la mort de ses parents.

Cette nuit la, la mort avais frappé mais Grimila souriait car elle savait qu’elle aurait sa revanche un jour…


[modifier] Rencontre avec Brams

C'était un jour comme les autres, je m'apprêter a entrée dans cette ville nommé Gludio quand soudain j’entendis des bruits de pas venir vers moi… Je fis un demi-tour sur moi-même pour me retrouver face à lui. Un Orc… C’était un orc… cela faisais bien quelques semaines que j’en avais pas vu. Je suis restais là, silencieuse le regardant avec insistance, me demandant se qu’il me voulais. Mais pourquoi Reste t’il figé… Pourquoi ne dit il pas un mots. Il semblait si hésitant… S’il attaque je sors mes griffes ! Mais je fus surprise quand il aborda la conversation…

Brams : Bonjour belle orc que je n’ai pas le plaisir de connaître.

Grimila : Bonjour vous…

Brams : C’est la première fois que je vous voie, je pensais connaître tout les orcs de cette région.

Grimila : C’est que je viens d’arriver du Nord… je m’appel Grimila « j’essitais a poursuivre la conversation… il semblait si curieux… » Et vous ?

Brams : Je me nomme Brams, je suis un orc de la Horde

Grimila : La Horde ?

Brams : Oui …
Il m’expliqua se qu’était la Horde… mais je dois vous avoué que je n’ai presque rien suivi de se qu’il me raconté. Non presque rien…J’étais comme hypnotiser, je ne pouvais plus le quitter du regard…

Brams : Vous êtes troublante… vous ne faites pas parti de la Horde, que dois-je faire de vous ? Dois-je vous emprisonner ?

Grimila : J’ai qu’une seule idée… Je vais rester avec vous jusqu'à ce que l’on voit ce Jewal car, j’aimerai bien vous rejoindre dans la horde …

Brams : Vous m’en voyer ravis, votre compagnie sera très agréable, je n’en doute pas…

C’est a lors que je lui est sourit timidement et ressentir une sorte de bien êtres. C’était clair j’adoré sa compagnie, j’étais tombée sous son charme et j’étais bien décidais a ne plus le quitter. D’autant plus… qu’il semblé tres fort… avec lui je suis entre de bonne main.

Grimila : C’est étrange…

Brams : quoi donc ?

Grimila : Je n’aurai jamais proposé ça à un autre orc, d’habitude quand il me parle il reparte vite en courant.

Brams : Je suis, comme qui dirait … différent.

Grimila : C’est ce que je ressens…

Brams : Mais … pourrait-on se tutoyer ? Ce serait bien plus agréable si nous devons voyager un peut ensemble.

Grimila : Juste un peut, pourquoi ? Je voyais sur son visage que ça le gêné mais moi je trouvé ça plutôt amusant. Voudrai-tu t’entraîner avec moi ? Tu as l’air fort et je ne serais plus seule…

Brams : Je ne vois aucun inconvénient à cela

Et nous sommes partis nous entraîner. J’avais bien raison il était vraiment très fort… avec lui je deviendrais assez forte pour venger mes parents !de jour en jour je sentais que je me rapprocher de lui, je me santé tellement bien dans ses bras si tendre. Je savais bien que nous ne pourrions pas continuer ainsi. Il avait une mission à accomplir et je ne pouvais pas me mettre en travers de son chemin. Je fus surprise quand il me demanda de rester avec lui de ne pas nous séparer. L’annonce de ses sentiments pour moi ne me laisser pas indifférente. Je le trouvé si mignon que je n’ai pas pu me retenir et l’embrassa tendrement. Je lui proposa de trouver Jewal au plus vite pour que puisse intégrer la Horde et l’accompagner dans ses voyages. Brams pensait qu’avec la situation actuelle il se pourrait qu’il se trouve à Aden, et nous nous sommes mi en route. Arrivé à Aden, comme le pensait Brams, Jewal était devant l’église, fier de « sa ville ». Brams me présenta à Jewal et qui me posa quelques questions. Je fut intégré à la Horde et eut aussi la permission de suivre Brams dans ses missions. J’étais très heureuse, une nouvelle vie s’offrez a moi.


[modifier] Gravement blesser

Se soir la il faisait bien noir… Grimila n’avait pas a trouver le sommeille… Elle décida alors d’aller faire un tour dehors…

-renifle- tiens… il y a une odeur que je connais par ici…

Elle s’approcha de cette odeur et vis un humain.

-lèches ses griffes- hum un humain… je commence a avoir faim…-le lèche les babines-

Il avait l’allure d’un simple humain couvert d’une cape user…L’humain effrayait la supplia de l’épargner…

-passe une griffe sous le menton de l’humain- hum tu crois vraiment que je vais te laisser en vie ? toi stupide humain ?

Il la regarda d’un air malicieux le sourire en coin … Vous n’avais pas trop le choix –ricane-

Furieuse Grimila rentra dans une colère noir et commença le combat…

L’homme quitta sa vieille cape qui cachait une magnifique armure d’avadon. Très bien vous l’aurez voulu. Grimila se batta temps bien que mal sachant d’avance qu’elle ne s'en sortirais pas… Epuiser du combat Grimila tombât a terre…. Les larmes aux yeux, la dernière image qu’elle vis a se moment la était le visage de son bien aimé et prononça quelque mots Je suis Désolée Brams… cette fois ci je ne reviendrais pas…

L’humain voulu lui donner le coup de grâce mais il eu pitié d’elle…. Stupide… vraiment stupide ses Orcs….

Il déposa sur son corps sa vieille cape et reprit son chemin.


[modifier] Mon départ si soudain

A ce moment là nous étions de plus en plus proche. Nous parlions vaguement de se marier. Notre relation était devenue bien plus intense et nous avons était bien loin… se matin la je me sentais très mal… nausée, vertige… Je sentais mon corps se transformer. Mais que m’arrivait il ? Serais-je enceinte ? Non c’était impensable… beaucoup trop tôt pour nous… Je n’étais pas prête pour cela et lui non plus…j’essayer de ne plus y penser lasser le temps faire les choses, mais quelque moi plus tard… Brams m’avait fait remarquer que j’avais pris du ventre… Brams : dis ma chérie, tu n’aurais pas pris un peut de pois ?

Grimila : *rougie* mais non que raconte tu ?

Brams : si je t’assure tu as pris du ventre… tu devrais manger moins… pour garder ta ligne…

Grimila : *regarde son ventre* oui tu as peut-être raison *sourire forcer.

* Que vais-je faire… Je ne veux pas qu’il le sache… mais ça commence a se voir…*

Il y avais pas de solution je devais lui en parler… mais comment va-t-il réagir a cela ? Non il y avait un autre moyen… Je devais partir…Mais je savais que cela le rendrait malheureux… Nous sommes pas marier… j’avais peur de la réaction des autres Orcs… c’était décider… de devais partir ! Ce n’est pas un adieu… Je reviendrais certainement car les liens qui nous unissent son bien plus fort que tout, j’en suis certaine. J’avais attendu quelques jours puis je suis parti pendant que Brams était en mission. J’étais fatiguée de marcher et je m’arrêter souvent. Je devais partir le plus loin possible pour qu’il ne puisse pas me retrouver… Voila déjà deux jours que j’ai quitter notre foyer… il dois déjà êtres très inquiet pour moi… j’hésiter a faire demi-tour, mais c’était déjà trop tard je ne pouvais plus reculer. Je devais avancer, avancer, toujours avancer, aller le plus loin que possible. J’avais la tête qui tourner j’avais du mal a avancer… il faisais de plus en plus chaud… et je me suis écrouler. A mon réveille j’étais dans une grotte, j’avais pas le souvenir dis êtres aller… il devait y avoir quelqu’un. J’ai fouiller pendants des heures les alentours et trouvé personne…


[modifier] Dure épreuve

Voila déjà quelques jours que le bébé ne bouge presque plus dans mon ventre. Peut êtres qu’il n’a pas assez de place ? Je sens le grand moment approcher. Les contraction commence a arriver et ma poitrine se durcir. Je pris mon livre et écrit quelque ligne quand soudain je perdis les eaux. Oui c’est bien le moment le bébé va bientôt arriver… Je n’avais pas choisi de nom pour cet enfant… je ne me sentais toujours pas prête pour assumer le rôle de mère… a cet instant j’us très peur, peur de l’amour que je pourrais lui donner, peur de la vie que je lui donnerais, peur de mon avenir… les contractions sont de plus en plus proche. Que vais-je faire de se bébé ? Je ne savais plus se que je voulais… le garder ? L’abandonner ? Puis la je me suis souvenu de mon passer douloureux. J’avais perdu mes parents jeune et que j'avais du me débrouille toute seule. Cet enfant ne mériter pas ça, il n’y était pour rien… Brams me manquer terriblement a chaque instant je pensais a lui. Peut êtres voudra t’il encore de moi… peut êtres acceptera t’il cet enfant… qui est quand même le sien… Oui c’était décider je rentré a la maison mais pas seule, l’enfant sera avec moi. Brams à bon cœur il comprendra ma décision… Je sentis quelque chose sortir de mon corps, l’enfant était la. Je pris un couteau et couper le cordon qui nous unisser, mais a ma surprisse l’enfant ne crier pas. Il était comme inerte. Je le pris dans mes bras, comme il était beau. Je pensais alors qu’il dormait simplement. Quelques heures plus tard l’enfant devenait froid comme de la glace. Je l’ai couvert comme j’ai pu pour le refaucher… c’est a lors qu’une femme orc venu de nulle part s’approcha de moi.

La femme Orc : Madame il est mort votre enfant lâcher le.

Grimila : non il n’est pas mort il s’est juste endormis, il va bientôt se réveiller.

La femme Orc : Madame je vous dis qu’il est mort… vous ne pouvez pas le garder ainsi il faut l’enterrer.

Grimila : *sourit* non je vous assure il dors, laissé nous nous reposer.

La femme orc : bien a votre guise… mais si vous ne voulez pas voir la réalité en face, vous risquez d’en souffrir… je vous dis pour la dernière fois qu’il est morts votre enfant…

Grimila : *se met en colère* Partez méchante dame partez je ne veux plus vous voir !

La femme orc parti en soupirant. Je ne voulais pas croire que mon fils était mort. Je le serrais dans mes bras, le bercer, lui parler…après avoir passer la nuit a veuillez sur lui, je m’étais aperçu qu’il ne réagissait toujours pas, qu’il avais changer de couleur… La femme avait peut êtres raison… je restais figée, l’enfant dans mes bras, les larmes aux yeux. Je n’arrivais pas a comprendre se qu’il m’arrivait… J’avais pourtant décidé de la garder mais les dieux me l’avaient quand même pris. Il était devenu mon bien précieux mon seul trésor laisser par mon amour et je venais de le prendre. Je n’avais plus goût a rien. Voila déjà deux jour qu’il est mort, je n’avais pas bouger ni manger, il était toujours dans mes bras. Son corps commençait a se décomposer. La femme était revenue me voir.

La femme orc : maintenant laisser le dormir en paix… ne vous apitoyez pas sur votre sort. Vous êtes encore jeune, des enfants vous en aurez d’autre croyez moi. Le temps vous aidera a cicatriser cette plais. Venez, Venez avec moi…

Je me suis levais gardant toujours mon enfant des les bras et suivis cette dame. Nous l’avons enterré quelques heures plus tard. J’avais cru que le temps c’était arrêtez. Je ne voulais pas l’abandonner ici, alors la dame ma proposer de vivre avec elle le temps qu’il me faudra pour me remettre de cette douleur.

llyana

* La vie de Illyana

Sommaire

[modifier] Son caractère

Illyana est une Elfe d'environ 400 ans, sincère, passionnée par les miracles de la nature. Elle reste cependant plutôt discrète et peu bavarde... Bien que de nature changeante elle ne souhaite que le bonheur d'autruit

[modifier] Son Histoire
[modifier] Il y a de cela fort, fort longtemps

Un couple d'elfes, Nommés Aoen et Idylis eurent une enfant qu'il nommèrent Illyana ce couple vivait au sein de la communauté Aoen en tant que recrue de la garde, et Idylis barde de son renom. Illyana reçoit toute l'attention de ses parents, a tel point qu'elle ne rencontre que peu de personnes.
[modifier] Illyana a 50 ans

Aoen : "Oh ma petite Fille quelle joie de t'avoir parmi, te voir me réconforte a chacun de mes retours, bien que ma journée puisse être parfois harassante"

Illyana : "C'est moi qui suis ravie de vous voir, d'autant plus que vous me le rendez bien...."

Idylis : "Ne t'en fait pas Aoen, nous l'aimons tout deux, elle semble adorer passer du temps a gambader, et ne se plait que fort peu aux milieux clos"
[modifier] 150 ans plus tard

Nous entrons dans l'age sombre


Un vigile : "ALERTE, ALERTE ! Notre village est attaqué !"


S'en suis un appel à la garde qui se réunit, pour définir d'urgence les points stratégique à défendre.

Tous se rendent bien compte que la bataille provoquée par les Orcs ne va pas leur être favorable.



Aoen : "Idylis ! Je doit partir combattre, c'est le signal d'alerte !"

Idylis : "Je suis inquiete nous n'avons pas eu a combattre depuis un long moment..." *le silence s'installe*

Aoen : ' "Saches que je t'aime de tout mon coeur" *il appercoit Illyana qui épie la conversation*

Aoen : "Prend soin de Illyana !"

Idylis : "Je ferais de mon mieux!"


La bataille fait rage, de nombreux soldats sont tués, et les orcs ne s'arretent pas aux soldats...

[1]



Idylis : "Oh mon dieu ! Un orc..." *sentant le danger Idylis adresse un signe a Illyana pour lui dire de fuir*


Un combat (de courte durée) s'ensuit entre l'orc et Idylis et celle-ci se fit tuer.


Après la bataille, les elfes parviennent à conserver la ville au prix de nombreuses pertes dont Aoen. Notre jeune Illyana se trouve donc Orpheline.

Pleurant dans un coin a part durant de longues heures, un Jeune pretre finit par s'adresser à Elle !

image: pretre.jpg


Le pretre : "Bonjour jeune elfe, puis-je te venir en Aide ?!" Illyana : *pleure encore* Snif, Snif. Eh bien je n'ai plus de parents... *fond en larmes*

Le pretre : *qui se veut d'un grand réconfort* "Ne t'inquiètes pas nous nous chargerons de ton éducation".

Illyana : *encore sous le choc* "Je n'ai que faire de votre éducation ! vous ne comprenez pas !" *d'un ton énervé*

Le pretre : *Toujours souriant et bienveillant* "Eh bien soit fait comme tu souhaite, mais si l'envie t'en dit tu sera la bienvenue dans le temple d'EVA"


Le pretre s'en alla sur le champ!

Après avoir pleuré tout les larmes de son corps durant de nombreux jours, Illyana fini par rencontrer une jeune elfe


La Jeune elfe : "Bonjour je me nomme Alice!"

Illyana : "Bonjour Alice, je suis Illyana... " *toujours sous le choc*

Alice : "Ravie de faire votre connaissance"

Illyana : "Moi de même, navrée d'être aussi froide mais je suis encore chagrinée par la perte de mes parents"

Alice : "Eh bien pour ma part j'ai perdue ma mère..." *Pleure*

Illyana : *Réalisant sont erreur* "Oh pardonnez moi je ne savais pas !"

Alice : "Vous ne pouviez pas savoir"

Illyana réalisa petit à petit que elle n'était pas la seule malheureuse et que la vie continue...

Illyana : "Je suppose que votre mère vous manque, nous pourrions peut être vivre ensemble ..."

Alice : "C'est que..." *hésite*

Illyana : "S'il vous plait ?!" *regard de chien battu*

Alice : "Dans ce cas je ne peut plus refuser !"


S'en suivit une longue et heureuse amitié ou les deux elfes se considèrent comme soeurs du fait d'avoir passé près de 200 ans ensemble...

Et après un certain temps, les deux jeunes soeurs lassées décidèrent après concertation de rejoindre le temple d'EVA pour commencer leur apprentissage...

L'apprentissage, fut long et fastidieu, mais les arts de la magie, commencèrent peu a peu a se revéler. Sous la tutelle de Ollinwen, et aidée par le grand prêtre kally, ses progrets furent surprenants, et la voie qui ouvre vers la sagesse commenca a lui être revelée

Après moult tumultueuses affaire, Illyana découvrir un homme surprenant, qui se nomme Eldandil dont voici la rencontre :
[modifier] La rencontre

Illyana apres avoir fait la rencontre de Eldandil, commence a discuter de tout et de rien.... petit à petit la confiance s'installe entre les deux elfes.

Illyana : "Bonjour, je me nomme Illyana, et vous etes...?" Eldandil : "Bonjour Illyana, je me presente Eldandil"

Après quelques bavardages futiles

Illyana : "Vous etes ravissant...." *ne termine pas sa phrase* Eldandil : "Vous m'envoyez flatté, mais cessont de nous vouvoyer je vous prie..."

Après d'autres bavardages sans interêts, dans lequels on passera nottament sur les yeux du beau jeune homme...

l'homme semble distant a mesure que la conversation avance, il semble manquer d'experience, et peu doué pour le discours....

Illyana :"bien donc tu est ravissant !" *continue avec une voix douce et pleine de charme* L'homme sourit "tu doit être au courant, du mariage qui a eu lieu entre Kally et Mae...."

Eldandil : *géné* "a vrai dire je suis venu depuis fort peu de temps en ces terres"

Illyana : *quelque peu surprise* "Vous *se reprend*, tu n'a donc pas assite a ce mariage, si je comprend bien"

Eldandil : "Non !"

Illyana : "Je voit " *s'attend a une question de sa part*

Eldandil : "Racontes moi"

Illyana : *commence son recit, prend le ton tres particulier pour les récit* "Eh bien, il y a cela fort longtemps... *lui explique assez grossièrement les echos qu'elle a pu avoir concerant les deux promis a savoir Mae et Kally*, et donc il y a de ca quelques jours, un mariage fut programme. Ce mariage commenca d'une manière tout a fait normale... mais la suite en fut toute autre... *laisse un blanc pour laisser place a un commentaire*

Eldandil : "ah bon?"

Illyana :"Je vous prie laissez moi continuer"

Eldandil :"Vous?"

Illyana rougit

Illyana :"oui pardon laisses moi continuer"

Eldandil :"bien"

Illyana :" donc de nombreux elfes étaient présent a cet évenement... qui je doit l'avouer fu inoubliable en de nombreux points*cite quelques noms*, et apres avoir marche jusqu'au lieu du mariage..." *arrête d'un coup son récit* "D'ailleurs laisses moi te montrer ce lieu enchanteur...."

Eldandil :"Avec plaisir !"

*Eldandil se laisse tirer par la Main delicate de Illyana*

Illyana : "Voila nous sommes arrives... *reprend son recit* , donc ou en etais-je?!"

Eldandil : "Le mariage..." *toujours aussi peu bavard*

Illyana : "Oui donc, apres avoir prononce les voeux *passe un peu les temps d'attentes pour rendre son recit plus captivant*, apres avoir donc tout deux dit oui, un fond de musique commenca, les festivites etaient pretes a commencer...Apres un court instant la musique devint un peu plus recente (neo elfique)" *laisse un blanc pour faire monter le suspence*

Eldandil : "..." *ne dit rien*

Illyana : "tout a coup" *s'interromp pour voir sa reaction, mais rien ne semble le faire bouger d'un sourcil, comme si son regard était fige concentre sur la conversation* "Kally et Mae disparurent... laissant les invites seuls livres a eux meme" *Eldandil Rit et Illyana l'accompagna dans un long fou rire*

Illyana : " et donc Kally a enlevee la mariee, ainsi... pour se rattraper un bal sera organisé..." "Et comment dire..." *la voix se fait hesitante* "Je n'ai pas de tenue a me mettre... mais cela est un moindre problème... l'autre est que..." *ne fini pas sa phrase*

Eldandil : "quoi donc?!"

Illyana : "Eh bien pour tout vous dire... *se reprend apres le soupir de Eldandil qui supporte mal d'être tutoyé* pardon pour tout te dire, je n'ai pas de cavalier pour ce Bal, et donc je me suis dit que..."

Eldandil : "tu t'est dit que...?!"

Illyana : "eh bien tu m'a dit (cf les discussion inutiles) que tu n'avait personne en vue..."

Eldandil apres une longue reflexion fini par comprendre qu'elle lui propose de faite se bal avec elle apres moults sous entendus a ce propos

Eldandil : "c'est que... moi aussi j'ai un problème!" Illyana : "Ne me dit pas que tu est pris ce jour là...." *prete a pleurer car s'est vue refusee a plusieures propositions*

Eldandil : "Non! " *rires* "Je ne sais pas danser !" Illyana : *rassurée* "Dans ce cas je vo... *se reprend* t'apprendrais

s'en suivit d'autres discours que nous passeront pour alleger l'histoire. Et ainsi le lendemain...

Illyana : "Bonjour ! "

Eldandil : "Bonjour Illyana" *visiblement tout heureux*

Illyana : "tu veut bien m'emmener quelque part, dans un endroit qu 'i m'est inconnu ? " *yeux de chien abandonné*

Eldandil : "Eh bien je revient justement d'un endroit qui conviendrais tout a fait" *sourire*

*l'homme l'accompagne dans un endroit peu recommandable dans lequel de nombreux orcs et morts vivants figurent (a l'est de Elven dans des catacombes)*

* Illyana repense a son passé douloureux, et se sens mal a l'aise*

Eldandil : "nous sommes arrives"

Illyana : "Quel endroit magnifique, mais ... mal fréquenté" *désigne les monstre errants*

Eldandil : "je vous protegerais" *sourit*

Illyana visiblement ravie, apprevie le cadre qui semble etre une ancienne demeure de la noblesse *un long silence s'installe, les deux elfes s'observent les yeux dans les yeux, leurs regards se fondent l'un dans l'autre*

Et Illyana commenca a confier son passé fort trouble, et pleurant de temps a autre, elle finit son recit en fondant en larmes

Eldandil : "Quelle histoire, navré "

Illyana : "Ce n'est rien... " en essuyant ses larmes qui continuent de couler "Mais [snif, snif] et toi ? racontes moi ... [snif] "

Eldandil : "Eh bien il n'y a pas grand chose a dire, je viens d'une autre contrée, je suis venu voir mon prince qui était pris pour mort, et j'ai passe ma vie a me battre avec mon grade qui est maintenant celui de capitaine..."

Illyana : "Capitaine..." *lui montre du respect, apres avoir étée époustouflée par ce titre qui sur le coup l'a impressionée*

d'autres discours suivirent... Jusqu'au moment où Illyana : "Et si nous allions ailleurs ?!"

Eldandil : "J'aime bien cet endroit pour méditer, mais allons-y"

Illyana : "Je vous suis"

La tenant par la main, il l'entraine vers un lieu plus agréable, au abords d'une chute d'eau, la conversation continue durant le trajet ... Et... Eldandil : "nous y sommes"

La discussion continue, et apres un long silence durant lequel les deux elfes passèrent a s'observer, Illyana pose une question a Eldandil Illyana : "Pourquoi ne pas nous rafraichir dans cette eau, si pure ?!" *rougit*

Illyana qui enleve ses vêtement apres avoir demander a Eldandil de se retourner, plonge dans l'eau et se retourne pour que celui-ci puisse faire de même, une longue nage s'ensuis passant sous la chute d'eau et ne pouvant etre remarqués ni entendus. Ils s'embrassèrent pour la première fois

Illyana : "C'était Magnifique !" *après ce baiser qui dura u*

Eldandil comme a son habitude ne parlais que fort peu, rougit a la remarque, tout comme Illyana

Après de nombreux instant passés ensemble, les deux tourtereaux finirent par rencontrer malgrès eux A Elven le "Prince" qui voyant qu'il interrompait le langoureux baiser, dit a Eldandil de le rejoindre dès qu'il aurait le temps

Apres la rencontre de Eldandil et de son prince, la scéance d'intégration de Illyana en tant que nouveau membre du culte, et que de nombreux bavardages. Nos deux amoureux se retrouvaient sur ce qui paraissai un ancien lieu de célébration prêt du "grand arbre"

Illyana : "Quel endroit magnifiques, je suis troublee par la beauté de ces lieux, et vous?!" *sans prendre gare*

Eldandil : "Vous?" *désabusé*

Illyana :" Pardon tu... pardonnes moi"

Eldandil : "Ce n'est rien" *rires*

Eldandil : "J'aimerais savoir ce que tu ressens pour moi"

Illyana : "C'est que... je ... euh..." *repense a tout ce qu'elle a vécu avec lui* 'J... je ... je t'aime *d'une voix douce, mais a peine audible*

Eldandil : "Pardon?" *fait comme s'il n'avait pas entendu*

Illyana : "Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime" *lui tapote de ses petits poings frêles son torse, en pleurant* Visiblement géné Eldandil ne répond rien

Illyana : "Mais.. euh.. comment dire, et toi ressens-tu quelque chose pour moi?"

Eldandil : "c'est que... j'ai passe mon temps a me battre, je ne sais plus ou j'en suis... c'est tout nouveau pour moi, toi...et moi..."

Illyana semble attendre quelque chose, mais rien... ELdandil resta muet, A la fin de la journée et ce sur le chemin du retour, le couple s'embrasse tendrement dans la cite de Elven. Illyana crie qu'elle AIME Eldandil, lorsque tout a coup Eldandil à l'ecoute entendis des pleurs. Se précipitant vers la malheureuse, il en oublie complètement Illyana qui se sent abandonné tout a coup.

*Excedée Illyana s'approche de Eldandil et commence a "l'agresser" concernant ses manières* Illyana tente de s'interposer, entre lui et sa "possible" rivale, et manquant de tact a son tour elle cherche a écarter Eldandil de celle-ci pour la reconforter elle même

l'un comme l'autre ne souhaitant céder a l'autre, s'en suivit une dispute sans précedant

Chacun se sépara, mais le hasard voulu qu'ils se recontre a nouveau...dans le lieux où ils s'étaient parlés de leur passé

Illyana : "Vous, ici ?!" *utilise volontairement le vous pour l'ennerver, avec un ton agressif*

Eldandil : "Oui... moi" *d'un ton neutre, bien qu'il n'aprecie guère le "vous" *

Illyana : " Veuillez a l'avenir, ne plus me refaire ce coup-ci car je n'apprécie guère ses facons..." *d'un ton glacial*

Eldandil : "En premier lieu, ce VOUS commence a me courrir, je ne l'apprecie guère, et ensuite j'ai fait selon mes convictions, j'entend par là que je n'ai rien fait de mal"

Illyana : "Quoi donc?!" *encore sous l'effet de la colère*

Eldandil : "Eh bien, je découvre de nouveau aspects de ta personnalite que je ne m'attendais pas de ta part comme de penser a toi avant de penser aux autres..."

Un instant de silence durant lequel le temps sembla figé eu lieu

Illyana : "Attends, je n'ai pas dit que tu as mal fait... j'ai dit que tu avais manqué d'egards envers moi" *visiblement plus calme*

Eldandil : "c'est que... je... n'ai jamais fait autre chose que de combattre durant ces 200 années de ma vie. Et tout d'un coup tu est là, tu me dit que tu m'aime.... moi, je... j'ai du mal...c'est difficile pour moi il faut me comprendre. *s'interromp un instant* . Je t'aime ! Visiblement ravie d'apprendre la nouvelle, et qui oublie a présent tout ce qui est arrivé.

Cet amour qui s'en est trouve renforce par l'epreuve se finit par de longues série de baisers. de longs moment où Illyana dans les Bras de Eldandill qui serrai fermement en prenant gare a en aucun cas étouffer sa compagne, durant lesquels les deux amants souhaitaient rester ainsi éternellement en se sucurant l'un a l'autre des mots doux. Quelques temps plus tard sous la demande répétée de Eldandil les cours de danses eurent lieu pour la première fois...
[modifier] La Naissance a venir

apres deux longues journées passées ainsi entre la danse et..., nos deux elfes épuisés finirent par aller se coucher, Eldandil la raccompagna pour être certain qu'aucun prétendant ne puisse l'approcher, et Illyana ravie de cette attention se laissa raccompagner

Puis après de nombreuses rencontre, la relation devenant plus sérieuse, la demoiselle fut mise en ceinte. un enfant était donc a venir

Revenant a la réalité, il vint le moment de choisir un nom... Illyana : "Hum..." *se gratte la gorge et se blottit contre lui*

Eldandil : "Oui ? quoi donc ?"

Illyana : "Eh, bien il serait peut être bien de choisir un nom pour cet enfant... Qu'en penses tu ?"

Eldandil : *perdu dans ses pensées* "Oui... tu as raison"

Illyana : "quelque chose ne va pas ?"

Eldandil : *hésitant* "hum... plus ou moins mais laissons ca en suspend"

Illyana : "Bien..."

Illyana lui propose de nombreux noms et remarque qu'il est perturbé

Illyana : "Qu'en penses-tu ?"

Eldandil : "Le nom n'est pas si important pour moi... le pus important c'est que ce soit notre fils" *sourit*

Illyana : *hésitante* "Que penses-tu de Eáránë ? si c'est une fille, si c'est un garcon je te laisserais choisir, tu as dû beaucoup en voir sur le champ de bataille..."

Eldandil : "J'aime bien..." *la voix de perd un peu dans le vide*

Quelques temps plus tard.

Illyana saute dans les bras de son cher et tendre Illyana : "Comme tu m'a manquée, chaque instant loin de toi est comme un tour sans fin que rien ne saurait combler"

Eldandil : *ravi* "Toi aussi tu m'a manqué... Pourtant..."

Illyana : *inquiete* "Pourtant ?"

Eldandil : "h bien, j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, tu te souvient lorsque je t'ai dit que je risquais d'être appelé pour diverses mission ?"

Illyana : *comprend l'allusion* "Oui... mais comment dire... je ne ... pensais pas que..." *boulversée*

Eldandil : "Crois moi, je suis aussi terriblement boulversé... mais je n'ai guère le choix"

Illyana : "Et puis tu aime venir en aide aux gens..." *triste*

Illyana : *apres un long silence* "Et tu penses revenir bientot ?"

Eldandil : "Je ne sais pas, il s'agit de quelque chose qui risque de durer... a moins que..." *baisse la tete*

Illyana : "A moins que ?" *perplexe*

Eldandil : *un silence s'intalle comme si sur ses levres se portait le poid du monde* "A moins que je.... *ne dit pas le mot* en mission"

Illyana en pleurs, se bottit toujours de plus en plus fort contre lui Illyana: "Non, ca n'est pas possible, je ne suis rien sans toi..." *pleure de plus belle*

Après un adieu difficile, et le soutient des ses amies Ollinwen, Aria, Feawen, Taria et Miaelle elle finit par rentrer chez elle, pour aller se coucher espérant qu'il ne s'agirait que d'un mauvais, rêve et que tout serait différent a son réveil. Il n'en fut rien, et a mesure que le temps passait un vide l'envahissait, tandis qu'a contrario son ventre gonflait. L'apparition des nausées n'arrangeat en rien son état... peu a peu le temps passait et l'aide apportée permis de faire cicatriser l'absence d'Eldandil

Le moment de la naissance approchait à grand pas, et Illyana décida de connaitre le sexe de l'enfant, et appris qu'Ollinwen savais y faire... La nouvelle tombat, il s'agissait d'une fille qui se nommerait Ëaräne.

Le temps était venu d'accoucher, un accouchement avec plus ou moins d'urgence... les conctraction commencaient alors que la ville etait trop loin pour etre transportee... l'accouchement allait donc se faire sur place. Apres un rude accouchement, Illyana, désemparée se demandait commment élever sa ravissante fille... Rien n'y ferais l'absence d'un père allais etre genant,et risquerais de la perturber toute sa vie. Grace au soutient de Gaelwyn, l'aide de camp mandaté par Aria, Illyana pu obtenir le soutien d'un personne de confiance... sur laquelle elle compta de plus en plus

Gaelwyn : *joue avec la petite*

Illyana : *attendrie, reste a l'ecart pour les observer*

Gaelwyn : *titille Ëaräne, et lui fait des gouzis gouzis* "ou qu'elle est mignonne" la petite rit de bon coeur

Illyana : *se gratte legerement la gorge* "hum, je suis ravie de te savoir si implique, mais je ne voudrait pas te forcer a t'en occuper" *genee*

Gaelwyn : "oh, je fait ca avec grand plaisir, ah vrai dire je doit t'avouer, que je me plais beaucoup en companie de 2 si charmantes elfes..." Illyana rougitGaelwyn : "D'ailleurs ..." *voix hésitante* "je me suis demande si tu accepterais que ... enfin que nous passions plus de temps ensemble..."

Illyana : "comment ca ?"

Gaelwyn visiblement gene essaie de lui declarer son amour... il reflechit, mais se dit que ce n'est peut etre pas le moment

Illyana : "Dois-je comprendre que... ?"

Gaelwyn : "Oui, je ... je crois que je t'aime"

Illyana : *un peu deconcertee* "Oh ... je ne savais pas... c'est a dire que c'est si soudain... enfin je veut dire, ne crois pas que ..." *s'embrouille toute seule, se secoue la tete* "Je t'aime moi aussi"

s'ensuit de longues discussions... un amour entre ces deux etres que rien ne saurait tarrir
[modifier] La rencontre d'un etrange animal

Illyana lors d'une de ces nombreuses ballades, se trouva dans la vallee enchantee... et fit une etrange rencontre... un étrange animal, ressemblant a un chat, il n'en avais cependant pas tout les traits... Elle lui rendit visite chaque jour l'observant jour apres jour... ses manieres, son alimentation... mais sans jamais intervenir. Cet adorable animal approchat jour apres jour un peu moins intimidé par une presence. Jusqu'au jour ou celui-ci fit le premier pas et vint se frotter à la grande pretresse.

Illyana : *approche lentement sa main vers "le chat"* le chat ne bouge pas et se laisse caresser. Illyana ravie continue a s'occuper du chat. visites apres visites, une confiance s'intalla entre eux

Illyana : "il faut que je te trouve un nom... que dirais-tu de "Mew" ?" *d'une voix tremblante*

* le chat fit mine d'aquiescer*

Illyana : " j'ai l'impression que tu comprends ce que je dit" *le chat hoche la tete, puis saute sur Illy* Illyana : *tombe au sol* "oh, en effet je crois que tu me comprend"

* le chat hoche toujours la tete, et Illyana sans s'en rendre compte fait de meme*

apres de longues visites, "mew" vint a la cite elfe, pour etre presente a Gaelwyn...

Ilmrizzen
Un article de Le RP d'Oreline.
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[modifier] Fiche de personnage

Nom: /

Prénom: Ilmrizzen

Race: Humain

Age: La vingtaine

Religion: Aucune actuellement

Clan: Aucun

Classe: Fighter/Rogue

Déscription rapide: Grand et brun, un peu musclé mais sans plus, Ilmrizzen sourit constament et voit toujours le côté positif des choses. Franc, il ne mesure que rarement les portées de ses paroles ou actes. Il aime à se ballader masqué, plus pour le côté drôle et mystérieux de la chose, que pour une raison valable. Ilmrizzen est en fait un enfant qui n'a pas grandit :D
[modifier] Un passé paisible(BG)

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Ilmrizzen a eut une enfance des plus calmes qu'il soit. Il a vécu au sein d'une famille de riches fermiers. Dernier né, il était le plus gaté. Mêmes ses deux grands frères et sa soeur le choyaient plus que de mesure. Dès qu'il sut marché, il trouva très drôle de s'aventurer hors de la maison, et de faire peur à sa famille. Mais il n'a jamais dépasser, durant toute son enfance, le seuil du domaine famillial. Il ne devait pas savoir à quoi ressemblait le monde, car sa famille le protégeait encore et toujours. Mais comme le domaine était grand, et qu'il avait tousl es jouets qu'il désirait, son envie d'aventure était vite mis de côté. Mais une fois ses dix ans passés, il remarqua que le reste de la famille, ne restait pas constamment sur le domaine. Et les conversations le soir traitaient de sujet inconnu, venant de l'extérieur. Dès lors, son intéret pour l'aventure reprit le devant de la scène. Il passait ses journées à observer les allez-et-venues, tentant de trouver un moyen de sortir. Cette occasion lui fut donné un soir d'été. Ses parents étaient à l'intérieur, et il jouait seul, sous le regard bienveillant de sa soeur. A un moment, le père l'appela, et en bonne fille, elle alla le voir. Ilmrizzen sauta sur l'occasion et partit en courant vers la sortie. Il riait de bon coeur, et continue de courir sur la route. Il avait alors 17 ans, mais pensait toujours comme un enfant. En fait, cela faisait des années qu'il n'avait pas grandit mentalement, et c'était pour cela qu'on le protégeait et le gardait. Mais il n'en savait rien, et continuait de courire en riant dans ce monde inconnu et merveilleux.

Jin
Un article de Le RP d'Oreline.
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Sommaire
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* 1 Description
* 2 Chroniques
o 2.1 L'exode
o 2.2 Les premiers pas sur Aden
o 2.3 Le premier contract
o 2.4 Traqué à nouveau
o 2.5 La voix du Warlock

[modifier] Description

Jeune homme de 29 ans don les capacités magiques ne sont plus à démontrer. Il aime tous ce qui est rond, petit, en or et nombreux ainsi des les demoiselles encore dans le fleure de l’age

Sa chevelure a de léger reflet émeraude hérité de son apprentissage à la magie et ses yeux sont d’un marron intense
[modifier] Chroniques
[modifier] L'exode

Bien que généralement ce genre d’histoire commence lors de l’enfance de la personne en question, ici ce n’est pas le cas


A l’age de 16 ans, dans un lointain royaume de l’ouest du nom de Fyrtal, un jeune homme sans soucis apparent, vivant de menu services qu’il rendait à ses voisins, décidât sur un coup de tête, dit-on d’entrer dans l’armée de son pays.


Après les quelques testes et autres examens que lui firent passer les sergents-recruteur, On lui trouvât un talent non négligeable au maniement de l’épée, mais celui-ci était totalement éclipsé par sa remarquable affinité avec la magie . Ces talents étaient si remarquables que, chose rare, on lui laissât le choix de son affectation

* Mage de bataille
* Soigneur
* Officier de formation pour jeune mage


Tous crurent qu’il choisirait la dernière, en effet rien n’était plus sure et pour quelqu’un qui ne prenait rien au sérieux, à ce que l’on disait, c’était un choix logique.


Beaucoup lui demandèrent le pourquoi d’un tel choix et à tous ils leurs répondirent : Pour l’argent pardi ! Tu vois un soigneur ou un officier de formation toucher une part des butin de guerre ? Ce que j’aime bien dans cette armée c’est qu’il est répartie entre les soldats en fonction de leur efficacité sur le champs de bataille.

Comme d’habitude tous le crurent fou car malgré cela il vivait dans le pauvreté.


Très vite son habileté et son efficacité lui valurent une solide réputation et il fut muté dans la garde prétorienne de l’empreure. Mais cette garde n’avait de garde que le nom, sont réelle but était de détruire tous ce qui pouvait porter atteint au royaume. La plus part du temps, ses missions furent des assassinat de leader de faction opposante et l’escorte de personnages important et cela lui rapporté gros… mais toujours il vivait dans la pauvreté.


Puis vint le Jour ou Hasnar SANGTURN Tentât un coup d’état, celui-ci était bien préparé…. Mais la garde l’était encore mieux et l’opération échouât.


En ce temps là Jin avait 18 ans, Suite à la tentative de coup d’état, l’empereur décrétât que toutes personnes ayant eu un contacte avec Hasnar devrait périre pour personne n’essaie jamais de perpétrer cet acte de nouveau.


Jin, faisant parti de l’in des détachement a qui l’on avait confier cette tache fit route vers l’est du royaume, là ou le fils d’Hasnar avait trouvé refuge, dans un orphelinat…


Tous vous diront que durant ce voyage il paraissait étrange et préoccupé mais personne n’eu cru qu’il trahirait . Durant l’assaut, les commandant du peloton ordonnât la destruction de l’orphelinat et de tous les pensionnaires. Jin S’interposât entre les soldat et les orphelins et grâce au ceil, les soldat sachant qu’un combat contre lui certes se terminerait par la mort du mage mais que eux aussi n’en sortirait pas indemne. Finalement le peloton se pliat au souhait du mage et ne tuât que le fils d’Hasnar. De retour à la bas, Jin fût accusé de trahison et condamné a l’exile.

Il parti vers l’est et entrepris un long voyage jusqu’à ce que, à l’age de 19 ans, il arrivât dans un pays ou nul n’avait jamais entendu parler de lui et à la situation politique complexe…. Un royaume du nom d’ADEN.


[modifier] Les premiers pas sur Aden

Se réveillant d’une petit sieste bien mérité a bord de sa petite barque Jin remarquât d’abord la terre qui se profilé a l’horizon, puis la petite île sur se trouvant à quelques encablures de là… Son attention fut vite attiré par un bruit venant de la barque, il regardât pour découvrir Kir, son corbeau, en train de picorer l’enduit d’étanchéité de la barque

Jin : KIR ! STOP !

En entendant le crie, le corbeau se redressa brusquement avec ce qui restait d’enduit au bout de son bec!

Jin grimaçant : Trop tard !

La barque commençât à s’enfoncer dans l’eau. N’ayant plus le choix, Jin mit le cap vers la petite île et s’échouât sur ces cotes !

Jin : Espèce de Crétin pourquoi tu…

Soudain un crie de jeune fille apeuré retentit suivit de celui d’un ours

Se précipitant vers la source de ces bruits Jin se trouvât vite devant le spectacle qu’il craignait un jeune fille essayant de fuir un ours .

Jin courut et j’interposât entre la belle et la bête



Jin : Ne vous inquiétez pas mademoiselle, vous êtes en sécurité maintenant !


Après avoir prononcer ces mot , Jin commençât une incantation qui eu pour effet de griller l’ours sur place !


Jeune fille : Merci messire ! Comment pourrais-je vous remercier ?

Jin : Et bien…. Mes finances ne sont pas fameuses, si vous pourriez me prêter un peu d’argent ? je vous en serais éternellement reconnaissant.

Jeune fille : Je n’ai aucun argent sur moi désolée !


La jeune fille parti en courrant


Jin à son corbeau : La prochaine fois, fais moi penser a demander de l’argent avant de sauver les gens ! Au moins nous avons de quoi diner, j'en avais marre du poisson!
[modifier] Le premier contract

A venir
[modifier] Traqué à nouveau

A venir
[modifier] La voix du Warlock

Kay : Maître ? Pourquoi je suis moins fort que Kylvan ?

Jin : C’est parque le maître de Kylvain est plus fort que moi

Kay : Mais vous êtes plus fort que lui ! Vous gagnez toujours les combats a l’entraînement !

Jin : Mais je ne suis pas un warlock !

Kay : Mais vous êtes un archi-mage ! Le plus puissant de tous les magiciens !


Jin se mis à sourire et passant des doigts dans la fourrure qui recouvrait la tête de Kay, répondit ainsi :


Jin : Vouloir comparer un archi-mage à un Warlock , c’est comme se demander ce qui est l plus coloré entre le jaune et le bleu !


Kay su tue quelque seconde pour réfléchire…


Kay : Bleu !

Jin : Plait-il ?

Kay : Le bleu est plus coloré que le jaune !


Jin ne put s’empêcher de rire puis se levât


Jin : Soit ! Allons te rendre plus puissant


Quittant les champs verdoyant de l’île des bardes, Jin se dirigeât vers Aden pour y compulser les grimoire d’invocateur se trouvant dans la bibliothèque

Kahess

[modifier] BACKGROUND

Kahess vient d'un village, voir un hameau désertique d'un point de vue citadin, se situant dans une plaine non loin des côtes, toujours fertile et verdoyante une fois que l'hiver s'est retiré avec son long manteau blanc ; la structure la plus impressionante du village est l'unique entrepot de son minuscule port de pêche...oui cette bourgade est bien petite, et le nombre d'enfant d'une même tranche d'age plus petit encore ce qui explique les uniques amitiés de Kahess : Melgib, un enfant fragile, souvent malade (et surnommé "santé d'verre" par ses amis...) et Stoïk,ils étaient de deux ans ses ainés.

Il grandit dans la grosse famille d'exploitants agricole des lieux et ne manqua de rien ; dés ses 8 ans son père fit venir de la ville un précepteur, un homme plus vieux que mûre, mais qui, dans la force de l'âge, devait être le plus puissant des guerriers...du moins c'est ce qu'imaginait Kahess lorsqu'il le vit pour la première fois. Cet instructeur venu seul à cheval de la ville se nommait Alvarius, aujourd'hui instructeur car une arthrite sèche généralisée la fait prendre sa retraite de paladin d'Einhasaad, mais lorsque le vieil homme divulgua ce secret moins de 6 mois après son arrivée, il du céder a l'harcèlement du gamin et lui raconta nombres d'histoires de batailles passées, les nobles raisons qui avait poussé son coeur, à l'époque encore jeune, à entrer au service d'Einhasaad et de la Vie.

Kahess allait recevoir une double formation pendant de longues années, l'apprentissage intellectuel n'était pas ce qui le passionait le plus, mais il devait accomplir son travail, en échange de quoi Alvarius lui racontait d'autres histoires, au début, car ensuite il apprit à monter à cheval pour ses 10 ans, et reçut, en secret de ses parents, sa première épée à l'age de 12 ans ainsi que les leçon allant avec.

Kahess grandit donc dans la magie des belles et glorieuses histoires, des grands mots pleins de promesses et de valeurs, mais il ne devint pas une simple copie d'Alvarius, il était différent à bien des égards et ne voyait pas la lumière dans l'ordre absolu ni lautorité sans faille, il la voyait par contre dans la protection des faibles, des démunis, et c'est à travers les récits de l'ancien paladin qu'il découvrit toute la nécéssité à ce que certains portent l'épée toute leur vie afin de protéger ceux qui travaillent durement la terre et permettent la survie de tous. Et si, pour Kahess, protéger les faibles ne peut se faire sans donner son allégeance à une puissance, alors il donnera sa parole à un pouvoir qui oeuvre pour cette protection et n'hésitera pas à la reprendre si ce pouvoir s'écarte de ce qu'il pense être "le Noble Sentier".

Quelques mois après sa 15 ème année, soit l'année du départ de Melgib et Stoik quelques semaines après, le père de Kahess découvrit ce dernier épée a la main sentrainant avec Alvarius, il piqua une colère terrible, celle dans laquelle entre les êtres qui ont trop l'habitude que tout ce passe comme ils souhaitent quand ce n'est pas le cas. Alvarius fut congédié le soir même et partit. En silence, sans un mot pour ses parents et sans bien y réfléchir, Kahess s'échappa de la demeure familiale et rattrapa Alvarius quelques heures après.

Content d'avoir un nouveau disciple,plus qu'imprévu qui plus est, l'ancien paladin reprit sa vie d'errance accompagné du jeune homme, ils traversèrent le royaume humain d'Aden mais également les "terres sans maitres" comme Alvarius appelle les territoires neutres qu'aucun des royaumes n'a souhaité revendiquer. En compagnie de son maitre encore puissant malgrés son age, Kahess sauva de nombreuses vies et en ota, pour ce faire, beaucoup plus, bien que, dans son esprit, ils n'etaient que pillards organisés, orcs cannibals ou quelques abominations monstreuses échappées à n'en pas douter d'un portail infernal tant elles sont horribles. Au cours de ses jeunes années, Kahess gouta a l'idéal des nobles vertues,mais il découvrit que le meurtre reste le meurtre,que le feu peut se combattre par le feu, et par conséquent que si les armes du "mal", du chaos, peuvent etre retournées contre ce dernier alors elles doivent être utilisées pour la gloire de l'Ordre.

Un matin Kahess se reveille a l'aube pour retrouver Alvarius mort dans son sommeil,souriant et en paix, il a maintenant 20 ans et commence pour lui une errance solitaire, particulièrement eprouvante, mais tout aussi pleine de surprises. Kahess parcourt donc le royaume d'Aden en long,en large et en travers,tantot combattant tantot semant des poursuivants particulièrement puissant, après de nombreuses années il rencontre un guerrier du nom d'Odeb, un guerrier tres haineux des peaux vertes, ils firent route ensemble. Il a, au cours de son périple initiatique, entendu parler d'un certain Melgib,peut-être celui de son enfance, mais prince d'Aden ? A ce jour, il n'a que doutes et suppositions.


= Mémoires du Chevalier Kahess = par Julia La Douce.


[modifier] Préface

Aujourd'hui je commence les mémoires ce ce jeune paladin, Kahess, je ne pensais pas qu'un jour un homme me pairait pour l'écouter et tenir pour lui un petit journal, d'habitude ils paient, mais pour un service disons plus...commun. Mais quelque chose en lui m'a forcé à accepter, et ne le cachons pas, l'écriture est une passion, et pour la première fois dans toute ma misérable existence de fille de joie, je me sens utile, investis d'une mission depuis cette étrange nuit ou je l'ai vu pour la première fois passer le seuil de ma chambre de travail.

Je me nomme Julia, surnommée "la douce", parmis les habitués de l'établissement des "Mille et une Filles", et lorsqu'il est venu me trouver j'ai commencé par refuser pretextant que je n'offrai qu'un seul type de service : il a sourit, et m'a fait l'amour, mais pas comme à une catin, non, il m'a fait l'amour comme à une femme, et c'est pour cela que j'ai finalement accepté d'écrire pour lui ses mémoires, de l'écouter parler en l'étreignant.

Et ils vint me voir souvent, chaque fois qu'il eut besoin de soulager son coeur, et partager les tourments de son esprit. Sa présence me faisait du bien également, je ne me sentais pas un vulgaire objet sexuel dans ses bras ni dans son regard, comme si mon statut de putain ne lui importait pas, qu'il ne le voyait même pas...pour cet homme, j'écrirai, que mon travail puisse rendre compte du coeur de ce jeune paladin, de sa force, de ses convictions, et sa vie dédiée à la protection des plus faibles.


[modifier] Arrivée à Aden, capitale humaine

...Ce qui amena Kahess a la capitale ? un Demon, dont le seul nom, Exos, suffit à faire frissonner tous ceux qui l'ont deja aperçu. Ce démon a d'abord attaquer la cité naine de Giran, Kahess rejoint les rangs des combattants et tentent de contenir l'attaque mais plusieurs fois il tombe sous la force des êtres démoniaques et n'est sauvé que par l'intervention des guerisseurs présents parmi les défenseurs. Finalement le démon se retire de Giran et fonce avec le reste de ses troupes abyssales sur la capitale humaine : Kahess poursuit le démon avec les autres, mais dans son esprit ne résonne qu'un mot : "entrainement", car le jeune chevalier veut de sa vie un bouclier pour celle des autres, et ce démon lui fait prendre conscience de sa vulnérabilité et surtout de son grand manque d'expérience, manque qu'il tentera de combler par la suite, jour après jour, entrainement après entrainement, chasse après chasse...

C'est après cette bataille que Kahess retrouva Melgib, que ce dernier l'invita à son Mariage prochain, et, c'est le soir de cette bataille difficile, que Kahess est venu me trouver pour la première fois...


[modifier] Mariage et Couronnement

...Cette nuit, Kahess m'a parlé du mariage royal, j'étais heureuse d'en avoir la description par une personne qui avait eu la chance d'y être présente, en tant que témoin qui plus est, il n'avait pas menti lorsqu'il m'a dit que le souverain et lui était amis d'enfance...

La cérémonie aurait connu quelques troubles, les elfes ont été fortement dérangés par la présence des Sombres et des Orcs, et la fille de la Paladine et Reine déchue Naia, prénommée Celen, a fait scandale dans l'enceinte même du Temple d'Einhasaad...mais Kahess ne parait pas en leur en vouloir, "son père n'a-t-il pas été tué par des Sombres ?" m'a-t-il dit, et "les elfes n'ont ils pas souffert des Orcs et Sombres par le passé ?", quelqu'un de compréhensif ce chevalier, malgrés l'image que l'on se fait habituellement de ces Chevaliers de l'Ordre obtus, à la justice aveugle. En dehors de ça, Kahess semblait heureux, heureux d'avoir retrouver cet ancien ami, et également heureux de pouvoir entrer à son service ; car le même jour il préta à Melgib, qui allait bientot être couronné Roi, serment de le servir, le soutenir et l'aider dans cette tache ardue qu'est Diriger, il s'était mis à son service, car il savait son ami motivé par de nobles aspirations, Melgib était bon et pouvait faire un bon souverain, et s'il avait choisi Gina, c'est qu'elle devait être d'une grande noblesse et bonté elle aussi...

...C'était un grand jour pour le royaume humain et un jour de fête pour la capitale Aden : le couronnement des nouveaux souverains, la ceremonie somptueuse, et les souverains Elfe et Nain posant les couronnes sur la tête des nouveaux dirigeants humains...Mais ce n'est pas par ça que Kahess commença son recit la nuit ou il est passé.

Le couronnement avait été interrompu par Exos, encore ce démon faisant planer son ombre menaçante sur toutes les terres connus, les troupes humaines le retinrent quelques temps à la Tour de l'Insolence mais en vain, les legions démoniaques posèrent le pied à Aden, le couronnement tourna court et s'improvisa en conseil de guerre, les lames brillaient, le sang allait couler. Et tout aurait été perdu, si le roi, dans un excés de rage innouie, n'avait pas occis l'avatar du démon, le poussant à la retraite.

Kahess nota un comportement qui lui avait déplu de la part de nos alliés elfes : avant de penser aux civiles, aux innocents massacrés, ils n'avaient fait, dans un premier temps, que se plaindre du manque de sécurité de leur Reine, un comportement peu digne face à un danger si imprévisible qu'Exos et au sang qu'il faisait coulé pendant ce temps à l'extérieur des murs du chateau...


[modifier] Chevalier du Roi

...Kahess est devenu chevalier du roi, de la garde rapprochée du souverain. Il se montre fier de cette responsabilité qu'on lui offre, et semble prendre très à coeur ses nouvelles attributions, le crime sera certainement en baisse ces temps ci dans les grandes villes du royaume maintenant que ce jeune paladin se voit posséder des pouvoirs officiels.

Il m'a également parlé de l'armée Blanche cette nuit, de cette tentative d'assassinat qu'il avait pu éviter de justesse en donnant les premiers soins à la Reine Gina et la jeune demoiselle Illis, à la Tour de l'Insolence ; il était hélas arrivé trop tard pour intervenir dans le combat qui les avait laissé dans cet état, et s'en voulait pour cela.

Il me raconta plus tard que cette tentative de régicide avait donné naissance à une trève négociée par le Roi Melgib en personne, au nom de la paix et de la fin des pillages de l'armée blanche...hélas cette paix fragile fut aussitôt brisée par la Reine quelques jours après, et la traque aux hommes de l'armée blanche lancée. A ce sujet, Kahess démasqua un espion qui avait tenté de se faufiler dans le palais d'Aden, Draen il s'appelait, ce dernier préta le serment de quitter l'armée blanche et de s'exiler lorsque, face au roi Melgib, il découvrit son immense vulnérabilité...

Mais la fin de la trève n'était pas vraiment du gout de Kahess, il me disait que les peuples avaient plus urgent à faire que s'entretuer, qu'Exos allait revenir bien plus fort si l'on n'y prenait garde ; mais surtout qu'une guerre interne au royaume humain causerait beaucoup de morts, des innocents allaient être tués, des fermes pillées...et, selon lui, les Monarques humains s'étaient décrédibilisés aux yeux des autres peuples en instaurant une trève qu'ils brisèrent eux-mêmes...mais alors je lui ai demander pourquoi il continuait à les servir ? il me répondit qu'il voulait garder foi en eux, que les débuts d'un règne doivent etre difficile, et que quelqu'erreurs minimes peuvent être permises vis à vis d'une force ennemi considérée comme dissidente et non en égale...


[modifier] Le Tournoi

...Voila un évènement auquel j'aurai voulu assister, mais Kahess m'a assuré que je n'avais rien raté à son sujet, il s'était fait battre dés le premier tour par l'ancienne Reine paladine, et bien que son combat fut l'un des plus longs, il n'avait eu aucun de doute quant à l'issue du duel. Il avait vu la bas de puissants guerriers et d'autres moins, mais tous les combats furent source d'interets à ses yeux, à l'écouter il n'a pas perdu, il a participé et appris, comment peut on avoir perdu lorsque l'on apprend ? Une chose est sûre, il accorde très peu, voir aucune, importance à la réputation ni une quelconque gloire, pourtant il est fier, mais ce n'est pas de l'orgueil, c'est une fierté pleine d'humilité.

C'est à la fin de ce tournoi, que Naia, Paladine, accepta Kahess comme apprenti afin de terminer sa formation laissée incomplête par son ancien Maitre, mort trop tôt. Il en est ravi, et s'impatiente des premiers moments qu'il va passer à suivre son enseignement, car il a hate d'être enfin attitré Paladin : pour lui cela sonne comme un accomplissement et un hommage au Paladin Alvarius, son défunt maitre.

Mais lors de ce tournoi, il vit la personne d'Alliscus, ce monarque lache et irresponsable qui a fuit le trone sans désigner d'hériter et laissé le pays 10 années dans le chaos gouvernemental pendant qu'il coulait une retraite paisible et opulente...les humains choisissent mal leur souverain selon Kahess, et celui ci en est l'exemple le plus criant, il avait pu ressentir toute l'arrogance, infondée, de cet homme rien qu'à l'entendre parler, l'avait vu se pavaner simulant une importance qu'il n'avait pas, mais si encore il ne s'agissait que de cela... Il l'avait entendu parler a l'un des légionnaires, Chris, après le tournoi, lui parler en des termes plus qu'endoctrineurs : manipulateurs et comploteurs...une grande Aden ? la grandeur du royaume par la crainte qu'il devrait inspirer ? rallier l'armée autour de la Reine ? Kahess ne comprit pas l'interet pour la légion, Chris ou Alliscus, d'écarter le Roi du pouvoir, mais il décida de ne pas s'inquieter outre mesure comme le lui conseilla le Roi, la Reine l'avait épousé et devait donc aimer Melgib aprés tout, sinon il n'aurait pas choisi de la suivre et lier a jamais son existence à la sienne...


[modifier] Exil du Roi et fin de service

...L'exil dans lequel s'est enfermé son ami, et Roi d'Aden, n'est pas étranger à cette demission, après tout il avait prété serment de soutenir son ami dans sa lourde tache, mais ce dernier a abandonné ses responsabilités et ne semblent pas pret à les réendosser, alors il est délié de son serment d'une certaine manière, non ? Mais je lui ai demandé "et le royaume ?" il m'a alors répondu que son serment de défendre les plus faibles, de proteger le peuple de ce royaume, datait bien avant son entrée en fonction et n'est pas sorti brisé lorsqu'il a quitter l'armée. "et la Reine ?" lui ai-je demander, et là encore il m'a convaincu, car il m'avait parlé de cette Reine décrite par son ami amoureux, notre Roi ou plutot notre ancien roi ?, mais la Reine qu'il m'a décrit ce soir semblait très éloignée de la première. Selon Kahess, la Reine ne parait pas stable, voir même complêtement versatile, par exemple : une trève est signée, elle est ensuite baffouée deux jours après, quel genre de souverain revient sur sa parole aussi fourbement en si peu de temps ? Cette trève, pourtant idéale pour un peuple venant de souffrir des attaques d'Exos, aussi futilement établie et balayée. Mais apparemment ce n'était la qu'un reproche qu'il faisait à son Altesse Gina, car Kahess la soupçonnait de bien pire et ce à cause d'une discussion qu'il a surpris entre Alliscus, l'ancien roi, et Chris, un officier de la legion proche de Gina. kahess avait soupçonner un complot pour destituer le roi, n'avait-il pas entendu Alliscus dire à Chris "...rallie les autour de la Reine et aide les à réaliser ce rève fou de la Grande Aden..." ? et la Reine, n'a-t-elle pas trouver le moyen de se débarasser de Melgib ? en se servant des sentiments profonds et véritables que ce dernier avait pour elle, en mettant en doute sa loyauté, son amour même, le rejetant en tant qu'époux ? enfin, en utilisant les mots adequats pour que son ami se trouve anéantis et laisse à Gina les rennes du pouvoir ?

Biensur, Kahess n'avait pas voulu croire à ce complot ou plutot savant calcul, jusqu'à ce que Melgib lui raconte sa derniere discussion avec Gina, il semblait terriblement deprimé, assis sur les marches du chateau de Gludio. Le chevalier était parti annoncer à la Reine qu'il quittait l'armée, mais qu'il resterait présent pour défendre le royaume si les autorités faisaient appel aux personnes du peuple sachant se battre pour soutenir l'armée. Elle lui avait donné sa bénédiction, ce qui n'etonna pas Kahess qui ne pensait pas qu'elle veuille garder un proche de Melgib dans son armée de toute façon. Il avait également parlé à la Reine de l'état de Melgib, de son erreur de jugement sur la loyauté de ce dernier, mais sa Majesté Gina est demeurée silencieuse, n'a pas montré la moindre inquiétude en vérité, il ne semble pas à Kahess qu'il lui manque ; ce qui l'a conforté dans son impression que notre Souveraine a calculé sa prise de pouvoir et que meme ce mariage n'était qu'un leurre auquel seul Melgib a cru...

Et pour toutes ces raisons Kahess a préféré quitter définitivement l'armée, ainsi que la Garde de province, selon lui un tel souverain peut difficilement apporter Ordre, Justice, Paix et Harmonie... le calcule, la fourberie, ce sont là les qualités d'un souverain servant le Chaos, son interet, sa gloire, mais là encore Kahess ne veut pas se laisser dépasser par ses suppositions. C'est pour cette raison qu'il prend du recul, et va observer la suite des évènements, retournant à son occupation première : aider au quotidien le peuple des campagnes et petits villages...


[modifier] Kahess, paladin indépendant au service du royaume
[modifier] L'attaque du Village Nain

...Kahess était à Aden, lorsque soudain une naine, qu'il connait!, apparait à côté de la Magicienne de la capitale, épuisée, appeurée...La Reine est là, ainsi que certains de ses légionnaires et anciens compagnons d'armes de Kahess : Verite et Kadwallion ; la naine, Mishra, finit par nous dévoiler son message, une fois son souffle retrouvé : le village nain est attaqué par une armée de golem. C'est sans hésitation que le paladin suit sa Reine et ses troupes, ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il s'agit de la dernière fois ou il combat aux côtés de la Reine...

Le combat est rude, long, mais l'alliance des peuples parvient à repousser les attaques à la porte Sud, mais des tremblements successifs se font ressentir et des cris les ramènent en courrant vers le centre du village : remplis de golems plus gros, plus forts, mais qu'importe! Les peuples chargent, chacun à sa manière, et l'armée des golems est une nouvelle fois brisée, laissant les défenseurs bléssés et sentant la fatigue les prendre à la gorge telle la pire ennemie du guerrier sur le champ de bataille.

C'est ce moment que choisit un Golem immense pour intervenir, il semble rassembler ses troupes, d'autres tremblements ont lieux et d'autres golems arrivent...Kahess en vient à penser que chaque tremblements forment une faille par laquelle ces démons de pierre sortent. Ce golem géant est d'une puissance titanesque, combien il fit tomber de guerrier à ses pieds ? dont Vugnus, le Seigneur des Nains, et Kahess qui tomba à son tour en tentant de le soigner, sans savoir s'il y était parvenu...

A son réveil il était à Giran, et apparemment, aucunes blessures ouvertes graves n'étaient déclarées sur le corps du Maitre Nain, ses soins de secours avaient fonctionné, mais croire qu'ils avaient suffit aurait été de l'orgueil, même le pouvoir elfique n'y put rien, Sir Vugnus, Roi des Nain, avait sombré dans un sommeil profond...la main crispée sur sa hache, comme s'il s'y accrochait comme à la vie, comme s'il se battaient encore en ce moment même pour revenir parmi nous. C'est pour cette raison qu'il empêcha Sir Matthew de la lui retirer des mains, ce dernier approuva.

Mais cette terrible journée n'était pas terminée, un Sombre allait arriver au Temple de Giran, allait parler à Kahess de cette rumeur apportée par sir Matthew, allait confirmer ces dires portés par le vent par une description précise : le Sombre avait été présent, lorsqu'un ultime duel opposa le chef de l'armée blanche, selon les suppositions de Kahess, aux souverains d'Aden...


[modifier] La mort des souverains d'aden

...Quelle nouvelle! Mais quelle triste nouvelle...Nos Souverains, si récemment couronnés, morts, ou plutôt portés disparus, tous deux, à la suite d'un duel contre un dueliste à l'armure rouge selon les rumeurs, le chef de l'armée blanche selon Kahess...Un Kahess qui s'en veut de ne pas avoir été là évidemment, alors qu'il s'était fais le serment de le protéger, de ne pas perdre cet ami retrouvé depuis trop peu de temps.

Mais les choses sont ce qu'elles sont, la vie est faite de mort et de renouveau, et Kahess n'a pas la prétention de s'élever contre le Temps et son oeuvre, le passé restera dans son dos, ne reste que l'avenir, regarder le plus loin pour ne pas avoir l'envie de jeter un coup d'oeil par dessus son épaule...Il dit que le temps des souvenirs est le temps du repos, mais cette époque troublée ne lui permet pas cet excés de passivité...

Quelques jours passent et il recroise sir Matthew, ce dernier lui demande de l'accompagner, il désire monter une troupe de mercenaire pour ensuite parcourir le pays...Kahess lui a déclamé ses idéaux, ces principes selon lesquels il mènent sa vie, et lui a dit qu'il ne pourrait vivre autrement, Matthew lui a assuré qu'il ne souhaitait pas s'engager dans une autre voie que celle là et a finalement convaincu mon chevalier...quelle prétentieuse je fais de l'appeler ainsi...


[modifier] La fourberie des Sombres

...Aujourd'hui il est parti en expédition dans les catacombes d'Omen le Ténébreux, en plein territoire Sombres certe, mais n'ont-ils pas été invité sur les terres d'Aden à l'occasion du mariage des souverains ? En tous les cas, Kahess ne souhaite pas créer de tension ni provoquer une guerre, aussi se prépare-t-il à arborer la plus humble des politesses pour être sûr de ne pas froisser un Sombre s'il venait à en croiser un, après tout il ne connait pas leurs coutumes, dans ce cas mieux vaut se montrer prudent et maître de sa langue...

Dans les catacombes d'Omen, Kahess partit à la recherche du Mammon, ce mystérieux marchand choisissant toujours les endroits les plus lugubres pour établir son commerce, et finit par le découvrir...mais il n'en avait pas finit avec ses catacombes, l'appel du paladin se fit sentir ou plutot la présence du mal en ces lieux l'éveilla-t-elle. Hélas les être maléfiques hantant ces souterrains étaient puissants, et nombreux, après avoir occis un démon il dut battre en retraite, il fut rattraper une fois, bléssés grievement il parvint à se débarrasser un temps de ses adversaires et déambula à toute vitesse cherchant cette damnée sortie...en vain, il ne trouva qu'un tunnel étroit qu'il put emprunter à genoux, puis complêtement en rampant.

Il émergea dans une grande caverne, prés da la grande cité Elfes Noirs ; ses blessures pas tout à fait refermées, épuisé, il traversa la ville rapidement, l'épée au fourreau, dans le but de demander assistance à leur magicienne afin de rentrer en terre humaine, quitte à payer avec tous les adenas qu'il avait sur lui. Malheureusement il croisa le chemin de deux Sombres, certainement des Suivantes de Shillen, elles l'encerclèrent, armes au clair, lui demandant d'expliquer sa présence, lui assurant sa mort prochaine, il ne comprit pas : il était bléssé et n'arborait pas l'air d'un ennemi ni d'un espion, il tenta de se défendre, leur disant qu'il ne cherchait pas querelle, que leurs royaumes respectifs n'étaient pas en guerre...On lui répondit que si, que les Sombres sont en guerre avec tous les alliés des Elfes, et que mon chevalier pairait son imprudence de sa vie... C'est alors qu'arrive un visage connu de Kahess, un certain Folken, une connaissance de Melgib, un ami de l'ancien roi peut etre même...il plaida la cause de mon chevalier, essuyant même des insultes de la part de ces sombres dames, mais réussit apparemment à les convaincre. Elles l'invitèrent à le suivre vers la sortie à la surface et lui dire d'aller...lorsqu'il fut loin au dela meme d'une distance de fleche, il reçut de plein fouet une boule de feu dans son dos et fut propulsé vers l'avant...Il se releva rapidement et en appela à la protection d'Einhasaad, malheureusement la Sombre fourbe et lache n'a pas cessé ses incantations, plusieurs autres boules enflammées frappèrent Kahess, il se laissa tomber, c'était trop dur, l'ennemi trop fourbe était trop loin...Il entendit la Sombre clamer une derniere sentence, une dernière insulte, avant que le silence ne redevienne roi, et il sourit, quelle erreur de l'avoir laisser en vie... Ainsi les Sombres se considèrent en guerre ? qu'il en soit ainsi, il arretera chacun d'entre eux foulant le sol d'Aden, après tout leur présence est dangereuse pour les populations, mais il les reconduira loyalement, lui, parce qu'il ne se rabaissera pas au niveau des Sombres...rien d'autre qu'une bande de vers vivant sous terre et se croyants supérieurs qui ne mérite pas tant selon moi, bien que Kahess, lui, n'oublie pas Folken, ni cette Sombre a qui il a parlé à Giran après la bataille du Village Nain...


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La Reine en vie

La Reine a été retrouvée, Kahess m'a appris la nouvelle mais j'avais déjà entendu quelques rumeurs à ce sujet. Elle serait en convalescence, mais les prêtres ont bonne espoir sur son rétablissement.

Kahess semble en être content, mais il y a autre chose, je le vois dans son regard, et bien qu'il n'en dise rien il pense au roi Melgib, je le sais...et je crains qu'il ne parte dans une entreprise vaine.

Disparition puis retour du paladin Je ne l'ai pas vu depuis plus de deux semaines, sans un aurevoir, chose qui n'était jamais arrivée, je m'inquiète pour lui, alors qu'il n'est qu'un client, tu perds la tête Julia.

Il est finalement réapparut, l'air déçu, mais résigné et il m'expliqua...le fait que la Reine vive lui avait redonné espoir et malgrés les recherches infructeuses de la Légion envers le Roi, il partit lui même enquêter, essayer d'en apprendre plus au cas ou, de retrouver également la trace de son scribe, mais il ne parvint ni à l'un ni à l'autre, et avait, semble-t-il, fait son deuil sur le chemin du retour.


[modifier] Constance Sanslarmes

...Qui est cette personne ? sortie tout droit des anciens récits et vieilles légendes ? Kahess n'en sait pas plus que moi à ce sujet... Ce jour la il se trouvait au Village des Chasseurs en compagnie de la Reine Gina, et de légionnaires dont Sir Hywell, et quelques elfes qu'il avait déjà vu successivement au mariage puis au couronnement. Et là un être leur est apparut, prétendant venir pour tuer la Reine, à moins qu'une autre vie ne soit offerte, Hywell et Kahess se sont immédiatement porté volontaire, leur seul hésitation fut de savoir lequel d'entre eux allait se sacrifier, Kahess le faisait par devoir mais surtout pour Melgib,qu'il savait perdu si Gina devait mourir. Mais avant qu'ils prennent une décision, l'être disant se nommer Constance Sanslarme les arrêta, leur déclarant qu'il ne s'agissait que d'un test de leur loyauté en prévision des épreuves à venir. La Reine les remercia personnellement...

Lorsque Kahess la revit, en compagnie de la Reine, Sir Elthaim et deux inconnus, elle les somma de se battre contre elle, ce que Kahess finit par accepter à faire lorsqu'elle sousentendit qu'il devait la considérer comme une servante du chaos. Ils finirent avec beaucoup de mal, de blessures, à lui faire mordre la poussière, mais elle se releva instantanément, et mit Elthaim au sol. Kahess détourna alors son attention tandis que la Reine tirait Elthaim à l'écart du duel meurtrier... Puis Naia était arrivée, alors que le combat venait de prendre fin, l'ancien chevalier du roi réclamant des explications, il y eut un nouveau duel, cette fois entre Constance et son Maitre Paladin, qui prit se termina rapidement, Naia ne cherchant qu'à se défendre...

Et les explications finirent par arriver, Constance se déclara être la messagère d'Einhasaad en personne, afin de trouver chez les humains un Hérault, qui devra guider les siens de la meilleure manière qui soit...et contre toute attente, elle désigna Kahess, malgrés sa jeunesse, et sa formation inachevée, puis disparut, promettant au paladin errant une futur rencontre dans peu de temps...

Il ne m'en dit pas plus sur ses pensée, mais semble ce soir trop occupé à réfléchir pour quoique ce soir d'autre, il parait avoir pris de l'âge ces derniers temps...


[modifier] Un mystérieux vagabond et l'Histoire de Daphnée

Kahess a recontré un vagabond des plus étrange la veille, à Aden, et il m'a apparemment tout raconté, afin que moi aussi je puisse rendre hommage chaque nouveau jour se levant à cette Daphnée, qui a tant fait, dans l'ignorance de tous...

Le vagabond demanda un repas au chevalier, qui l'invita à l'auberge la plus proche du centre de la capitale, une bonne auberge aux serveuses amicales et charmantes ou il a l'habitude d'aller. En mangeant le vagabond lui raconta un étrange récit, celui d'une dame de la cour du roi Cadmus, une grande dame, donc l'impression qu'elle laissait était d'être de loin supérieur aux autres femmes, en tous points. Un soir cette dame, nommée Daphnée, fut averti d'une chose par un garde et elle quitta le chateau pour prendre la direction du cimetière ramassant un baton qui trainait sur sa route, laissé la à dessein d'après moi qui connait maintenant la suite de cette histoire qui devrait être apprise à chaque enfant de ce royaume.

Daphnée atteignit l'autre bout du cimetière, et la mort la frappa, son baton lui transperçant le coeur...et sa tombe ? un tapis de fleur face à deux colosses, tournant le dos à une construction et une porte, surmontée d'une grande sculture représentant la descente d'êtres ailés et armés.

En vérité cette porte est le passage des Purificateurs, qui descendent accomplir la justice divine, qui serait implacable et meurtière d'un point de vu humain. Et à l'origine les colosses de l'entrée, érigés sous le roi Cadmus, font face à la porte, pour défendre l'humanité et non, comme aujourd'hui, interdire l'accés à ce passage. Et le soir ou Daphnée est morte, ce soir là un garde lui a parlé, ce garde lui a dit que les portes risquaient de s'ouvrir, allaient s'ouvrir, ou alors il lui dit comment les condamner...a-t-elle réfléchis plus d'une seconde avant d'offrir sa vie pour l'Homme ? pour le protéger ? prendre sur elle tous ses péchés ? en tous les cas elle le fit, et ce sans la moindre reconnaissance, puisque personne n'a jamais su cette histoire... comment s'appelle le don de soi dans l'ignorance d'autrui ? lui a alors demandé le vagabond, il s'appellerait une daphnée dit-il à Kahess, qui approuva.

Puis le vagabond disparut, sous ses yeux, lui disant que le garde qui a averti Daphnée, n'était autre que lui, et il ajouta à Kahess qu'il devait choisir sa propre voie, sa propre cause.

Faits Divers

kath la necromancienne

Il y a quelques jours Kahess m'a raconté avoir vu une affiche de mise à prix pour la capture d'une nécromancienne, suivait son descriptif, elle avait aggressé un nain du nom de Jung, que le paladin avait rencontré lors du mariage du roi Melgib. Depuis, il a veillé plus qu'à l'accoutumé dans chaque cité du royaume et c'est à Aden que la rencontre se produisit, un chasseur de prime était là également, une jeune femme, Seliah. Une discussion s'établit, puis rapidement Seliah négocia avec la nécromancienne afin de lui soutirer de l'argent, en plus d'empocher la prime malgrés sa promesse...mais Kath refusa de se laisser ainsi emmener, aussi Kahess tenta de l'assomer d'un coup de bouclier derriere la tete, mais a ce moment le compagnon de la necromancienne, soit disant vieux et aveugle, se jeta sur le paladin, son capuchon tomba, il s'agissait d'un squelette réanimé, il fut rapidement anéantis, alors que sa créatrice tentait de se défendre face à Seliah, mais voyant son serviteur mourir, et comprenant sa défaite, elle choisit d'éviter la capture et se jeta sur les lames que pointait la guerrière mettant ainsi fin à sa sombre existance...Kahess refusa évidemment la prime, il n'avait fait que suivre ses idéaux et principes, il laissa donc la totalité à la jeune femme, plus interressée. Il eut d'ailleurs l'occasion de parler plus avant avec cette Seliah, elle lui apprit des nouvelles sur la fille de Naia, Celen, et elle désira, apparemment en vain, plus de mon Paladin qu'une quelconque récompense naine... Kahess m'a également parlé de la Nécromancie, à l'occasion de ce fait, m'expliquant comme cette magie pouvait corrompre facilement un coeur impur ou un esprit faible, il m'explique que cette magie peut etre à elle seule source de chaos et de troubles et que ses adeptes devraient être suveillés de prés. Il m'avoua connaitre un sort mineur de cette voie magique, que son maitre le lui avait appris afin qu'il sente la puissance de corruption, le pouvoir du chaos le plus destructeur...mais Kahess voit plus loin, il me dit convevoir que cette corruption n'est pas systématique, et que cette puissante magie peut être utilisée à bon escient et contre le chaos lui même, après tout dit-il on peut combattre le feu par le feu, et on combat le meurtre par le meurtre, ainsi le chaos lui aussi peut etre combattu par un chaos au service de l'Ordre.


luciferkira, l'ami de Melgib, son meurtrier...

Un soir, dans les environs de Dion, un homme etrange a interpellé Kahess par son prénom, afin de lui parler. Il parlèrent de Melgib, de Gina, de Constance Sanslarmes, et du royaume humain...certaines allusions, phrases à demi prononcées, mirent la puce à l'oreille du paladin : l'individu savait bien plus de choses qu'il n'y paraissait...et d'ailleurs, lorsqu'il se rendit compte que Kahess se méfiait, il lui remit une lettre soit disant pour Constance puis s'est envolé... La méfiance, et ses quelques doutes, eurent rapidement raison du sceau de la missive, qui contenait ces quelques mots : "Je suis Lucifer Kira" ... Maintenant le paladin pouvait mettre un visage sur ce nom...


Zakkarie, son éxécution.

Le suspect du meurtre sacrilège perpétré dans le Temple d'Einhasaad à Dion a été retrouvé après sa premiere et seule fuite, les faits rapportés et le résultat de l'enquête menée par sir Elthaim ne laissèrent pas de doute quant à la culpabilité de cet etrange mage aux chats. Kahess, pourtant étranger à l'armée, reçu la responsabilité de l'éxécution...le prisonnier refusa au dernier moment d'avouer totalement, il rejeta également tout regret quant à ses actes, et la hache qui s'abattit sur sa nuque eut une trajectoire ferme et parfaite, coupant net le fil de la vie.

Le soir même, un bûcher eut lieu sur la place de Dion, réunissant tous les habitants venus assister à l'immolation de l'assassin venu troubler leur paix.


Nouvelles tensions

Son Altesse est sans nouvelle de Draen, général de l'armée blanche récemment ralliée à la Légion, mais l'Ambassadrice Sombre Olorae s'est chargée de combler ce vide : ils détiennent Draen, prisonnier dans une geôle de Rune, et réclament une rançon, et d'après Kahess, ils l'ont capturé lorsqu'il s'est présenté à eux pour défaire l'ancienne alliance qu'avait avec eux l'armée blanche de Kira. Pour le paladin, il ne fait aucun doute que l'hostilité des Sombres cachent une préparation d'attaque, et qu'il faudra les prendre de vitesse pour éviter que les combats se déroulent dans nos campagnes...

Il m'a également parlé des rumeurs d'orcs prés du Village Elfe, mais ces derniers se seraient perdus à jamais dans la foret enchantée entourant la cité elfique. Toujours est-il qu'apparemment, les orcs aussi s'activent derrière leurs montagnes.


[modifier] Retour du roi, Debut de l'Intendance du paladin

Je n'en reviens toujours pas, et Kahess semble aussi supris que moi : Le roi Melgib est vivant, mais dans un coma profond, et son Altesse Gina a pris la décision de s'exiler avec ce dernier dans un lieu isolé afin de s'occuper de son rétablissement loin des complots, en sécurité...Mais avant de partir, elle a nommé celui qui prendra en charge l'intendance du royaume, elle a nommé Kahess...voila mon paladin devenu Intendant, j'ai l'étrange impression que je ne le verrai plus, quel interet pour lui à venir voir une banale catin désormais...mais je me suis gardé de lui confier cette crainte trop personnelle, il la lira, plus tard...

Les début de l'intendance furent marqué par deux évènements d'importances, le premier a failli briser l'entente entre humains et elfes, malgrés les promesses de signature du traité...car une récente recrue de l'armée humaine, Ayumi, a été capturée par les elfes, en compagnie d'une Sombre, et venant de tuer plus d'une quinzaine de gardes elfes. Afin de prouver sa volonté à maintenir l'alliance, Kahess a suivi le traité et sir Elthaim, diplomate du royaume, a été rendre Ayumi à la justice elfique. Mais peu de temps après, lors d'une rencontre avec l'Ambassadrice Taria, Kahess apprit que les elfes souhaitaient que ce soit le gouvernement humain qui juge et éxécute la sentence mérité par la traitresse...selon le paladin, cette Ayumi ne semblait pas mauvaise, elle paraissait vouloir bien faire, mais elle a été beaucoup trop loin, soit par naïveté soit par stupité, mais il est trop tard, le mal est fait...

Le second évènement notable est la reprise d'Oren suite aux paroles d'un étrange messager resemblant plus au rescapé d'un massacre qu'à un coursier. lorsqu'humains et elfes arrivèrent sur les lieux ils trouvèrent une ville morte, des corps dans les rues, sur les places, dans les maisons, et même la garnison entière du chateau y est passée, les soldats semblent même s'être entretués...et parmi tous ces morts, aucune traces du Seigneur Ajira, pire un symbole nécroman a été découvert sur une terrasse du palais... Le soir même, Kahess donne des ordres : des pretres d'Einhasaad, ainsi qu'une garnison, sont dépéchés à Oren afin de réhabiliter la cité. Le prix des etablissements, maisons, a été cassé afin d'accélérer le repeuplement, et une recherche d'envergure a été lancé dans le Royaume afin de retrouver Ajira, pour l'instant simplement accusé d'Abandon de Poste, sa description a été porté dans toutes les guildes, tous les commerces, auberges et postes de gardes du territoire.

J'ajouterai, pour clore cette nuit le sujet, que le Kahess que j'ai connu n'a pas changé malgré ses responsabilités, toujours aussi humble, se rappelant de sa condition d'origine, mais il a encore vieilli prématurément et je crains que ces temps troublés ne finissent par lui oter le sourire a tout jamais, tant il commence à lui apparaitre que sa mission sera difficile, et cette Constance Sanslarme qui ne lui a toujours pas donné de nouvelles...


[modifier] Le Royaume sous l'Intendance

Kahess, ne passe me voir que très rarement ces derniers temps, aussi je me contente parfois d'écrire ce que j'entends.

La théocratie d'Einhasaad vient de naître, les preceptes de la déesse ont inspiré la réforme des lois d'Alliscus, et un Saint Tribunal fut créé, afin d'améliorer la lutte contre le chaos destructeur. La position des prêtres d'Einhasaad a gagné en influence, la néccromancie est placée sous surveillance, et la parole des Juges est Loi.
[modifier] Cérémonie du Héros d'Einhasaad

Ce n'est qu'une fois l'Intendance bien installée que Constance Sanslarme fait son apparition...tout d'abord les cloches du Temple se mirent à sonner, alors que rien ne semblait prévu, puis, comme s'ils avaient été téléportés, des elfes apparaissent sur le parvis du Temple d'Einhasaad à Aden. Les membres du Saint Ordre et leurs alliés elfes entrèrent dans le temple afin d'en savoir plus, suivis par une foule de roturiers. Cette fois, la cérémonie fut officielle et publique : l'Intendant et Haut Juge d'Aden, fut désigné Héros des humains, par Constance Sanslarme, par la déesse Einhasaad elle-même, qui accepta de répondre à une question par la bouche de Constance. La question fut posée, elle concernait la paix, sa fragilité face à des voisins hostiles, et la Grande Déesse répliqua qu'elle ne souhaitait pas de guerres inutiles...


[modifier] Libération de Draen

Ainsi, Kahess multiplia les rencontres avec les représentants Sombres, afin d'obtenir sous de bonnes conditions la libération de sir Draen, hélas, aucunes négociations ne put aboutir, les Sombres ne souhaitaient pas faire de compromis, et ne prouvaient pas plus leur volonté à vouloir une paix...alors une des leurs fut finalement capturée, puis échangé contre sir Draen, chef d'une armée dissoute qui ne tarda pas à rejoindre le Saint Ordre.


[modifier] Mort d'Hywell

Le Haut Prêtre Hywell connu une fin tragique...en pleine recherches afin de contrer un rituel sombre inachevé qui a libéré une armée de damnés surpuissants dans toutes catacombes, nécropoles, ou cimetières. Il rencontra un être qui le maudit, afin d'obliger le Haut Prêtre à l'aider...selon les recherches de Kahess, Hywell aurait été à la recherche d'un masque, masque offert à un elfe par une certaine Olivia, elle même poursuivis par un certain Konrad...Konrad, qui pour Kahess, n'est autre que l'être qui a parlé à Hywell et a précipité sa mort, qu'il s'est donné volontairement pour échapper à sa malédiction, en se jetant sur les lames de la sombre Lucie, qui semblait l'aider, contre toute apparence. Cette perte affecta beaucoup Kahess, qui considérait Hywell comme un véritable compagnon, et regrettait ce froid entre eux qui n'a pas eu le temps d'être dissipé...


[modifier] Expédition en Elmore et capture d'Ajira le nécromancien

La reprise du Village Nain aux côtés des autres peuples se fit plutot aisément, l'assaut de la coalition sur le village ne laissa pas le temps aux golems de s'organiser, il furent mis en pieces, proche de la déroute, ce qui obligea le golem géant à sortir, selon les nains la source du pouvoir des golems et du mal de Vugnus. Contre lui les nains envoyèrent un golem d'acier, tandis que guerriers et mages soutenaient ce dernier en poursuivant le combat.

Durant cette bataille, deux hors la loi humain furent repérés : Kira et Ajira...kahess donna des ordres clairs, ne pas intervenir tant que l'expédition n'est pas un succés, mais gardez un oeil sur eux. Cependant les elfes eurent surement une autre idée, vers la fin du combat, ou il paraissait évident que le golem géant allait bientot plier, le nécromancien tomba au sol, et fut trainé à l'écart par Elendill. Hélas, Kira avait déjà fuit, sentant certainement le vent tourner pour lui aussi...

Comme convenu par le traité d'Alliance, Ajira fut remis à la justice humaine, mais l'éxécution qui apparaissait comme la plus juste sentence, ne fut pas appliquée. Un rituel fut mené afin d'anihiler à jamais la capacité d'Ajira à ressentir et manier la nécromancie, son echec aurait été suivi par la mort du condamné, mais la purification fut un succés, et la convalescence forcée de l'ancien seigneur d'Oren à Aden, permettaient aux prêtres de s'assurer qu'aucune souillure ne viendrait plus corrompre l'esprit d'Ajira.


[modifier] Academie d'Hardin

Une visite dans cette sombre académie était obligatoire, le rituel du temple oublié a libéré une puissance noire et dévastatrice. Apparemment le crane de Katan, essentiel pour finir le rituel et prendre le controle de l'armée des damnés, ne peut être recréé, car il n'existe aucun nécromancien suffisamment puissant... Cependant Kahess n'aimait pas le lieu, encore moins cette Elania se faisant passer pour la maitresse de l'académie alors qu'Hardin semble être absent. L'aura qui émanait d'elle, ainsi que de toute l'académie le révulsait, mais ce n'est pas sa peur qu'il dut contenir face à cette Sombre masquée, il dut réfreiner de toutes ses forces son envie de purifier le lieu, de faire naitre les flammes pour que leur lumière consumme les ténèbres de l'académie, mais non, il n'était pas venu pour ça, mais pour obtenir des informations, qui hélas ne permirent pas de trouver une nouvelle piste.

Et si Hardin tentait en secret de prendre le controle de cette armée ? si cette Elania l'y aidait, et tentait de brouiller les pistes par de fourbes mensonges ? Le Paladin prit intérieurement la décision de revenir en ce lieu corrompu, et d'y libérer la Lumière d'Einhasaad, forcer les maitres de l'académie à de vrais réponses, et s'il le faut faire prisonnier ces nécromanciens et trouver, pourquoi pas, le moyen de recreer le crane de Katan à partir de plusieurs sources de nécromancie...


[modifier] Réflexions paloufiennes

Tous ces évènements, ces rencontres, ont changé Kahess, lui faisant perdre peu à peu son optimisme en une paix réellement possible entre les peuples, trop de rancoeurs, d'envies de revenches, trop de calculs et d'interets politiques en jeu...

Quelle paix proposer à des êtres portant en eux le chaos, le plaisir de faire souffrir, le plaisir d'oter la vie ? Il apparait comme de plus en plus évident au paladin qu'une paix ne pourra voir le jour tant que tous les éléments constituant un danger à l'ordre ne seront pas éradiqués.

La Lumière d'Einhasaad doit s'étendre, faire reculer l'ombre dans son royaume de ténèbres, et nulle menace ne devra être épargnée...soit la paix verra le jour entre les peuples, soit elle leur sera imposée, ainsi pense Kahess désormais, et si c'est l'unique solution alors cette Paix sera Humaine, ceux qui se dresseront contre elle seront vaincus puis forcés...la lumière d'Einhasaad brillera et dissipera le chaos, traquant ses adeptes jusqu'à ce que ces derniers comprennent, qu'à l'instar de Shilen, leur place n'est pas de vivre baigné de lumière car ils en sont, tout simplement, indignes.

Kahlan
Un article de Le RP d'Oreline.
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[modifier] )° Nainië °(

Aurenyar sárë

Amers sont mes jours. J'ai tant perdu pendant le Fléau. Mes parents, mes frères et soeurs, ma famille. Je me sens si seule… Pourquoi êtes-vous partis, pourquoi suis-je restée?


Melinyë lúmë sina

J’aime ce moment. Quand la douce lumière de la lune se reflète dans l’eau. Eva est mon guide. C'est elle qui l'a voulu. Je suivrai son désir.


Nén lastanyë anurro

J’écoute l’eau qui murmure, je ferme les yeux et je respire l’air du soir.


Sinta lúmen nyérenya hautëa órenya séressë

Pour un bref moment, mon chagrin cesse et mon coeur est en paix. Tout du moins, je m'efforce de le croire...


Elen

Chacun de vous est l’une de ces étoiles. Où que je sois, leur lumière éclaire mon chemin.


Estel

Les regarder me redonne espoir, mais mes larmes n’en finissent pas de couler.


Melinyelle…

Je vous aime…



[modifier] )° Hîth °(
Nainië

Vous faisiez de ma vie une joie intense

A présent, tout n’est que souffrance

Je n’arrive pas à retrouver

Une once d’espérance


Talagand

De la harpe tu jouais

Tu étais si douée,

Aujourd’hui je chante seule

Personne pour m’écouter


Gwilwileth

Es-tu ce papillon ?

Ou est-ce une illusion…

Depuis que tu n’es plus là

Tout n’est que confusion


Arnediad

Dans l’air je vous sens

Dans le vent je vous entends

Je vous vois dans les étoiles

Je le sais maintenant


Hûn

Penser à vous chaque jour

Rend mon cœur bien trop lourd

Tant de larmes j’ai versé

Pour bien trop d’amour


Tinnu

Lorsque la nuit est tombée

J’aimerais tant pouvoir danser

Avec vous parmi les étoiles

Mais mon destin était de rester


Hîth

Je suis dans le brouillard

Je me perds dans le noir

Qui saura me prouver

Qu’il n’est pas trop tard ?



[modifier] )° Melmë °(

Telpina lindë nenilion

La chanson d’argent des eaux

La caresse de la brise sur ma peau

A cette douceur je m’abandonne


Nén lastanyë anurro

J’écoute l’eau murmurante

Je ferme les yeux, confiante

Je goûte enfin au repos


Ëa er cala, Melda

Il y a encore une lumière

Lorsque j’ouvre mes paupières

Car tu es tout près de moi


Nályë undómélinya

Tu es mon étoile du soir

Tu as su me rendre espoir

Dans tes bras je n’ai plus froid


Melda, le linnathon

Pour toi je chanterai

A jamais, pour l’éternité

Ces notes je te les donne


Vinya ré ar vinyë olóri

Un nouveau jour et de nouveaux rêves

Ma souffrance enfin s’achève

Dans tes bras je reprends vie

Kally
Un article de Le RP d'Oreline.
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Sommaire
[masquer]

* 1 Feuille de personnage
* 2 Histoire
o 2.1 L'entrée au temple
o 2.2 Education
o 2.3 Epreuve
* 3 Présent
o 3.1 Retour à la civilisation
o 3.2 Les enfants d'Eva
o 3.3 Mae
o 3.4 Le couronnement
o 3.5 La magie et ces contrariétées
o 3.6 Un chante-épée des plus étrange

[modifier] Feuille de personnage

left

Nom: AUCUN

Prénom: Kally

Age: 1012 ans

Allignement: Neutre bon

Kally est la bonté même, les seul créatures qui ne peuvent trouver grâce a ses yeux sont les mort-vivants. Il prèche les Parole d'EVA pronnant l'entre-aide et l'harmonie. Le liens privilégié qu'il partage avec les esprits naturels lui permettent de magnier une magie puissante qu'il met a la disposition de toutes personnes dans le besoin.
[modifier] Histoire
[modifier] L'entrée au temple

Temple d'EVA, 1010 ans plus tôt

Prêtre:Etes-vous sur de votre choix?

Elfette:Oui, Il mènera une meilleur vie au près de vous vous qu'entre nous deux l'elfette lançât un regard plein de remord a l'elfe qui se tenait à ses coté

Elfe:Dans ta famille, vous avez toujours était proche d'EVA, le laisser au temple est la meilleur solution!

Prêtre:De par cette action, vous renoncez a tous vos droit envers ce nourrisson!

Elfette:Je comprend.... je vous le confie. Son nom est...

Prêtre:Vous renoncez a ce droit également! interrompit le prêtre

Le couple d'elfe baissât la tête puis partit, au bord des larmes

Quelques minutes plus tard

Prêtre: Connaissant ta mère, elle voulait t'appeler Kally, et tel sera ton nom dit-il souriant
[modifier] Education

Temple d'EVA 952 ans plus tôt

Prêtre : Que fais-tu Kally ? Dit-il en observant l’adolescent gratter quelque chose avec un bout de bois

Kally : Je libère ce papillon ! il est pris dans une toile d’araignée !

Prêtre : Pourquoi libères-tu ce papillon ?

Kally : Par ce qu’il va se faire manger par l’araignée !

Prêtre : Mais si tu libère le papillon, l’araignée va mourir de faim !

Kally : Pas grave ! L’araignée et moche ! en plus y en a une qui m’a piqué hier !

Prêtre : Est-ce une raison suffisante pour tuer un créature, qu’elle soit « moche » et que l’une de ses congénère t’es « piqué » hier ?

Kally : Dit comme ça… Non ! Mais et le papillon dans tous ça ?

Le prêtre esquissât un sourire puis partit sur cette phrase : Qui fat-il sauver ? L’araignée ou le papillon…. Même moi je n’en suis pas sûre !


Plus tard, dans la même journée

Prêtre : Les enfants, avant de conclure ma leçon d’aujourd’hui j voudrais que vous réfléchissiez sur la question que je vais vous poser : Pour les paisibles mouton n’ont pas de griffe ou de croc, ni même de carapaces pour se défendre ?

Enfant 1 : Je comprend pas la question monsieur !

Prêtre : Chaque animal a un mécanisme de défense contre les prédateurs, pourtant, le mouton n’en a pas, pourquoi ?

Tous les enfants se turent et réfléchirent

Kally : Car il dépend de nous ?

Prêtre : Que veux-tu dire ?

Kally : Si mécanisme de défense, c’est de se rendre indispensable aux autres afin qu’ils assurent leurs protection pour eux

Le prêtre sourit : Et pourtant, les fermiers les tuent pour consommer leurs viandes !

Kally : c’est leurs moyen de se rendre indispensable grâce a leurs laine, lait et viande, mais nous assurons en contre parti la survit de leur espèce

Prêtre : en effet des sacrifices sont nécessaire a la survit de tous peuples , c’est pourquoi il faut les respecter, car quelque soit l’opinions des autres, tous le monde doit faire des sacrifices pour survivre.

Kally : Et nous ? quel sacrifices faisons nous ?

Prêtre : Pour le moment vous êtes obliger a suivre mes leçon, plus tard, tu comprendra les sacrifices que font les elfes.
[modifier] Epreuve

Temple de heine, 200 ans plus tôt

Prêtre: Kally, Tu es, d'après ma mémoire l'elfe quia suivit le plus longtemps les enseignements du temple. Ceux qui on commancé les classe avec tois ont soit pris la rode de prêtre, soit deserté le temple pour partir a l'aventure ou avoir leur vie propre.

Kally: D'autres dirait que j'apprend lentement pour avoir besoin d'un si long enseignement

Prêtre: Détrompes toi! Tous ce que tu as appris te sera précieux. Tu as suffisament appris pour remplire 2 vie d'érudie, j'avoue avoir été impressioner, parfois effraillé par ta capacitée à apprendre.

Kally: Je suis navré de vous avoir causer de tels sentiments

Prêtre: Pour dire vrai, j'ai consulté un oracle et il m'a révéler une partie de ta destinée, a la lumière de cela je comprend pourquoi EVA t'as dotée de tels capacitées. Kally! en complettant ton cycle d'étude, tu as accomplit ton premier pas vers cette destinnée, celle d'être un jour Le grand prêtre d'EVA


Kally resta sans voix a cette nouvelle. Les dix ans qui suivirent ne furent que successions d'oracles,de teste de d'autre nouvelles leçon pour le préparer a sa future fonction. Puis viens le jours de l'annonce

Prêtre: Kally , il ne te reste plus quez 2 epreuves pour que tu sois promus grand prêtre d'EVA. Es-tu pret?


Quelques jours Après la signature du traité au village nain

Kally medité seul, dans une salle secrette du Jardin d'Eva, il etait ici dans méditier depuis presque 1àà ans, se nourissant des vegetaux et des mousses poussant dans le jardin, n'ayant pour seul companie que les esprits et les gardiens des lieux.

Durant cette longue eriode d'isolation ces liens avec les esprit et les dieux se renforcèrent, plus que ceux es autres prêtres, apres tout celà faisait parti de son initiation de grang prêtre.

Viens le jour de sa libération, enfin sa déesse lui signifé la fin de son épreuve, il pourrait désormé marcher de nouveau à la surface du monde.

Le doyen des esprit du Jardin vint lui dire adieu, aurevoir seulement il espérait Tu dois maintenant retrouver le monde dont tu as était couper pendant plus d'un siècle, beaucoup de choses ont changées. Puisse Eva te protéger mon ami.
[modifier] Présent
[modifier] Retour à la civilisation

Depuis sa sortie du jardin d’Eva, les rencontres toutes plus troublantes les unes que les autres se succédèrent.

D’abord cet homme qu’il avait repêché dans la baie de Heine, visiblement un être mu par une envie de combat et qui sûrement lui attirerait beaucoup d’ennuis dans le futur.

Aussi, le fait qu’il soit absent des registres du temple lui interdisait désormais le futur qu’on lui avait promis. Il était maintenant un Élu oublié.

Il erra dans les Terres d’Aden, aidant toutes personnes dans le besoin, apportant la bénédiction d’Eva et sa parole à ceux qui était prêts à l’entendre.

La faible population elfique le préoccupait mais il n’osait point questionner les gens… Peut-être était-ce de la malchance, ou une épreuve pour tester sa tolérance envers les autres races, et si c’était le cas, pour le moment il n’avait pas échoué.

Du peu qu’il avait entendu et vu, la violence gouvernait le monde. Chaque lieu qu’il visitait était peuplé de créatures que les humains et nains chassaient, soit par devoir, soit par convoitise... La pire des choses était cette magie malsaine pratiquée dans plusieurs de ces lieux, forçant les morts à interrompre leur long sommeil tant mérité.

Il était limpide a ses yeux que ce monde n’était pas un monde de paix et d’harmonie. C’est une tare qu’il faut réparer!, pensa-t-il.

Se rendant au temple du village elfique, Kally entama une nouvelle méditation pour trouver une solution. Au bout de quelques heures celle-ci germa dans son esprit.

Il est tout simplement impossible pour un être seul de changer le monde, car pour cela il faut aussi changer ses habitants... Une tache colossale...

Il lui fallait trouver l’aide de gens compétents, des semblables qui propageraient les enseignements d’Eva.

Dans ce but, Kally mis fin à ses vagabondages et s'installa parmi les siens, car il fallait que tous les enfants d’Eva soient soudés et sans défauts. Ils devrait être les modèles et donc les premiers à changer.

Il créa alors une confrérie : Les Enfants d’Eva.
[modifier] Les enfants d'Eva
[modifier] Mae
[modifier] Le couronnement
[modifier] La magie et ces contrariétées
[modifier] Un chante-épée des plus étrange

Sur le terrain d'entrainement de la garde

Elfe1: La remeur est donc vraie?

Elfe2: De quoi parles-tu?

Elfe1: Le grand pretre, il se forme au maniment des armes

Elfe2: Oui, je te raconte pas la tête de l'officier de formation en voyant son nom sur la liste de ces recruts l'elfe ne put s'empécher un rire en repensant a la tête de celui-ci

Elfe1: Et il se debrouille bien?

Elfe2: Oui, mais on ne pouvait attendre moins du grand prêtre! Par contre il y a quelque chose qui cloche...

Elfe1: Quoi donc?

Elfe2: Et bien tu sais, les chante-épée chantent au combat permettnt a leurs comagnons de garder le rytme et ainsi d'être plus efficasse

Elfe1: Oui c'est une base! Tous le monde sait que lorsque que l'on combat au cote d'un chante-épée on est plus alerte qu'a l'accoutumé, ca m'a deja sauve la vie plusieur fois.

Elfe2: Pour le Grand prêtre c'est différent, les personnes qui l'ecoute entre comme en trence.... C'est presque effrayant, ils deviennent comme des bêtes

Elfe1: C'est pas possible! Le grand prêtre ne ferait jamais ca! A part nous faire laver le temple lorsque l'on se conduit mal, il est toujours un model de gentillesse et de miséricorde!

Elfe2: L'officier dit que c'est a cause de ca!

Elfe1: Je vois pas trop le rapport...

Elfe2: Et bien, ce n'est qu'un elfe apres tout! comme tous le monde il a parfois envie de faire exploser sa colère ou de faire usage de la force, mais il se retien! Il se retien trop alors toute son agressivitée s'evacue lorsqu'il se sert de ses "chants"

Elfe1: Je m'imagine tout de même mal , le grand pretre vouloir faire entrer les autres dans une trense pareil!

Elfe2: Il parait qu'il fait pas expret! Puis le resultat n'est pas si catastrophique!

Elfe1: Franchement j'ai des doutes!

Elfe2: A dire vrai, moi aussi

Kerym

[modifier] Présentation

« La guerre c'est comme une marée verte,

Tu y verse des larmes, tu n'y a que des pertes.

Viens danser ta mort proche et celle des autres,

Rejoint moi car de ce massacre, j'en serais l'apôtre.

Dit adieu à ta femme, ton fils et à ta soeur

Car dans ce voyage, tu y laisseras ton coeur,

Tu y laissera tes tripes, ton âme et ton foie,

Que quand tu rentrera, leurs pleurs seront ta seule joie »

Chant de guerre

Fils de la mère massacre, Victime injuste d'un fléau sombre, Prince déchu, Mort un peu trop vivant, Patissier accompli, Chroniqueur de son temps, Père du précis de chevalerie noire, voici autant de mots qui suivent Kerym partout ou il se rend.

Pourtant on le remarque à peine, pourtant ce jeune rouquin vêtu juste vêtu d'une armure légère et d'un bout de bois passe bien souvent inaperçu. Il vous rétorquera que le secret de l'immortalité se trouve dans l'humilité.
[modifier] Fiche de Personnage

« Je suis fils de massacre, gras chien de guerre,

Je salue les gamins dont j'ai tué les pères,

Je n'ai pas d'excuse, je n'ai fait que mon devoir,

Pour mon salut, il ne me reste qu'à boire »

Chant d'ivrogne


Nom : Kerym Cadmus

Race : Humain

Metier : Patissier, Pêcheur

Sexe : Mâle

Age : Jeune adulte

Guilde : Le Lys Noir
[modifier] Introductions aux chroniques

"Puissiez vous vivre des moments extraordinaiores"

Malédiction populaire

Lire une histoire n'est pas obligatoire, ne pas apprécié une des histoires est un droit mais l'apprécier c'est aussi un droit. Voilà je t'ai prévenu ! Ne t'oblige à rien içi sauf à ton plaisir. Ces histoires sont parfois longues et souvent nombreuses alors pioche ce qui te plait et laisse le reste.

Kerym raconte içi sa vie, il n'est pas impartial et certainement pas omniscient. Souvent d'ailleurs il parle de sa famille, parfois aussi il parle du passé alors qu'il entamait le présent. Il n'est donc pas toujours clair et ce n'est pas le meilleur chronique, loin s'en faut. Il aurait aimé être un Faran pour sa poèsie mais il se contentera d'être un lapadin dans le coeur.

Je vous souhaite une bonne lecture !
[modifier] Chronique de vies ordinaires (Il y a plus de dix ans)
[modifier] Kerym, Les adieux c'est pas fait pour les peureux

Kerym se tenait haut perché sur un rocher et s'exécutait à l'art ancestral du ricochet (Art ancestral selon sa famille). Il jeta avec force un caillou qui fendit l'onde

Premier ricochet « Kerym? Kerym? Par tout les Dieux c'est enfant est plus remuant qu'une marmaille d'Elpy ! Chéri ! Kerym s'est enfuiiiiii ! Il est sorti par la fenêêêtre ! » Qui a dit que tout les enfants étaient sages ou obéissaient à leus parents?

Deuxième ricochet « Kerym... Maman te cherche partout... Tu veux la rendre folle? Je sais que tu ne voulais pas mal faire... Mais t'entrainer à la lance avec un balais dans notre salle à manger... Etait ce vraiment une brillante idée? » Un frère aîné qu'il adore même si parfois il ne supporte pas son côté « Grand frère qui a toujours raison »

Troisième ricochet « Kerym ! Tu étais ou? Je me suis fait par trois fois du sang d'encre ! La prochaine fois, tu dois promettre de m'amener ! Je veux pas rester en arrière ! » Une petite soeur adorable, teigneuse comme un homme et douce comme une femme. Il aimerait lui dire « J't'adore plus souvent » mais entre frangins et frangines c'est jamais l'amour officiel

Quatrième ricochet « Kerym...Je n'ai pas connu ton père mais... Mais ca devait être quelqu'un de bien j'en suis sûr. Il n'y a qu'a vous voir tout les trois pour s'en rendre compte. Ta mère t'aime tu sais... Je crois qu'elle craint parfois que vous preniez les routes comme lui et qu'elle ne vous voie plus... Il faut la comprendre... Elle n'a que vous comme souvenirs » Lui c'est son Beau Père et il l'aime bien, bon il est bûcheron mais c'est un homme fiable comme le roc et tendre comme un gâteau alors on lui pardonne...

Cinquième ricochet « Cher Kerym, quand tu auras cette lettre c'est que je serais parti. Ce n'est pas que je ne vous aime plus mais que mes pieds me démangent et que... Je ne suis pas doué avec les mots mais je dois y aller... L'aventure n'a pas d'égal et aucune femme ne pourra retenir un homme qui y a goûté. Je suis désolé » Ca faisait au moins un point commun entre le Pater et le gamin, pas savoir comment dire les choses et finir par disparaître au lieu de s'excuser...

Lorsque son cailloux atteint la rive opposée, Kerym s'éclaire d'un sourire. Il range sa lance dans son sac et prend une profonde respiration. Tout es prêt pour la route et une lettre attend sa mère.

« Suis parti Maman. Je sais pas comment t'expliquer les choses... A toi comme à Papa où à Maeliss d'ailleurs mais fallait que je parte... Je t'embrasse et promis je me marie pas sans ton consentement »

« Aden me voilà ! » et il s'en va en réprimant son premier sanglot. C'est jamais agréable les séparation mais faut pas s'attarder sur eux sinon on s'installe et on pond des marmots !
[modifier] Promenons dans les bois tant que la flotte y est pas !

Quelque part près de Giran dans un bois dont les chemins ne mènent nulle part. Ce soir là en plus il pleut.

« Atchii !» Maeliss qui avait déjà pris un bain dans la journée et dont la pluie semblait prendre le parti de l'inonder

« Maeliss, prend ma couverture tu va avoir froid » Juan aîné qui aimerait se rassurer malgré l'obscurité et le froid

« Laissez moi encore dix minutes et vous aurez une flambée de tout les diables » Kerym éternel motivé dont ses mains à force de frotter étaient écarlate

Ils étaient perdu dans une forêt. Bon Kerym l'a avoué que finalement ce n'était pas un bon raccourci mais que le bien c'était qu'ils avaient évité Giran. Juan n'avait rien dit mais gardait pour lui sa rancoeur de toute façon en vouloir à Kerym c'était impossible plus de cinq minutes en tout cas. Maeliss n'en voulait à personne en particulier, au moins on lui avait éviter les sombres.

Maeliss prit la couverture de son frangin. Non qu'elle en ai tellement besoin mais il y a des choses qu'on ne peut empêcher comme son frère qui se sacrifie C'est un vieux principe d'hommes et elle a beau être une fille intelligente, on ne combat pas plus d'un millénaire d'atavisme. Par contre une fois qu'on leur met un bout de seins sous le nez, l'atavisme ils l'oublient tous. Il a suffi d'une sombre habillé avec trois bouts de tissus et une ficelle pour que ses frangins courent se faire tabasser. Elle allait devoir retravailleur leurs sens des priorités et vite...

Juan déglutit une toux naissante. Il se devait d'être fort et rassurant et faisait à la place office de porte couverture. Il regarda Kerym... Il reprit le cours de ses pensées moroses. C'est lui l'aîné, c'est lui qui doit défendre les siens. Et puis Kerym avait pris la parole et s'était offert une sortie royale. Il avait tenu tête aux sombres et Juan n'avait pu que le suivre. Tu parles d'un protecteur... Bon demain il va falloir mettre les bouchées doubles et surtout ne plus se laisser distancer...

Kerym, lui, était tout à son feu. Il était loin de soucier d'autres choses que de ses deux bouts de bois. S'être fait rosser par une femme ! En plus une femme avec une poitrine pareille ! Non mais je vous jure... Jamais vu de sombres avant et c'est tant mieux en fait... Le coups dans les hormones, l'armure qui serre et la raclée à la fin..Il aurait sa revanche ! Il prouverait qu'il n'était pas « Carpette provinciale en poil de Floran » mais bien « Le Seigneur de guerre magnanime aimé de tout Floran », il jura alors qu'une branche déversa sur lui une douche froide..

Juan éclata d'une rire et se libéra de sa toux, Maeliss pouffa derrière ses mains et Kerym fit presque semblant d'être froissé. Quand on a une pareille famille, on se fout des sombres comme des mauvais moments et comme dirait Maeliss:

« Ce qui a de bien dans l'aventure c'est la pluie, l'absence de bois sec et la viande pas cuite. Parce qu'après ça la moindre auberge éleveuse de cafards et de chancres prend des tournures de Palais impérial. »
[modifier] Des outrages à Eva et Heine

« Tu comptes rester prostré encore longtemps comme ça? C'était ta première, ça on est d'accord mais ce ne sera pas ta dernière »

Le vieil homme s'assit au côté du rouquin au visage habituellement si rayonnant. Il regarda autours de lui. Il avait toujours vécu à la campagne et la capitale ne lui plaisait guère mais il était libre et il avait survécu au massacre perpetré par les orcs et Einhasad en soit loué cela n'avait pas de prix.

« Ou est donc passé notre grand soldat? Celui qui marquerait l'histoire de son nom hein? Il est passé ou ce jeune homme qui voulait marqué Kerym dans les nuages d'un coups de lance? »

Ce vieil homme ébouriffa affectueusement les cheveux de son jeune apprenti, il n'avait pas eu d'enfants et s'était pris d'affection très vite pour le jeune Kerym. Il lui avait donné des cours à l'insu de sa mère qui voulait en faire un bucheron, quelle idée, et lui avait offert avec ses économies sa première lance. Il remercia Eva d'avoir veillé sur son petit protégé lorsque celui était parti liberé Heine de la tyrannie.

« Je...Tu m'ennuie ! J'ai rien à dire et je boude pas ! Ca c'est sur ! »

Kerym ouvrait la bouche pour la première fois depuis la nuit dernière et sa mâchoire lui reprochait son inactivité. Il essaya de se lever et ses jambes se dérobèrent, ça devait faire aussi longtemps qu'il n'avait plus bouger. Il atterit de manière fort peu élégante sur le pavé et sanglota

« Je veux plus être soldat... Je veux plus de cette lance et être un héros... Je veux qu'on arrête de m'ennuier et je veux... »

Le vieil homme prit le visage de Kerym entre ses mains noueuses

« Quoi? Continuer à te comporter comme un enfant? Tu ne pourras revenir en arrière Kerym ! Tu étais là et tu t'es battu ! Vouloir le nier c'est nier les morts et je ne t'ai pas enseigné ça ! Ces morts méritent mieux qu'un enfant qui pleurniche ! »

Kerym continua

« Elles ont achevés les blessées et elles y prennaient du plaisirs Mathieu ! Ce sont mes supérieurs... Ce ne sont pas des femmes... Ce sont.. Ce sont... »

« Elles sont autant des humaines que toi, Kerym. Chacun choisit sa voie lorsqu'il prend pour la première fois les armes. La cruauté, la vengeance, la cupidité, la noblesse sont autant de raisons qui font un bon soldat, car ce qui différencie sur un champs de bataille une mort injuste d'une mort juste, c'est ce pourquoi l'on s'est battu et ce pourquoi l'on a choisit cette bataille ! »

Le regard de Mathieu se fit plus intense

« Un Seigneur de guerre ne doit jamais refuser d'assumer ses massacres, il doit au contraire les porter avec la même force que lorsqu'il est parti en campagne. Tu l'a dit toi même, tu a évité des morts Kerym... Tu les as assommé et tu as soigné les blessés. Tu a fermé les yeux des mourants et tu as donné de l'or à ceux qui en avaient besoin. Tu n'a aucune honte à avoir de toi ! »

Kerym écoutait le discours de Mathieu, fasciné

« Relève toi Kerym ! Des elfes t'ont jugées? Alors va jusque dans leurs terres présenter tes excuses et propose ta lance pour te faire pardonner ! Des gens te dégoûtent ? Alors fait en sorte d'être partout à la fois pour qu'elles ne puissent plus tuer sans raison ! Tu hais ces sombres qui ont pris ton village ? Alors cessent des les haïr mon fils ! Apprend plutôt à les respecter et à voir en eux des égaux car ils te pousseront sans cesse à devenir meilleur ! Si la guerre avait été un jour un jeu, tout le monde s'y serait mis ! Et si tu ne t'en sens pas la force... Alors libère de toi ton fardeau maintenant car bientôt il sera trop tard, bientôt tu n'excellera plus que dans cet art et tu ne pourra plus rien faire d'autre ! »

Kerym secha ses larmes et se releva péniblement

« Au fait Kerym, j'aimerais que tu apprennes à lire aussi. Il existe un traité martial que je ne veux pas te raconter et qui est indispensable à ton évolution »

« Mathieeeuuu.. Lire c'est pour les filles comme Maeliss... Tu l'a dis ! Je suis un guerrier pas un intellectuel » (Les jeunes gens sont toujours fainéant, ca doit être un constante)

Mathieu soupira devant la bêtise de son élève avant de lui assener un solide coups de canne et d'éclater de rire. Kerym oublia sa peine et ne sentit presque pas la douleur, son maître parlait parfois compliqué mais il avait pas tord. Il devait se relever, il devait vaincre cette sombre pour ne plus connaître que l'humiliation et il devait aller s'excuser auprès des elfes. Et ça risquait de l'occuper un bon moment !
[modifier] Lorsque Ney rencontre les rouquins

La Tour d'Insolence... Lieu de tout les périls... On y trouve les horreurs vomit des bouches de l'enfer, les cris des agonisants, le râle des aventu...

«Je n'ai jamais bécoté le fils du meunier ! » voix aigue et un rien boudeuse « Et toi le mort, ta bouche ! » incantation ferme et rapide, le fast food à la portée d'Einhasad et un squelette « C'est Kerym le responsable ! » et le mort reçoit sa première leçon de vol.

« On ne dit pas que c'est ma... » La première flèche tombe sur le sol de surprise « Kerym? Frangin ! Explique toi maintenant ! » et de rage la flèche est prise d'une main et enfoncé dans l'oeil d'un des monstres.

Un mouvement de lance rapide et plusieurs créatures déversent une partie de leurs entrailles sur le sol « Je n'ai jamais à aucun moment, dit quoique ce soit qui engage ma soeur à bécoter avec qui que ce soit ! De toute façon, je suis le seul innocent de cette famille ! » Une acrobatie et Kerym roule sur le dos d'un de ses adversaires pour en prendre plusieurs en joue « Moi quand je drague, je n'invente pas pour peloter les filles...N'est ce pas Juan? »

« Je.. » L'archer rougit et sans le remarquer encoche plusieurs flèches qui finissent dans le ventre d'une succube un peu surprise.

« Je ne vous dérange pas j'éspère? Cela me chagrinerait tellement » voix sensuelle à faire découvrir le saphisme au moins de 18 ans« N'est ce pas la joyeuse famille des rouquins? »

Un silence et nos trois larrons sont prêt à en découdre avec Ney, générale des armées drows et brillante stratège (Je ne vais pas parler du reste, il y a peut-être des esprits influençables qui me lisent).

« Je m'étais toujours demandé d'ou vous venaient cet accent..Vous criez comme agonisent les villageois de Floran. C'est touchant... » voix délicieuse qui vous ferait passer votre mort comme un chouette moment.

Un cris et Juan, dont le coeur vient d'être assassiné, vise la gorge. Un silence et Kerym, dont l'esprit n'est plus que colère, détourne la pointe de sa lance d'un mouvement de pieds vers le ventre de son ennemi. Un froncement de sourcis et Maeliss, dont les yeux sont inondés de larme, incante la sentence de Morphée. « Au nom de sa Majesté ! Il est de notre devoir de vous arrêter ! » fut leurs cris de ralliement.

Ney visa son premier adversaire qui devint de pierre et para la lance de Kerym qu'elle détourna sur un monstre (La pauvre créature suivait l'échange de discussion et éprouvait jusqu'à présent un peu de sympathie pour les rouquins, mais c'était fini maintenant !)

Kerym esquive les griffes de la créature et assène un coups sur la tempe de Ney. Maeliss tente de dégager Juan de sa pétrification (Mais ou est-ce donc... Pourquoi on n'enseigne que la broderie dans les églises et pourquoi.. Pourquoi j'écoute Kerym et ses envies d'école buissonière !) et le temps se fige..

« Kerym ! Arrête de la frapper ! Il faut que je désenchante Juan ! » et Kerym soupire (A force de faire l'hélicoptère avec sa lance, il est en train de se défendre non plus contre Ney mais contre une ménagerie de monstres pas content). Ney, elle, tente de revenir à elle malgré le coups douloureux du lancier.

Ney revient à elle et tranche une artère de Kerym. Elle se tourne vers Maeliss avec un sourire mauvais (Mais séduisant quand même) avant de s'effondre une fléche transperçant son sein.

« Maeliss, ranime Kerym ! » Juan range son arc et s'approche du cadavre. « Vous auriez eu le droit de garder le silence jusqu'à la potence, de vous faire lyncher en place publique ou de vous faire occire par la main du Bourreau ! »

« Tout ça pour pas avouer avec le fils du meunier... » voix qui vient de redécouvrire la vie après la mort.

« C'est pas vrai ! On va pas revenir dessus tout le temps quand même ! » et la discussion reprend...

La Tour d'Insolence... Lieu de tout les débats... On y trouve des discussions sur les vices de ce monde, les cris des soeurs indignées et le gloussement des frères amusés.
[modifier] Le massacre des innocents

« Tu seras un héros ! Tu recevras les honneurs et la reconnaissance ! Tu accompliras ton devoir ! Sois fier de ta bannière ! Meurt pour ton Roy ! »

parole d'un chant de marche de l'armée blanche

« Petite fille dont les yeux pleurent, petite fille tourne toi vers la lumière et écoute les anges » cela faisait presque deux heures que Maeliss répétait la comptine, les yeux rougis de larmes. Elle attendait que le tout sèche avec le sang sur sa jupe, elle attendait que la comptine l'abrutisse de fatigue. Personne à Gludin n'avait osé la déranger, d'ailleurs personne n'avait remarqué l'enfant soldate aux cheveux roux.

« Je suis un gros porc... Je suis un soldat du Roy... Je suis un fils de Neb... » Kerym gloussait à chaque fois qu'il revenait sur ces mots. Il était dans un lit en compagnie de cafards et de Manon, ou était ce Thérèse, qui pour une centaine d'adenas vous lavait comme un gosse et vous couchait comme un homme. Les autres appellent ça une fille à soldat, Kerym appelle ça sa rédemption avec deux cruchons de bières en prime. Il était l'anonyme qui avait parlé au Roy, il était l'anonyme que l'on avait rappelé à l'ordre, il était le boucher anonyme.

«Noooooooooooooon ! Je... Nooooooooooooon ! Je vous en prie... Cessez de revenir me hanter chaque nuit ! Papa ou es tu? Viennnns à mon aide ! » Juan se relève transit de sueur dans la caserne de Gludin. Il se réveille pour la troisième fois et vomit encore une fois. Ce n'est pas le poison des lames drows mais un autre plus pernicieux, la honte quie le mine. Un regard autours de lui et cette odeur rance de maladie et ce sang.. Est ce le sien ou ceux qui sont morts? Rêve-t-il ou est il éveillé? A-t-il seulement jamais existé? Et le voilà qui replonge dans le sommeil, lui qui était né pour protéger et à qui l'on avait appris volontiers à tuer.

Tout trois auraient pu se parler me direz vous, tout trois auraient pu prendre le temps de s'étreindre et essuyer un peu de culpabilité sur l'épaule des autres. Mais lorsque trois meurtriers se rencontrent, quel que soit la bannière, ils ne peuvent que parler des massacres commis et lorsqu'on veut oublier tout ça alors on évite les autres...

Pourquoi je parle de tout cela? Parce que les guerres ne sont pas des jeux d'enfants et que chaque jour, beaucoup d'entre eux meurent dans les coeurs de ces soldats.

Qui se souviendra de Maeliss, arrogeant soins et affection aux blessés de Heine, rassurant les femmes des maris et essuyant la morve des enfants effrayés. Qui se rappelera de Juan et Kerym parcourant les rues du village de l'ennemi honnis et hurlant aux enfants et aux femmes de fuir, les menaçant de leurs lames pour qu'ils courrent plus vite, parce qu'ils étaient des hommes et pas des bouchers. Qui se souviendra de leurs actes passés, si l'histoire s'arrête à celui qui a les morts de son côté et celui qui a perdu ?

Trop peu de gens à mon avis.
[modifier] Révélation mystique du matin

« Putain de merde de mal de crâne...Fais...Saleté... »

Il est 7h00 et le soldat Kerym redécouvre la gueule de bois comme chaque jour depuis la prise du village drow.

« Corin....Juliet... Charlotte ! Passe moi de l'eau...Ouais amène moi le seau »

Charlotte, fille d'auberge et de joie, glousse et va chercher un bon gros seau d'eau. Elle l'aime bien le Kerym. C'est pas un client pénible et il paye d'avance quelque soit ses performances, pas le genre de gars à remettre en cause les filles.

« J'avais un truc à faire en dehors des latrines à récurer mais.. »

Autant essayer de se souvenir du nom des serveuses, Kerym reste allongé sur le lit nauséeux. Charlotte revient avec le seau et le tend , avec un sourire affectueux, à monsieur le lancier, toujours à vot'service. Kerym le prend de ses mains et se prépare à s'immerger dans la flotte froide quant tout à coups...

« Kerym... Laisse moi te partager mes rêves... Vient trouvez la quiétude des eaux... »

Voix douce et amicale un rien sensuel

Kerym regarde l'eau effrayé. Il avait lors de ses précédentes saouleries discuté avec des chats, épilogué avec son urine ou commenter la pluie avec le vomi des autres mais jamais entendu cet autre lui répondre..

« Kerym... Eva t'attend et ne met pas sa patience à l'épreuve, elle a le temps mais pas toi et tu ne voudrais pas rater ton rendez vous n'est ce pas? »

Voix maternel et légèrement réprobatrice.

La tête dans l'eau pour la faire taire et pour inonder les tambours de guerre orcs dans sa tête.

« Il te faudra partager les rêves d'une elfe, tu es sur la bonne voie Kerym »

Putain ! Le vieux..Enfin l'elfe quoi.. Hier c'était lui qui m'avait dit un truc pareil... Que pour entendre Eva, il fallait commencer par partager les rêves d'une elfe... Un truc pas sexuel mais aux odeurs de bizarrerie quand même.

« Tu t'appelera Kerym parce que durant mes aventures, j'ai partagé le combat d'un de ces beaux gens. Nous nous sommes battu dos contre dos et il m'a fait comprendre qu'il appelait son épée Kerym ou quelque chose s'en rapprochant. Je trouvais le mot joli et j'ai convaincu ta mère d'appeller son deuxième enfant comme ça. Elle voulait absolument le prénom de son père pour l'aîné tu comprends... »

Ca c'est pas de l'elfe , On dirait son père. La plus de doute, Kerym délire et il n'a pas encore bu.

« Kerym, ça va? Eh... Me fait pas une coma d'alcoolique dans ma chambre ou la patronne va savoir que tu as passé la nuit içi... »

Une gifle et Kerym reprend ses esprits.

« Désolé Charlotte, je pensais à hier »

Sourire étincellant et Kerym prend sa lance, un baiser sur la joue parce jamais les lèvres chez une fille comme ça et il fonce vers la caserne. Un beuglement et plusieurs recrues sourient en reconnaissant le chevalier Kerym. Un petit quart d'heure plus tard et les dîtes recrues ramassent leurs jeunes os moulu par la lance de l'apprenti héros. Une seconde plus tard et Kerym pare une flèche d'un frère joueur.

« Frangin ! C'est la première fois que je te vois aussi tôt et motivé ! On s'entraine? »

Les deux rouquins explosent de rire avant d'enchainer les coups.

Ce matin ce n'est pas temps la discussion mystique ou le pater qui lui a parlé qui a changé quelque chose. C'est juste qu'il ne les a pas entendu ces orphelins et ses veuves dans sa tête, c'est juste que pour une fois il ne s'est pas réveillé en soldat mais en homme.
[modifier] De la démission de l'Armée Blanche

l est presque midi et dans la cour de l'école de combat de Rivebois, le temps n'est plus à apprendre mais à se reposer

« N'empêche t'imagine ça... Il était Chevalier d'Aden, il a participé à deux grandes guerres. Son frangin est un héros et lui il a laissé sa lance pour venir enseigner aux orphelins d'Aden »

Obéissance cogite ferme. L'idée d'être en haut de l'échelle sociale et de volontairement en redescendre l'intrigue.

« Tu oublie la Patisserie, les proverbes mystiques et l'eau mentholé ! »

Julien, lui c'est le côté philosophe perdu qui le fascine.

« Les gars vous pourriez pas le comprendre. Kerym c'est peut-être pas un héros mais c'est un chouette maître ! Franchement vous en connaissez beaucoup qui sortent des babioles des cheveux des enfants où qui racontent tout sérieusement comment on fait fuir les monstres sous le lit? Moi j'ai jamais connu que lui. Tu te rappeles quand tu as eu peur la dernière fois? »

Marthe coupe ses deux camarades pour défendre son Chevalier blanc sans cheval parce qu'il est bien trop classe pour asservir un animal.

« Yep...Il n'y a pas de honte à avoir peur mon gars, c'est plus honteux d'y succomber. N'empêche qu'on oublie rarement ses regards concernés. »

Passage qu'Obéissance ne peut oublier. C'est bien la première fois que quelqu'un ne se moquait pas de sa peur de l'obscurité.

« Ouais comme j'ai pas réussi à oublier son explication de pourquoi il a donné sa démission: Je veux pouvoir choisir mes causes et mes compagnons... Aucune mort n'est juste faut le savoir, alors autant essayer d'avoir une bonne raison d'y passer quand ça arrivera. »

C'est le genre de phrases qui interpellait Julien. C'est aussi pour cela qu'il voulait devenir Soigneur de Guerre, pour pouvoir dire des trucs simples mais qui sonnaient bien.

« Vous croyez qu'il en encore pour longtemps avec son pain? Ca fait quand même une heure qu'il est rentré pour s'en assuré... »

Obéissance semble avoir quitté ses pensées pour en revenir a des choses plus terre à terre

« Honnêtement, mes muscles et moi même remercions ce pain pour ce répit immérité. Nous jurons que nous le mangerons avec révérance »

Pain que tout les trois d'ailleurs mangeront avec appétit car si Kerym prend son temps pour chaque chose, ce n'en n'est que meilleur !

Quant à Kerym, il finit d'ajouter un peu de sucre sur son pain avant de reprendre son enseignement.

« Si la guerre n'est pas un jeu, l'apprentissage ne doit pas être austère. On ne peut être Soigneur dans l'ennui » aurait dit son maître mais soyez sur qu'il ne désavouerait pas la brioche et le sourire de son ancien élève.

Départ de guerre

Un homme vole dans Aden, un homme défie toute forme de loi de la gravité en traversant la fenêtre de la demeure et en atterissant molement sur les pavés de la cour.

Un autre homme plane lentement dans cette moiteur d'après midi, il plane jusqu'au moment ou le sol le rejoint et qu'il peut enfin trouver le sommeil qui lui manquait.

Trois autres gardent s'envolent et sourient à Morphée dans une danse lente et silencieuse.

Deux autres font ce qu'ils ont appris, un replis stratégique vers la caserne loin des coups qui semblent ne jamais s'arrêter.

Le Capitaine Anbert préfère mettre la main à sa garde. Il vient d'entrer en terrain hostile... Ce n'est pas la première fois qu'un civil se refuse à la conscription, mais que ce civil refractaire fasse fuir les gar... Cet endroit... Ces mannequins... Cet arbre...

« Maître Kerym? »

Les coups cessent de pleuvoir.

« Anbert ? »

Et voilà Kerym qui sort, vêtu de son armure de cuir légère, son éternelle lance à ses côtés.

« Raconte à tes gars de s'essuyer les pieds sur le paillasson, et puis explique leur que la petite Marthe comme le Mathieu iront pas se battre et que je payerais s'il le faut ! »

« C'est que normalement seul les nobles... »

Une lance mugit et le regard de Kerym se fait meurtrier

« Faut il vraiment que j'en aille jusque là.... »

Kerym jette une bourse au pied du Capitaine

« Donne le au commandant de ma part et qu'il sache que c'est la paye pour qu'ils aillent pas à l'abattoire. Et avec le reste offre un verre à tes gars va ! »

Le capitaine relève ses hommes et prend la bourse.

« Tu viendra quand même Kerym? Je veux dire... Ta lance sera de notre côté hein ! Tu va pas faire ton... Enfin je veux dire ta fille... »

« J'ai jamais cherché à me débiner... Y a une guerre et j'en serais va... J'en serais pour y mettre fin. J'en serais uniquement pour que cette lance se range plus vite mais les deux p'tits là... Ils iront pas que ça vous fasse chanter pluie ou pas ! »

Un dernier mot et les gosses suivent leur maman-papa-poule vers l'intérieur de l'école.

Kerym n'aimait pas cette guerre plus qu'il n'avait aimer les autres. Mais il suffisait qu'il tourne la tête vers la porte pour voir les sombres égorger ses enfants, pour les voir se réjouir d'en faire des esclaves. Si les nains refusaient de leur vendre quoique ce soit alors les sombres avaient gagné. Ils résisteraient sans doute, avec héroïsme surement, mais ils mourraient.

Les nains venaient de le trahir. Ils préferaient sans doute travailler au côté des nécromanciens et des adorateurs des démons... Aucune mort n'était juste c'est une vérité mais mourir par cupidité c'était encore plus con...

Kerym ferma son école et laissa les clés à ses élèves. Il reprit son vieil étui à lance et murmura à Eva.
[modifier] Déclaration d'amour ratée

Les gamins sont tous pareil quelque soit leur race. Leldorin regardait avec émerveillement (Une attitude où on ponctue toute ses phrases de « Aaaaaaaaaah » et de « Oooooooh » ou de « C'est super ! ») l'humain boulanger (Il s'appelle Kerym et même qu'il est humain mais qu'il prie Eva) faire son oeuvre (Bon d'un autre côté n'importe quelle personne se serait arrêtée pour le voir jeter en l'air plusieurs masses de farine et d'eau combinés et les couper d'un mouvement de palette. Kerym, modeste mais pas toujours, affirme que c'est pour garder la main).

« Monsieur Kerym ? Dis ? C'est vrai que tout les humains ils boivent le sang des elpys pour être plus fort ou qu'ils tuent avec un sourire à faire peur aux orcs? »

Kerym adresse son plus beau sourire à l'enfant avant de reprendre son ouvrage.

« D'abord le sang des elpys, on y goute pas c'est tabou ! Je veux dire, je connais personne qui en ai bu et pourtant j'en fréquente des humains. Quant à notre sourire c'est parce qu'on grimace pour bien éviter les coups.. Comme ça »

Une langue tirée et des yeux qui louchent finissent d'achever notre jeune enfant. Il faut peu de temps pour qu'il se reprenne et que tout sérieux il dise.

« Je sais quand même que tu te moques un peu mais c'est pas grave. Je t'aime quand même bien et puis comme les grands disent, tu peux pas être froncieusement mauvais ! »

Kerym aurait préferé que les choses soient aussi vrai pour tout le monde.

« Un humain chez nous... Je suppose qu'il n'a a pas essuyé le sang de ses bottes avant d'entrer » « Il prie Eva ? Eva avec un ou deux V ? J'ai un doute. » « Je suppose que c'est une nouvelle forme de torture du Roy des hommes. Ingenieux en tout cas... »

Kerym supportait ça journalièrement. Il supportait sa différence, il supportait sa mortalité et il supportait l'incroyance en sa foi. Ne fusse que parce que plus souvent que les elfes se l'avouaient, ils venaient savourer une ou deux friandises de Kerym, parce que plusieurs lui adressaient un franc sourire quand il sortait ses pains à la fenêtre et que ça enbaumait la place et ça, ça valait bien quelques persiflages.

« Monsieur Kerym... Dis...Tu as une amoureuse? »

La il y eu un flottement entre le moment ou le glaçage tomba rudement sur les patisseries et ou Kerym ne dit rien.

« Non mon gars... Des hommes comme moi, ils font mieux d'épouser leurs fourneaux que de trouver une petite tu sais »

Il aurait aimé être sincère avec le gamin et lui dire:

« Tu vois mon grand... Je suis amoureux.. C'est aussi idiot de le dire que de le vivre, je te l'assure. Elle est mignonne comme une marguerite et elle a le rougissement d'une fraise en été. En plus elle porte un chouette nom facile à retenir.. Naelia ! Mais regarde moi bien... Je vais te dire pourquoi je vais rien dire et garder ma bouche...

D'une part je suis un fils de la mère massacre et un gras chien de guerre *Le gosse le regarde sans comprendre* D'accord je reprends... Si tu veux j'ai tué mon lot de monde et ma lance je peux pas la ranger comme ça, parce que les guerres elles m'attendent pas arriver et je veux pas que ça dure plus que de raisons.

D'autre part, je suis un ivrogne et je connais toute les filles *regard au gamin et prise de conscience de ce de quoi on parle pas avec eux* Les filles qui commandent à la cigogne pour les gosses d'Aden. Et je connais aucune fille qui aime les gars qui ont déjà passer des commandes même qui ont pas marché.

En plus, si jamais je bafouillais devant elle un "t'es belle comme un éclat de givre sur ma langue" Ben ce serait pour combien de temps hein? Je veux dire avec ce foutu tatouage qui va s'effacer un jour et me tuer ca lui fera une belle jambe à ma femme d'être veuve jeune. On pourra même pas s'épuiser au lit... En plus même si je survis au tatouage, ça va rien changer parce que j'aurais bien le temps de vieillir plus vite qu'elle et j'ai pas envie de mourir dans les bras d'une jeune et belle femme... Elle serait veuve trop longtemps pour que ça en vaille la peine...

Et puis pour finir, la réaction de mon frangin. "Juan je te présente mon épouse et lâche cet arc tête de mule. Oui je sais je suis avec une traîtresse" et de autres "Oui monsieur le bourreau veuillez me couper la tête sur les pointillés c'est pour pas salir mon beau costume"... »

Larme à l'oeil et profonde respiration

« Non sincèrement, je préfère me dire que les choses ont un cycle et qu'en priant bien fort Eva, je puisse être un elfe et la courtiser en tout bien tout honneur dans ma prochaine vie.. Enfin je sais pas si être elfe me plairait vraiment..Bon qu'elle se réincarne en humaine bientôt et qu'on puisse se marier dans la joie et la bonne humeur. »

Kerym arrive juste à articuler en croassant

« Bah l'amour c'est pas pour les Soigneurs de guerre petit. On doit déjà aimer tout le monde alors s'il fallait aimer quelqu'un encore plus fort... Aucune chance ! »

Et le gâteau que Kerym vient de finir à la mystérieuse forme d'un coeur.

« D'aimer, je n'en connais rien que les tourments, Le mot calme, sérénité me sont interdit, A croire que seul ton absence me sourit, Que ne plus te voir sera mon seul châtiment »

Parfois Kerym se demande si l'abus d'eau n'a pas nuit à sa santé.

Pour finir ce texte, je laisserais la parole à au petit elfe rentrer chez lui

« Dit maman? »

« Oui Leldorin? »

« Tu crois que si un humain il arrive pas à partager nos rêves, on peut partager les siens? »

Hrp: Si jamais les elfes n'ont pas de gamins qui ont les langues pendues, je m'en excuse mais ce petit bout de chou, je lui souhaite une longue vie !
[modifier] Moment de vie au village elfe

Kerym regarde sa lance qui le pointe, cette lance qui l'accuse de goûter au bonheur. On appelle ça la lance de Doclès (Un sombre lancier qui aurait projeter une lance dans le ciel et jurer qu'elle ne retomberait que lorsqu'il ferait pleurer sa femme et qui le jour ou il l'a trompé, serait mort empalé mystérieusement)

« Je jure » avait il dit un jour « Que le bonheur comme l'amour sont deux mamelles dont je ne connaîtrais le lait » il faut ajouter qu'il était saoûl « Que lorsque ma famille en sera gâvée ! »

Depuis sa lance, il s'en méfie.

« Kerym ! Je sors ! Je reviens pour dans une heure ! » Maeliss venait de franchir la porte avec des sucreries à la violette pour en distribuer à qui le voudrait.

« C'est moi qui les ai fait Kerym ! » et lui qui répondit « Oui frangine et tu les donnes à qui tu veux » et elle qui sourit « Je connais des gens qui vont aimer ! »

Kerym reprit son ouvrage, le sourire en coin. Cela fait deux jours que sa soeur vivait à ses côtés dans cette petite masure. Cela faisait deux jours que Juan avait disparu

« Il a dit qu'il sacrifierait sa famille pour sa cause ! » et Maeliss avait éclaté en sanglot « Il s'est perdu en route petite soeur, il doit se retrouver » avait il répondu. « Vous ne semblez vous inquiètez pour votre frère » avait ironiquement remarqué Gnaar « Cette route, il doit la franchir seul et personne ne peut l'aider » avait répondu Kerym.

Et maintenant le four et un peu de repos pour notre boulanger.

« J'aimerais... » avait murmuré Naelia « Aimerais quoi? » avait il répondu la gorge sèche « T'aimer... Mais j'ai peur de ceux que j'aime car ... Je suis trop faible pour les protéger » et lui qui enchaine « Je suis patissier, il ne peut rien m'arriver ! » et le baiser aussi ephèmere qu'un battement de coeur.

Kerym passa une fraise sur ses lèvres et ferma les yeux

« Kerym, cette fraise elle est à moi ! » et Lanalia vient d'apparaître heureuse « Lana? » « Qui espère tu d'autre l'ivrogne? » et lui qui répond « Tu semble heureuse ? » « J'ai rejoints ma soeur Kerym, mais... Mais tu n'a pas intêret à m'oublier le rustre ! Et je veux des funérailles ! Je veux des pleurs ! Je veux qu'on me venge! » et elle gloussa

« Kerym? Tu t'es assoupi ? Et.. Mais c'est quoi cette trace d'huile sur ton torse? Tu te masse tout seul? Fi ! »

Maeliss ne sait pas dire exactement pourquoi mais cette trace d'huile de massage... Son frère aurait une galante?


[modifier] Chroniques de vies royales et autres vanités (Il y a dix ans)
[modifier] Introduction

Je m'excuse lecteurs assidus, amateurs de récits et autres badauds.

Je savais l'origine de mes trois héros, je savais qu'ils étaient fils et fille de Roy et je ne vous ai rien dit de peur d'être pris pour un fieffé menteur et de ne plus recevoir de chope lorsque j'entre à l'auberge.

Je vous demande donc pardon. Je vous demande pardon aussi de mettre un terme à mes « Chroniques de vies ordinaires » . Aujourd'hui je vais entamer « Chroniques de vies royales et autres vanités » et afin de vous fidelisez dors et déjà à cette chronique, je vous dévoile le teaser (C'est un mot orc pour dire l'accroche je crois...)

« Chroniques de vies royales et autres vanités » avec dans les rôles principaux:

Juan l'aimé:

Il fait chaud dans le bureau du Roy, assez chaud en tout cas pour qu'il envie les prisonniers des géoles de la fraicheur de leur logis.

Le chancelier pousse un soupir, le nouveau Roy était certainement un bon Roy mais il aurait préferé qu'il soit plus loquace.

« Votre majestée? Je m'excuse ainsi de venir troublé votre reflexion mais le monde ne peut attendre »

Juan se lève et sans mot dire se dirige vers la fenêtre.

« Allons Chancellier de quoi parlions nous? De mon discour d'investiture c'est bien cela? Voulez vous bien me passer mon arc »

Un peu sceptique, le chancelier prend l'arc sur le bureau et le tend à son suzerain.

« Voyez vous chancelier » une corde qu'on bande « Mon règne sera à l'image de cet acte » et la flèche vole vers les vergers royaux et emporte une pomme.

« Clair comme la trajectoire de votre flèche et aussi précis que votre coups d'oeil? »

« Non » et Juan use du sourire colgate « Regardez mieux »

« Et bien... Exceptez une fille qui s'en va avec votre pomme et une flèche, je ne vois rien »

« Un bon Roy est un Roy qui fait pleuvoir les bienfaits sur ses sujets sans qu'ils ne voient la main secourable. Ils ne faut pas qu'ils aiment leur Roy, il faut qu'ils aiment leur Royaume... »

Le chancelier esquissa un sourire. Un grand Roy, voilà ce qu'il voit lui, un grand Roy et un grand règne.

Maeliss la douce:

« Qu'Einhasad entende mes mots et lui marave la tronche à ce mort de mes deux ! »

Si la formulation n'est pas des plus courtoises, elle vibre dans le cimetière alors que la créature hurle avant de s'éffondrer en poussières.

« Petite » sourire Cadmus Bright et Maeliss reprend « Petite tu n'a plus à t'inquiété, les vilains monstres sont parti ! »

La petite fille regarde la royale Princesse remettre ses cheveux en place et puis d'une voix un peu hésitante.

« Ma maman dit que jurer rend vilain ... »

« Ta maman a bien raison mais c'était pas un vilain monstre? Et il méritait pas qu'on lui marave le visage? »

« Euh... Et pis les princesses ça jurent pas... Ca a la bouche qui dit des fleurs... »

« Et bien moi je dis que les princesses; elles ont le droit de jurer... Mais uniquement entre filles... C'est pour ça qu'on le dit pas à tout le monde »

« Mmmhh d'accord ! »

Et la jeune fille tend sa main à la princesse.

Lorsque l'histoire finit et que la petite est avec ses parents, que ceux-ci ont remercié Einhasad par cent fois et embrassé la main de Maeliss jusqu'à la faire briller, une seule question leurs viendra

«Ma chérie... Qui t'a appris ce juron? »

Kerym le franc

« Imagine la maintenant... Elle se dévet doucement et te présente sa... »

Kerym ouvre les yeux en sursaut et regarde son verre d'eau avec frayeur. Il regarde autours de lui avant de revenir au verre d'eau.

« C'est quand même pas toi qui me parle? » regard en coin et méfiance naturelle

« Je ne fais que te murmurer ce que tu rêves tout seul... Remarque elle est jolie la Naelia mais quand même... Tu es un sacré coquin toi » ce n'est plus le verre d'eau mais le mur qui vient de lui parler

« Je peux savoir pourquoi ça n'arrive qu'a moi? Et puis de toute façon mes envies ne vous regarde pas ! »

« Remarque tu regardais aussi en coin Lizael et il fut un temps ou tu ne pouvais te détacher de... » et voici que la lance glousse

« Est ce que je te demande moi qui t'a transpercé en dernier? »

« Canaillou va ! En fait t'es un pervers. N'importe quel humain courtiserait femme de son peuple ou une sombre à la limite, rapport à la poitrine. Mais une elfe? Franchement je comprends pas » c'est autours de la fenêtre de s'en mêler.

« Je préviens que si j'ai encore une seule remarque salace, je mets le feu au château et personne... Je dis bien personnes n'y survivra ! »

La porte s'ouvre et une voix timide murmure:

« Prince... Vous êtes avec quelqu'un? »

« Euh... En fait non...Je ....Je préparais un dernier discours... »
[modifier] Conclusion

Une dernière histoire me demanderez vous?

Une dernière pour la route? Une dernière parce qu'après on ferme le livre alors...

J'aurais bien des difficultés à écrire des mots pour décrire l'agonie d'une famille...

Entendez bien que Juan est parti un matin sans expliquer pourquoi et qu'on le dit mort

Entendez que Kerym est mort un matin de la marque sur ses homoplates et qu'au vu de son visage, il avait souffert le martyr avant de connaître le repos

Entendez que Maeliss ne dit aucun mots et s'enferma dans un couvent pour ne plus jamais entendre autre chose que la prière pour apaiser son coeur meurtri.

Que cette histoire sonne la fin d'un récit et prétend en commencer d'autres.

Ami lecteur bonne journée...

Ami lecteur aurevoir.
[modifier] Mémoires inutiles (Entre dix ans et maintenant)
[modifier] Au commencement

« Juan... Juan... Juan n'ennuye pas Kerym... Tu vois bien qu'il n'aime pas quand tu lui arrache un bras » Maeliss dodeline de la tête comme elle le fait depuis dix longues années « Patiennnnce ! Patiennnnce ! Venez m'aider je vous en conjure ! Ils ne veulent plus m'entendre ! Je crois qu'ils sont morts... » et elle éclate en sanglot, serrant contre elle deux chiffons teints de rouge. Patience , comme chaque jour depuis longtemps, prend dans ses bras Maeliss. Elle lui embrasse le front à cette pauvre princesse déchue de son titre et traitée par l'histoire comme une lâche. « Vous croyez qu'ils reviendront ? Ils m'ont promis de ne jamais me quitter et puis Kerym doit épouser Naelia sinon les elfes ne nous aimeront plus... » Maeliss murmure plus qu'elle ne dit ces mots. « Bien sur qu'ils reviendront Maeliss... Si vous alliez dormir un peu hein ? Sinon vous ne serez pas en forme pour leurs retours » lui répond Patience avant de la mettre au lit.

« Maeliss ? Maeliss ? » Elle ouvre les yeux et retient un cris « Maeliss ? N'hurle pas petit oiseau brisé... Pourquoi as tu peur ? Je ne suis qu'une petit voix dans ta tête ma petite bulle... » et elle se recroqueville avant de demander « Juan ? Kerym ? » puis « Père? » et de se taire à nouveau. « Ils sont morts et il t'a oublié ma petite flute en verre. Je me suis dit que tu étais simplement bien seule et que c'était bien triste... J'aimerais seulement être ton ami. » « Les amis meurent et ils vous font pleurer ! » « Je te promets que je ne serais pas de ceux-là » « Promis croix de bois et de fer sinon ce sera l'enfer? » un temps « Si tu insistes... Promis... »

« Comment va Maeliss ? » s'inquiète la mère supérieur du couvent de l'île au barde. « Elle va beaucoup mieux ma Mère. Elle a quitté cette horrible habitude de nommer ces hardes du nom de ses frères. On l'entend moins pleurer aussi. Je crois qu'elle guérit enfin » lui répond Patience « Qu'Einhasad soit loué » rajoute-t-elle.
[modifier] Princesse triste

« Il était une princesse qui n'avait pas d'amis et elle était très triste. Elle chercha tant et tant qu'à la fin, elle prit conscience que personne n'aimait les princesses » une pleine garnison d'enfants retennait son souffle devant les histoires de Maeliss « Dame Maeliss ! Cessez cet horrible histoire et aidez plutôt ces jeunes enfants à s'habiller » coupa Patience avant que ces enfants n'en viennent à pleurer. Elle était heureuse que la princesse Maeliss aille mieux, elle était heureuse qu'elle ait abandonné ces bouts de chiffons mais pourquoi diable doit-elle toujours conter des histoires tristes.

« Dit ? Petite voix dans ma tête ? Tu es sur que je dois choisir ? J'aimer... » « Maeliss.. Petite amour... On ne va pas revenir sur ce qui a été dit... Deux petits coeur que tu dois cajoler.. Deux petits coeur que tu dois embrasser.. Deux petits frères à retrouver » « Oui mais... Je n'aime pas faire mal.. J'aimerais.. Enfin tu vois... Ne pas à avoir à choisir » « Maeliss et si tu ne choisis pas qui le fera hein ? Qui va se retrouver toute seule et sans frères ? Ne serait ce pas la petite Maeliss ? »

« Nooon ! » les enfants sursautent, Patience s'inquiète et Maeliss sanglote « Je ne veux pas être seule, je ne veux pas rester seule... J'ai peur... » Patience s'agenouille et prend dans ses bras sa petite princesse « Allons Maeliss... Tu ne seras plus jamais seule... Je suis là maintenant... Allons on sèche ses larmes et les enfants venez lui faire un bisoux ! » « Patience... Même si on meurt, on restera ensemble ? » « C'est promis Maeliss.. C'est promis » et la tranche d'histoire se finit.

« Pourquoi les princesses finissent-t-elles toujours seules ? Pourquoi ne peut-on jamais laisser vieillir les gens bien ? » se demandera le lecteur ému « Parce qu'une histoire ne peut être du même bois que son début et que l'on préfère pleurer que rire malheureusement »
[modifier] Les chroniques ressucitées (De nos jours)
[modifier] Voir Heine et mourir

« A l'aide ! A l'aide ! Je vous en supplie quelqu'un » Elle le crie depuis un temps qui lui semble trop long. Elle court les rues d'Heine, cette jeune elfe, poursuivie par ces brutes porcines d'origine humaine controlée (Parfois il reste des doutes). « Allez viens petite salade » rire gras « On va te montrer nos carottes » sont ses seules réponses et son souffle qui s'enfuit et refuse de revenir, et ses muscles qui n'en peuvent plus. Bientôt ce sera finit et Eva sait ce qu...

« Eh les gars ! Si vous vous interessiez à moi à la place ! Je suis pas aussi mignon mais je me défend ». Il fait presque deux mètres, il porte le foulard rouge (D'ailleurs assorti avec sa chevelure rousse insolente) avec nonchalance et il tousse (D'ailleurs si je n'ai pas pas signalé sa toux c'est pour gagner en fluidité. Il vous faudra imaginer qu'entre chaque signe de ponctuation, il y a un « Kof, Kof » importun).

Les cochons (Enfin les humains qui se prennent pour tel) se retournent comme attiré par sa présence, comme si toute l'aggressivité qu'ils avaient se dirigeait vers lui. « Les gars ! Z'avez vu... Le blaireau là avec son mouchoir rouge... L'a une canne à pèche ! » rire gras.

« Grooooouk ! » et se dessine dans l'ombre de Kerym (C'est le nom du rouquin qui tousse) un bison a l'air fier, portant le foulard rouge avec coquetterie. « Exactement Lanalia » sourit Kerym « Je voudrais pas connaître l'auge de leurs parents ».

« Les gars ! On se le fait ! » crie le premier. « Je boufferais son cochon ! » beugle le deuxième « C'est sur qu'il est de la jaquette qui flotte ! » crache le troisième « Il a insulté Maman ! » conclut le quatrième.

Un mouvement et la canne pèche single les c.... de son premier adversaire alors qu'il évite un poing grossier « Frappe les plus fort ! » (La voix qui parle, c'est comme une conscience mais qu'on aurait pas voulu) « Ta gueule toi ! » crie Kerym alors qu'il enfonce un hameçon dans la joue du deuxième larron et le tire vers un mur « Regarde toi Kerym... Tu te retiens... Pourquoi ? C'est l'ordre des choses » et le troisième adversaire lui plante une dague dans les omoplates « Il aurait pu te tuer Kerym... ». Le temps s'arrete alors que Kerym écrase une larme avant d'hurler; un hurlement venant des tripes, un hurlement qui défie la mort, une explosion de rage.

Ses mouvements deviennent plus fluide. Il découvre les boyaux de son troisième adversaire d'un mouvement de pommeau et finit par transpercer son dernier adversaire de la dague qui singlait ses omoplates puis le silence revient et le temps reprend son règne sur un homme vaincu, un homme qui a encore tué. « Je te l'avais dit... Tu es un Saigneur de Guerre, tu es né pour le massacre. Qu'irais tu t'abandonner dans la couche des elfes ? Ce sont des créatures faibles, prend plutôt une sombre et soumet la à tes désirs ! Accepte ce qui est et cesse d'être un enfant capricieux, Eva n'est qu'une garce et ton entêtement est puéril. La mort ne t'a donc rien appris ? »

« Plutôt faire bêler un cheval... » Kerym met un genoux en terre « Je sers ma soeur pas toi. Plutôt mourir une seconde fois que de te servir... » Il regarde autours de lui « Elle est partie sans me dire merci. C'est vraiment une nuit de crachat dans le vent » Il prend appui sur Lanalia « C'est ce qui est de pire quand on meurt, c'est que rien n'a changé depuis ».
[modifier] Histoire de néant

« Tout le monde désire que je sois une fille sage » « Elle ne peut vous recevoir pour l'instant » « Nous nous inquiétons pour toi et ton frère » « Mon fils... »

« Noooon ! Taisez vous ! Vous ne comprenez donc pas ! Je suis mort ! Je n'aurais jamais du revenir ! Mais comment refusez ce cadeau ? Vous ne pouvez comprendre ! » Kerym se réveille et hurle « Jamais ! » avant de se rappeler ou il est. Le sable lui sert de couche et Lanalia vient d'emettre un vague « Gruuut » de mécontentement et surtout il y a le néant.

« Tu vois Kerym, le néant s'est d'ou tu viens. Quand on est mort c'est là qu'on oublie, qu'on oublie ce que c'est d'être vivant » la voix est toujours là comme un battement de coeur en moins agréable « Génial » et Kerym prend une gorgée d'eau mentholée « C'est gentil de me tenir compagnie ce matin » « Kerym, je te sens cynique ce matin. Serait ce tes hormones qui se réveillent? La présence de trop d'elfes autours de toi ? » une bouchée de gateau en réponse « Serait ce Tamirielle et son visage fragile ? Ollinwen et ses sourires maternels ? Serait ce Lizael et son côté femme enceinte petit pervers ? Ou est ce encore Aria qui t'a prise en pitié ? L'absence de Naelia se fait sentir en tout cas... » « Tais toi ! J'ai jamais fait la demande d'une mauvaise conscience et c'est toujours le temps de trancher la gorge pour la faire taire » « Allons Kerym... Tu ne veux pas mourir... Sinon ce serait déjà fait. Maintenant que tu es vivant c'est pas pour mourir encore une fois et laisser ta soeur dans le besoin, si ? »

Kerym se lève sans autres mots et s'étire. C'est vrai que le bilan est pas des plus joyeux. Sa soeur est folle sans doutes possibles, Naelia on sait pas encore quoi dire parce que tout le monde semble dire que c'est pas une bonne idée qu'ils se revoient, Aden est toujours aussi puante de crasses et de corruption et pour finir y a ce coeur qui refuse d'officier plus que pour un enfant et qui menace de rompre à chaque fois. Sans compter que revenir pour voir le monde disparaître c'est pas ce qu'on peut esperer de mieux.

Trois pas et puis... comme une évidence « Je vois plus d'un oeil » l'arrêt et la prise de conscience « Par Eva ! Mon oeil.. Mais.. » « On ne t'a appris Kerym ? Quand un corps n'est plus convenablement irrigué, il connaît des défaillances » et pour la première fois depuis qu'il était revenu, Kerym se mit à pleurer.

Palindaëh, royaume de mon enfance
[modifier] Mythe de la Lune Rouge


La légende raconte qu’il y a de cela plus de 30 ans, tous les enfants nés le jour de la Fête en l’honneur de la grande Shilen, chaque fils d’Homme, aussi puissants puissent-ils être, furent tous maudits par de puissants Oracles drows. Leur progéniture serait alors transformée en serviteur totalement dévoué à la déesse Shilen. Pour se venger de cette traîtrise, on raconte que le Roi envoya ses plus cruels légionnaires pour les torturer le plus longuement et le plus horriblement possible. Elle ne raconte malheureusement pas la fin de cette tragique histoire. Mais ce que nous savons, c’est que depuis ce jour, chaque année à la même période, la lune devient rouge sang, laissant les Elfes Noirs en martyr et les Hommes craintifs.



Mythe ou véritable histoire, les malédictions rendent cependant sceptiques grand nombre de puissants seigneurs ; Avide de richesse et de puissance, ils craignent la magie même s’ils ne prétendent pas y croire, de peur qu’on en face leur talon d’achille. Mais si cela est vrai, et que chaque année il en est de même, alors notre inconscience nous perdra, car de notre sang naîtrait les fils de Shilen.


Les Vengeurs sombres de Shilen marchent déjà sur Palindaëh, et il ne saurait tarder... sur Aden.




[modifier] Les soldats du Chaos

Chaque être vivant de notre planète aurait une âme. Indépendante de notre corps, elle possède pourtant un lien de dominance sur lui car, en effet, c’est elle qui serait responsable de nos actes et de notre caractère.



L’âme possède une part de bien et une de mal, chacune ayant une proportion différente selon nos parents. Les plus grands sages d’aujourd’hui, même sur Oreline se réfèrent à des croyances ancestrales sur la transmission cette source si mystique de force, que faiblesse pour certains. L’âme des progénitures serait en fait une recombinaison de celles des parents, tout comme en mathématique lorsque l’on additionne des proportions. Mais malheureusement pour nous, il y aurait des exceptions à cette règle : les jumeaux. Ils auraient de nombreuses possibilités de recombinaisons allant jusqu’à l’extrême : allant de l’âme la plus pure, à la plus mauvaise, et ils formeraient les soldats du Chaos.


N’étant pas matériel, l’âme reste encore tout un débat quant à son existence, mais certains faits et légendes nous laisse fortement penser que son existence est indubitable. Si un de ces guerriers arrivait à dominer un peuple, puis les peuples, alors la fin du monde saurait venir bien plus vite que nous l’avions imaginé.


[modifier] Légende 'du' fils de Palindaëh

Cela faisait bien longtemps que le royaume de Palindaëh attend la naissance d’un prince, de leur futur souverain. Ce fantasme qui ne cessait de s’accroître pendant ces longues années de règne sans successeur donna naissance à une légende suite à la naissance tellement espérée du ‘fils’ de Palindaëh.


Dans ce royaume prospère, il ne manquait qu’une seule chose pour combler le bonheur des sujets du Roi : un prince. L’annonce de son arrivée sera tardive dans ce couple royal, mais lorsqu’elle est faite, c’est avec un immense soulagement que le peuple repris confiance en leur avenir. La grossesse se passait bien, mais l’inquiétude grimpait dans le royaume : la reine avait des contractions de plus en plus forte, ce qui était une bonne nouvelle, mais… la nuit de la lune rouge approche ! Les meilleurs médecins, ainsi que les plus puissants mages du royaume seront appelés dans un unique but, d’accélérer la naissance avant cette nuit, et que tout se passe bien. C’est vers 11h du soir, lors d’une fête de Shilen que naît le prince de Palindaëh d’après les archives du royaume. A une heure près, d’après les superstitieux, le prince aurait été un de ces soldats du Chaos, et cette naissance au lieu d’être porteuse d’avenir aurait été la plus grande des catastrophes que le royaume est connu. Est-ce un signe ? Mais une tragédie quelques heures après cette naissance est arrivée : la Reine n’aurait pas survécue à cette mise au monde prématurée. L’opinion publique était survoltée, les rumeurs commençaient à apparaître : les médecins les plus renommés, les mages les plus sages, la réussite d’un pari difficile contre le temps, mais alors pourquoi ce décès s’est-il produit ? Y aurait-il eut un détail important de négligé ? Des jumeaux inattendus par exemple ? Le bruit court qu’un deuxième enfant serait né lors des premières heures de cette nouvelle journée dédiée à la Déesse Shilen, laissant le petit démuni de mère naturelle en apportant sa mort. Les filles et fils de Shilen auraient pour première victime leur propre mère, et leur Déesse comme protectrice maternelle.



Les archives des naissances affirment cependant la naissance d’un seul et unique héritier, et que la mort de la Reine serait due aux effets secondaires d’une dépression fréquente suite aux accouchements. La vérité sera emportée dans la tombe de notre Roi.

Mais toujours est-il que les gardes du fameux donjon interdit du château de Palindaëh racontent bien des histoires une fois soul dans les tavernes. Dans celles-ci se trouvent certaines sur un enfant maudit se trouvant dans l’ombre d’un frère chéri, et d’un Roi meurtri. C’est entre ses cris et ses pleurs de désespoir que sa ‘mère’ le console tous les jours avec une promesse, une seule : Celle qu’un jour il aura sa vengeance.


[modifier] Son journal
[modifier] Les Présentations

Je me nomme Khendar et je suis né hors des Terres d’Oreline il y a de cela une cinquantaine d’années. Je ne dois pas être l’unique personne à avoir vécu la vie que je m’en vais vous conter, mais au plus profond de moi je l’espère.


Bizarrement, j’ai beau chercher dans mes souvenirs ou rester longuement pensif devant la tombe de mon père, je ne me souviens pas de ma mère de mon premier cri à mes premiers pas. Je ne me souviens que d’un donjon immense et richement décoré que je n’avais pas le droit de quitter. A vrai dire, je n’ai de souvenir de ma mère qu’à partir de mes premiers mots, l’âge où l’on commence à penser, et à comprendre les premières choses de notre monde.

Petit je ne prêtais pas attention aux différences entre moi et ma mère, devrai-je dire mes mères puisque j’ai eu successivement deux belles et courageuses femmes pour maman. Elles avaient la peau sombre, les oreilles longues, et les cheveux scintillants à la lumière même si elles ne l'appréciaient guère. Je me souviens de la douceur et de la délicatesse de ma première mère, sa voix... seule elle pouvait apaiser mes chagrins. Ma deuxième lui ressemblait tellement, on aurait dit des sœurs, et pourtant, elle était une matrone si dure et si cruelle. Tellement qu'elle m'élevait à son image, pour devenir plus tard son exécuteur. A un âge plus avancé, elle me racontait les horreurs de ma ‘vraie’ mère et de ce royaume pour accroître ma haine: en d’autres termes ma force. C'est ainsi que j'ai appris que c'était en réalité elle qui l'avait assassiné ma ‘mère’, ainsi que mon père. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c'est sans broncher, limite le sourire fourbe au coin des lèvres que j'écoutais passionné ses histoires de violence, de trahison et de guerres autour d'un bon feu. Je sens encore l'odeur de chaire de que contenaient les braises emplir mes poumons.

Un père absent et qui ne m’aimait pas je ne sais pour quelle raison, une mère différente de moi qui arrive trop tard dans ma vie. Shilen, elle au moins était toujours là pour moi, et je dois lui prouver ma gratitude. Après avoir tué sa sœur, ma matriarche me propose une longue et périeuse mission : détruire les rescapés du trône. J’avais 18 ans lorsque j’ai passé les portes de mon château pour m’en aller vers Aden chercher… ma demi-sœur et la tuer. Entre le temps pour arriver jusqu’au royaume d’Oreline et retrouver les traces de celles-ci, plusieurs années se sont écoulées : je dois maintenant repartir sur mes Terres, cette mission était trop facile, et…trop longue.


Ma matriarche pouvait maintenant me nommer Roi, et se prétendre presque Reine tellement elle usait de son influence sur ma vie. Shilen est puissante, et son culte a balayé celui d ‘Einhasad dans mon royaume entre la guerre remporté par les drows, et mon couronnement qui l’officialise.


A la prise de la capitale par les drows, en plus de ma famille, tous les sujets du palais avaient été tués : Autant dire toutes les personnes qui ne connaissaient pas mon existence, mais celle du prince légitime. Je ne le savais pas, mais en réalité je n’étais le Roi de RIEN du tout. Mes éclaireurs m’ont appris la victoire d’un paladin sur une Horde d’Orcs et d’elfes Noirs, c’est un signe de faiblesse de Shilen, notre royaume n’est plus en sûreté. A cette annonce j’ai compris que le pouvoir ne se limitait pas à la portée de main d’un trône, et c’est pour cela que je le laisse aux mains de ma matriarche. C’est en arrivant trop tard pour soutenir les elfes noirs d’Oreline que ce Roi était déjà tombé. Le temps passe-t-il si vite ? Je n’ai pas pris une ride, je me sens toujours aussi jeune, pourquoi ? Pendant le chemin du retour pour mon palais je n’ai cessé de penser à mes facultés plus proches des elfes noirs malgré mon physique humain.

Je pensais être béni de Shilen mais tout rêve a une fin. Ma tête était mise à prix par ma… mère ? Pendant une dizaine d’années j’ai tenté des actions pour reprendre le pouvoir mais en vin, le royaume se décomposait peu à peu : Il ne restait plus rien des vestiges passés des Hommes sur ces Terres. Il fallait me rendre à l’évidence, je devais abandonner Palindaëh pour un autre royaume, et j’ai choisit : Oreline car c’était le seul royaume que je connaissais en dehors du mien.

Avide de pouvoir, j’étais parti de mes terres natales avec beaucoup d’or, et je ne comptais pas m’arrêter-la. J’ai donc cherché dans tout le royaume humain de puissants alliers pour devenir riche mais je ne vous dirai pas comment, sinon je laisserai libre cour à la concurrence. Ca n’a pas été facile de trouver des personnes dignes de confiances et partageant mes idées, d’autant plus que pendant ces dernières années les frontières humaines avec les guerres et les accords commerciaux changeaient sans cesse. Cette année j’ai rencontré une magicienne formidable nommée Sabriel, elle a la faculté de guérir ce qui sera fort utile vu mes projets, et elle a de bonnes relations grâce à sa persuasion : Le charisme des mages dit-on. Le projet l’intéresse, et elle a trouvé du monde pour nous accompagner dedans à commencer par son binôme prophète.


Avec ces deux mages s’accompagnaient un puissant sorcier, qui malgré ces méthodes peu catholiques pourrait s’avérer fort utile. Cependant la magie ne peut pas non plus triompher en toute situation du ‘matériel’ telle que les armes malgré q'elle soit la science de la maîtrise des éléments. Aux trois mages s'ajoutent deux Chasseurs de reliques, deux Seigneurs de guerre, un chevalier noir et moi-même : Nous formerons ainsi le cercle fermé des Pacificateurs.

Kroc
Un article de Le RP d'Oreline.
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Nom : Kroc

Race : Dark Elfe

Sexe : Masculin

Classe : Bladedancer

Alignement : Chaotique neutre

Guilde : "Fils de Shilen"

CM du "Pacte", Porte parole des "Fils de Shilen"



BG

LIVRE I :

Du sang... Des corps... La boue, gorgée de tant de liquide pourpre... Ce soleil... brulant mes yeux et ma peau d'ébene...

Nous devions rentrer avant le levé de cet astre infâme avec lequel je devrait desormais compter. Etre laissé pour mort au milieu de ma section, moi qui ait ete eleve par la matriarche de ma famille, une fille de Shilen. Formé au combat, comme tous les mâles de ma condition, afin d'effecteur ce raid hors de notre cité sous-terraine.

Nous devions prendre notre revanche sur le passé. Nous devions vivre notre heure de gloire dans le monde du dehors !!!

Je ne peut pas rentrer. Je ne puis affronter le courroux et les fouets des femmes de ma famille. Il ne m est pas permis de deshonorer son nom, et je ne le porterais desormais plus. Je suis sans foyer. Il ne me reste que Shilen, et ce monde qui ne veux pas de moi.

Peut etre que les rumeurs sont vraies, peut etre ne suis je pas le seul de ma race a arpenter cette terre... Ais je reellement des freres et des soeurs d infortune ??

Je pourrais me faire un nom ici. Une autre destinée m attends. Il ne reste qu a moi de la decouvrir !



LIVRE II

Sa silhouette se découpait sous fond de claire de lune, a l'entrée de la grotte menant à la cité des elfes noires.Une prière aux levres, il s'avança vers la plaine s'étendant à ses pieds.

Ces derniers mois l'avait vu parcourir bien des regions alentours, cotoyer les fieres Orcs, les Nains calculateurs et industrieux, ces humains libres, une hérésie de plus pour lui, et ces elfes de lumière, si haissables.Ses lames se souvenaient du sang de ces derniers.

Plusieurs sentiments se melangeaient en lui :

La vengeance. Cette brume noiratre sur son âme. Venger ses freres morts de son ancienne cité, ses frères massacrés par des elfes et leurs alliés... cette vengeance qui le guidait jours apres jours...

L'amour. Tout d'abord celle de sa race, l'ayant accueilli dans cette nouvelle ville, parmis eux, comme si il avait toujours été la. Les Spectres, cette confrérie, ses amis, pour qui il vivait désormais. Et enfin, l'amour porté à sa bien aimée, Sisyla, qui lui pansait ses plaies les plus profondes.

La reverance. Envers sa déesse pour qui il mourrait s'il le devait, aupres de qui il esperait trouver une place, un honneur, un nom.

Tous ces sentiments se melangaient et entraient en conflit perpetuellement. Mais d'autres enjeux étaient plus importants que ses conflits interieurs. Son frère de sang et ami Kizzat venait de lui parler de la guerre naissante et de la volonté de Shilen de sortir les lames.

Le Drow leva alors son poing vers la lune : - "Shilen aura donc ce qu'elle veux ! Le sang de ses ennemies coulera ! J'aurais par la même occasion ma vengeance ! Et notre race reprendra sa place qui lui est due depuis toujours ! Puisse Shilen guider nos destinées..."

L'ombre qu'il était rentra dans la grotte, ses lames battant son flanc, pour s'évanouir parmis les ombres...


LIVRE III

Assis pres du trône de chateau Giran, un Drow avait le regard vide. Il venait à peine de quitter la matriarche Savaggia et avait besoin de mettre de l'ordre dans ses pensées. Beaucoup de choses s'étaient déroulées ces derniers mois, s'enchainant à une vitesse folle.

Le tournant était sans doute cette alliance avec les Orcs fiers de la Horde, qui avaient permis la prise de Giran, la principale ville commerciale du continent. La suite n'avait été que gloire et fête au chateau, avec sa promotion au grade de Genéral, bras droit de son frère Kizzat. Ils avaient même réussi à arracher un accord commercial aux nains ! Ensuite, l'aide portée aux Orcs pour la prise de Dion, ou le sang n'avait que peu coulé. La liesse était permanente... et leurs yeux fermés.

La réplique ne se fit pas attendre... et quel désespoir au final ! La perte de leur cité souterraine, le pillage de leur ville souillée par la présence des elfes de lumière! Les deux victoires precédentes ne valaient pas cela. Leur chef pris ses responsabilités, et la genérale Ney pris les rennes du pouvoir. L'alliance avec la Horde devint fragile, et une trève fut annoncée par le nouveau roi Aliscus Cadmus, apres sa prise de Heine.

Depuis, les Sombres léchaient leurs plaies, ruminaient d'obscures vengeances, se rempliant a Giran. Mais le mauvais sort les poursuivaient, comme si Shilen elle même estimait que la punition ne suffisait pas. Lors d'une recherche demandée par la matriarche, les elfes noirs perdirent d'un même coup leur chef et leur diplomate : Ney et Tristan. Le peuple Drow était à la dérive.

Il était alors parti quelques temps seul, tourmenté par ses erreurs. Il retrouva les plaisirs simples de l'errance et de la solitude, jusqu'a rencontrer deux turbulents frhres Orcs, Opsos et Tanos, qui l'accueillirent avec joie. Il redécouvrit la camaraderie de ses débuts. Ils lui expliquerent qu'ils étaient les fils de Valak, et qu'ils se regroupaient et prenaient de l'ampleur au sein des leurs. Il comprit qu'il devait faire de même aupres des siens.

Il y a une lune, Shilen lui apparue en rêve. La troisieme fois qu'elle le bénissait de sa vision. Elle lui ordonna de fonder sa propre famille, de regrouper les plus fideles adeptes du culte et de devenir, avec sa famille, le fer de lance de son peuple! Ils étaient ses Enfants... les Enfants de Shilen !

La matriarche le convoqua et lui dit qu'elle savait, qu'il devait donc prendre la direction des Sombres, les réorganiser et les préparer de nouveau à la guerre et à la reconquete de leur bien le plus précieux : leur cité bénie.

Il se retrouvait donc la, pres de ce trône maudit pour lequel son peuple avait souffert. Ce trône ou Kizzat et Ney s'étaient installés... ce trône qu'il n'osait toucher. Il n'y siegerait donc pas, tout du moins, pas tant que son peuple n'aurait pas recuperé son bien.

Le travail allait être rude, le temps certainement leur manquer... mais, par Shilen, le sang de leurs ennemies coulerait !!!



LIVRE IV

Le Drow referma la porte de la chambre. Voir son fils dormir l appaisait, lui permettant d oublier un instant ses responsabilites aupres de la Matriarche.

Il avait ete serein. Il n etait plus, depuis longtemps, le general de la race Drow, et chaque famille etait redevenue independante. La race etait sauvee. Il y avait eu ces concessions aupres des autres races, concessions difficiles pour un Sombre, mais le resultat etait a la hauteur des efforts. En effet, la cité Drow avait ete nettoyee de la pourriture elfique et une ville cree par l industrie naine etait leur. Il avait alors pu vivre sa vie, partageant la couche de Sisyla jusqu au bonheur de voir une nouvelle vie emerger.

Kroc s etait alors contente de rester le maitre d armes des Enfants de Shilen et la voix de la Matriarche. Il aurait pu essayer de devenir Tetrarche... certains avaient complotes pour le voir arriver la... mais la deesse en avait decider autrement, et ces traitres avaient ete puni de ses mains. Voir son fils grandir dans le respect du a Shilen, voila ses aspiration... jusqu au precedent entretien avec la Matriarche.

Il soupira. Les guerres intestines n avaient pas ete enfouies suffisemment profond. Il savait que ses lames ne resteraient jamais au fourreau, malgre son desir de repos. Il devait faire face a ses responsabilites envers sa deesse et sa Matriarche. Meme si cela ne lui plaiait guere.