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| Sujet: À la belle étoile, au loin dans le pré... Jeu 17 Avr - 11:00 | |
| Leikn n'avait que trop rien à faire, en fait elle aurait probablement du dormir en se moment, mais la fatigue ne venait pas encore à bout d'elle-même encore, et sans trop savoir la raison. Des scènes de baston repassait tranquillement dans ses pensées tout en observant le grand ciel étoilé de mille feu., Après un long moment elle fini par se laisser aller sur une chanson qu'elle avait écrite avec sa défunte mère il y a quelques années déjà, au loin dans le pré...
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, C’est au loin qu’arrive le seigneur, Se grand et valeureux chevalier, Mais tous sembles en pleures, Que s’est-il donc passer, Un groupe de chevaliers amenant, Les berceaux de leurs défunts camarades, Et chantant en cœur leurs vœux et leurs mœurs, Puisse leurs frères d’armes rejoindre l'au delà.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Puis recommence le cycle de la vie, Tel un homme sortant de ses gonds, Mais cela ne fait que débuté, Le chant ne fini pas sur ses émotions, Il doit se relever seul à présent, Montré sa dignité du passé, Reprenant le courage échappé, Démontrant sa bravoure insensé.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Sur les champs de la grande croisée, Mais qui donc reviendra au combat, Avec la tête haute et sans pleurer, Probablement moi si je serais grande, Voulant apporté un aide impossible, Tel les hommes ils sont si insensibles, Pensant qu’à eux ils sèment les peines, Récoltant par la suite que leurs souffrances, Au fond leurs cœurs verses des larmes, Mais devant leur bien aimé ils sont que de glace.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Mon père revient leur montré, Le grand soleil qui les ont réchauffés, Les camarades du grand chevalier, Montant la colline en haut dans le pré, Se recueillant sur les croix qui y sont plantés, Criant leur peine impossible à combler.
Une innocence se montre devant eux, Éclairant le chemin qu’ils doivent parcourir, C’est ainsi qu’ils finissent à se rassembler, Pour enfin prouver se qu’on attend d’eux. Courant dans les champs au loin au grand pré, Tranchant l’ennemi qui revient en surnombre, Mais leur foi impossible à briser, Repoussant ceux-ci en criant leur victoire, Ils marchant à présent dans les champs au loin au grand pré, Ressentant le vent sur leurs visage basanés... |
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