Oreline
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 Les Archives d'Oreline (C4)

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Zarana
The raleuse
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:04

LIVRE I : Mémoires d'un Roi par Alliscus Ier
[modifier] Chapitre Ier : Grandir pour être Roi

Beaucoup de mémoires commencent par les premiers souvenirs de son rédacteur. Pourtant, dans mon cas, il ne peut en être ainsi car mes premiers souvenirs ne sont pas les premiers chapitres de mon histoire. Tout cela commence avant ma naissance. Mon père était un grand Roi. Il avait un rêve, un idéal, la Grande Aden. Ce but était bien sur l'oeuvre de sa vie, faire d'Aden la capitale du Monde, porter le peule Humain à son apogée et il se battit de toutes ses forces pour y parvenir. L'histoire a parfois des caprices qui font d'un homme un héros. Mais qu'est ce qu'un Héros ? Ce n'est certes pas un homme accomplit mais plutôt un nom que l'histoire retient pour sa bravoure et souvent... son destin funeste. Un Héros n'arrive pas au bout de ses rêves et je peux dire que mon père était un Héros. Il tomba lors de l'assaut des Orcs sur Aden. Son rêve devint flou pour beaucoup de gens et tomba dans l'oubli. A cette époque, mon père était attaqué de toute part. En homme sage, il comprit très vite que son seul et unique fils était autant menacé que lui même. Il prit donc la douloureuse décision de s'en séparer. Quelques jours après, il mourut affreusement mutilé par les guerriers orcs. Je n'ai donc jamais connu mon père que par les légendes et les histoires des grands-pères. D’ailleurs, je ne savais même pas qu’il était mon père à l’époque. Non, je ne l’ai su que beaucoup plus tard… En ce temps là, je portais encore le nom adoptif de Neb. Quel nom étrange me direz vous. Oui mon père était enrhumé le jour de ma naissance et je pense que "Neb" n'est que le seul nom à peu près correct qu'il ait pu prononcer. Ce n'est pas toujours facile de parler avec le nez bouché. J’avais quitté la maison parentale pour partir à l’aventure, découvrir le monde et devenir Chevalier. Faran, mon voisin, m’a suivi peu à près. Deux années se sont écoulées avant que je revienne chez mes parents. J’avais grandi, j’étais devenu fort et déjà quelques sombres avaient goûté de ma masse. J’ai rencontré quelques femmes aussi, apprenant l’amour et les premiers instants charnels. Pensant que le moment était venu, mon père m’avoua la vérité. J’étais le dernier de la lignée Cadmus, l’ancienne lignée royale qu’un humain nommé Galaar avait tenté d’effacer de l’histoire. Le poids de cette révélation s’abattit sur moi pendant de longs mois. L’entraînement, l’effort, le goût de la mort sur ma masse étaient les seules choses qui m’apaisaient. L'entraînement jusqu'au bout de soi même permet parfois d'oublier qu'on ne sait pas d'où on vient... Et puis il y eu Floran. Cette petite bourgade non loin de la ville de Dion n'était pour moi qu'une halte entre deux terrains d'entraînement. Presqu'isolée du reste du monde les gens y sont simples et polis. Un étranger comme moi passait souvent inaperçut car il repartait généralement le lendemain après avoir fait des provisions pour la route. J'y suis resté 8 mois et mon coeur y est toujours. Elle se nommait Alicia, veuve depuis très peu de temps. Elle m'a hébergé pour quelques jours au début mais au fil du temps je me suis attaché à son fils puis à la mère. Biensur, il était inconcevable que quelque chose naisse entre nous, l'étiquette et la rumeur du voisinnage ne le permettrait pas, mais parfois il est des sentiments qu'on ne contrôle pas. C'est ainsi que j'abandonnais mon entrainement et mes rêves de grandeur pour m'adonner aux choses simples de la vie. Couper du bois, réparer la masure, partir à la chasse. Ce village semblait être un îlot de paradis sur Oreline. Pour ma part, je repoussais sans cesse mon départ avec de faibles excuses dans le seul but de prolonger notre relation ambigüe. Un jour pourtant je pris la décision de partir vers Aden et de laisser ma chère et tendre Alicia derrière moi. Le royaume n'était plus et déjà des rumeurs parcouraient les terres. Aden était en danger. La disparition du Roi Galaar, la folie meutrière de la Reine, les mouvements Orc et Sombre, autant de raison me rappelant mon devoir du sang. La décision ne fut pas aisé il est vrai mais il me fallait choisir entre être fidèle à moi même et à mes convictions, ou choisir ce qui me semblait être la facilité à l'époque. Je repris la route de Talking Island afin de rallier à ma cause des compagnons d'enfance. Un jour d'automne, sur le marché de l'Ile aux Bardes, des Drows eurent l'audace de s'aventurer sur la place. Sans était trop, il fallait agir. Je fis la rencontre de plusieurs âmes dévouées au Royaume. Les soeurs Fineblade, entre autre, étaient descendantes de l'ancien général de mon père, Hugh Fineblade. Nous formères un petit groupe avec l'intention de ressuciter les grandes Armées Blanches du passé et de donner enfin vie au rêve de la Grande Aden de nos familles. Les Orcs, les Sombres et les Elfes devaient payer. Certains pour avoir envahit Aden, d'autres pour l'avoir tenter et enfin les derniers pour avoir réduit le peuple Humain en esclavage. C'était en ce jour le début de l'ère Humaine.
[modifier] Chapitre II : La naissance de l'Armée Blanche

Notre première action était de défendre Aden menacée par les Sombres. Ces derniers comptaient sur l'assassinat de Galaar pour profiter de la désorganisation de la Garde. Ils voulaient Aden, ils voulaient pillier et brûler notre capitale, danser sur les corps décharnés des habitant de la ville. A l'époque, les restes de l'Armée d'Aden dirigés par le Capitaine Zurack étaient complètement dispersés. Le Capitaine avait disparut du jour au lendemain, le commandement n'était plus assuré que par sa lieutenant Illis et surtout les gardes désertaient les rangs. Aussi, quelle ne fut pas leur surprise de nous voir arriver à l'entrée d'Aden, fin équipés et prêt à tuer du Sombre. Très vite, j'ai pris le commandement de tous les humains présents. J'ai dit ces quelques mots : "Nous sommes ici aujourd'hui non pas en tant que résistants à l'invasion Sombre mais en tant que défenseur du Peuple Humain. Aden est malade et faible, elle a besoin de vous... J'ai besoin de vous." Le courage était dans nos rangs et la fureur de vivre aussi. Les sombres furent mis en déroute et nous ne comptions aucun blessé dans nos rangs. Victoire totale. Je me rappelle encore notre entrée en Aden sous les acclamations des habitants. C'est alors la première fois que je pénétrais dans ce qui allait être ma cité pour de nombreuses années. C'est à cet instant que l'Armée Blanche a ressucité des cendres encore chaudes des feux allumés par les orcs. Nous étions jeunes, forts et invincibles aux yeux de tous, amis comme ennemis. Sans chef, sans loi, sans police, le peuple humain était faible et fragile. Notre armée grandissait de jour en jour et très vite nous avons pris sous notre protection toutes les villes du Royaume. Le secret de ma naissance me pesait mais il était encore trop tôt, je resterais Neb encore quelques temps. Je voulais gagner la confiance et le soutien du peuple avant toute chose. Je ne voulais pas être comme ce demi Roi nommé Galaar qui avait gagné Aden l'arme à la main grâce à une subtile manipulation des foules. Je voulais leur confiance, j'ai eu leur amour. Je voulais Aden, j'ai eu tout un Royaume derrière moi. Dion et Gludio étaient souvent les cibles de raids orc et sombre. Les deux peuples ennemis étant désorganisés, nous avons pu les repousser à chaque fois avec succès. L'armure des cauchemards, dernier cadeau de mes parents, devenait signe de protection pour les Humains et inspirait la peur chez les autres. Implacable, ainsi me décrivait on dans le camp adverse. Au fil des mois, Dion et Gludio étaient pacifiées. Les habitants purent vivre tranquillement, retrouver des habitudes qu'ils avaient perdu depuis trop longtemps. L'Armée Blanche était reconnue des sujets du Royaume, elle était aimée même car ses membres avait toujours à l'esprit que le bonheur des gens était leur vraie mission. Il ne manquait qu'un Roi au tableau mais je ne me sentais pas encore prêt. Nous prîmes nos quartiers en Aden. Une caserne de fortune fut installée et des locaux étaient dédiés à l'organisation des patrouilles. Le financement de nos actions et du fonctionnement de l'armée étaient entièrement couverts par les citoyens de la ville. Acte touchant qui nous donnait la conviction que nous avions une mission sacrée. A la tête de cette Garde, je compris vite que des guerriers talentueux alimentaient nos rangs. Raime, Kiméor, Cethys une prêtresse maniant aussi bien le verbe que l'épée, autant de noms qui resteront à jamais dans notre légende. En parallèle avec mes fonctions de commandant, j'engageais des recherches. Il fallait que je sois sûr de ma naissance avant de mettre en avant mes revendications. Je m'adressais ainsi aux plus éminents sages de la ville afin de receuillir patiemment cette certitude, le sang qui coulait dans mes veines était bien celui de notre ancien monarque. Quand le moment fut venu, que les villes étaient à nouveau sûres, je pris rendez vous avec le Grand Prêtre afin de révéler qui j'étais vraiment. Neb le fils de fermier de l'Ile aux Bardes disparût au fond de moi pour laisser la place à Allicus Cadmus, fils du Roi, Prince d'Aden.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:04

modifier] Chapitre III : Un rêve, un Roi

La cérémonie fut courte et simple. L'époque ne se prêtait pas aux fastes et somptueux festins. Nous étions en pleine lutte pour la survie de notre peuple. Les orcs et les sombres formaient encore une menace qui, même si elle n'était pas organisée, planait sur Aden. C'est en ces temps de trouble et de doute que je m'avançais sous les regards fiers de mes soldats et les yeux incrédules des peuples Elfes et Nains qui avaient eu vent de la nouvelle peu de temps avant ce jour bénie. J'avais passé les consignes pour inviter tout le peuple nains. Ces maîtres forgerons nous seraient bien utiles pour préparer la guerre que nous n'avions pas le choix d'éviter. Aussi, j'avais donné ordre que la bière coule à flot dans Aden pour toute la journée. Beaucoup vinrent. Le cas des Elfes était plus ambigüe. Haissant profondément cette race se disant supérieur en tout point, ces anciens maîtres des Humains, je ne pouvais cependant pas me passer d'une pseudo amitié avec eux. Les Orcs grondaient sur les terres Ouest du Royaume et les Sombres s'agitaient près du Village Elfe au Nord d'Aden. Deux front mais une seule armée à ma disposition. Les Elfes feraient ainsi de bons garde fous en cas d'invasion Sombre... J'ai donc invité une délégation de 4 Elfes à afin de montrer une possible ouverture de ma part sans avoir à les accueillir les bras ouverts. Il semblait que mon geste politique avait marché, les Elfes venaient à moi quelques temps avant mon sacre pour me proposer une alliance. Ce fut mon premier geste politique fort. Sentant les elfes pressés de s'unir à nous, je compris vite que les Sombres formaient des rangs près de leur frontière. Notre politique consistant à banir purement et simplement les Sombres de nos villes à vue, semblait décider ce peuple à marcher sur Aden. Les Elfes l'avaient compris et ils se trouvait sur le chemin des Sombres. Les pourparler furent courts. Je pris les devants en proposant non pas une alliance qui nous aurait mis sur un pied d'égalité avec les Elfes mais une annexion du peuple Elfe en tant que bourgade d'Aden. Il y avait biensur une grande part de moquerie de ma part et je ne comptais pas sur le fait que les Elfes acceptent. Non, je ne voulais que gagner du temps pour fortifier au mieux Aden le temps que les Sombres arrivent à nos portes. Et pourtant... Après mon sacre, je fis un discours enflammé devant mon peuple, mes soldats, les Nains et les Elfes. J'y exposais mon rêve qui était maintenant le rêve de tout un peuple, la Grande Aden. Les Humains devaient retrouver la place qui leur était du dans ce monde. La grandeur humaine d'étendrait jusqu'aux peuples la réclamant de leur voeux. Aden, plus qu'une ville, plus que la capitale du Royaume, la Capitale du Monde pour le bonheur de tous. Les Humains était un grand peuple, à nous de leur redonner leur rôle en Oreline. Mon message était clair, j'oeuvrais pour le peuple en échange de son soutien. La clameur populaire répondant à mon discours fini d'entammer les interrogations des Nains et Elfes. Les Humains avaient retrouvé leur lignée Royale et tout un peuple me soutenait ce qui faisait de moi un Roi reconnu de ses sujets. Après cela, toute l'Armée Blanche vint me prêter serment d'allégeance devant l'assemblée. A cette occasion, Tanella Fineblade prit le commandement de l'Armée Blanche et Illis la seconderait. Là encore c'est un message fort, je représentais un peuple et ce dernier était dévoué corps et âme à ma cause. Un roi fort. Les acclamations célébrant mon ascension au trône durent longtemps. Aden semblait renaître, les Humains relevaient la tête. Pis vint à moi les Nains présents qui m'exprimèrent leurs félicitations. Et enfin la délégation Elfe s'avança et, une fois leurs hommages présentés, demandèrent une audience privée. Cet instant était important car je préssentais qu'ils allaient répondre aux termes très exigeants de mon traité. Ils acceptèrent... A ma grande surprise, ils signèrent pour devenir sujets du Royaume, annexer le Village Elfe au Royaume en tant que province d'Aden, se soumettre aux Lois que j'édictais et participer à l'effort de guerre avec nous contre Orcs et Sombres. La surprise était totale et je n'eus l'explication que quelques jours après, les Sombres venaient de leur déclarer la guerre aussi, ils n'avaient d'autres choix que d'accepter dans son intégralité mes termes peu avantageux et humiliants. Je ris intérieurement, mes ennemis venaient de m'offrir un allié de taille qui sous estimait grandement la puissance de sa magie. Les arts des arcannes Elfes seraient un grand avantage pour nous, un appui de taille tout comme leur habilité à manier l'arc. En tant que sujets, ils me prêtèrent allégeance au nom de leur peuple, s'inclinant devant moi à la grande surprise des gardes présents dans la salle. La croix d'Aden gagnait du terrain en Oreline et s'étendait vers le Nord sur les terres Elfes. Mes ennemis profitèrent de l'afflux des troupes humaines à Aden, chargées d'assurer la sécurité de la ville durant les jours de festivités du sacre, pour envahir la ville portuaire de Giran, forçant mes troupes à reculer. Le continent avait les yeux braqués sur Aden, attendant de voir si les Humains sortiraient vainqueur de cette épreuve de force et ce fut le première erreur des Sombres, celle qui marqua leur fin.
[modifier] Chapitre IV : La suprématie Humaine et l'accomplissement du rêve de la grande Aden.

Les lendemains du sacre furent éprouvant. La mise en place du Traité, rassurer le peuple nain, remanier l'ensemble des Lois du Royaume, tout cela demandait du temps. Pendant ce temps, les Sombres s'installaient à Giran, ville comptoir des Nains, aidés d'une partie du peuple Orc et le monde s'attendait à me voir répliquer. Conscient que je tenterai de porter un coup fatale aux Drows, ces derniers se fortifièrent dans la ville, regroupant toutes leurs troupes en un point. Ils voulaient tenir et se préparaient à essuyer la colère Humaine sur les fronts venant de Dion et du village des Chasseurs. Je laissais la situation durer quelque peu, pensant que cela les épuiserait nerveusement et puis... j'avais une autre autre analyse de la situation. En vérité, j'avais moi même besoin de temps pour mettre en place une réponse fulgurante. Prenant prétexte de répondre d'un geste rassurant aux inquiétudes Elfes de la menace du Village Sombre, j'affectais une partie des troupes de l'Armée Blanche sur leur terres. La moitié pour être exacte, sous le commandement de Tanella Fineblade. L'autre partie de l'armée se voyait tout naturellement cantonnée dans les alentours du Village des Chasseurs pour m'assurer que les Sombres ne tenteraient pas une percée jusqu'en Aden. J'effectuais de nombreux voyages jusqu'à la ligne de front, m'assurant que les ennemis soient au courant de mon intérêt pour Giran. Une toute autre affaire déclencha le point final de mon plan. Ce traité à la limite de l'insulte pour les Elfes avait nourrit les quelques velléïtés qui demeuraient dans les coeurs de quelques uns. Aidés logistiquement par des Sombres provenant de leur village natale, quelques Elfes kidnappèrent un de mes valeureux gardes pour menacer l'accord avec entre nos peuples ainsi que ma propre vie. L'annexion toute fraîche du Village Elfe ne tiendrait pas si je ne répondais pas par un message fort et sans le Traité, Aden redevenait vulnérable. Aussi, j'envoyais un détachement de mes meilleurs gardes pour retrouver les membres de ce complot séparatiste, Dame Lanalia, Messire Raine, Belgarionn et Belean. L'affaire fut très vite résolue. Trois morts sépératistes. C'est à cette occasion que furent nommés les premiers Héros d'Aden, les quatre gardes ayant fait montre d'un courage exemplaire. Je profitais de cette occasion pour m'en servir d'excuse pour définitivement implanter la moitié de mes armées en province Elfe. Les Elfes pensaient à un geste fort de ma part pour leur prouver mon attachement à notre Traité alors qu'en vérité j'avançais mon dernier pion. Un détachement de gardes était aussi affecté dans le village même, afin de me permettre d'avoir une meilleure surveillance des Elfes sous le couvert d'une volonté d'aider les dirigeants à déjouer totalement le complot que je savais terminé. Les Sombres étaient à bout de nerfs, dans une ville qui ne leur était pas familière, s'attendant à voir arriver l'Armée Blanche de Dion et du village des Chasseurs. Les Elfes étaient muselés en punission d'avoir laissé fomenter un complot contre leur Roi. Mes armées étaient divisées à moitié entre le front sud, Giran et ses terres, et le front Nord, le village Sombre, renforcées par les division Elfes mélant magie et archerie. Tout était en place pour répondre à l'audace Sombre. Alors que tout le continent s'attendait à ce que je sonne la charge sur Giran, j'envoyais du front de Giran une missive secrète au Commandant Tanella se trouvant dans la province Elfe en compagnie d'une armée pensant être inutile. Le texte était court mais ne manqua pas de surprendre l'Officier comme elle me le confia plus tard : "Attaquez le Village Sombre, ce soir, les Sombres seront exilés de leurs terres natales". La surprise fut totale pour le monde tout entier. Les Sombres s'étaient beaucoup trop regroupés à Giran pour pouvoir affronter une demi armée et protéger leur village. Giran, ainsi foritifiée, ne leur permettait pas de lancer une rapide offensive sur ma demi armée basée au Village des Chasseurs. En quelques heures le sort des Sombres fut scellé et son peuple anéantit. Le Village était à nous et l'Officier avait même surpassé mes ordres. Femmes et enfants furent exterminés afin de garantir que le peuple Sombre ne soit plus une menace pour les Humains. Beaucoup pensent que l'ordre venait de moi et même encore aujourd'hui. Pourtant, je ne pouvais que déplorer ces actes. Aden n'était pas conquérante, elle ne cherchait qu'à se défendre. Une fois l'opération terminée, j'entendis à quelques kilomètres de ma tente, les Sombres hurler de rage en apprenant la nouvelle. J'avais devant moi une pitoyable armée n'ayant même plus de chez soi à regagner. Les Drows étaient vaincus, complètement anéantis par cette attaque auquel personne ne s'attendait. Dès que le temps me le permit, je gagnais le village ennemi pour poser pied sur leur terres. Je le confiais en gestion à la province Elfe afin de les satisfaire de quelques terres en plus et surtout m'éloigner autant que possible de cet endroit malsain. Le futur m'en donna raison d'ailleurs quand une épidémie mystérieuse gagnait les Elfes et quelques sujets Humains. J'aime à dire qu'en partant du village Sombre, le Neb que j'étais y resta pour danser sur les cadavres alors que le Roi regagnait son trône. Cette image marque bien qu'en tant que souverain mes aspirations étaient plus hautes, que j'avais à coeur le bonheur de mon peuple plus que le malheur de mes ennemis. Dans tous les cas, cette prise marqua les esprits des Orcs et des quelques Sombres survivants. L'Armée Blanche leur inspirait la peur et le respect pour notre ingéniosité et notre force. La Paix n'était pas signé avec ces peuples mais on peut dire sans conteste que je l'ai gagné à leurs dépends. La Grande Aden pouvait donc s'imposer comme la société idéale pour les Humains et les Elfes aux autres villes du continent.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:04

[modifier] Chapitre V : l'Empire d'Aden ou la progression de la Grande Aden aux peuples d'Oreline

Mon peuple était maintenant à l'abris sous l'ombre imposante de l'Armée Blanche qui toujours victorieuse ne cessait de recruter des sujets désireux de participer à l'aventure. Les Elfes s'étaient contentés des miettes du Village Sombres et les nains se frottaient les mains en voyant nos commandes pour l'armée défiler. Une seule frontière existait alors, celle séparant mon Royaume de Giran et du pays de Heine. Mon regard se portait alors sur le Royaume de Heine. Ancien royaume à l'écart du monde depuis plusieurs années, Heine avait perdu son Roi et était dirigé par l'Intendant. Peu regardant envers son peuple, ce dernier préférait s'occuper de ses conditions de vie plutôt que de celles de ses sujets. Jadis construit par les Elfes et les Humains dans une collaboration qui m'échappait, Heine devait tomber pour le bien de son peuple. Pour cela, j'avais une nouvelle fois besoin des renfort des sujets Elfes. Il me fallait toujours contenir les Sombres et les Orcs confinés dans Giran et je ne pouvais trop répartir mes troupes en différents endroits. Les Elfes, ayant reçu récemment le Village Sombre comme rétribution selon les termes prévu par le Traité, durent donc nous accompagner vers le Sud. Non content de ne pas avoir à exposer la vie de mes hommes aux mystères du Village Sombre, le confier aux sujets elfiques m'offrait aussi l'avantage de pouvoir refuser la juste et logique demande de gestion qu'ils pourraient formuler pour le Royaume de Heine. Tout était prêt, nous pouvions offrir au peuple de Heine, une libération qu'il attendait depuis des dizaines d'années. La prise de la capitale fut propre et rapide. Seuls quelques gardes opposaient de la résistance et l'aura de l'Armée Blanche finit de les convaincre. En quelques heures, nous nous retrouvâmes dans le temple d'Eva regardant partir au loin le frêle esquif partir au loin, voguant sur la mer. L'intendant nous avait échappé mais au moins il ne maltraiterait plus les habitants de Heine. Je déclarais Hein province d'Aden sous la clameur de mes nouveaux sujets. C'est à ce moment qu'un de mes gestes fut mal interprêté par mes sujets de terres du Nord. Je décidais d'élir domicile résidenciel dans le temple d'Eva à fin de mieux comprendre les Elfes en logeant dans le temps de leur déesse. Certains pensèrent à la provocation alors qu'il n'en était rien. Depuis plusieurs mois, les Elfes avaient respecté le Traité à la lettre, aquiescé à mes demandes, aidé dans l'effort de guerre. Après l'épisode épique du Village Sombre, une question vint me taroder l'esprit. Et si les Elfes avaient un honneur et un sens du devoir que leur attitude au combien hautaine et prétentieuse cachait par des traits extérieurs ? A ma grande surprise, j'oubliais peu à peu les histoires au coin du feu que me racontait mon père adoptif pour éprouver une certaine admiration pour ce peuple, si digne, à qui j'imposais de lourdes condition pour survivre. Paradoxalement, alors que certains Elfes se levèrent d'indignation contre ma décision de prendre retraite dans le temps d'Eva quelques jours par an, c'est ce jour là que je décidais de rendre peu à peu leur liberté aux Elfes pour nous diriger vers une Alliance d'égal à égal. Cette journée se termina par une grande fête sur la place principale de Heine, regroupant Hommes de différentes provinces et Elfes. Les festivités durèrent trois jours. Profitant que mon attention était tournée vers Heine depuis quelques jours, les Orcs jouèrent un coup audacieux. Ils quittèrent Giran et envahirent Dion qui se trouvait non loin. Les gardes en poste dans la ville n'eurent d'autres choix que de se réfugier derrière les épais remparts du Château provincial. Pour plusieurs de mes sujets, cette nouvelle sonnait la reprise de la guerre voir même pour les plus extrémistes, l'extermination des Orcs comme il en fut pour les Sombres. Pourtant je ne fis rien si ce n'est demander au Chef des tribus Orques de relacher sans conséquences les résidents du château et les membres de l'Armée Blanche s'y trouvant. N'ayant jamais voulu que la sécurité de mon peuple, je promis aux Orcs de leur laisser la ville. Ce peuple avait connu une très forte expansion démographique depuis quelques années et il me paraissait normal de concéder une ville et quelques terres plutôt que de payer de nombreuses vie une reprise de Dion. C'était aussi un moyen pour moi de montrer à ce peuple que la Grande Aden n'était point une vision de conquête mais un doux rêve de paix et de sécurité pour ses peuples. Mon peuple était las, ses familles étaient fatiguées et d'autres pertes n'auraient pas servis notre idéal. La Grande Aden rayonnait du Village Sombre à Heine, d'Aden à l'Ile aux Barbes, il était amplement temps de profiter de ces années de labeur, d'apporter un système social à tous les sujets.
[modifier] Chapitre VI : Les Lumières de La Croix Aden

Si j'avais à revivre quelques jours, je choisirai sûrement ceux là. Ils comptent pour moi comme les plus représentatifs de ce qu'était mon rêve. Le royaume était alors baigné dans la paix, le respect entre trois peuples qu'étaient avant les Humains d'Aden, ceux de Heine et les Elfes. Partout dans chaque villes, des institutions étaient mis en place, des écoles, des collectivités agricoles, des centres de formation, etc... Le peuple recevait enfin sa juste récompense pour ses années d'efforts et de guerre. Les naissances allaient bon train, l'Armée ne recrutait plus autant qu'avant et les peuples avait ses Héros, ses légendes. Mon travail semblait vouloir ralentir de lui même. Les Orcs étaient restés à Dion, les Drows vivaient au crochet des Nains dans la ville de Giran et les Elfes veillaient bien à ne pas attirer mon attention et lutter contre leurs concitoyens que le Traité expaspérait. Tout semblait calme dans le Royaume, chacun profitant de la vie qui semblait être plus légère qu'auparavant. J'eu donc plus de temps à moi et j'entrepris de me lancer dans des recherches qui allaient boulverser ma vie. Depuis plusieurs mois, j'observais mes Gardes les plus fidèles. Chacun avait son caractère propre et à force de vivre l'éclosion du rêve de la Grande Aden, je les considérais commes mes enfants. Certains même semblaient au fur et à mesure des années me ressembler de plus en plus. J'eu vent de la rumeur qui voulait que je sois le père des frères Juan et Kerym et de leur soeur Maeliss. Avec le temps, cette idée me traversait l'esprit de plus en plus fréquemment. Ils avaient l'âge conrespondant après mes premières expériences amoureuses au départ de l'Ile aux Barbes. Les cheveux étaient de couleur feu tout comme les miens et un air conquérant se dessinait sur le visage de Juan au fil qu'il prenait de l'âge. Enquêtant très discrètement sur cette folie, cette probable moquerie du destin qui aurait voulu que mes enfants se retrouvent sous mes ordres et se distinguant par leurs faits d'armes, quelle ne fut pas ma surprise de voir les premiers éléments concorder parfaitement. Intrigué au possible par cette farce de la nature, je décidais d'envoyer un peintre avec pour secrète mission d'observer leur mère logeant dans une province éloignée d'Aden et de m'en rapporter les traits sur papier. Le visage, les yeux, tout cela me disait quelque chose. Il fallait que j'en ai le coeur net et je pris la route secrètement pour déterminer si oui ou non j'avais une décendance. Finalement la paysanne était une ancienne maîtresse de laquelle je gardais un souvenir poignant. L'étiquette très stricte et les rumeurs allant bon train, je n'eu malheureusement pas le courage de faire face à la mère de mes enfants. Après tout, quelles responsabilité avait elle du subir seule, sans jamais venir me parler de tout cela. Savait elle vraiement qu'elle avait enfanté de Princes et d'une Princesse ? Est ce à moi de lui dire ? Devrais je boulverser sa vie sous prétexte que j'étais Roi. Est ce mon droit ? Tant de questions se bousculait dans ma tête, si bien que je choisis de laisser la pauvre femme en paix. Je fis donc officiellement la reconnaissance de Maeliss, Juan et Kerym comme étant miens et ils prirent le titre de Prince d'Aden. Juan prendrait ma relève quand l'heure serait venue. Le Royaume Humain était donc comblé, il avait un Roi, un peuple et un avenir.
[modifier] Chapitre VII : Les regrets d'un Roi

Un Royaume comblé mais un homme seul. J'avais mené tout un peuple vers la victoire, la prospérité et la paix. J'avais uni des races et repoussé d'autres mais pourtant, en moi, l'homme et le Roi ne pouvaient plus cohabiter ensemble. L'un semblait accomplit, l'autre était pour ainsi dire vaincu. J'avais été un grand Roi mais un piètre père. J'avais réussi pour Aden et échoué pour moi même. Bien qu'étant de mon sang, Juan, Kerym et Maeliss n'étaient pas mes enfants. C'est la cruelle leçon que je retirais de la révélation de notre lien du sang. D'ordinaire, j'excellais dans l'art de soulever les foules par mes paroles. Face à trois personnes, j'avais pourtant échoué. Impossible de trouver les mots pour me lier à eux comme pour les lier à moi. J'avais leur amour certes mais l'amour qu'un sujet donne à son Roi et non à son père. Un tel fossé nous séparait que je chus dedans la tête la première. Non, je ne pouvais être leur père, je ne pouvais leur apporter qu'un Royaume et non une famille. La nuit suivant notre conversation, s'était terminée de la seule façon que nous connaissions, en suivant l'étiquette, je ne dormis pas. Mes yeux refusaient de se fermer comme pour protester contre cette cruelle révélation. J'étais entrain d'échouer face au plus grand challenge qu'un homme puisse connaître, la paternité. Les heure passaient et mon esprit tentait de remettre en ordre cette étrange situation. Père et trois enfants que tout nous sépare. Roi, Princes et Princesse. Comment apporter ce que je n'ai pas à leur offrir ? Ai-je réellement raté ma vie ? C'est le petit matin. Les premiers rayons du soleil caressent délicatement la crête des vagues du port de Heine. Je regarde par la fenêtre cette étendue d'eau si vaste et pourtant si calme. Je porte mon regard sur ces pages que je viens d'écrire durant toute la nuit. Une vie résumé en quelques pages, et quelle vie ! Beaucoup en rêvent, je l'ai moi même appelé de mes voeux durant plusieurs années. Etre Roi. Pourtant, même si l'histoire se souviendra de moi, je sens comme un vide. Un jour, j'ai dit à mon Commandant Belgarionn et quelques gardes que l'Amour était le ciment de toute vie. Aujourd'hui je comprends qu'être père, aimer et être aimé sont peut être les seules choses qui comptent pour un homme. Ma vie n'est pas encore faite, je peux toujours prendre en main mon destin. Je pensais avoir vaincu le plus grand défi qu'un homme puisse rêver mais je passais entièrement à côté. Juan, Kerym, Maeliss je n'ai pas su voir que vous étiez mon défi, pardonnez moi. Je vais tout reprendre à zéro maintenant. Le Royaume est entre de bonnes mains plus rien ne me retient donc ici, je n'ai pas réussi à être votre père et je le regrette amèrement. Je m'en vais au loin retrouver la femme que j'aime, lui faire des enfants et... être leur père. Ainsi s'achèvent les Mémoires d'Alliscus Ier et ainsi Neb reprit la route en laissant Alliscus sur son trône d'or et d'argent au milieu de cette réalité qu'est devenue la Grande Aden.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:05

[modifier] [modifier] [modifier] [modifier] [modifier] [modifier] Chapitre VII : Neb et le fermier

[modifier] [modifier] [modifier] [modifier] Chapitre VIII : Une nouvelle vie

Dix ans s'étaient écoulés. Une ferme, une femme et bientôt un fils, Astrien. C'était une vie paisible garnie de plaisirs simples, les premiers rayons du soleil caressant la peau de sa femme, un dur labeur pour nourir sa famille, un bon repas, une bonne sieste à l'ombre d'un chêne centenaire, des jeux avec Astrien voilà à quoi ressemblait la vie de Neb maintenant.

Les nouvelles mettent parfois beaucoup de temps à parcourir les terres. Elles doivent d'abord parcourir tout le royaume, passer les frontières Elfes. Au fond d'un champ de blé, entre une petite rivière et des rangées de légumes, à droite du chêne centenaire, elles parviennent finalement dans une petite ferme. Elles prennent parfois la forme de cris sur le marché publique, de missives qui circulent à la main de messagers mais aussi, quand le coeur leur en dit, elles aiment à se déguiser en paysans...

Alliscus coupe tranquillement du bois à l'aide d'une de ses anciennes épées. Il faut dire qu'elles ne servent pratiquement plus depuis son départ du Royaume d'Aden. Dans la maisonnée, Alicia travaille tranquillement sur la table, préparant à l'aide de cuir et de laine un habit chaud pour l'hiver. La taille est minuscule et l'on entend très vite le gazouillement de son futur propriétaire qui émane du sol. Alicia tourna légèrement la tête et posa son ouvrage sur l'enfant comme pour juger de la longueur des manches.

Astrien, tiens toi tranquille s'il te plaît !

Satisfaite, Alicia entreprit de ralonger quelque peu la petite veste.

Dehors, une voix usée par le temps et les différentes moissons interpella Alliscus : Neb, tu viens m'aider à lever la charette ? Ses roues se sont encore coincées dans le trou du bord du chemin !

Alliscus sourit. Le vieux Pompart Du Chateau, comme l'appelle les gens ici à cause de sa batisse qui est la seule en pierre du coin, avait toujours l'art de se mettre dans des situations inextriquables. Il posa l'épée sur le billot et parti à la rencontre du vieux paysans.

Tu sais Pompart que ta femme ne veut plus que tu conduises la charette tout seul... dit-il ironique. Tous deux avaient pour habitude d'enfreindre ensemble les recommandations de leurs femmes respectives, seulement, devant Alicia, il fallait jouer le jeu.

Les deux hommes partirent vers la charette pour la déloger de son trou. En chemin, ils discutèrent des dernières nouvelles de la ville que ne manquait de colporter Pompart à chaque fois qu'il revenait. Le vieil homme avait d'ailleurs remarqué qu'Alliscus était toujours friand des nouvelles sur le Royaume d'Aden mais que bizarrement sa femme ne voulait pas en entendre parler. Il profita d'être seul avec Alliscus pour le mettre au courant des faits marquants : la Légion, l'interdiction des Elfes et enfin le départ de Lucifer Kira.

Une bonne heure plus tard ...

Alliscus revenait à la petite ferme, le visage légèrement préocupé. Alicia porta un regard inquiet sur son mari. Neb ne voulu pas parler, il prit juste Astrien dans ses bras, sans mot dire et posa un baiser sur le front de son fils.
[modifier] Chapitre IX : Retour en Aden

"Et surtout fait attention en chemin" La voix douce d'Alicia se perdait sur les vertes plaines entourant la petite ferme. Neb souriait de plus belle à sa femme tenant son fils dans les bras. Un sourire qui voulait dire qu'elle ne devait pas s'inquiéter. Pis il regarda son compagnon assis à l'avant de la charette, Le Vieux Pompart du Chateau. Sans mot dire, ce dernier lui rendit son sourire puis jeta un oeil vers le sac qu'avait posé Neb dans l'arrière de la voiture. "Ce n'est pas un peu trop lourd pour quelqu'un qui va chercher de nouveaux plants de pommes de terres fiston ?" lui lança avec un brin d'humour le vieil homme. Alliscus sourit avec éclat. "Nous allons à Aden Pompart. Il y a un tournoi que je ne veux manquer pour rien au monde."

Pompart du Chateau rit quelques instant. Se cacher de sa femme pour aller assister à un tournoi dans la grande capitale ressemblait bien à Neb. Faut dire que la mégère ne manquait aucune occasion de réprimander son mari quand ils abordaient des sujets comme Aden, le Roi ou de simplement croiser le fer.

Le voyage ne dura pas plus de trois jours. Durant ce temps, les deux amis discutèrent de tout et de rien. Les cultures, le répresentant du village, la moission de l'année dernière, tout était sujet à plaisanterie avec ces deux là. Pompart ne parla cependant pas d'Aden. Il entendait bien les cliquetis que faisait le sac de Neb à chaque trou ou bosse sur le chemin. La veille d'arriver à la Capitale, autour du feu, sa curiosité prit le dessus. "- Tu penses combattre fiston ? Tu penses vraiment pour d'inscrire au tournoi royal ?"

Neb prit un air réservé et ne répondit pas.

" - Allons mon fils, ta donzelle s'en apercevra, tu le sais. Comment pourras tu expliquer blessures et autres cicatrices ?

- Attends moi là Pompart. Je vais te confier un secret."


Neb alla chercher son sac et revient vers le feu de camp. Là, il en sortit le plastron rouge et noir de l'armure des cauchemards qu'il tendit à Pompart du Chateau. Le vieil homme écarcilla les yeux et sourit allègrement. "- Ba dis donc mon p'tit gars. C'est de la très belle ferraille ça ! Elle doit être presqu'aussi belle que celle du vieux Alliscus !" Neb regarda Pompart avec des yeux attendrissant. Cacher un secret si lourd pendant dix ans n'avait pas été facile. Mais maintenant ce n'était plus utile. Pompart était son ami ou plutôt c'était l'ami de Neb, pas d'Alliscus. Il ne risquait plus rien à lui dire la vérité. Une à une, Neb fixa les parties de l'armure sur son corps. Une fois habillé, il regarda Pompart dans les yeux. Enfin, cela est inexacte, Alliscus regarda Pompart dans les yeux. "-Crévin dieux ! On dirait l'ancien souverain ! Tu lui ressembles trait pour trait. Si je ne te connaissais pas depuis 10 ans je jurerai voir Alliscus en face de moi." Le vieil riait aux éclats pendant qu'Alliscus laissa l'idée faire son chemin dans l'esprit de son ami. Finalement Pompart réalisa qu'il avait vu Neb pour la première fois deux semaines après la disparition du souverain. Il comprit. Pompart ouvrit la bouche mais aucun mot ne sortit dans un premier temps. Il avala une bouffée d'air prit éclat de rire.

"-Ba dis donc, on peut dire que t'es un sacré cachotier mon gars ! Cacher un truc comme ça au vieux Pompart, faut être doué !" Alliscus, touché par le sourire de complicité du vieil hommme, sourit un peu gêné.

"-Allez, enlève moi ça avant que des brigands de grand chemin ne viennent pour nous détrousser. Assieds toi et raconte moi un peu ton histoire." lui lança dans un geste amical Pompart.

* Aden.

Le chemin qu'empruntait Alliscus pour la première fois depuis dix ans avait bien changé. Non, pas les ravages du temps, mais il manquait quelque chose, une étincelle. La croix d'Aden était là mais elle ne semblait plus disperser sa lumière au quatre coins du continent. Les gens circulaient dans les rues mais leur pas n'étaient plus serein, ils avançaient vite sans regarder leur prochain, le regard baissé. Les pierres blanches de la cité reconstruite avaient perdu leur éclat. Il semblait que le voile des années s'était posé sur la cité et sur ses gens. Trop occupés à vaquer à leur occupations quotidiennes, personne ne remarqua l'armure sang et ombre d'Alliscus. Aden semblait ne pas se souvenir de lui et Alliscus ne reconnaissait pas le rêve qu'il avait quitté. Il cherchait des yeux les enfants jouant dans les rues recouverts de rouge et noir, luttant contre leurs camarades habillés de vert, reconstitution infantile de la grande bataille d'Aden. Disparut aussi les vieils hommmes assis sur les bancs, racontant les légendes aux femmes revenant des nombreux marches de la ville. Les ombres semblaient avoir gagné les ruelles, drapant les murs de saleté. La grande place avait cédé aux marchands ambulants et aux mendiants. Les drapeaux rappellant les victoires passés avaient été détachés des murailles et les statues semblaient n'avoir plus rien à raconter.

Pompart lança timidement "ça a bien du changer depuis la dernière fois que tu es venu, non ? Faut dire aussi qu'un rêve peut mourir en dix ans si plus personne n'y croit..." Puis il fit claquer les rênes sur le dos des chevaux pour accélérer le pas, voulant épargner au mieux cette vision à son ami. Il tourna sur la gauche et prit la route du Colisé.

* les trompettes et les tambours

La foule s'était entassée dans les gradins. Des cris et des chants recouvraient parfois les annonces du crieur qui présentait un à un les participants. Alliscus franchit l'entrée magistrale du Colisé au milieu des autres gens. Pompart avait préféré rester à l'extèrieur, prétextant que Neb devait y aller seul. Neb s'approcha d'un garde. Ce dernier sursauta en voyant approcher Alliscus. Sans lui laisser le temps de dire un mot, Alliscus l'envoya prévenir la Reine de son arrivée. Le garde l'invita à le suivre et ils se dirigèrent dans les couloirs vers la tribune royale sous les regards étonnés des gardes plus anciens reconnaissant leur ancien Souverain. Gina était drapée d'une somptueuse robe. Elle céda à la surprise d'une silouhette famillière vieille de dix ans. Gina était anciennement sous les ordres d'Alliscus, aussi, Alliscus veilla bien à la traiter comme ce qu'elle était aujourd'hui et non hier. Une surprise de taille attendait Alliscus dans la tribune surplombant l'arène. La fille d'Illis. Prit d'émotion, Alliscus ne prêta pas attention à l'homme se trouvant à côté, vêtu avec luxe mais sans stature. Il échangea rapidement avec Illis, lui parlant de sa mère, morte pour leur rêve de la Grande Aden et amie chère à son coeur.

Puis Gina lui présenta le nouveau Souverain. Alliscus regarda Melgib de haut en bas cherchant désespérément une trace de royauté sur cet homme. Il semblait frêle et chétif, colérique et vautré dans une richesse qui ne lui appartenait pas. Leur échange fut bref et sans saveur. Alors que le premier match commençait, Alliscus se fit la remarque que la capitale devait avoir la faculté de s'accorder à son dirigeant. Le tournoi en lui même était peu intéressant bien que certains combattants avaient offert un spectacle superbe. Très vite, le champion du Roi avait mordu la poussière, s'accordant avec l'image qui émanait de son Souverain. Illis avait montré toute la grâce en combat dont pouvait faire preuve sa mère, le tout mêlé avec audace et combativité. Elle avait finalement gagné la compétition faisant par la même remporter un pari à Alliscus. La somme d'ailleurs fixée, bien que raisonnable avait porté à discussion. Le Roi, vêtu dans une tenue aussi élégante que chère, avait prétexté que le Royaume avait les caisses vides. Cruel paradoxe ainsi démontré pour Alliscus. Comment se drapper d'autant de richesse alors que le Royaume cri famine ? Durant cela, le roi était partit sans dire un mot ni saluer son ancien prédécesseur. Digne d'un Roi ? Non. Digne de l'image que montrait Melgib ? Oui. Voilà la pensée qui parcourait l'esprit d'Alliscus bouillonant de voir son rêve ainsi exploité et spoilié.

Une fois le prix remis, Gina avait exprimé l'envie de s'entretenir avec son ancien Roi. Ils s'isolèrent en compagnie d'Illis et elle lui révéla les problèmes du Royaume. Alliscus savait qu'il ne devait pas s'impliquer dans les affaires du Royaume. Il ne pouvait pas. Il l'avait promis à Alicia et Astrein. Pourtant, pendant un bref instant, Alliscus revint, chassant Neb et sa famille aux confins de son esprit.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:05

* Il avait parlé en Roi.

Le rêve de la Grande Aden, le devoir de protéger et porter au plus haut point le peuple humain. La nécessité de souffler sur les braises encore fumantes de cette vision pour la faire renaître. Il avait craché sur la médiocrité du nouveau roi, sur l'inaction et l'appropriation des biens du Royaume pour une cause personnelle. Il avait même démontré ses dires à Gina en interrogeant un simple soldat. Ce dernier ignorait la signification du rêve de la Grande Aden et se battait pour le couple royal et non pour protéger son peuple. Un discours enflammé, ponctué de gestes éloquants et appuyé d'un regard inquisiteur. Il avait tant donné pour ce rêve qu'il ne pouvait accepter qu'il soit foulé de la sorte par celui qu'il nommait le "petit roi". Pour finir, il avait exorté Gina de faire revivre au peuple Humain les heures de gloire qu'ils avaient connus ensemble et ce, quel qu'en soit le prix.

Alliscus céda la place à Neb et ce dernier, après avoir dit aurevoir à Gina et Illis, revint vers la charette de Pompart. Ils prirent la direction de la petite ferme. "Je t'ai trouvé des pieds de pomme de terre fiston. Comme ça ta femme sera contente" dit Pompart en ajoutant un clin d'oeil complice. Neb tendit une bourse de cuir neuf aux abord tissé de fil d'or à son ami. Pompart l'ouvrit et s'exclama : "mais y a au moins un million, c'est beaucoup trop Neb !

- Garde le Pompart, je préfère savoir cet argent dans tes mains que dans celles du petit roi".


[modifier] Chapitre X : Le Roi est mort, vive le Roi !

Il est tard. Le soleil a depuis longtemps arrêté de poser ses rayons ardents sur la chaume de la petite ferme quand Neb pousse la porte donnant sur la pièce principale. Alicia est là, devant la cheminée, le regard plongé sur des braises froides depuis plusieurs heures. Neb ne dit pas un mot et rentre, pose son sac contenant son armure sur la table et s'assoit devant son assiette contenant un peu de soupe froide.

- "Je présume que je n'ai pas à te poser la question..." dit-elle.

Un long silence pour seule réponse.

- "Tu sais, j'aurais peut être préféré que tu ailles voir une autre femme plutôt que tu retournes là bas." Alicia remet en place la longue mèche qui couvrait son regard. Pas besoin pour Neb de jeter un regard pour savoir que ses yeux étaient injectés de sang, fatigués et mornes. Elle avait pleuré évidemment.

Neb ne répond toujours pas et serre les poings. Comment lui dire... Des mots fusent dans son esprit mais aucun ne trouvent la sortie vers sa gorge. Des mots, des phrases, ils forment un tout, un dialogue avec lui même. Pendant ce temps, Alicia reste là, comme si elle n'avait pas besoin d'entendre ce qu'il avait à lui dire pour participer à la conversation.

Alicia, cela fait partie de moi. J'ai essayé de tout réprimer de vivre heureux avec toi et notre fils, j'ai vraiment essayé de tout mon coeur. Si tu veux savoir, parfois, j'ai l'impression qu'il existe dans mon coeur deux personnes. Neb et Alliscus. Qu'elles forment un tout. Quand je suis avec toi, je me sens entier, comblé. J'aime vraiment notre vie et il ne me manque rien. Mais il y a cette autre personne en moi aussi. C'est Alliscus qui m'a poussé à aller là-bas. C'est lui qui a parlé à tous ces gens. C'est lui qui a donné des conseils, c'est lui qui s'est ressenti vivre sous le regard des autres. C'est lui, Alliscus... Mais lui c'est aussi moi et cela m'a comblé tout autant. Mais maintenant que je suis revenu, je regrette mais je sais bien que si je repars à nouveau ce sera la même chose. Alicia je t'aime mais j'aime aussi mon Royaume.

Le rythme des mots s'accélère et peine à exprimer ses idées. Les émotions prennent le pas sur les phrases : des coups de poignards dans le coeur, des vagues de chaleurs remontent dans son corps, des éclairs, etc... C'est une tournade d'émotions, balotant son coeur de tout les côtés, le malmenant au point de rupture.

*Le calme soudain*

Une larme naît au coin de son oeil droit et court sur sa joue. Lui tournant le dos, Alicia semble être si loin de lui.

*La larme s'écrase sur le sol produisant un vacarme retentissant au milieu de cette mer de silence*

- "Je t'aime Neb mais c'est terminé"

* Le monde s'écroule


Alicia se lève et prend un sac à la main et dit ces mots qu'il n'oubliera jamais. Ces mots d'une simplicité pourtant si claire mais pourtant si durs. Ces mots sur lesquels on ne revient pas.

- "Tu as brisé ma vie, adieu"

En quelques secondes, Alliscus se retrouve seul au milieu de la petite salle de la chaumière. Le claquement de porte résonne encore dans sa tête, semblant prendre de la puissance à chaque rebond contre son crâne. Sa vue est brouillée par les larmes. Son esprit l'a quitté en même temps qu'Alicia et le poids du monde écrase la moindre parcelle de volonté.

Alliscus regarde, spectateur de ses propres gestes. Il se lève, franchit la porte et se dirige à travers le pré. Il ne sait pas où il va, il ne se contrôle plus. La falaise. Non, il ne faut pas... Inconscient, incapable de bouger, Alliscus assiste impuissant au spectacle de sa propre mort.
[modifier] LIVRE II : Alliscus, Dieu parmi les Hommes

Comment nait un Dieu ?

Beaucoup d'histoires courent sur ce sujet. Certains pensent que l'imagination des êtres peut créer un Dieu, d'autres se disent que les Dieux ont toujours été là. Les plus rêveurs se permettent l'idée que des sentiments très forts peuvent ouvrir les portes d'un état supérieur, la divinité, si ils sont accompagnés d'une grandeur d'âme exeptionnelle. Cela porte un nom, l'Ascension.
[modifier] Chapitre I : L'Ascension

Certains disent qu'à l'heure de sa mort toute la vie qu'on a mené vous repasse devant les yeux. Pour Alliscus et Neb ce n'était pas vrai. Alors que les rochers défilaient sous ses yeux deux choses occupaient son esprit : le chagrin, noir et profond comme du charbon, et les Hommes, seuls et abandonnés.

Puis vint la lueur. Comme un trou au milieu de la réalité, Alliscus tombait droit dedans.

* Le lendemain matin

Le doux balancement des vagues ronronnait dans sa tête quand un peu d'écume vint lui caresser le visage. Alliscus ouvrit les yeux sur le monde mais ne le reconnu pas tout de suite. Sa tête somblait trop petite pour contenir la foule des pensées qui traversaient son esprit. Où était-il ? Quelques minutes furent suffisantes pour reconnaître la plage en bas de la falaise. Comme un éclair, sa chute revint dans sa mémoire. Il prit appui sur le sable humide et se releva. Vision peut être due à la chute mais Alliscus eu l'impression de ne relever qu'une partie de lui même. Sur le sable, il voyait très clairement son corps encore allongé, la tête baignant dans une flaque rouge sang. Stupeur.

Alors qui se mettait debout sur ses jambes, le corps sans vie de l'autre partie de lui restait morte sur le sable. Neb. Le jeune fermier, fils abandonné d'un Roi en fuite et élévé par des paysans. L'Homme simple, vivant pour l'Amour d'une femme et de son fils refusait de se lever avec lui.

Il comprit dans un flash. Alliscus, le Roi qui avait tant luttait pour l'Amour de Son peuple se relevait mais Neb, l'homme restait à terre. Le trou de lumière dans lequel il était tombé se rappela à sa mémoire. Accompagné d'une douce chaleur, il l'avait conduit quelque part en dehors d'Oreline. Des voix puissantes s'était adressées à lui là-bas. Une discussion impossible à quantifier dans le temps avait eu lieu, utilisant des sentiments, des images plus fortes que des mots n'auraient pu exprimer. Il se rappela malgré une très forte brume, des esprit, des êtres peut être, dégageant une présence hallucinante. Alliscus réalisa doucement qu'il avait peut être rejoint le Royaume des Dieux, que tous y étaient présents et qu'ils lui avaient parlé.

* Une paralysie de tout son corps

Impossible de bouger. Impossible à croire aussi.

* Il avait compris

Il se rappelait maintenant. Il faisait parti des leurs. Ils l'avaient élevé parmi eux. Ils en avaient fait leur égal... un Dieu ! Sentant un chatouillement le long des jambes et des mains, Alliscus restait immobile, face à l'infini qu'offrait l'océan, réalisant qu'il apréhendait totalement l'espace pourtant sans fin. Sa sensibilité au monde qu'il l'entourait avait été multipliée au point de ressentir, discerner chaque grain de sable, chaque herbe et chaque mouvement aussi petit soit-il de l'air. Les Dieux l'avaient accueillit dans leur panthéon. Ils lui avaient expliqué leur choix, que ses actes en tant qu'Humain avaient été dignes d'un Dieu qu'ils l'accueillaient comme leur pair.

* et il les avait défié

Tout revenait à son esprit maintenant. Les Dieux l'accueillant à bras ouverts, un Dieu éloigné des autres derrière, restant dans l'ombre et lui, se levant face à eux, le poing brandi en avant, révolté par les abus de leur condition. Sa promesse d'offrir aux Hommes la Liberté qu'eux leur refusaient. La lutte qui venait de débuter et son choix de revenir sur Oreline parmi les Hommes pour mener sa Croisade.

Alliscus se souvenait maintenant.

La colère terrible des autres Dieux face à son affront. Comme un enfant adopté qui part aussitôt prendre son indépendance, il avait bravé ses frères et ses soeurs. Il leur avait jeter son titre de Dieu de la Bravoure et du Courage pour prendre celui de Dieu des Hommes. Il avait choisi la lutte pour ses valeurs, le combat fraticide, la guerre éternelle.

Il leur avait tourné le dos, choisit de redescendre sur Oreline pour mener son combat afin de leur montrer qu'être parmi ses fidèles ferait tout la différence. Son avatar serait son ancien corps, symbole de son Amour pour les Hommes et sa force viendrait d'en bas, de Son peuple pas de ses pouvoirs divins.

La Grande Croisade venait de commencer, un Dieu contre tous, et elle se jouera sur Oreline, bien loin du Panthéon.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:09

Almalexiel
Description

Nom : Almalexiel

Race : Elfe noir

Sexe : Féminin

Classe : Hurleuse de sort, invocatrice d'ombre.

Alignement : Chaotique

Clan : A appartenu a la famille des purgateurs fut un temps, les raisons de son depart vis a vis de cette Famille reste inconnu pour la majorité des Sombres.


Place dans la société des Sombres: Prêtresse du culte de Shilen.


Description physique: porte un bandeau noir sur les yeux, symbole de son appartenance au culte de Shilen. Le corps d'Almalexiel est recouvert de tatouages en forme de croissant de lune, entrecoupé d'un autre symbole. Les croissants de Lune représentent la Lune de Shilen, symbole que l'on peu apercevoir dans tous les monuments a sont effigie. Quand à cet autre tatouage associé a la lune, il reste inconnu pour bien des personnes.
[modifier] Le debut d'une Oeuvre...
’atmosphère est lourde aujourd’hui dans la cité des Sombres, les ombres s’animent d’un mouvement trop agité pour certains, frénétiquement pour d’autres. Une chose est sûre, ce soir ne sera pas comme les autres soirs dans la cité des Sombres où le silence règne habituellement et où seul le mouvement des ombres anime la cité.Les sentinelles veillent comme toujours autour de la cité, certaines s'en détachent, veillant plutôt du côté de l’école de magie noire ou vers le marais sombre.

Dans le temple de Shilen une sombre habillée d’une simple robe grisâtre prie depuis des heures pour sa Déesse et Mère. Une sentinelle revient du marais noir essoufflé, son visage n’exprime aucune peur, aucun sentiment comme souvent sur le visage des sombres. Elle est sure de ce qu’elle a vu, une armée, l’Armée Blanche est en route pour la cité. Dans le temple, l’atmosphère se fait lourde, et les Ombres dansent à la lueur des torches qui éclairent faiblement ce lieu. A quelque pas du temple, dans la cité, la défense s’organise en vain, de simples gardes et sentinelles ne peuvent rien contre une armée, qui plus est l’armée blanche. Connaître le lieu de sa mort peut-être un honneur pour certains, une malédiction pour d’autre, pour les gardes de la cite sombres ce n’était rien de plus qu’une épreuve imposée par leur Déesse, une épreuve qu’ils allaient relever comme a leur habitude. L’armée se trouve désormais devant une des entrées de la cité, des Humains, des Sylvestres, tous venus dans un seul et unique but, détruire ce lieu, ce Symbole pour tous les Sombres.

Dans le temple, le visage de la sombre se fait légèrement crisper, elle sait ce qui va se passer, elle sait que le sang va couler mais elle reste dans ce temple a prier alors que la mort se trouve a quelques pas d’elle. Soudain l’assaut, les gardes et Sentinelles luttent en vain contre une armée organisée et habituée a ce genre d’attaque. Les Humains et Sylvestres pénètrent dans la cite, l’arme au poing, et cette envie, toujours la même de se venger et de faire couler le sang des Sombres…

Du visage de la sombre coulent quelques gouttes de sueur, comme si intérieurement elle aussi menait un combat. Une larme de sang coule de son œil gauche, puis deux, trois… une larme de Sang pour chaque frère et sœur qui tombe ou agonise dans la cité. Les bruits de l’attaque se font de plus en plus faibles pour au final ne laisser qu’un bruit sourd en provenance de la cité. A la fin de l’assaut la Sombre baigne dans une marre de sang, son sang. Ses lèvres s’animent d’un mouvement, comme pour parler, mais aucun son ne sort de sa bouche. Une dernière larme de sang perle le long de sa joue gauche, enfin quand cette dernière goutte de sang disparais dans la marre de sang, un son sort de la bouche de la femme : Ulkund del vlos…

La sombre tombe inconsciente dans son propre sang, ce sang qui se repend sur ses vêtements et sur ses cheveux. Quelques heures plus tard dans le temple de Shilen…

La Sombre : Ulkund del vlos… me voila nommée devant ma Déesse, quel doux nom m’avez-vous donné Mère… Flot de Sang…

Puis elle baisse les yeux pour contempler le liquide dans lequel elle baigne, un mince sourire se forme sur ses lèvres.

La sombre se relève non sans difficulté, observe la Statue triomphante de sa Déesse qui se lève éternelle dans ce temple.Puis d’une voix faible, comme si elle se parlais a elle-même…

Nommée devant ma Déesse, comme ils l’ont été il y a bientôt un millénaire.

J’affronterai mes peurs comme ils l’ont fait, et je les maîtriserai comme eux afin de répandre la peur sur ces peuples qui ont osaient fouler notre Terre, le rite de Ra…

La Femme sombre a encore du mal a parler, du sang coule légèrement de sa bouche quand elle parle.

Il renaitra de leurs peurs et de leurs cauchemars, ils seront la base d’un règne de Terreur, ils vont regretter.

La sombre pose sa main droite sur sa poitrine avant de s’incliner devant la statue qui s’élève devant elle.

J’en fais le serment …

La sombre quitte le temple d’un pas alerte, observant les alentours, s’arrêtant au moindre bruit suspect, puis s’arrête devant l'une des entrées de la cité Sombre…

Mais avant tout ceci je dois moi-même affronter ma propre peur…

Ont raconte que cette même sombre a était aperçue le lendemain a Giran, deux garrots sur ses jambes en sang, une autre sombre l’aurai sauvée in extrémis aux alentours de Dion. On raconte aussi qu’elle aurait était abandonnée aux alentours de Dion par un groupe de Sylvestre…

Une chose est sure, ce jour, le jour de l’attaque, une chose est survenue au Temple de Shilen, comme si Elle avait posée son lourd regard sur Son temple pour observer ses fidèles et fanatiques Enfants...rien ne sera plus comme avant dans la cité des Sombres désormais…
[modifier] Une page se tourne
otre cité, marchandé avec les nains, marchandé comme une simple commande, comme un objet sans importance, marchandé sans aucuns cries de guerres ou de souffrances, marchandé sans aucunes morts....Nous aurions du la reprendre dans un bain de sang, la reprendre de la même façon qu’ils l’ont pris, dans les cries de douleurs, d’agonie et de mort, dans le sang et la sueur des combats, dans la haine contre ces deux peuples qui se sont alliés pour prendre notre cité...

Au lieu de sa nous l’avons repris comme des gens civilisés, a se demander si nous n’avons pas serré la main aux Elfes et aux Humains avant qu’ils ne partent....enfin, une page viens de se tourner, une nouvelle commence, la tienne. Image:Place_centrale.jpg
ersonne n’a compris ou ne comprend cette disparition soudaine, pourtant c’est assez simple à comprendre, je suis comme un chien dans une niche rempli de cadeaux, un chien qui ne sort plus de sa niche en quelque sorte. Je suis le chien, le Temple est ma niche...

Comment leurs expliquer ce bandeau que je porte sur les yeux désormais, comment leurs expliquer ces tatouages sur mon corps, comment leur expliquer cette disparition aussi longue...Apres tout il n’ai pas impossible que je sorte du Temple un jour ou l’autre pour voir ce qu’ils sont devenu, ceux qui garde cette image de moi, toi Akmahal et tes Ombres, Olorae et tes Actions, Lucie et ton passée, et toi, toi qui aurai pu prendre sa place, toi qui aurai pu devenir mon élève, toi qui aurai pu devenir l’Enfant de la Haine, toi Athanor...

J’ai tout de même réussi a trouver un Enfant de la Haine a éduquer, elle reprendra mon œuvre le moment voulu, quand bon vous semblera a vrai dire Mère, quand bon vous semblera...

On raconte que parfois la nuit, quand la lune est haute dans le ciel, une Ombre se promène dans les Jardin de Shilen et dans le Temple, une Ombre ou une silhouette que personne n’a encore pu distinguer de près mais qui rode infatigable dans le Temple et ses environs...
[modifier] Le prix d’une Oeuvre...
a nuit au temple de Shilen... Une femme avec un bandeau sur les yeux traverse le temple quand cette dernière tombe au sol, le corps tout entier tremble. Le corps de cette femme est recouvert de tatouage en forme de croissant de lune, un symbole se formant sur cette lune. La femme essaye de se relever mais en vain, ses mains tremblent et le reste de son corps ne bouge plus, comme immobilisé. La tête de la femme se lève vers cette imposante statue, la statue de sa Mère et Déesse. La femme se redresse quelque peu pour mieux observer la statue. Des larmes de sang coulent du bandeau de la femme, des larmes qui perlent le long de son corps. Etrangement, peu de temps après, le corps de la femme se recouvre de sang, sang qui semble sortir de tous ses tatouages sur son corps. La respiration de la femme se fait de plus en plus faible a mesure qu’elle se vide de son sang. Elle observe toujours la statue alors qu’une marre de sang se forme au sol.

Almalexiel: Ulkund...Del...Vlos... aussi bien pour les yeux que pour le corps désormais...un mince sourire parcourt le visage de la femme sombre.... Combien de victime se corps peut il encore porter avant de n’être entièrement recouvert de ses tatouages, avant de ne sombrer avec le poids de mes victimes...encore combien Mère...Alexiel aurai du m’aider dans cette tache, elle aurai du porter son lot de victime elle aussi, mais elle se repose dans votre ombre désormais...je l’envie parfois........dix ans après ce corps porte encore ma première victime, un elfe si je m’en souviens bien... La marre de sang commence a s’agrandir au fur et a mesure que du sang coulent des tatouages de la femme...Je ne m’inquiète pas pour ce corps, mon œuvre y est inscrit et désormais beaucoup d’elfes veulent me voir morte...l’artiste lui aussi paix le prix de son œuvre, la paix t’il plus chère que le client ? J’en doute... la femme sombre essaye a nouveau de se lever mais elle retombe aussi tôt dans la marre de sang qui s’est forméJe vais bientôt vous rejoindre Mère si ces saignement ne s’arrête pas, mais après tout me reposer a votre ombre ne serai que...la femme sombre commence a cracher du sang sans le vouloir, son corps tremble de plus en plus... maudite Œuvre...vais-je finir ainsi, a me vider de tout mon sang pour finalement mourir...la femme sombre vomit désormais du sang, son visage est recouvert de sang, ses vêtements aussi et la marre autour d’elle s’agrandit encore et toujours... Mère...la femme sombre n’arrive désormais plus a retenir sa tête pour observer la statue devant elle... flot de sang...je n’aurai pas crue « voir » sa signification aussi souvent ces derniers temps... la femme sombre semble avoir perdu connaissance, son corps tombe dans la marre de sang, son visage se cogne au sol. Son visage trempe désormais dans son sang, risquant de se noyer.


Un male traverse le temple, certainement un gardien. En tournant sa tête vers la statue, ce dernier aperçoit la femme sombre qui baigne dans son sang. Se dernier accourt vers la femme...

Dame Almalexiel !!!

L’homme soulève la femme sans aucune difficulté. Du sang coulent du corps de la femme, mais impossible de savoir si il s’agit du sang venant de la marre de sang ou si les saignements continue. L’homme se dirige vers les appartements des Prêtresses et disparaît dans les ombres du temple...

[modifier] Xiltor
ans le temple de Shilen, plus particulièrement dans les appartements des Prêtresses...

Une femme est allongée dans un lit, tandis qu’une autre femme est à son chevet.


Ivilith : repose toi Almalexiel, tes forces t’abandonne, inutile de les gaspiller.

Almalexiel : Le prix d’une œuvre...Dénosis m’avais prévenue sur le prix de cette œuvre, sur le prix du culte interdit...Almalexiel tousse, du sang coule de sa bouche elle m’avait prévenu la femme allongée dans le lit prend un bout de tissu déjà taché de sang et le passe sur ses lèvres.

Ivilith : Dénosis n’a pas survécu bien longtemps face au poids de ses victimes, a peine deux ou trois années lunaires après sa première victime. Tu as survécu bien plus longtemps Almalexiel, et je ne pense pas que Mère veuille te voir près d’elle, pas encore...

Almalexiel : Mon enfant y est, les anciennes prêtresses de ce maudit culte aussi, mon heure ne tardera pas, l’heure ou je mourrai face au poids de mes victimes. Ce n’est plus qu’une question de jours désormais, enfin je pourrai me reposer dans l’Ombre de notre Mère, enfin... la femme sombre tousse encore une fois, du sang coule un peu plus abondamment de sa bouche. La femme a ses cotés lui tend un autre tissu entièrement blanc celui-ci, et le passe sur les lèvres d’Almalexiel.

Ivilith : Je ne pense pas Almalexiel, depuis que tes crises sont de plus en plus fréquent, les Ombres du Temple s’existent, elles ne bougent plus selon la lumière, elles bougent comme bon leur semble, et elles sont de plus en plus présentent dans les appartements des Prêtresses...surtout dans le tien...

Almalexiel : qu’entendez vous par la Grande Prêtresse ? Je n’ai jamais eu d’affinité avec les Ombres, elles ne m’ont inspiré que dégoût et mépris...la femme tousse de plus en plus fort, comme si chaque mots lui demandait un énergie qu’elle ne possède pas ou plus.

Ivilith : Repose toi Almalexiel, repose toi...

La femme au chevet d’Almalexiel part en direction de la porte des appartements de cette dernière.

Ivilith : je suis désolé pour toi Almalexiel, mais Mère a encore besoin de toi et de ton Œuvre, tu ne risques pas de te reposer dans Son Ombre avant un bon bout de temps...La femme allongée dans le lit ne semble pas réagir, comme si elle dormait d’ores et déjà.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:10

La nuit est désormais tombé, dans les appartements d’Almalexiel les ombres s’agitent, s’existent alors qu’aucune lumière ne peu leur donner un telle mouvement. Almalexiel est allongée dans son lit, ses draps sont couvert de sang, son pou est faible et son visage est lui aussi couvert de sang. Son teint est pale, fort pale, comme signe d’un affaiblissement soudain. Une Silhouette se forme au milieu de la chambre d’Almalexiel, la silhouette semble faite d’ombre, mais petit a petit cette dernière prend une forme, la forme d’une personne encapuchonné. Cette personne ou Ombre porte un masque blanc sur le visage, et une longue cape bleu foncé, la cape est portée de telle sorte que l’on peu apercevoir le masque blanc.

La silhouette s’avance vers le lit en sang d’Almalexiel qui semble presque morte, sans vie. La silhouette porte l’un de ses mains sur les draps en sang. La silhouette porte des gants de la même couleur que son masque. Au moment ou la main gauche de cette silhouette touche le drap, la femme allongée dans le lit se réveille en sursaut, sa main se dirige instinctivement vers une petite dague caché sous son oreiller. Malgré ses forces qui l’a perde, la femme enfonce la dague dans le ventre de cette silhouette. La dague transperce la cape, mais pas une goutte de sang ne coule, pas un seul cris de la part de cette silhouette, non rien...le silence s’installe entre ces deux personnes qui se dévisagent, l’une se demandant l’intérêt d’un telle acte, l’autre la nature de la personne devant elle.

L’ombre : N’aillait peur Dame Almalexiel, je ne suis pas votre ennemis et je ne suis pas la non plus pour vous causer du tord.

Almalexiel : : qu’es ce que ?! Qui es tu, qu’es tu ?La toux d’Almalexiel reprend encore et toujours.

L’ombre : je me nomme Xiltor Dame, et je suis ce qu’on appelle généralement une Ombre.

Almalexiel : que fais tu dans ma chambre, et comment connais tu mon nom ?

Xiltor : je répondrai a toutes vos questions part la suite dame, mais pour le moment nous devons faire vite si nous voulons stopper vos crises, et part la même occasion vous garder sur ces terres. Je sais très bien que vous n’avez confiance qu’en une seule chose, Son Jugement. Alors accepter ce qu’Elle a jugé bon pour vous Dame.

Almalexiel : tu me demande d’avoir confiance en une simple ombre, ne soit pas stupide. Du sang coule désormais de la bouche d’almalexiel, de son nez mais aussi de la majorité de ses tatouages. Ses draps deviennent de plus en plus rouge tandis qu’elle semble lutter simplement pour rester éveillé.

Xiltor : Dame vous ne pourrais survivre encore bien longtemps a ces crises, qui plus est celle-ci pourrais être votre Dernière. Je ne vous demande pas d’avoir confiance en moi, mais de partager votre fardeau. Je suis venu ici uniquement dans ce but. Sachez aussi que vu votre état vous ne pourrais résister bien longtemps, je tiens simplement a ce que vous partagiez votre fardeau de vous-même Dame.

Almalexiel : plutôt mou...Almalexiel tombe en dehors de son lit. L’ombre la rattrape avant qu’elle ne s’effondre au sol.

Xiltor : Nous avons tous un but Dame, le mien est de vous soulager de votre fardeau, et je le ferai, avec ou sans votre accord...
[modifier] Le lien de Sang
e n’aurais pas cru que lire de simple parchemin devienne si dure...la femme tiens un parchemin dans ses mains puis se penche légèrement en arrière, observant tous les parchemins sur son bureau. La pièce est éclairée par une bougie placée sur le bureau et par le faible rayonnement de la lune qui perce cette petite vitre ovale.

Si seulement Akmahal était encore ici, dans ce monde, il aurai pu m’apprendre son Art, m’apprendre comment l’appeler, comment lui donner des ordres, comment...tu dois bien rire si tu m’observe, moi qui t’avait accusé un jour de te laisser contrôler par ton ombre, de prendre le pouvoir qu’elle t’offrais en lui donnant jour après jour un peu de ta lucidité, de ton esprit...Me voila dans la même situation, hormis le fait que pour moi c’est peut être le cas...

Et comment souvent aucun écrit ne peu éclairer les ombres qui règne sur cet art, aucun que je n’es trouvé en tout cas...la lumière de la bougie ondule légèrement, certainement sous l’effet du courant d’air qui s’installe dans la pièce... Les ombres servent ceux qui les appellent, hum...tout le monde pensent ainsi, en est-il pour autant toujours le cas ? Après tout si les humanoïdes peuvent mentir, pourquoi une ombre, créature des plans inférieurs, ne pourrait pas ?

Du peu que je me souvienne, ton ombre était toujours présente avec toi, toujours prête a se sacrifier pour te sauver, une simple pensée et elle se matérialisé devant ou derrière toi, une simple pensée...Je ne doit vraiment pas exceller dans cet art... la femme se lève pour se diriger vers son lit parsemé de livres, certains ouvert, d’autres non... Si seulement j’y avais porté plus d’importance quand tu étais par mis nous...tu a appris cet art de ton maître, tu avais certes beaucoup de lien avec les ombres, mais tu l’a appris, tout n’es pas venu ainsi en claquant des doigts...qui en ce monde pourrait me l’apprendre, qui en a la capacité, qui a part toi aurai pu le faire...la femme soupir en observant les livres placé sur son lit, se demandant si elle y trouvera une quelconque réponse avant de se diriger une nouvelle fois vers son bureau

Apres tout, il vient quand il me crois en danger, et la tienne en faisait autant, serais la le seule moyen pour l’appeler ? Non, il doit bien y avoir un autre moyen que de me mettre en danger pour l’appeler, un rite une formule qui sais...un papillon de nuit se pose sur le bureau pour ensuite voler en direction de la bougie. La femme l’observe avant de l’attraper d’un mouvement vif mais doux. La lumière t’attire petite créature, elle t’attire quel qu’en soit la source, quel qu’en soit les dangers tu ira vers la lumière, même si elle te tue, tu suivra ce chemin...la femme ouvre sa main pour libérer le papillon qui se dirige instinctivement vers la bougie. Le papillon touche la flamme de la bougie et brûle, laissant un petite tache sur le bureau de la femme quel qu’en soit le prix...

Hum...suis-je comme ce papillon, à aller la ou Vous me le demandez, quel qu’en soit le prix ? Ou suis-je comme cette flamme, a attirer les personnes avant de les tuer...comme je l’es fait pour toi mon enfant...Alexiel...Et toi, ou te situe tu ? Es tu comme cette créature à vouloir accomplir ce que l’on t’a demander d’accomplir, ou serais-tu la flamme de cette bougie et moi le papillon, es toi qui me tuera ? Ou es moi ? Apres tout, pourquoi une ombre voudrait me tuer, alors que tu m’as déjà sauvée la vie une fois...

La femme sort une petite dague de son fourreau et la place sur son bureau. Elle observe la dague quelques instants avant de placer la lame de la dague dans sa main gauche... Je pense au moins savoir ce qui t’attire Xiltor, tout comme ce qui attire ce papillon vers la flamme, je pense désormais savoir ce qui t’amène a moi...

la femme fait glisser la lame de sa dague sur sa main gauche, laissant couler un léger filet de sang sur le bureau et sur le sol. Quelques instants plus tard, la flamme de la bougie s’éteint, laissant la pièce dans une semi obscurité.

Te voila enfin...



[modifier] Le repos près de Mère, enfin...

Dame Almalexiel a était retrouver morte dans sa chambre au temple de Shilen, une dague planté en plein cœur. D’après les premiers indices il s’agirait belle et bien d’un meurtre. Sur son bureau plusieurs parchemins parlant de faire tomber la grande Matriarche Savaggia ont étaient retrouvé, mais aucun nom n’est indiqué sur ces derniers.

Ainsi la prêtresse maudite s’éteint, tuer par des assassins...deux parchemins parlant d’un culte ont était retrouver sur son bureau...


l' onhir ramoth, ou plus communément appelé le culte du cauchemar regroupe des fanatiques de Shilen.

Je vais vous raconter leur histoire, moi l' og'elend.

Ce culte a pris naissance lors des grandes guerres entre le peuple des Sylvestres et le peuple des Sombres. Ces fanatiques tapis dans l’ombre de leur peuple frappaient les sylvestres avec une rage et une haine extraordinaire.Ils avaient à l’époque une influence sur toutes les actions entreprise par le peuple sombres pour exterminer les sylvestres, une influence aussi bien politique, économique, religieuse et même une influence militaire.Le culte par lui-même était former de quatre personnes très haut placer a l’époque dans la société des elfes noirs. Une matriarche, un chef des armes, un commerçant extrêmement riche et une prêtresse de Shilen, ce qui explique l’influence qu’il avaient dans leur société.Tous étaient charge d’une mission particulière dans la guerre contre les Sylvestres, la matriarche faisant jouer de son influence pour réunir les quelques sombres opposés a cette guerre, le chef des armes déplacer les armes dans des endroits stratégique, le commerçant fournier les armes et armures pour l’armes, quand a la prêtresse…
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:11

La prêtresse de Shilen avait sans nulle doute la place la plus important dans ce culte, non seulement charger de comprendre les visions et actions de sa Mère et Déesse, elle se charge d’une autre partie du culte, la partie la plus sombre de celui-ci…

J’étais a l’époque un simple mage sombre, touche par la guerre comme beaucoup des notre, la magie me permettait juste de me défendre contre un quelconque agresseur. J’ai pris connaissance du culte par le biais de la matriarche, enfin plutôt par les discussions qu’elle avait avec certaines de ses sœurs.Un culte qui frappe dans l’ombre pour vaincre ces sylvestres, voila une chose qui aurait pu me sortir de mon ordinaire plutôt maussade. J’avais une femme a l’époque, ma raison de vivre, cette amour était considérer comme beaucoup trop passionnelle pour beaucoup de sombre, mais qu’importe je l’aimais et j’en étais sure.Apres trois mois lunaire a traîner mes oreilles dans chaque recoin sombre de la cite je tenais enfin une piste sérieuse sur ce culte, une cérémonie allait avoir lieu le soir même, non loin du temple de Shilen, peut être le bon moment pour me présenter a ce culte et qui sais, peut être en faire partie…

La cérémonie fut ouverte par la matriarche, accompagner du chef des armes, du commerçant, mais la prêtresse n’était apparent présente. Ce culte conte beaucoup plus de fidèles que je n’aurais pu l’imaginer, des femmes, des hommes et même quelques enfants étaient venu écouté les dire de la matriarche.Soudain un crie au loin, en provenance du temple, ce crie est celui d’une femme, mais pas d’une femme sombre, non il était beaucoup trop aigue pour sa. La prêtresse sortie des ombres du temple, tenant une…une Sylvestre par les cheveux !!! Mais comment ce faisait-il qu’une Sylvestre soit sur nos terres ? A la vu de l’elfe, les fidèles s’écartaient, à la fois apeuré et surpris de ce qu’ils voyaient. La prêtresse jeta l’elfe au milieu de la folle, jeta son sac près de celle-ci puis l’assomma d’un violent coup de pied.Ce qui suivie fut a jamais marque dans mon esprit, la prêtresse sans prononcer le moindre mot sortie une dague de son sac, une fiole vide et une fiole pleine d’un liquide noir.Elle déshabilla l’elfe, la plaça sur le dos et commença ce que tous appelleraient plus tard, lil Ramoth…A la fin du rite, la sylvestre baigner dans une marre de sang, un tatouage scarifier par la dague de la prêtresse sur son omoplate gauche. L’elfe fut reconduit dans les terres neutres à la suite du rite. Dans la foule des voix commencer a monter, chaqu’un ce demandant ce que la prêtresse venais de faire. La matriarche repris la parole, en expliquant ce qui venais de ce passer. Moi, moi j’étais dévoré par ce que je venais de voir, cette femme, cette prêtresse, qu’avait elle vraiment fait ? J’aurai pu écouter la matriarche, mais je voulais connaître la vérité de la bouche de la prêtresse qui ce dirigeait vers son temple…Je me suis donc rendu dans le temple pour parler avec la prêtresse, ou tout du moins discuter avec elle…

A la fin de cette discussion j’avais trouver un but dans ma vie, une Mère et Déesse a servir aveuglement, une nouvelle conduite de vie a prendre, je ne sais comment la prêtresse avait réussi a me convaincre de servir notre Mère aussi aveuglement, mais je le fit…J’étais donc devenu l’apprenti de la prêtresse, apprenant ou réapprenant les histoires de mon peuple, la magie et tous ces applications…Seule ma femme ne voyer pas ceci d’un bonne œil, et je puis la comprendre désormais, je passer le plus claire de mon temps au temple, a prier ou a écouter ma prêtresse.

Puis vient le jour de l’épreuve, le jour je porterai un nouveau nom, si je la réussissais bien entendu…La prêtresse m’avait déjà préparer a cette épreuve, une prière de plusieurs heures, au bout du quel si je réussissais, Elle me donnerai un nouveau nom, et Elle me reconnaîtrai comme l’un de ses Enfants les plus fidèles…L’épreuve ce passa comme prévu, et au bout des nombreuses heures de prière mes lèvres se sont mise a bouger sans qu’aucun son ne sorte de ces derniers, je connaissais désormais mon nouveau nom…Quand je suis retourner voir la prêtresse elle m’interdit de dévoila mon nouveau nom a quiconque, même pas a elle, ce nouveau nom je devais être le seul a le connaître, hormis ma Déesse bien entendu…

Les jours se passait calmement par la suite, la guerre avancer a notre avantage, j’apprenais toujours au près de la prêtresse qui me considérai non plus comme son apprenti mais comme un membre du culte. Quand a ma femme, a vrai dire j’avais trouver un autre amour, un amour éternelle pour ma Déesse, ont raconte qu’elle était morte pendant la guerre et ceci ne me toucha pas le moins du monde jusqu’au jour ou… Un crie d’agonie dans le temple, la prêtresse, ma prêtresse !!!! Elle était la, allonge au sol, un poignard dans le ventre, une silhouette partait sur la gauche du temple, je devais choisir, aider ma prêtresse ou poursuivre cette silhouette encapuchonné qui courait. Mon choix fut immédiatement porté sur ma prêtresse qui baigné déjà dans son propre sang…Ces mots furent faibles, elle agonisait la devant mes yeux, et j’étais la incapable de faire quoi que ce soit pour l’aider…Elle le savait, elle savait qu’elle allé mourir dans son temple, elle connaissait son agresseur mais n’avait rien fait pour lutter contre, pourquoi… Une épreuve rien de plus, elle considérait ceci comme une épreuve comme toujours… C’est avec une voix faible qu’elle me donna l’identité de son agresseur… ma femme… Porter par une haine profonde envers la prêtresse, ma femme l’avais attaqué, sournoisement… Elle aurai pu, elle aurai du me prévenir, j’aurai tuer ma femme sans aucun état d’âme pour sauver ma prêtresse et elle le savait… Dans ces dernières parole j’appris son nom auprès de notre Mère, le doux nom de Ulkund Del Vlos… flot de sang… Quand je m’apprêter a lui dévoiler le mien elle sourit, elle le connaissait déjà, et je compris enfin pourquoi ma Déesse m’avait donner ce nom… La prêtresse finie par agoniser sur le sol du temple, baignant dans une marre de sang… La prêtresse était morte, mais pas Ulkund Del Vlos, elle me l’avait déjà appris, toute Ame nommer devant sa Déesse revit un jour dans le corps d’une personne, elle revivrait un jour, savoir quand est une autre histoire…


Quand a moi, maintenant… je n’ai plus de véritable raison de vivre, j’attendrai tout simplement qu’Elle vienne me chercher, et je me reposerai près de ma Déesse et Mère, Shilen….


La fin du texte est signée l' og'elend, le traite…


Le deuxième parchemin semble avoir était écrit par un humain...


Pour chaque tatouage, une victime...c’est ainsi que l’on reconnaît la Prêtresse du culte interdit, grâce à ses tatouages qui parsèment sont corps. Ces tatouages qui sont comme des taches d’encres sur les vêtements du peintres...mais ces derniers ne partent pas sous l’effet de l’eau et d’une simple serviette, non, ils accompagnent la prêtresse jusque dans la mort, ils l’accompagnent car ils donne la mort a celle qui les portent. Chaque Œuvre a un prix, la Prêtresse du culte interdit paie ce prix de sa vie. C’est ainsi que sont mortes les Prêtresses du culte interdit, sous le poids de leur victimes, sous le poids de ses tatouages, sous le poids de leur sang qui s’écoulent a flot de ses tatouages, sous le poids de leur œuvre, simplement...

La première Prêtresse et celle qui fonda le culte, elle se faisait connaître sous le nom d’Obligath. Sa vie fut courte, même si c’est a elle que reviens l’invention de ce tatouage, elle n’avait point prévue le poids de son Œuvre. Des lors ou les premiers tatouages sont apparus sur sa peau, cette dernière n’a vécue qu’une ou deux années après avoir touché sa première victime.

La deuxième Prêtresse et celle qui améliora le symbole qui fut scarifié sur ses victimes, elle se nommait Dénosis. Mais tout comme la première Prêtresse, elle ne vécue guère longtemps. Elle connaissait le poids de son Œuvre et du culte qu’elle représentée, mais elle n’a pas sus se contrôler sur le nombre de ses victimes, elle a vécu deux ou trois années après sa première victime.Elle serai morte de trahison ou sur le poids de son Œuvre, l’histoire n’es guère précise a ce sujet. Cependant cette deuxième prêtresse fut surtout connue pour avoir changé le symbole de la marque, ce symbole pris plus tard celui de la lune de Shilen, avec une légère modification. En effet la Lune de Shilen représente un croissant de lune ou un œil prend forme en son centre.le symbole de cette deuxième prêtresse s’inspira de cette lune, mais avec un autre signe autour de cette lune, ce symbole fut reconnu comme étant la marque du Culte, la marque Del onhir Ramoth, le culte interdit.

Quand a notre époque, il semblerai qu’encore une fois une Prêtresse a repris le contrôle de ce culte, elle s’est manifesté lors de cette Guerre ou Humain et Elfe marchaient ensemble, la ou ils ont attaqué la cité des Sombres.D’après ce que l’ont connais, c’est a cette époque que ce culte et ce symbole sont réapparu, faisant des victimes aussi bien chez les elfes que chez les humains, chose qui n’était pas le cas pour les anciennes Prêtresses qui ne frappaient que les elfes.Cependant et vu le nombres d’années qu’on vécue les deux autres femmes, il serai étrange que cette « nouvelle » prêtresse soit encore en vie. Mais si telle était le cas, plusieurs scénario s’ouvrent alors, le premier et le plus logique serai qu’elle souffre le martyr sous le poids de son Œuvre, qu’elle soit extrêmement affaiblie, a la limite de la mort. Le deuxième serai qu’elle soit encore en vie, et qu’elle pratique toujours, mais a plus faible niveau, sur quelques victimes, guère plus de cinq ou six.Cependant dans ce deuxième scénario, une chose étrange se dévoile, en effet lors de la Guerre, quand cette dernière a peint son Œuvre sur le corps des Elfes et des Humains, les Elfes ont trouvé un artefact pour contrer cette malédiction, un artefact elfique sans aucune doute sous la protection des Prêtres d’Eva. Mais si cette dernière arrive encore à utiliser son Art, c’est que le Symbole a changé pendant ces dix dernières années, que la source de cette ancienne malédiction aussi.Nos premières conclusions sur la source de ce mal pendant la Guerre fut les suivantes. La Prêtresse se sert des peur de la personne touché par le symbole, des peurs, des angoissent, des doutes etc...Le symbole aurai pour but d’accroître ses sentiments pendant le sommeil de la victime, et si la victime s’engouffre dans ses sommeils ou ses cauchemars, alors la Prêtresse par le biais de son Symbole accrois les angoissent et les peurs de cette victime pour que ces derniers ne soit plus limité a une victime, mais a l’entourage de cette victime. Des lors la personne touchée par le Symbole devient ce qui fut appelé une « Source ».Notre principale préoccupation pour le moment et de savoir si la Prêtresse de notre époque vie encore, et si elle a encore des victimes qui pourraient tôt ou tard redevenir des « Sources ».Quoi qu’il en soit si cette prêtresse a vécue si longtemps, c’est qu’elle n’agit pas seule comme ces prédécesseurs, reste a savoir qui sera celui qui trahira cette personne, si elle est toujours en vie bien entendu...


Le parchemin est Signé Elhowine Filthine, mage de la Tour d’ivoire.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:11

Annita
Un article de Le RP d'Oreline.
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Nom : Annita

Sexe : Femelle

Age : 16 ans

Classe : Temple knight

Alignement : Entre neutre un peu bon

Elle a un bon fond mais un caractère enfantin ce qui lui fait entreprendre parfois des actions aux résultats désastreux .


Annita est née dans une famille elfique résident a Heine depuis 3 générations (elfique) et depuis tous ce temps ça famille est en charge de sa bibliothèque


De par ce fait, Annita a grandit entourée de livres. Lisant tous les livres de contres et légendes, biographies des héros et autres épopées.


Sa vie était ce qu’elle rêvait et ce dont ces parent rêvaient pour elle et pour ces sœurs. Mais contrairement a ces deux sœurs, Annita ne peu pas suivre cette voix.


Chose extrêmement rare chez une elfe, elle est atteinte d’une maladie accélérant sa croissance, est son espérance de vie est à peine supérieur a celle d’un humain. Bien qu’aux premiers abord la nouvelle choquât l’elfe (et sa famille aussi), celle-ci le prix étonnement bien
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:12

Arielle
L'Odyssee
ucalyptus, âgée de dix ans ne connaît que trop peu l'histoire de sa citée natale, Hydrolia. Un jour gris et pluvieux, elle décide de s'abriter dans la grande bibliothèque de la ville. Gravissant les grandes marches de l'édifice, elle arrive enfin devant l'immense porte de verre. Entrebâillant celles-ci, elle glisse sa tête à l'intérieur et comme il est tard, bien sur l'obscurité fais de ce vaste lieux son royaume. Eucalyptus appelle la bibliothécaire mais personne ne réponds. Tout est calme pas un murmure, rien… Soudain un violant éclaire gronde et perce le ciel de son flash coléreux. Ne cherchant pas à comprendre pour quelle raison la bibliothèque reste ouverte à cette heure, Eucalyptus emprunte une lanterne à l'entrée, allume la petite flamme qui dans ce noir terrifiant semble vivre gaiement et s'élance dans les dédales ténébreux de la grande bibliothèque d'Hydrolia.

Seul le bruit de ses pas résonne en échos dans ce labyrinthe, Eucalyptus ne croise personne, et s'en voix fort heureuse. Mais elle finit par arriver dans ce qui semble être le cœur du bâtiment. Les rayons encerclent ce havre, où se trouve déjà un large fauteuil de velours rouge, une petite table de bois bruns sur laquelle repose une longue plume de paon et un imposant ouvrage. Curieuse de nature, Eucalyptus s'installe hésitante dans le fauteuil tiède et tendre, elle emprunte l'ouvrage sans titre et l'ouvre. La première page est vierge, seule une phrase réside en son centre, mais cette phrase veux tous dire…

Je m'appelle Arielle

Eucalyptus reste perplexe devant ce nom qui lui semble bien familier: après tout, Arielle n'était-il pas le nom d'une illustre princesse de sa citée. Il est fort probable que ce soit le cas, et Eucalyptus se rend compte a quel point le volume qu'elle tiens entre ses mains est d'une grande importance. Finalement après quelques doutes, elle s'autorise à l'ouvrire et à le parcourir, et sa surprise n'en n'est que renforcée lorsqu'elle entame sa lecture et qu'elle découvre…
[modifier] Chapitre I - Sa Destinee
[modifier] ~Une mort, une naissance~
dilon Matezon, grand gouverneur des terres elfiques d'Hydrolia, n'arrivait pas à trouver le sommeil par cette nuit d'hiver. Il avait tout essayé, les drogues, les concoctions, tous ce que lui avait fournit l'apothicaire de la ville, mais rien n'y fit – Odilon n'arrivait pas à fermer l'œil, dans le but de retrouver un peu de repos après cette dure journée à remplir des paperasses. Quelque chose l'inquiété, un pressentiment désagréable lui soufflait à l'oreille de bien vilains évènements, et l'épaisse couche de neige qui tombée drue sur la citée n'arrangée pas son malaise. Si ses souvenirs étaient exactes, la dernière nuit qu'il avait passé en aussi mauvaises conditions, était celle qui avait précédée l'accouchement de son épouse. Emilienne Matezon, avait mise au monde une charmante enfant, mais n'avait point survécue; tous comme la chaire de sa chaire…Les deux seules femmes d'Odilon lui avaient été dérobées en l'espace de quelques secondes; il vivait seul depuis l'or et n'avait plus rencontré aucune femme capable de lui rendre le sourire.

Odilon passa sa main dans ses long cheveux blonds et observa le sol quelques instants sans rien dire. Cette nuit là, il ne s'était pas trompé, et il avait peur qu'une nouvelle fois encore ses appréhensions ne soient bien fondées. Olya, la jeune femme de Cyriaque le fermier, était enceinte depuis déjà sept mois et des mésaventures malencontreuses avait risquées bon nombre de fois la vie de son enfant. Et cette insomnie qui mettait Odilon en alerte, ne pouvait être qu'un mauvais présage. Il s'en allait tenter encore de trouver le sommeil lorsqu'on frappa à sa porte. A grandes enjambées il s'élança dans son vaste hall d'entrée et ouvrit la porte à la volée… Il aurait tout fais pour que cette personne en particulier ne vienne pas le déranger par une nuit aussi incommode. Et alors qu'il sentait le vent d'hiver s'engouffrer par sa porte, il ouvrit la bouche pour murmurer ces quelques mots:

- Cyriaque…Que ce passe-t-il..?

L'elfe dans l'encadrement de la porte d'entrée, leva les yeux vers Odilon, et de longues larmes dessinèrent sur ces joues, de beaux arc scintillant.

- Gouverneur… J'ai besoin d'un médecin, de toute urgence…

Odilon contempla Cyriaque et remarqua qu'entre ses bras, était bordée une petite elfe au paupières closes. De ses petites narines s'échappait de long nuages de fumée blanche, et sa peau était d'une blancheur de neige… Elle avait l'air souffrante.

- Allons vite au temple!

Odilon attrapa sa cape et se mit à courir dans la neige en compagnie de Cyriaque, traversant tout deux la belle citée d'ivoire pour se rendre au temple situé en amont du village. Bien que le blizzard eut fait rage, ils parvinrent sans trop d'ennuis à atteindre les immenses portes du temples, et ils furent accueillit de toute urgence par les prêtres et mages qui y résidaient. On prodigua les meilleurs soins à la petite et son état s'améliora bien vite, mais Cyriaque était le seul à n'avoir pas l'air réjouis par cette nouvelle. Il patientait devant un vitrail au sommet d'une tourelle du temple et fixait inlassablement le village, sans parler à personne, en refusant qu'on s'occupe de lui. Odilon le rejoignit et lui posa une main bienveillante sur l'épaule. Lui même avait ressentit la douleur de perdre la femme qu'on eut aimé, et lui seul pouvait comprendre l'isolement de Cyriaque, mais il était certain que s'il avait eut une personne à qui se confier en un moment aussi funèbre, il n'aurait rien fait d'autre que de se plier à la parole.

- Courage Cyriaque… Elle repose en paix ; elle a accomplit son devoir ; elle a donnée la vie. C'était une grande elfe et tout les villageois le savent. Tu ne peu qu'être fiers de son sacrifice, car grâce à elle, tu as désormais une fille. Une fille que tu pourras chérire comme tu l'as chérit. Une fille à laquelle tu pourra enseigner toute les choses essentielles de la vie, une fille qui t'aimera et qui serra la pour t'aider au ranch. En attendant, je te propose d'y envoyer des main-d'œuvre, ainsi tu pourras gérer ton commerce comme si elle était toujours là.

Cyriaque ne répondit rien et soupira. Puis il murmura d'une voix éteinte, comme s'il lui coûtait de prononcer le moindre mot:

- Arielle…Arielle…C'est le nom qu'aurait voulut donnée Olya à notre fille. Elle n'arrêtait pas de dire que ce nom lui vaudrait un franc succès, et qu'il n'y avait rien de mieux pour une femme que de se sentir aimée. Oui…C'est ainsi qu'elle serra nommée.

- Si tel et ton souhait et celui d'Olya alors il n'y aura aucunes objections. Ta fille se baptisera donc… Arielle…
[modifier] ~L'échos d'une étincelle~
ne légère brise soufflait paisiblement sur les verts pâturages du ranch. Deux jours de cela, la veille au soir, on fêtait avec allégresse l’heureux mariage de Cyriaque Ibellune et Dolores Colchique – une charmante elfe digne des hauts rangs. Elle était apparut à Hydrolia un jour aussi beau que celui-ci, et s’était présentée comme la reine déchue de terres éloignées. Avec elle, une petite elfe pas plus âgée d’un ans, ses cheveux claires et ses grands yeux bruns fixant monde et merveilles. Les deux femmes avaient été prises en charge par le Gouverneur, mais si tôt en présence du veuf fermier Cyriaque, Dolores s’était enquise de son nom et de son état civil. Elle qui durant toute son enfance avait rêvé de tenir une ferme aux côtés de son tendre amant, la voici qui ne se sentait plus tenir. Elle avait ordonné à ce qu’on la présenta à cet homme, dont elle désirait ardemment faire son époux. Elle se souvenait de cet instant comme si se fut hier.


Une pluie battante s’abattait avec force sur la belle citée d’Hydrolia. Les prévisions de la médium sur la météorologie laissaient Dolores perplexe. Celle-ci avait prévu d’organiser un grand pique-nique au bord de la mer pour tenter de plaire aux habitants de sa nouvelle citée. Mais avec cette pluie son projet tombé à l’eau. Le Gouverneur entra en trombe dans son bureau faisant sursauter Dolores. Il était trempé jusqu’aux os et même sa superbe cape grise étanche n’avait échappé à l’eau.

- Bonjour Dolores. Elodie m’avait prévenus que vous étiez là. Comment allez-vous aujourd’hui ?

Il ne lui laissa pas le temps de répondre et se dirigea vers son bureau où il posa une foule de dossiers. Dolores repoussa une mèche rebelle en arrière et sourit à Odilon. Elle était extrêmement belle et il arrivait parfois à Odilon de la confondre avec Olya la défunte épouse de Cyriaque. C’était sans doute une des raisons qui avait poussé Cyriaque à se fiancer à Dolores. Odilon avait pensé en la voyant que ce serrait lui le premier à la demander en mariage, mais il semblait que Dolores partageait le même amour du travail aux champs que Cyriaque. Il n’allait pas s’en plaindre, il était heureux pour son vieil ami. Tous deux avaient perdu leurs femmes dans les même circonstances et Cyriaque avait moins bien supporté le choque que lui. Enfin il invita Dolores à s’asseoir en face de lui. Celle-ci s’exécuta.

- Je vais bien Odilon merci. Mais tu semble surchargé ces temps-ci me tromperais-je ? demanda Dolores.

- Non vous ne vous trompez pas Dolores, c'est pourquoi je suis navré de vous le demander, mais pourriez-vous en venir au vif du sujet s'il vous plait.

Odilon détester devoir se comporter ainsi avec Dolores mais il avait du mal à la regarder en face sans exprimer une forme de jalousie envers Cyriaque.

- Bien sûr. Et bien voilà je voulais te demander si cela te gênerais que moi et Cyriaque nous marierions le jour du Carnaval de Lune? Je n'ai encore jamais assisté à cet événement mais d'après les rumeurs, il est parfait pour un mariage.

Odilon regarda un instant Dolores. Le Carnaval de Lune était un événement sacré que sa propre femme avait élaborée et mise en œuvre. Emilienne faisait parti d'une famille très respectueuse du culte de Sofya, leur Déesse protectrice ; et elle avait organisé cette cérémonie pour célébrer leur divinité. Voir son chef d'œuvre se transformer en banale cérémonie de mariage, déplaisait gravement à Odilon. Il leva les yeux et fixa Dolores.

- Et bien oui cela me gêne Dolores. Ce n'est pas dirigé contre vous, mais vous devez me comprendre, Emilienne a créé ce Carnaval dans le but de célébrer notre Déesse protectrice Sofya. Je sais que dans vos terres Sofya n'apparaît pas comme une Déesse importante ; mais ici oui. Je suis désolé mais j'ai le regret de décliner votre demande. Ne m'en voulez pas, vous aurez bien d'autres occasions de vous marier.

Il attrapa une plume devant lui et s'empara d'une feuille qu'il n'avait pas terminé de corriger la veille. Il ne remarqua pas les plaques rouges qui étaient apparues sur les joues de Dolores. Celle-ci contemplait Odilon d'un air grave et coléreux.

- Je vois! Bien, monsieur le Gouverneur dans ce cas vous ne serrez pas invité à la cérémonie de notre mariage! Sur ce au revoir!

Et elle tourna les talons, folle de rage. Etant reine elle n'avait pas l'habitude qu'on lui refuse ce qu'elle voulait. Elle attrapa son manteau de fourrure blanche et claqua la porte derrière elle. A cet instant, l'horloge du bureau d'Odilon sonna midi.


Il était onze heures trente et a cette heure, il fallait traire les vaches, mais papa avait déclaré que la pluie les avait empêché de brouter et donc de faire du bon lait. Il faudrait attendre la prochaine traite. Arielle fixait mélancoliquement les gouttes de pluie qui s'écrasaient contre la fenêtre. Amaryllis dormait au coin du feu sur le tapis. Les deux enfants n'avaient pas réussit a dormir de toute la nuit a cause de l'orage et elles étaient très fatiguées, mais Arielle s'avait qu'elle devait rester éveillée au cas ou papa aurait besoin de son aide. Dolores était partie voir le Gouverneur pour le mariage, et elle avait prévenu qu'elle rentrerait à l'heure pour le dîner. C'était Arielle qui s'était chargée de mettre les patates dans l'eau bouillante au-dessus du feu, et de faire cuire la viande. Bien qu'elle fus seulement âgée de neuf ans, Arielle savait se débrouiller seule et aider à accomplir beaucoup de tâches au ranch. Amaryllis n'avait que six ans. Elle aidait parfois sa sœur à laver les assiettes et les couverts, mais la plupart du temps elle préférait regarder en suçant son pouce. Dès leur rencontre les deux petites s'étaient tout de suite appréciée, et depuis lors elles ne se quittaient que très rarement. Arielle savait que sa sœur était une princesse dans son ancien pays, et s'était pourquoi elle l'empêchait de travailler trop, car les princesses ne devaient pas travailler. Elle savait aussi que sa maman était morte à sa naissance et que le papa de Amaryllis était mort pendant une guerre, mais elle n'aimait pas en parler ; bientôt papa et Dolores se marieraient, et elles auraient de nouveau un papa et une maman. Papa passa en vitesse devant la fenêtre et entra complètement trempé. Arielle sauta de son tabouret et courut le débarrasser de sa cape. Il était allé rentrer les poules et chercher les œufs. Arielle en emprunta quatre dans le panier et regarda son père.

- Munty va venir manger aujourd'hui? demanda-t-elle en approchant sa main du panier.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:13

- Non ma chérie, Munty a attrapé une grippe, il est resté au lit aujourd'hui. Et moi je ne prendrais pas d'œuf…

Cyriaque laissa sa fille se charger de casser les œufs au-dessus d'une poêle et s'installa confortablement dans son fauteuil. Il remarqua Amaryllis couchée par terre avec Gus leur chien. Il se pencha et la prit dans ses bras.

- Tu sais Arielle, les poules pondent de moins en moins d'œufs. Il va falloir arrêter d'en manger et se contenter de les vendre.

Arielle écouta son père parler en courant à droite, à gauche, s'efforçant d'entretenir le repas.

- Cabrioles a découvert que Rosalie est malade, je crois qu'elle n'en a plus pour très longtemps.

Cyriaque était toujours franc avec ses filles, il détestait leur mentir au sujet d'un animal. Si l'un d'eux était sur le point de mourir, il leur disait toujours. Il savait qu'à leur âge, il était encore compliqué de bien comprendre la mort, mais il voulait qu'elles soient fortes et il savait que leur cacher les choses ne changerait rien. Le vieux coucou dans l'horloge sonna douze coups et Amaryllis, bien réveillé descendit des genoux de son père pour les compter.Elle n'en avait peut-être par l'air mais Amaryllis était très intelligente. C'était elle qui avait fabriqué le poulailler avec sa mère et Munty; elle avait dessiné maladroitement les plans et corrigé plusieurs fois les erreurs de Dolores. Grâce à elle, les poules pouvaient dormir tranquille. Quelques minutes plus tard, la table était dressée et le repas près. Arielle finissait d'installer les verres quand Dolores entra. Elle avait l'air exaspéré et marmonnait machinalement des paroles incompréhensibles.

- Bonjour chéri! annonça Cyriaque en l'embrassant tendrement. Alors ce rendez-vous?

- Odilon a refusé de nous laisser nous marier le jour du Carnaval de Lune. Grogna Dolores en enlevant son manteau séché par ses enchantements. Il prétend que le Carnaval a été créé pour célébrer votre Déesse Sofya!

Cyriaque regarda Dolores un bref instant. Il savait que pour elle Sofya ne représentait rien, et il en était désolé, car avant de pourvoir se marier avec elle, il devrait se convertir à sa religion. Il n'avait jamais entendu parler d'Eva, mais si elle avait su guider Dolores jusqu'à lui elle devait être une grande Déesse. Mais ce qu'il craignait le plus était de ne plus avoir accès au cimetière et donc, ne plus pouvoir porter de fleurs a la tombe d'Olya.

- Ce n'est rien Dolores, nous nous marierions une autres fois. Dit-il d'une voix qui se voulait apaisante.

- Mais moi je veux me marier pendant un grand événement! Et je me fiche de ce que pensent les autres! En plus ce jour là, Eva bénira notre union.

- N'y a-t-il pas d'autres jours où Eva bénira notre union?

- Non justement! S'emporta Dolores. Si on ne se marie pas ce jour là, on ne se mariera jamais!

Et elle monta dans sa chambre sans manger. Depuis quelques temps déjà Dolores avait souvent des sautes d'humeurs. Sans doute à l'approche du mariage avait pensé Cyriaque. Lorsqu'il se tourna vers la table, Arielle et Amaryllis mangeaient comme si de rien n'était. Elles avaient prit l'habitude de ne pas les attendre pour déjeuner.


Le lendemain c'était Gabrielle qui emmenait les filles au marché. Gabrielle était une vieille amie de Cyriaque, et elle l'aidait souvent au ranch. Elle avait connu Olya et avait été la plus bouleversée lorsqu'elle avait apprit sa mort. Depuis elle s'occupait d'Arielle et d'Amaryllis comme ses propres filles. A maintes reprises elle avait critiqué Dolores, sur ça façon de s'exprimer ou sur son manque d'esprit maternel ; tant et si bien que désormais les deux femmes ne s'adressaient la parole que pour s'occuper des filles. Ce jour là, la pluie avait cessé de tomber et un léger soleil perçait les nuages, éclairant les rues d'Hydrolia. Gabrielle avait prit un grand panier pour vendre les œufs du ranch comme le lui avait demandé Cyriaque. Elles marchaient parmi la foule et s'arrêtèrent devant la boutique de Hugs un elfe qui connaissait bien la famille. Gabrielle entra la première et se précipita sur le comptoir pour présenter son panier.

- Hugs! Regarde-moi ces œufs frais et bien ovales. Crois-moi des œufs comme ça tu n'en trouveras pas n'importe ou!

Gabrielle avait une drôle de façon de marchander, mais il fallait reconnaître que bien des fois, elle avait réussit a vendre de vieilles peaux de lézards pour une somme exorbitante.

- Tiens bonjour Gabrielle. Dit Hugs en lui souriant. J'ai quelque chose pour toi.

Il se pencha et sortit une boîte remplie de peaux de lézards.

- Tu ne les a toujours pas vendus?! S'étonna Gabrielle.

- Je les ai fait expertiser. Et tu sais quoi? Ils sont invendables. Ils tombent en lambeaux, on ne peu rien en faire.

Gabrielle regarda Hugs avec appréhension.

- Tu n'aurais pas oublié de me dire quelque chose quand tu me les a vendues? Continua Hugs, un mince sourire aux lèvres.

Arielle attrapa la main d'Amaryllis et la tira à l'écart. Elle se promenèrent parmi les rayons en fixant tous les objets en vente. Arielle avait pour habitude de s'éloigner lorsque les grands réglaient leurs affaires, elle ne voulait pas que sa sœur et elle soit un jour impliqué dans des ennuis qui ne les concernait pas. Elles marchaient laissant derrière elles des traces de pas dans l'épaisse poussière qui recouvrait les lieux. Même leur maison était mieux entretenue, pensa-t-elle en faisant glisser sa main sur les étagères. Elles arrivaient au fond de la rangé dans laquelle elles se trouvaient, lorsqu'un étrange objet se mit à briller d'une lumière étincelante. Arielle plissa les yeux et continua à approcher de l'objet. Derrière les rayons de lumière, elle remarqua des barreaux et derrière ces barreaux, elle remarqua la présence d'un grand oiseau. Celui-ci semblait s'être enflammé. La lumière diminua d'intensité, et pour finir-elle disparut complètement. Arielle rouvrit les yeux et tenta de les habituer à la noirceur du lieu. L'oiseau était toujours là, perché dans sa cage. Ces plumes n'étaient plus en feu, elles avaient même prit une teinte dorée. Arielle se retourna et regarda Amaryllis. Sa sœur n'avait pas bougé de l'endroit où elle l'avait quitté, et fixait l'oiseau. La cloche de la boutique sonna et derrière l'étagère, Arielle vit une grande silhouette s'activer en direction du comptoir. Quelques secondes après, Hugs arriva suivit d'une grande elfe rousse au lèvres pulpeuses.

- Tiens-le voilà! Déclara Hugs en s'approchant de la cage. C'est bizarre qu'Odilon veuille se vieux phoenix.

- Ne dites pas de sottises Hugs. Reprocha l'elfe en s'approchant à son tour, les yeux pétillant. Ce phoenix et magnifique, je comprends a présent qu'Odilon m'ai chargé de l'acheter.

- Je l'ai reçus ce matin, en provenance d'un pays chaud où il n'y a que du sable. Ricana Hugs. Il faut croire que les gens qui y vivent, veulent un peu d'argent. Enfin un peu…Il m'a quand même coûté vingt-sept millions d'Adenas.

L'elfe sembla surprise et même un peu déçus.

- Tant que ça..? Mais Odilon m'a pourtant assuré qu'il ne devait pas coûter plus de cent milles Adenas. Il m'a donné l'argent mais je n'aurais pas assez pour vingt-sept millions d'Adenas.

Hugs plissa les yeux et se gratta la menton. C'était un gros elfe chauve qui avait une moustache de morse.

- Bah je peu bien te le faire à un prix d'ami Elodie. Affirma-t-il en souriant.

-Oh merci Hugs!

Ils prirent la cage et retournèrent près du comptoir. Ils n'avaient pas vu Arielle et Amaryllis qui s'étaient caché derrière une sculpture de grenouille. Celle-ci sortirent en courant de leur cachette et retournèrent voir Gabrielle qui avait réussit à vendre à bon prix les œufs du ranch.

- Aller mes chéries on y vas, il nous reste encore beaucoup de choses à acheter.


Dolores était en train de se brosser les cheveux dans sa chambre, lorsqu'elle entendit des voies au premier étage. Curieuse, elle s'approcha de la porte et l'entrouvrit – d'ici elle pouvait voir l'entrée de la maison. Trois petites formes patientaient devant la porte bloquant le passage à Cyriaque. Dolores ouvrit un peu plus la porte et finit par distinguer les trois personnes. C'était des Nains. Et ces trois nains elle les avait souvent vu roder autour de la maison. Ils semblaient mécontent presque fous de rage. Cyriaque était près pour aller voir le guérisseur du village pour lui parler de Rosalie, l'une des vaches, mais ces trois nains l'empêchaient de passer.

- Où est notre argent Cyriaque?! Beugla l'un d'eux. Nous savons que tu as de quoi nous rembourser!

- Oui il a raison, donne-nous l'argent! Si tu n'en avais pas tu ne pourrais pas t'acheter un aussi beaux manteau de fourrure.

Dolores grogna lorsqu'il toucha son manteau blanc avec ses mains noires de terre.

- Mais puisque je vous dis que ce manteau appartient à ma fiancée, il n'est pas à moi! Rétorqua Cyriaque. Dès que j'aurais de quoi vous rembourser je vous préviendrais je vous le promets!

- Dans ce cas, ce manteau est à nous! On le prend comme dédommagement! Annonça le plus grands d'entre eux. Et tu ferrais mieux de te dépêcher de trouver l'argent sinon ça pourrait mal aller pour tes filles!

- Ne parles pas des mes filles!
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:14

Cyriaque attrapa le nain par le col et le plaqua violemment contre le mur. Il lui asséna un coup de tête et le balança au dehors. Les deux autres nains saisir ses jambes et le firent basculer en arrière avant de le frapper au visage.

- Arrêtez!!!

Dolores sortit en hurlant et se rua sur l'un des nains aux cheveux roux. Elle le frappa avec une chaise qui se brisa sur sa tête. Le nain tomba à la renverse ; il était inconscient. Gabrielle arriva dans la maison et sauta sur le deuxième nain elle l'arracha au visage de Cyriaque et le jeta par inadvertance dans une bouse. Dehors, Arielle et Amaryllis regardaient le combat sans rien faire. Le nain qui avait précédemment était expulsé de la maison arrivait en courant vers elles. Arielle attrapa sa sœur par la main et partit en courant vers le poulailler, laissant tomber ses paniers derrière elle. Elle coururent au milieu des poules et entrèrent tout juste dans le poulailler qui avait une forme de chapiteau. Le nain attrapa une fourche et commença à planter les dents à travers le bois. Les deux petites étaient resserrées au fond de la petite maison. Elles n'avaient plus d'issus pour s'échapper. Alors dans un geste instinctif, Arielle leva les mains au-dessus de sa tête. Une lumière bleuté s'illumina et le silence se fit. Arielle tendit l'oreille et entendit un hurlement rauque loin dans les aires. Elles sortirent et virent le nain volant à côté d'un nuage. Il se débattait comme s'il essayait de nager, mais il ne bougeait pas. Quand soudainement il retomba à une vitesse vertigineuse. Par chance il s'écrasa dans une botte de foin. Il sortit et s'échappa à grandes enjambées, suivit du nain couvert de bouse qui portait son frère roux sur son dos. Gabrielle se précipita vers Arielle et Amaryllis et les pris dans ses bras.

- Ô mes chéries, ce porc à osait vous toucher! Gémit-elle en étreignant plus fort les deux elfes. Ne vous en faites pas ils ne reviendrons plus je vous le promets. Je vais tout faire pour que le Gouverneur les empêche de vous approcher. Ô mes trésors…
[modifier] ~Le doux parfum des fleurs~
u fil des pages Eucalyptus se perdait à suivre la vie d'Arielle. Cette elfe avait grandit dans un monde tellement infâme, sa jeunesse n'avait été que dettes et misère. Prise d'une incomparable affection pour cette elfe qui un jour prétendit au titre de princesse d'Hydrolia ; Eucalyptus ne faisait plus attention au temps qui passait. Qu'elle heure était-il? Deux heures du matin? Non il ne devait pas être aussi tard et ce journal était tel que la petite elfe le parcourait à une vitesse folle. Depuis quelques pages déjà, Arielle était arrivée sur les terres d'Oreline ; terres qu'Eucalyptus soupçonner d'être trop malsaines. La rencontre de tous ces peuples à travers les yeux de sa princesse enchanta plus que tous la jeune elfe qui n'arrivait plus à détacher son regard du livre. Et le plus beau de tous était cet amour grandissant que porter Arielle à ce chef de l'armée humaine : un certain Belgarionn. Néanmoins… la vie d'Arielle était courte et Eucalyptus ne tarda pas à atteindre la fin du livre…Les dernières pages étaient les plus accablantes…

Je ne savais qu'elle mal me tourmentait, mais le fait était que ma tête me tournait. Je me dirigeais vers un parterre de fleur à quelques pas de moi. Où étais-je? Il me semble que la ville que je voyais au loin était Elven Village, je n'en étais pas certaine. La vue de cet arbre géant en contre plongé m'annonça que je me trouvais belle et bien près d'Elven. Je soupirais. Cette ville m'écoeurait. Ces habitants blancs comme neige qui prétendaient être bon, alors que leur mot d'ordre était "hypocrisie". Ma tête me tournait tant et si bien que je décidais de m'étendre au sol ; je me retrouvais alors, entourée d'une forêt de fleurs sauvages. Leur parfum était si bon que je me plaisais à l'humecter les yeux clos. On eut dit le jardin d'Eden. Mes pensées se bousculaient, et il m'était impossible de réfléchir à quelque chose de censé. Cependant à force de persévérance j'arriva à focaliser mon esprit sur un être auquel je tenais particulièrement. Mon tendre et beau Belgarionn…Où étais-tu partit? Pourquoi m'avais-tu laissé seule? Ma disparition t'avait-elle tant touché pour que tu me cherche encore? Et notre mariage… Oui notre si beau mariage que j'imaginais pour me réconforter, qu'était-il devenu..? Avait-il lui aussi disparu? Je soupirais une seconde fois. Comment avais-je pus m'éloigner de Belgarionn? Il était tout pour moi. Enfin il y avait aussi Sunrion. Oui, je me souviens. C'était pour lui que j'avais disparus, pour le retrouver ; Mais hélas, je m'étais rendu compte que, seule face à une armée de sombres, je n'aurais rien pus faire pour le sauver. Oui… Voilà où était la cause de mon absence. Je m'étais sentit tellement inutile ce jour là, que j'avais préféré disparaître. Et à mon retour j'apprenais que le peuple elfe n'avait rien fait pour te retrouver mon Sunrion… C'était les sombres qui avaient fini par te libérer, mutilé, torturé… Je finissais par penser que le peuple elfique le plus sombre n'était pas celui qui prétendait l'être. Je me souvenais aussi des dix années de prisons que tu avais purgé pour une raison qui me dépassaient. Les elfes t'avaient enfermé parce que tu étais tombé amoureux de moi… Ce peuple… Il t'avait tant fais souffrir et toi tu lui restais fidèle. Ton sens de l'honneur et ta version du bien et du mal ; c'était ce qui me plaisait le plus chez toi. Tu étais mon meilleur ami, l'être en lequel j'avais le plus confiance, le seul qui m'ai pardonné de n'être qu'une créature des dieux. Je tenais tant à toi… Mes pensés dérivèrent contre mon grès, pour se tourner vers une autre personne. Celle-ci m'avait aussi tant apporté que je m'en voulais de l'abandonner. Kira… Toi qui avais toujours été la pour moi durant les allés et venues de Belgarionn. Tu prenais soin de moi alors que tu savais que jamais je ne pourrais t'aimer comme j'aimais Belgarionn. Ta force de caractère et ton courage avaient toujours suent me sortir des plus mauvais pas, et tu ne me mentais jamais. Entre nous il n'y avait pas de mensonges, seulement des réalités. Et ces derniers jours encore tu avais prit soin de moi, et tu m'avais écouté lorsque je me plaignais de l'échec qu'était mon mariage. Mon mariage… Il battait de l'aile et tu avais su me réconforter malgré tous. Peut-être que dans une autre vie je tomberais amoureuse de toi… Je t'adorais… Le tournis me reprenait et j'avais l'impression que le sol sous moi disparaissait. Je fut prise de nausée mais je me reteins de vomir. Et tu me vint à l'esprit. Toi, oui toi. Toi la seule elfe qui m'ai jamais pardonné d'être moi. Taria… Pourquoi nos chemins s'étaient-ils écartés? J'aurais tant voulu être encore avec toi. Tu étais ma meilleure amie, ma confidente celle qui me comprenait et qui acceptait que je sois déprimée. Tu m'avais détesté au début parce que Yuki était aussi tombé amoureux de moi dans le passé, alors qu'aujourd'hui il était avec toi. Mais tu l'avais quitté… Pour un être que, malgré tous les efforts de la terre je ne pourrais jamais apprécier. Ollinwen… Ce monstre d'elfe, cette dame qui se croyait sage alors qu'elle se permettait d'insulter les morts. Cette femme imbue d'elle-même, qui ne respectait rien ni personnes, ce monstre qui se croyait parfait. Sage était un mot qui ne lui convenait pas, non… vile, stupide et cruelle, étaient des mots que portait si bien notre Dame Ollinwen. Je hurlais, je hurlais de rage, désormais assise dans les fleurs. Comment avait-elle pu qualifier le sacrifice de la cousine de Sunrion et Tyrael comme stupide et inutile?! Et comment avait-elle pus se permettre de se moquer de ma si tendre Morwen?! J'enrageais à l'idée de t'abandonner entre les griffes de pareilles créature… Ô ma Taria… Pourquoi étais-tu tombée amoureuse de cette être infâme..? Je me levais dans l'espoir d'atteindre le village et de te retrouver pour te mettre en garde, mais je n'avais plus de forces. Je m'écroulais de nouveau dans les fleurs. Cela faisait cinq jours que je marchais, et je me retrouvais ici… Ce village que je ne considérais plus comme le mien. Trop de choses me différenciaient de tous les elfes d'Oreline, néanmoins j'avais réussit à m'en faire quelques amis, des amis que je regrettais aujourd'hui. Mes forces m'abandonnaient et je m'étendais dans ce massif floral qui sentait si bon. Au-dessus de moi, la coupole céleste s'étendait, tachetée de nuages blancs, et c'est alors que je les vis…Cette femme avait des yeux d'un vert émeraude et des cheveux d'or ; son visage constellé de tâches de rousseurs lui donnait un air bienveillant et son sourire me donner chaud au cœur. Quant à l'homme à ses côtés, et bien ce n'était nulle autre que mon père. Il me souriait lui aussi et me tendait la main. Comme ils avaient l'air heureux tous les deux, et les voyant, je fus prise d'une irrésistible envie de les rejoindre. Mais je pensais encore à vous tous, qui me maintenaient sur terre. Puis soudain je pensais que finalement vous seriez peut-être mieux sans moi…Je ne méritais pas Belgarionn, Sunrion avait souffert par ma faute, Yuki m'avait sans doute oublié, Luciferkira devait être heureux de ne plus à devoir me secourir, et toi ma Taria tu avais… bien que je l'imagine être un obstacle à ton bonheur… tu avais Ollinwen. Je portais mes mains à ma poitrine et je soupirais. La vie me pesait sur les épaules et je n'en pouvais plus de porter pareille charge. Plus rien ne me retenait désormais, et je ne voulais plus vivre. Non je ne voulais plus me sentir de trop ou même inutile ou ignorée. Mes paupières étaient lourdes… trop lourdes pour que je les laisse encore ouvertes. Doucement je fermais donc les yeux. Mon souffle ; je le sentais lointain et j'entendais les battements de mon cœur à travers tous mon être. Il faisait noir et pourtant je n'avais pas peur. J'eut l'impression de sentir un contact doux contre mes lèvres. J'ouvris précipitamment les yeux et je ne compris pas pourquoi je le vis… mais il était en face de moi… il m'embrassait. De longues larmes se mirent à couler le long de mes joues et je savourais ce dernier baiser de mon bien aimé. Ce n'était pas Belgarionn je le savais, mais l'imaginer m'embrasser était mon dernier rêve, et mon subconscient avait du matérialiser ce doux désire. Le dernier souhait d'une femme à l'agonie. Je refermais les yeux et je laissais les larmes couler le long de mes joues. Mes mains posaient sur mon cœur je rêvais de lui. Puis ce fut de nouveau le noir complet. J'entendais mon cœur battre de plus en plus faiblement… Pompom…pompom…pompom…pom…Puis ce fut le silence enfin…

Eucalyptus compris, bien qu'étant petite, que sa princesse avait décidé de ne plus suivre le chemin des vivants… mais de laisser son âme être bercée par le doux et délicat parfum des fleurs.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:14

Arkyal

[modifier] Arkyal, au service du peuple Orc
[modifier] Présentation

Nom : Arkyal
Race : Orc
Sexe : Male
Classe : Overlord
Alignement : Loyal Neutre
[modifier] Histoire
[modifier] Passé


Fils d'un guerrier Orc et d'une shaman Orc, Arkyal tient plus de sa mère que de son père. Il en a hérité l'aptitude innée a pour la magie, et n'a certes pas la carrure de son père. Ce qui n'a pas empeche ce dernier de lui inculquer son savoir martial, tandis que sa mère lui apprenait les bases de la magie orc.

C'est donc à un orc accompli et bien préparé qu'auront affaire ceux qui croiseront sa route. Et son attitude calme et posé, trés developpée pour un orc, ne doivent pas le faire passer pour un faible.

Arkyal n'est pas de ceux qui étalent leurs sentiments. Ce qui rends ses rares colères d'autant plus impressionantes. Ses aptitudes au combat sont renforcés par ses aptitudes verbales. N'entendez pas par la qu'il est poète. Mais il aime affaiblir ses adversaires par les mots, les humiliant ainsi aussi bien sur le plan physique que psychologique.

Il n'a pas de raisons particulière de haïr les elfes ou les hommes, n'en ayant pas subi les assaut. Ce que lui ont rapporté les anciens lui suffit. Les orcs sont les combattants les plus fier et les plus fort de ce monde, et l'idée qu'ils soient reclus et dans l'écrasante tranquilité de la paix lui est insupportable. Les orcs domineront, ou mourront en essayant, voila sa devise. Pour lui, la guerre n'est pas un passe-temps, un plaisir. C'est un mode de vie.

[modifier] Présent
La guerre s'approche, enfin. Arkyal, aujourd'hui engagé dans la Horde, est impatient de mettre ses talents au service de la cause Orc : la guerre. Nul doute que les récentes évènements rapportés lors de sa conversation avec 2 de ses frères et d'un sombre nommé Akmahal lui apporteront le pretexte d'annihiler enfin cette paix qui impose aux Orcs de vivre contre leur nature.

L'epee qu'il s'est fait forger versera bientot le sang de ces ennemis, et il en a commande une deuxième afin de parfaire les arts transmis par son père, en combinaison avec les pouvoirs que lui a légué sa mère. Sa foi en Paagrio l'inspire, son bras va bientot assouvir sa soif de bataille.

Et qu'importe si la defaite ou la mort l'attendent dans une vallée encaissée, il sera pret a lui faire face. Dans le feu et le sang.
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Catégorie: Les Personnages, les Chroniques
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:16

Athanor
Un article de Le RP d'Oreline.
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[EN CONSTRUCTION!!!^^]

center


Chapitre I: La punition:


Athanor jeune drow d'une quinzaine d'années, fils d'un grand sorcier du nom d'Ifrit. Ifrit à jadis crée une terre dans une brèche protégé par un sceau pour se réfugier loin des guerres et de la tristesse. Cette " terre parallèle" a été crée pour se réfugier mais aussi pour former des sorciers dont la force serait des centaines de fois supérieur a tout autres être vivant. L'enfance d'Athanor se résume à l'apprentissage long et fastidieux de la magie sous les ordres de son père. Sur cette "terre parallèle" ne vivent que des drows puissant et courageux...Mais Athanor n'a pas la force souhaite par son père, Ifrit décide donc de bannir son fils hors des terres qui le protégeait. Ifrit dit a son fils avant de l'exclure: " Mon fils du est faible est ta magie est inefficace. Tu reviendra lorsque tu aura la force d'ouvrir le sceau qui protége nos terre. Prend ces épées, tu sauras peut être mieux t'en servir que ta magie " Avant de l'exclure Ifrit concentra une énergie dans le creux de sa main qui dégageait une lumière qui s'entendait sur des centaine de mètres. Ifrit dit a Athanor :" Je te donne ce pouvoir, il te permettra de survivre"

Athanor se retrouve sur les terres hostiles d'Aden, seul loin des siens....


Chapitre II La découverte du monde

Athanor ne connait rien d'autre que les drows, il est jeune fougueux et toujours souriant. Il adore s'amuser et rire a longueur de journée malgré sa solitude. A chaque rencontre avec un étrangé, Athanor parle comme si il parlait a un ami. Athanor n'oubliera jamais ces premières rencontres avec les nains ou il s'est bien amusé. Il en est de même avec les orcs qui les appelaient Norc ou Zorc. Il se souvient plus particulièrement de sa rencontre avec une norc du nom de Lanoghri qui été déguise en nain! C’est elle qui lui a parlé de trouver un clan pour ne pas mourir,car ce jeune Athanor est insolent avec tout le monde mais il ne le sais pas. Pour lui, rire et s'amuser avec les gens est normal. Lanoghri lui conseilla de trouver Kizzat pour rentrer chez les spectres et que c'etait la meilleur chose a faire pour survivre Athanor se mis donc en route pour trouver Kizzat le chef des spectres.

Apres avoir rencontre Kizzat , Ney et Sysila, Athanor fut digne de rentrer chez les spectres. A chaque rencontre Athnaor n'hésite pas a dévoiler ces pouvoir transmis par son père: La régénération instantanée.

Athanor s'entraîne jour et nuit sans relâche pour augmenter sa force dans un unique but: ouvrir le sceau et tuer son père pour lui montrer son vrai pouvoir. Athanor au fil du temps devient de plus en plus fort il est maintenant capable de contrôler son énergie vitale, de transmettre le pouvoir de régénération mais il est surtout capable de lancer des sorts extrêmement destructeur....Malheureusement la seul chose qui ne sais pas faire c'est contrôler ses émotions...Quand un sentiment de colère voir de furie habite son corps, Athanor ne se contrôle plus, dans ces moment il est capable de diffuser une énergie colossale sur des centaines de mètres, ces yeux deviennent rouge comme les flammes...et dans ces moment la Athanor n'est plus le jeune drow de 15 ans souriant et joyeux...mais une véritable puissance déchaîne impossible a contrôler.


Chapitre III : Une nouvelle vie


Athanor, depuis un certain moment, ne vie plus que pour la puissance et la vengeance. Son énergie est presque palpable quand on est prés de lui. Jusqu'au jour ou Athnor rencontra une drow sur la place de Giran. Cette drow avait l'air triste est désespère...Athanor comme toujours joyeux et souriant commence a lui demander la source de ces problèmes...après une discutions pleine d'émotions, Athanor savait que cette magnifique drow se nommait Aelinria et que sa vie se résumait a la solitude dans une foret sombre, elle ne connait aucun sentiments, elle ne connait ni l'amitié ni la joie.... Ce jour la, Athanor fut surpris de voir une drow si triste et se promis de lui faire connaitre la vrai vie...enfin...la vie que lui aimait. Athanor tenta de la faire sourire, de bannir la tristesse de son coeur, et de lui faire connaitre l'amitié. Athanor l'emmena sur les collines d'enchanted valley ou le paysage merveilleux s'étend jusqu'a l'horizon....Apres quelque jeu infantile emmené par Athanor ,comme dévaler les collines ou courir sous les cascades, Athanor put découvrir une chose merveilleuse...le sourire d'Aelinria. Athanor lui expliquait des mots comme la joie, l’amusement, le bonheur l'amitié...puis l'amour. Ce jeune drow insolent de 15 ans commence a mûrir au fil des jours passe avec Aelinria, Athanor viens de rencontrer, enfin, une amie. Athanor n'hésite pas a lui donner des baiser sur la joue pour lui montrer son affection pour elle, jusqu'au jour ou Aelinria lui montra a son tour son affection...en lui donnant un baiser, le plus merveilleux des baiser. Apres ce baiser, Athanor , un peu désorienté, lui dit..." c'est ce qu'on appelle.." Aelinria lui rend un autre baiser encore plus fougueux . Athanor finit ça phrase par " l'amour"



Aelinria et Athanor sont de plus en plus unis et ils vivent heureux...malheureusement tout ne fut pas si simple, Shilen avait décide de lui retirer la vie qu'elle considérais inutile. Aelinria est atire par Shilen et son temple,...et seul elle ne peut faire face à sa volonté. Athanor se mis en tete de la sauver par tous les moyens, il ne supporterais pas de perdre la plus belle chose que ce monde lui a offert. Athanor accomplis une chose a la fois merveilleuse et dangereuse : Il donna a Aelinria la plus belle chose qu'on puisse donne: Sa vie. Athanor lui a insuffle dans le corps une partie de son énergie vitale dans le but de l'aider a rechaper à la volonté de Shilen. Aelinria n'est plus seul, Athanor la protége par tous les moyens.

Malgré tous ces efforts démesures, Shilen est bien trop forte, il ne sert a rien de lutter...Aelinria est attirée... toujours de plus en plus prés de son temple... Une chose inévitable allait se produire: Shilen allait lui prendre la vie. Aelinria se retrouve dans le temple, Les bras mutilés d'une dague contrôlé par la volonté de la déesse...Aelinria s'effondre dans son sang... Athanor arrive trop tard dans le temple...il découvre sa bien aime au centre du temple...baignant dans son sang... A cette instant la colère la plus violente emplis le corps du jeune Sombres...une aura rouge entour son corps ...mais cette fois elle est bien plus grande et plus furieuse que d'habitude , des éclairs crépitent dans tous le temple en partant de son corps...Puis il se mis a hurler dans le temple: SHILEN!!!!!!!! TU N'A PAS LE DROIT DE LUI PRENDRE LA VIE....ELLE A TROUVE UN SENS A SON EXISTANCE!!!! ELLE M'AIME, ET NOUS VIVONS HEUREUX TOUS LES DEUX...JE T'IMPLORE SHILEN...

Athanor hurle de tristesse...il laisse échapper toutes les larmes de son corps...les vibrations de sa colère peuvent se faire ressentir jusqu'au delà du temple...

Athanor fait tout son possible pour soigner les plaies mais rien n'y fait... Jusqu'au moment ou il crut apercevoir ces proches...son frère sa mère et...son père...ils se présentaient comme des auras...ce n'était pas eux véritablement…mais plutôt une partie d'eux pour aider Athanor...il est possible aussi que ce fut juste le fruit de l'imagination d'Athanor...

Athanor dans sa fureur la plus complète reçu un message des 3 membres de sa famille....après ce message il retrouva l'espoir et le courage de sauver sa bien aimée. Les 3 auras ont disparu dans le corps d'Athanor et une aura blanche extrêmement lumineuse entour le corps d'Athanor qui ne sais pas lui même ce qui lui arrive...Apres une vague de lumière aveuglante , Athanor tombe au sol brûlé par l'énergie collosale qu'il viens de côtoyer...Apres quelque minutes, Aelinria se relève…faible...mais en vie.

Aujourd’hui encore Athanor ne sais pas si c'est ces auras qui lui ont permit de sauver son amour...ou alors si Shilen a entendu son appel...

Apres une bonne semaine de repos, Athanor et sa bien aimée ont retrouve leurs vies paisible et heureuse...



Chapitre V: Athanor prend part à l'histoire


Aelinria et Athanor vivent paisiblement pendant de longues semaines...mais Athanor est jeune, son désir de gloire et de puissance peut se voir a la lueur de ces yeux... Athanor veux marquer une page de l'histoire, que son nom perdure dans les esprits en tant que le plus jeune mais le plus puissant de tous les sorciers sombres que cette terre est portée. Le jeune sombre s'éloigne peu a peu de sa bien aimée pour se consacrer exclusivement a l'accumulation de puissance...

Un jour, Athanor eu vent de la réunion du pacte visant à réorganiser le clan...C'est l'occasion rêvée pour lui de montrer de quoi il est capable... Il se mit en tête de rassembler des frères et de fonder une unité d'élite qui aurait comme objectif de monter au monde la puissance des sombres.

Athanor rencontre son ami Akmahal réputé pour sa maîtrise parfaite des ombres, il lui expose son idée, et Akmahal accepta de se joindre a cette cause pour diverse raison: la satisfaction personnelle de devenir seigneur des ombres et aussi pour retrouver la bénédiction de Shilen. Athanor rencontre ensuite Ansem, expert dans le maniement de l'épée. Ce dernier rejoint Akmahal et Athanor pour venger Ney en détruisant l'armée blanche. Apres une réunion pour décider des "détails" tels que la méthode de recrutement dans ce groupe etc, le groupe est baptisé PURGATEUR!!! L'unité d'élite qui rassemble des frères d'armes...dont le nom restera gravé dans l'esprit des gens...

Lors de la réunion du pacte, Athanor présente ce nouveau groupe faisant partie du pacte...certain apprécient ce groupe, d'autre en ont peur... Mais ce groupe est actif, avec des objectifs claires, a peine la réunion terminée les Purgateurs commencent leurs mission d'espionnage et de "nettoyage".....


Suite de l'histoire: Chapitre VI: Les Purgateurs, témoins d'hérésie
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:18

Ayunken


[modifier] Fiche de personnage

Nom : Ayunken

Race : Demi-elf

Age : Jeune, la quarantaine.

Classe : Silver Ranger.

Alignement : Neutre( Variable c.f BG et chroniques).

Guilde : Impossible.
[modifier] BackGround

Le jeune demi-elfe avançait tranquillement dans la forêt, accompagné des animaux. Il comprenait la nature, et la nature le comprenait. En échange de sa protection, la forêt lui offfrait la nourriture et le gîte dont il avait besoin. Voilà maintenant plusieurs jours que la forêt était calme. Ayunken décida donc de prendre uun peu de risques et se dirigea vers l’orée de la forêt. La ville humaine qui se dessinait au loin se nommait « Hunter Village » ou le village de chasseur. Cela faisait près de 15 ans qu’il n’avait plus vu la civilisation, et s’était avec peine qu’il se souvenait encore de cette sombre période.


Il était le fruit d’une alliance taboue, interdite malgré le rapprochement de deux peuples. En effet, Ayunken avait hériter de la sagesse, l’amour de la nature et la longévité de son père elfique, mais c’était son origine humaine venant de sa mère que les elfes voyaient uniquement en lui. Eh oui, ce jeune homme était un demi-elfe, la preuve d’un union inavouable. Ayunken ne sait toujours pas comment ses parents se connurent et purent braver les traditions et les interdits. Non, tout ce qu’il retient, c’est la haine et le mépris que tous lui manifestent. Un sang-mélé, le parfait bouc-émissaire pour les maux d’une société. Ce faut d’abord lui et sa mère qui furent rejeté du village humain de gludio. Sa mère fut jugée de putain et de honte à la société. Elle fut exhilée, et décida de rejoindre son amant. Ce dernier la rejeta et nia toute responsabilité. Il l’explussa de force loin du village elfique. Sa tendre mère tenta un moment de tenir bon face à l’exclusion dont elle et son bambin faisait preuve. Mais que peut une seule femme face au monde entier ? Pas grand chose... C’est ainsi qu’elle abandonna le petit Ayunken au centre d’uun forêt, en ésperant que son sang elfique le sauverait. Et la nature lui donna raison, elle protégera le petit. Mais en échange, la nature se montra sans pitié, et prit sa vie en payement. La mère d’Ayunken ne sortit jamais de la forêt, et aucun être vivant ne sut ce qui lui arrive.

Le petit demi-elfe n’avait que deux ans à l’époque, mais il se souvient encore aujourd’hui avec une grande neteté de la voie qui habita ses rêves cette nuit-là. Pauvre petit, le monde entier te rejete, mais moi je te protégerait... Tant que tu restera au sein même de la nature, tu sera en sécurité, et tu la servira... Et c’est ce qu’il fit, tout au long de sa vie. Il apprit le maniement de la chasse et de la dague. Il apprit à chasser, pister, et à être discret. A l’aube de son vingtième anniversaire, Ayunken trouva des vêtement, un arc et uen dague de très bonne qualitée au bord de la rivière. Il ne comprit pas de suite, mais sans attendre, unne voie se manifesta dans son esprit, cette même voie qu’il avait entendu le jour où il arriva dans la forêt. Prends ces objets. Il est temps pour toi de voir le monde, de constater la haine et le mépris dont les sang-mélés sont victimes. Va, et tu saura quand le moment sera venu pour toi de revennir ici. Et malgré son appréhension, Ayunken enfila les vêtements, mit l’arc en bandoullière et la dague au ceinturon. C’est ainsi qu’il commença son premier voyage dans la société.


Le regard du rôdeur s’assombrit et se crispa au souvenir de ces moments douloureux. Il s’assit au pied d’un arbre, laissant les sons et la plénitude la forêt l’envahir, de même que ses souvenirs. Il ne comprenait pourquoi il était si nostalgique, mais il avait apprit depuis longtemps à ne rien refouler. C’est donc en carressant distraitement la tête du renard qui venait de l’approcher qu’il continua à se rappeler.

Son étonnement ne cessait de monter en arpentant les rues de la capitale humaine. Tout d’abord les adenas, valeure monétaire, et principal centre d’échange. Ayunken n’en avait pas, et n’en voyait pas l’utilité. Son ignorance rajoutée au mépris et l’appréhension des gens créa un profond malaise en son être. La nature lui manquait, mais il sentait qu’il n’avait pas finit sa tâche, quelle qu’elle soit. Mais du moins la nature avait bien prévu le coup, et son équipement le rapprochait des gens qu’on appelait les rodeurs, ou chasseurs. Ces gens, un peu en retrait de la société, mais que l’on acceptait tout de même. Ayunken comprit qu’il devrait être l’un d’eux pour survivre, et s’intégrer. Mais en comprenant, cela, il comprit aussi l’erreur qu’il ne devrait plus commêtre ; celui de révéler sa nature. En effet, aussitot qu’il enleva sa capuche, et qu’il se qualifia de demi-elfe, les portes se fermèrent, les gens l’évitèrent, et bien vite les marchands commencèrent à lui imputer certains larcins. Le jeune archer commença à haïr ces gens qui le rejetaient sur de simples apparences. C’est lorsque la garde vint le voir afin qu’il quitte la ville sans plus attendre qu’il comprit. La société n’était pas encore prête à le recevoir. Il retourna donc dans la forêt.’’


Tout cela remontait à 15 ans, 15 ans qu’il attendait le moment où il devrait repartir. Et d’unn coup, il sut que ce moment était venu. Il ferma les yeux, cherchant la voix protectrice mais tout ce qu’il entendit fut : Ton père a rejeté ta mère, et t’as trahit. Ayunken frissonna en entendant cela, car ce n’était pas la voix habituelle, elle était plus froide, plus... brutale. Néanmoins, l’archer prit sa décision. Il passa sa capuche, et partit en direction de la ville, un loup sur ses traces.


[modifier] Chroniques
[modifier] A la rencontre de l'espoir

Voilà maintenant des mois qu'il se fondait dans le groupe de rôdeurs du village de chasseur. Mais devant la méfiance et le mépris des gens à l'égard de son origine, seul le froid faisait surface afin de les protéger, en lui attirant par la même plus de problèmes encore. Cependant, un jour, il fit la connaissance d'une jeune elfe, nommée Taria. Elle lui compta son passé, ses souffrances, et son malaise. Elle nourrissait la haine dans son coeur en remuant son passé. Elle leur plus immédiatement, chose plutôt inhabituelle pour le froid qui n'avait encore jamais éprouvé ce genre de sentiment. Le froid tenta d'augmenter la haine de Taria, et de l'éloigner, afin de ne plus éprouver ce sentiment nouveau. Mais le mal était fait, et la rencontre avec Taria fit ressurgir peu à peu l'innocent. Le froid redoubla d'efforts face à Taria, attirant la rancoeur de certains elfs bien placés. Et en effet, un jour il rencontra dame Lizael, et suite à une discution mouvementée et quelques paroles mal placées, il fut bannis des terres elfiques, sous peine d'emprisonnement. Et pour la première fois de leur existence, le froid et l'innocent tombèrent d'accord sur leur décision. Ils se rendirent donc en terre elfe, où ils furent emprisonnés.
[modifier] Une période recluse

En se livrant, Ayunken ne pensait pas qu'il serait tabasser, bailloné, mutilé et insulté. Et comme à chaque fois qu'il se sentait menacer, le froid refit surface, et envnima encore les choses. Il fut laissé seul, enfermé. C'est alors que l'innocent reprit le contrôle. Lui et son compagnon de cellule, un certain Sunrion, n'échangèrent que rarement des mots, préferant se taire. Ayunken décida de mettre tout ce temps libre qu'on lui offrait à profit. Il rentra en méditation, à la recherche de son autre. Il provoqua la rencontre de ses deux êtres, afin qu'ils discuttent. En quelques jours, ses progrès furent fulgurants. Le froid et l'innocent partageait enfin leurs souvenirs, et pouvait se aprler sans trop de difficultés. Les pasages de l'un à l'autre étaient ausi plus subtils, et moins douloureux. Mais malheureusement, plus fréquents aussi. Taria et d'autres elfes vinrent de temps à autre le voir, pour lui tenir compagnie, ou pour l'interroger. Ils le mirent à bouts, et sans le savoir, et souvent sans le vouloir, ils participèrent à ses progrès. Les autorités elfiques virent le voir, afin de le comprendre, et de l'interroger. Il était un grand sujet de discution apparement, et faisait polémique à travers les frontières. Ils le prenait pour n envoyé, semeur de troubles, ce qu'il n'était pas. Ils n'étaient pas pour la relax, mais cela ne dérangeait pas Ayunken. Il faisait de grands progrès, et le froid et l'innocent se melaient de plus en plus, et détaignait l'un sur l'autre. En bref, il pensait sa guérison toute proche.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:19

Azall

Fiche de Personnage

Nom Officiel: Kay R'Danh

Nom Veritable: Urgath

Prénom : Azall

Race : Drow/Elfe Noir

Metier : Guerrier Drow "Blade Dancer"

Sexe : Masculin

Age : Approximativement 200 ans.

Religion : Voie de Shilen

Alignement : Chaotique Neutre

Guilde : Spectre

Rang : Garde Noir de la Grande Matriarche.

Apparence : Peau Gris Foncée, très longs cheveux blancs comme neige. Grande, mince et gracieux. Yeux completement blancs car meurtris par une dague. A la particularité de porter un bandeau par dessus, ainsi qu'un ample manteau noir cachant sa silhouette..

Déscription rapide : Azall est un guerrier froid, calculateur mais sans grandes ambitions, mise à part de servir sa déesse et la Grande Matriarche. Il n'hésite pas à dégainer quand il juge que la situation l'exige, ce qui lui porte parfois préjudice. Bien qu'en apparence, il est consideré comme mauvais, Azall possède plutot un bon fond, et à tendance à donner son pardon facilement. En réalité, c'est un solitaire qui souhaite se battre avant tout pour ses idéaux, et non servir une quelconque faction que ce soit.
[modifier] Le Sombre Fils d'Urgath
[modifier] Conte

"Mère...et la fille qui prit le chemin des épinglettes, que lui est il-arrivé ?"

"Entre, pousse la porte elle n'est pas fermée...répondit le loup. Mais la porte restait malgré tout fermée, alors elle entra dans la maison en se glissant par un petit trou."

Pendant une sombre nuit, dans le village obscur des Elfes Noirs, une battue avait lieu. Des assassins, des chasseurs drows, et même des Grandes Prêtresses dirigeant des petites troupes de soldats noirs arpentaient les rues de la cité des Sombres.

A quelques encablures de là se trouvait une femme drow, cachée sous un ample manteau à capuchon. Elle parlait à un petit sombre, pas plus haut qu'un Gobelin de la forêt noire, qui la regardait sans comprendre.

-Azall...Azall écoute moi, dis la mère à son enfant, les larmes aux yeux. Tu dois survivre, prends bien soin de ta frère et soeur. Je...on se retrouvera, promis, mais reste caché ! Reste bien caché, je t'en supplie ! Ne sort pas avant la septième nuit à partir de ce jour ! Et garde ça contre ton coeur.

La femme Drow sorti un petit livre d'une de ses sacoches de voyage et le pressa contre la poitrine de l'enfant. Celui-ci le tint fermement contre lui, en regardant sa mère, ne sachant que dire. Il voulait tant partir avec elle, mourir avec elle, mais elle finit par se lever, lui sourit une dernière fois, et s'engagea dans une des sombres ruelles de la cité. Peu de temps après, des cris raisonnèrent au loin, signifiant que l'intrus avait été repéré.

Le jeune sombre se tourna alors vers son frère et sa soeur. Ceux ci étaient couchés dans un panier en osier, et étaient à peine agé de quelques mois. Ils ne pleuraient, ils se contentaient de regarder leur frère, le même sentiment d'incompréhension les envahissant.

Doucement, l'ainé prit les quelques affaires qu'il avait, et porta le panier jusqu'à dans une maison abandonnée ou ils prirent refuge.

Des mois passèrent, et très vite il ne resta plus qu'un des trois enfants. Le plus vieux, malgré tout ses efforts, ne put subvenir aux besoin du reste de sa famille, et il glissa du poison qu'il avait volé dans leur dernier frugal repas pour qu'ils puissent mourir en paix. Il se mit alors à se battre de toute ses forces contres les intempéries du destin, vivant de mendiance et de vols à la tire. Son corps svelte et son agilité lui donnait certaines predispositions, et il pouvait ainsi eviter les représailles des marchands courroucés.

Son existence continua ainsi pendant quelques années, subsistant avec peine en attrapant ce qu'il pouvait. Lorsqu'un jour, il finit par se faire attraper. Il trouva son maître en la personne de Vaul Kay R'Danh, le maître d'armes de la maison du même nom,une des maisons dirigeantes de la cité. Au lieu de le punir sur le champ, Vaul eut l'air d'apprécier l'agilité et la ruse d'Azall. Il propose au jeune Drow de le prendre comme un de ses élèves dans la maison Kay R'Danh. Celui ci, trop affamé et pensant qu'il trouverait à manger si il acceptait, accepta sans attendre.

Ce fut le début d'un long entrainement marqué par une discipline de fer.
[modifier] Kay R'Danh

Dans l'éternel combat que nous menons, le but n'est pas de tuer l'ennemi, mais de vivre. Si vous mourrez, la chose que vous protegez ne le sera plus. Ne vous lancez pas dans des intrigues inutiles qui vous couteraient la vie., et vivez. Vivez pour continuer à proteger nos idéaux, et vivez pour notre Sombre Mère qui vous observera du fond des abysses. Vivez pour les Drows, et sus à l'ennemi !

-Vaul Kay R'Danh, parlant à ses élèves.

Malgré un fond qui pouvait cacher une certaine bonté, Vaul était un individu placide et froid, ne laissant rien au hasard, et qui ne supportait pas la désobeïssance. L'entrainement fut rude, très rude. Beaucoup périrent, que ce soit sous les coups, ou bien de fatigue. Mais ceux qui survivaient devenait des combattants endurcis, prompt à lever leurs armes contre tout ennemis, et vigilants envers toute menaces.

Azall, le jeune drow receuilli par le maître d'armes, finit par rejoindre le rang des sentinelles de la maison Kay R'Danh, ou il devint vite le capitaine d'une unité. Son zèle et son sens du jugement avait plu aux Mères Matrones, et il tint de nombreuses embuscades contre les ennemis des Drows, dans la forêt noire. Son comportement avait beaucoup changé. D'un enfant innocent, qui n'était pas touché par la haine des sombres, il était devenu un être froid, calculateur qui gardait des yeux d'acier et empli d'une haine profonde. C'était la le résultat de l'endoctrinement de son maître d'armes, et ce dernier était fier. Azall, bien qu'encore un combattant débutant, allait devenir un tueur sans pitié. Il avait tout laissé derrière lui, jusqu'a en oublier ses affaires les plus précieuses, sa famille, et son nom. Seul comptait le nom de Kay r'Danh à présent...
[modifier] Ruines du passé

Nombreux furent ceux qui avaient vu venir les armées de la lumière, mais à l'époque, cela semblait impensable. Je croyait moi même que notre déesse nous protegerait envers et contre tout...je me trompait lourdement. Elle allait nous châtier pour notre flagornerie.

-Azall

De bien nombreuses années passèrent depuis. Azall s'endurcit davantage, continuant à servir fidèlement sa maisonnée, et s'était rapproché du maître d'armes, créant ainsi une certaine complicité. Mais une menace se profilait à l'horizon. En effet, les lâches elfes de lumières s'étaient alliés à la sainte armée de la lumière des humains. Pis encore, ces imbéciles ont réussi à se faire posséder par eux, et furent mis sous leur egide.

Mais Azall était tout à fait conscient du danger que cela pouvait représenter pour leur cité. Malgré cela, sa Mère Matrone était absorbé par une toute autre mission, qui était de prendre la place d'une autre maison nobilaire, plus hautement placée. A vrai dire, la cité noire entière était plongée dans les vendettas et les intrigues depuis la capture victorieuse de Giran par les troupes sombres. Ce qui fait que l'inévitable ne pouvait qu'arriver; la grande armée blanche s'abattit sur les ruelles de la ville, tranchant et pourfendant tout les drows sur leurs passages, enfants et femmes non nobles comprises. Ce fut un véritable massacre, et Azall dut éconduire sa troupe hors de la ville. De sa maison, il ne restait que des ruines. Parmi ses troupes, il y'avait une matrone encore survivante; Nalatariel Kay R'Danh. Azall fut par contre déçu que Vaul aient disparu dans la mélée. Mais il ne se faisait pas trop de soucis, car il le savait bien plus malin que le plus intriguant des démons de Kain.

Accompagné seulement de la dernière matrone de sa maison, Azall prit la route pour le début d'un long et hasardeux vagabondage.
[modifier] Le Sombre Vagabond
[modifier] Marche ou crève

La lune était pleine ce soir là, et un vent étrange soufflait sur la forêt noire. J'en allais presque à me demander si il y'avait vraiment eu une attaque il y'a à peine quelques heures auparavant. Mais qu'importe, la cité est tombée, et nous devons rallier Giran avant le troisième jour.

-Un soldat Drow de la caravane pour Giran

Les deux drows survivant de Kay R'Danh, Azall et Nalatariel, n'avait pas rejoint la troupe d'Elfes Noirs qui partaient pour Giran en passant par la route des marchands, longeant Gludio, puis Dion. Ils prirent la route du sud, en passant par l'Autel des Rites. La raison de ce changement de direction ne venait pas d'Azall, mais de la matrone. Pour d'obscures raisons, elle souhaitait eviter les routes marchandes, et surtout, elle voulait marcher seule, et non se coltiner la caravane. Azall leva quelques hypothèses quant à cela; la matrone Nalatariel, dernière femme de la maison Kay R'Danh, s'était fait de nombreux ennemis, chez les drows comme par delà les frontières. Ayant perdu tout pouvoir sur ses troupes, elle préferait faire chemin à part. Et sachant qu'Azall était parmi ses seuls dévoués serviteurs, elle s'en accomoda, en échange d'une protection.

Quoiqu'il en soit, l'excursion ne se passa pas comme prévu, et les deux Sombres finirent par s'égarer. Azall avait bien du mal à contenir son exasperation face à la hargne de sa "Maîtresse", mais il ne fallait pas perdre de vue que, contrairement à lui, elle savait mener des affaires rondement avec les marchands des villes...en possèdant des arguments persuasifs. Ceux-ci se résumaient à lever la terrible épée enchantée qu'elle possédait en cas de soucis.

Les deux drows allèrent de cité en cité, de village en village. Avec le temps, ils s'étaient taillé une réputation de vagabonds-mercenaire. Cette periode fut assez troublante pour le jeune guerrier. Ne pas être sous les ordres de quelconque supérieur, et marcher à égalité aux côtés d'une Matriarche était une expérience étrange. Mais quelque chose l'énervait dans tout celà. Il ne pouvait supporter que les maisons nobilaires aient préferées se battre entre elles plutôt que de se confronter au danger imminent de la lumière qui les observait depuis longtemps déjà. Azall développa alors un mépris évident envers l'autorité, jugeant son propre potentiel suffisant pour survivre. Bien entendu, cela ne plu guère à la matrone Kay R'Danh, et de nombreuses rixes éclatèrent en chemin.

Ce fut à ce moment qu'ils arrivèrent finalement à la grande cité de Giran.
[modifier] Pacte

Les Elfes Noirs ne sont pas connus pour leur grande solidarité, mais quand viens le temps des guerres, ils sont capables d'être de véritables frères d'armes. Mais la trahison demeure possible...tant qu'il y'a du pouvoir à la clé...

-Azall
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:21

ecyl
Un article de Le RP d'Oreline.
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Nom: Becyl

Race: Nain

Classe: Chasseur de trésors

Sexe: Mâle

Alignement: Loyal Neutre

Guilde : Non guildé



BG :


LIVRE I


-"Mon Dieu est Crom !" répondit le barbare musclé.

-"Euh... jamais entendu parlé... Marph est le mien..." Cette voix a peine audible était sortie d un nain tout ebourifé.

-"Ton Dieu est faible ! Quand je mourrais, j irais devant Crom ! La il me demandera : Quel est le secret de l acier ? Si je l ignore, il me jettera hors du Vallalah et il se riera de moi ! Tel est Crom, fort du haut de sa montagne !"

Le barbare tapa du poing sur son torse.

Les autres personnes assises autour du feu rirent du nain, nouveau venu dans ce groupe d aventuriers et encore novice dans les cultures de chacuns.

-"Bien... euh... je l ignorais..."


Decidement, ce pauvre Becyl passait pour un faible d esprit. Il est vrai que la reflexion n etait pas son fort. Ainsi, comme a chaque fois, il se mit a grogner et a se renfermer sur lui.

Meme si il etait plus que competent pour un chasseur de tresors, qu il savait trouver les endroits les plus secrets des coins les plus reculés, on riait toujours de lui. C est d ailleurs ce qui l avait poussé a quitter le village nain et a vendre ses services.

Mais la reconnaissance ne venait pourtant pas. Il ne connaissait pas les coutumes des differents peuples, n y entendait rien en jeux d esprits, traites de science, manieres de se tenir en societe... et cela ne l interessait pas.

On lui avait parle de nains independants, libres de circuler, qui racheteraient ses produits exotiques. Seul cela lui importait.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:25

Nom: Belgarion

Race : Humain

Sexe : Masculin

Classe : guerrier

Alignement : Chaotique bon... tendant vers le chaotique mauvais avec l'age.

clans : Anges Celestes / Royaume Humain / Templiers

[modifier] Essai pour le BG de Torak

Prélude

Chapitre un demi
[modifier] Description de Belga a son arrivé sur nos terres

Belgarion est un jeune homme simpatique , et avide de connaissances , il est

tres curieux et parfois un peu trop meme , mais il est jeune , et dois faire face a un monde

d'adultes et de guerre . il essaie donc d'aprendre par tout les moyens comment faire face a

ce monde.C'est un doux reveur qui aurait rever voyager et faire des decouvertes , mais qui

de part les evenements a du devenir guerrier pour sa propre securite , celle des autres

(ceux qu'il aime) et celle des justes. il a une conscience tres developpée , et qui prend

part a chacun de ses agissements .


[modifier] BG

==Au commencement:== image:ile.jpg

Au commencement de cette histoire , il fut un enfant appele Garion , vivant sur une petite ile au large de Talking island.Il vivait avec ses parents , le roi Belraven , et la reine Polkida et jouissait d'une enfance heureuse en leur chateau ... Son pere etait le descandant d'un lignée tres precieuse de rois de l'encien monde , et etait souvent occuper a faire des recherches généalogiques entouré de multiple specialistes et charlatans , mais il etait convaincu qu'il n'etait pas le dernier de cette lignée , et revait secretement de retrouver d'autres de ces aïyeux et de reconcquerir le royaume sacré qui appartenait a son arriere grand pere, non pas par avidité de pouvoir , mais par esprit de famille et de conquete glorieuse. Sa mere etait elle plus souvent a s'attarder sur sa coquetterie , et n'avais pas beaucoup d'autre préocupation sinon le bonheur de son epou et de leur fils. Tout ceci aurait pu durer ainsi des millenaires sans changer , seulement les dieux ou le destin peut etre ,en déciderent autrement. Un matin , tot en hiver , un garde posté sur le guai sonna l'alerte generale , celle la meme n'ayant pas retenti depuis des generations au moins , alerté par des flambeau sorti de la brume epaisse... mais faute d'entrainement plus meticuleux et de nombre , le peu de chevaliers et les gardes furent depassés et massacrés par une horde d'orcs beuglants et crachants a tout va leur haine en fracassant les crane sur les murs clair du chateau. tout le monde y passa avant que le matin ne se leve. et , l'apres midi , le navire de recherche du palais , parti en periple a la recherche d'un potentiel frere de Belraven jamais retrouvé , debarqua juste a temps pour que son equipage trouve les corps encore frais du couple royal... quand a leur tetes , nous ne les avons jamais retrouvés ... Il paraitrait qu'un magicien aurait ete appercut avec un anfant ds les bras quittant l'ile à la hate profitant aussi de la brume pour se dissimuler des orcs ... Mais nul ne sait ce qu'il sont devenus...une paysanne tout juste blessée ayant fait la morte pour echaper a la horde a declarée avoir pedu une barque qu'elle avait attachée sur le rivage... peut etre sont ils mort tout deux ds la sordide barque requisitionné ds la hate par le magicien.


==La fin de partie de l'anchanteur: ==

Orloryne , le magicien m'entrainait a present au combat à l'épée au sommet de sa tour . J'avais du grandir vite , trop vite peut etre , et meme si les conseils et la presence d'Orloryne me rassuraient ,tout etait encor trop souvent confu dans ma tete pour que je puisse comprendre clairement ce qui etait en train de m'arriver... Quinze ans se sont ecoulés depuis notre fuite du chateau de mon pere ... et il ne me reste que peu de souvenirs de cette epoque. Sinon le desir d'etre aussi puissant qu'un orc , et de ne plus en laisser un seul toucher a quelqu'un que j'affectionne.Seulement pour le moment je ne peux que les ignorer , faintant de ne pas les voirs , meme si leur odeur et leur verbe tranchant comme leur lame m'insupporte .

-" Belgarion , mon enfant!" dit Orloryne , " Tue le !" je Bandit alors ma volontée , et senti celle ci s'imisser jusqu'au confin de ma lame , je la brandit , et d'un coup cinglant , je renvoyais la creatur magique d'orloryne de la ou elle venait. -" Maitre orlo , allez vous un jour m'aprendre a faire apparaitre de tel monstres ? " -"Jamais , Garion ! , cela ne m'est pas permi , et de plus , je n'aurais jamais le temps de te former a cette pratique ! j'ai quelque chose a te dire , chere enfant , quelque chose qui va remetre , encore une foi , ton destin sur un chemin incertain ..." Je tremblait d'avance sans savoir ce qu'il allait m'annoncer. - Je .... Je n'en ai plus pour tres longtemps jeune fou , je me meurt , et je ne sait si je passerai la prochaine lune !" -" mais!? Orloryne , non ce n'est pas possible , tu es trop jeune pour cela , et ma forma..." il m'interrompit. -" Jeune , moi?! ... ah ah ah tu as encore bien des choses a decouvrir , seulement cette foi ci , tu devra les aprendre seul , car je ne serai plus là pour te guider... Sache mon ami que j'ai deja connu pas mal de centenaires, seulement , mon visage personel m'insupporte et j'utilise continuelement un charme qui me rend mon enveloppe de mes premieres jeunesses ... mais ce sortilege m'epuise , et il a deja pompé mes forces vitales assez pour que je t'annonce mon deces futur!" "Lorsque je ne serait plus , tu ne pourra continuer de t'appeler Garion , reprend alors le nom de tes ancetre et fait leur honneur!, Tu es a présent Belgarion , fils de Belraven et de Polkida!"

Quelques semaines plus tard , ces predictions etaient fondées , et je du le mettre en terre en un lieu secret connu uniquement de lui et de moi , conformément a ce qu'il m'avait demandé.Rien ne me retenait plus maintenant a la tour , et comme Orlo me l'avait dis , il fallait que je poursuive mon education et mon entrainement . Seulement en auraisje la force et le courage ??? -" Barbares , Orcs ,et mécréhants , vous pourrez tremblez bientot !" m'ecriais je ... mais je n'etait vraiment pas sur de moi ... tant de choses retombait sur mes epaules maintenant , pareil au sortilege d'Orloryne pour son apparence ,je sentais ce poid m'user a petit feu... Mais je ne suis pas encore mort , et j'ai des parents a vanger. Nous aurons bien le temps de nous appitoyer en route , partons ! Je me mis alors en route pour un village nomé talking island , sur une ile peu eloignée , et qui sera le point de depard pour Belgarion. Essayons de ne pas les decevoir , eux qui nous observent depuis leur trone de mort et qui comptent sur nous !
[modifier] La rencontre

J'etais arrivé dans la foret de Talking island , la traversée jusqu'au port avait ete semée de doutes alors que j'aimais tant parcourir les flot avec Orlo. Je marchais d'un pas lent dans le sous bois lorsque un sentiment etrange me mis en alerte! Quelqu'un m'observe !!! Pourtant j'aivais beau scruter les alentours , je ne voyais rien!mais je sentais une presence tapie dans l'ombre...
je decidais de continuer mon chemin , faisant mine de ne pas me douter.

je me remis en marche et avait a peine entamé mon premier pas d'un vif elan que quelqu'un se dressait droit devant mon chemin me barrant la route !

-"Qu'est ce que.... qui etes vous ??! "

j'etait surpris , depourvu de mes reflexes pourtant agueris. Une silouhette mince se dessinait devant moi... et peu a peu s'approchait , laissant apparaitre ses formes au fur et a mesure qu'elle se raprochait. Et quelles formes ! j'en u le soufle coupé. Un corps au courbes avantageuses , et proportionnés , avec une poitrine a faire fremire une meute de freluquets, des traits fins droit , mais d'une beauté incomparable sur le visage , et des fesses... d'un rebondi sculturale m'apparurent sous des vetements fins , ouvert et sombre. Sombre comme cette peau , a peine visible dans la penombre du couchant.Je ne pus m'enmpecher de remarquer les oreilles en pointes ornant cette chevelure d'un ton brun s'accordant avec le reste.

-" Je vous suis depuis un moment, humain!" dit elle d'une voix envoutante semblant resonner a mon esprit comme l'appelle d'une sirene dans les legendes qu'Orlo me contait , enfant.

Il m'avait parlé de ces etres appelés "Drows" mais je n'en avait jamais vus de mes yeux. il faut dire que nous avons peu voyagés , sinon pour aller chercher des ouvrages manquant a la tour de mon sauveur , et je n'ai pas vu beaucoup de pays hormi l'ile d'Orlo et les vagues souvenirs de mon enfance.

_"Je... que.. qui etes vous ? " repondis-je d'un ton non rassuré.

"vous n'avez pas à le savoir... tant que je ne le decide pas!, à moins que vous ne cherchiez la mort!"

plus tard , cette créature sortie de la nuit fit de moi son " aprentit " et me fit decouvrir ce monde .... Elle s'apellait Neferata ! ce nom allait devenir important pour moi !

Plus les mois passaient et plus a chacune de nos rencontres , elle semblait se lier d'amite pour moi ... elle qui au debut paraissait si froide ! Quand a moi , je n'avais jamais chercher a fuire sa presence .. au contraire , elle me captivait , m'etonnait , et etant avide de connaissances , j'en profitais pour l'observer , et essayer d'en savoir plus sur elle et son peuple .....
== Milia ==

Aaaah Milia , comme tu me plais . Si seulement j'etais plus fort , et capable de te dire a quel point j'aimerais t'aimer ! Seulement je ne suis encore qu'un gosse de vingt quantre ans qui decouvre un vaste monde et s'y perd . Comment pourrais je te defendre ... Enfin cela ne m'empeche pas de t'aider a collecter des livres pour cette bibliotheque que tu souhaite monter , en plus cela me donne l'occasion de te voir aussi souvent que possible ... quel plaisir de profiter de ta presence ! Un jour peut etre trouverais je les mots . Je ne sais presque rien de toi mais cela me suffit , je sais ce que tu represente pour moi et je n'ai pas besoin d'en savoir d'aventage !
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:26

Plusieurs mois se sont ecoulés ,je n'avais plus de nouvelle de Milia qui semblait avoir disparue . Comme je regrette de ne
pas avoir pu lui dire ce que j'eprouve ... ou est elle ? la reverrais-je ?
j’appartenais maintenant a une famille , grande et noble .
Celle de l’Armée Blanche !
Tout mes actes visaient a lui faire honneur , mais cela se compliquait parfois , a cause de mes relations avec
certains drows , comme Neferata ou encore Sylianne, ou quelques autres …
Cependant hormis ce detail , je me sentais a ma place , a servir l’idéal d’un homme , qui me seduisait plus que tout dans
ma quete de proteger les miens et de restaurer la paix …

[modifier] Le couronement de mon roi ... !!

on y est! ce jour est arrivé ... , Quell ceremonie ! , Quelle grandeur ...

les choses qui etaient , ne seront plus , et d'autres vont etre !

Quel Bonheur de voir des elfes ici , en ce jour , en cette occasion ... Quel courage ils ont u de venir ici ... je ne me suis pas trompé ! , ma simpathie pour les peuple etrangers est bien justifiée ... ces etres la , aujourd'hui l'ont prouvés ...

Aujourd'hui est un grand jour ! malgres les thermes de mon roi pour ce traite , ils sont la , avec nous ... et nous pouvons maintenant esperer travailler ensemble pour conquerir un but commun !

Qeul bonheur ....


- plus tard apres une journee deja bien chargée , et les emotions forte ressenti par Belgarion , celui ci se dirigait vers la citee D'oren pour commercer avec une femme lui proposant les materiaux les plus rafinés pour sa prochaine armure ... il arriva a Oren et la !


Mais! Que !? ... Vareya ??? c'est toi ! mais que fait tu ici ? c'est dont toi qui m'a appeler pour l'annonce ?

un corps s'approchat derriere elle ... je mit du temps a le reconnaitre ... mais se visage ... c'etait Draenel !! je ne le connaissait que d'une seule rencontre , que me voulait il ?

Vareya: - " Saisit le et bande lui les yeux ! Je vais te montrer qu 'il existe bien des facon de survivre apres un banissement "

- Je ne comprenait pas ... je ne comprenait plus ... moi , le plus moderé de tout les humain , cherchant a raprocher nos peuples , et considerant vareya comme mon amie suite a plusieur rencontre ... je me fesait kidnapé par elle et son acolite ! Je ne me debatait pas , je ne me debatait plus ... trop d'emotions sans doute , un trop grand bonheur suivi de ce terrible malheur ! Je me sentait incompri , impuissant , et terriblement trahi par celle que je considerait comme mon amie !


Vareya me laissa rentrer chez moi avec un message pour mon roi : Le peuple elfe nie les accords qu’il vient de signer et prendra les armes pour le montrer ! Ca alors ! que de rebondissements aujourd’hui . A l’entente de ce message Alliscus nous fit prendre les armes , et nous partime en Elven village pour en savoir plus lorsque mes kidnapeurs nous tendirent une embuscade ! Quelques minutes plus tard , Mon compagnon Raime avait fait basculer l’acolyte de vareya par-dessus pont , et j’avais laissé Ce Adopo present l’apres midi meme au couronnement pour signer le traité , pour mort au milieu des plaines . je ne savais alors pas qu’il reussirai a revenir a la vie et a se cacher dans les bois durant des mois …

nous aprimes que seul ces trois rebels etaient de meche et que le peuple elfe etait bien decidé a respecter les engagements qu’il avait signé lors du couronement ... et , avec quelques uns de mes compagnons , nous furent nommés HEROS D'ADEN !!! J'aspirais a en devenir un et , du haut de mon age peu avancé , m'y voici promu !!!

tout etait rentré dans l’ordre et nous allions pouvoir nous concentrer sur nos veritable adversaires : les Drows .


Des mois d’affrontements mineurs

Les mois qui suivirent firent l’objet de moultes affrontement mineur entre nos deux peuples … les drows tentaient ca et là de veines action contre nous mais nous avions deja assis notre supremacie . seul la chef de leur armée nous inquietait , elle etait capable de remotiver sont peuple pour la guerre et de mener des operation tactiques capable de nous causer tort … il fallait donc s’en charger au plus vite !
[modifier] La triste fin de Ney

Belgarion etait au chateau ... lorsque les guardes le previnrent que l'armee rentrait avec une prisonniere de marque !

il u a peine le temps de descendre dans la salle du trone , qu'il vit Alliscus debouler en cri , avec une drow prisonniere a sa suite .

Ney !!! , c'est elle ... la fameuse Ney si redoutée !

le roi ordonnat à Belgarion de l'enmener dans la salle plus loin , au fond , et il agripat alors les liens de la drow et tirat dessus pour l'enmener derriere , précédé de Raime .

arrivé dans la salle il lui appuyat sur les épaules pour la faire s'assoire , et se posat a ses cotés ... quelques peu intrigué par ce personnage dont il avait entendus nombres de recits .

Ney : Vous me haïssez, n'est ce pas? Belgarionn : Non ...dame drow , je ne vous connais point. Ney : Pourtant j'ai massacré nombre de soldats de votre peuple. Belgarion : Nous en avons fait tout autant ! la guerre separe les peuples ,Ils étaient soldats, ils connsaissaient les risques. Ney : Il est vrai que je n'ai fait que ce que j'avais à faire, je n'ai en fait rien à me reprocher. Belgarion: vous avez donc poursuivi votre but , c'est tout a votre honneur , nous faisons egalement de meme .... parfois .. a regret ... dame drow . Ney : Certains drows n'ont aucun honneur, vous l'avez tous deux ( en s'adressant a raime et belgarion ) pour respecter vos enemis ... je sais maintenant que vous ne nous êtes pas inférieurs.

Ney fut ensuite menée devant le roi qui fit défiler une à une les accusations. A chacune des accusations elle répondit coupable. Elle refusa de se repentir et d'avouer la supériorité du royaume humain.

elle fut ensuite racompagnée a sa cellule par Raime et Belgarion . celui ci paraissait plus complaisant avec la créature.

Ney: c'est la fin n'est ce pas ? mon heure arrive donc ! Belgarion: votre proces est a peine entame , vous n'etes pas encore morte ! Ney: Je ne me fait pas d'illusion sur mon sors , je vais mourire , je le sais ! Belgarion: - regard presque reconfortant - je vous fait ce cadeau , pour vous , portez ceci au cas ou les choses tourneraient mal pour vous , ainsi vous ne verrez pas la mort arriver! en lui tendant un masque Ney: je ... je ne le porterai pas gardez le ! j'assume mon existence , et assumerais ma mort ! Belgarion: je vous l'ai offert , a vous de choisir de le porter ou non , gardez le !

Belgarion u a ce moment la le sentiment d'eprouver de la complaisance pour cette etre .. presque meme de l'attirance ! cette enemie redoutable dont tout le monde rapportais a ces oreilles des fait d'armes contre le royaume , n'etait en fait pas si differente de nous .

la cloche sonnat .

Belgarion : bien ! levez vous dame drow il est temps ... ( tout en tendant une main a Ney pour l'aider a se relever ) .

le jugement raisonnat sans surprise ... devant la sinistre coure qui se dressait la ! COUPABLE ! coupable ! coupable ! coupable ! a toute les accusations allant contre elle .

Vous serez torturée a mort pour tout ces crimes !!!! Alliscus : qu'il en soit ainsi ! Alliscus : Belgarion , enmener la !

Belgarion baissat les yeux , et s'executat !

-" je ne suit pas un tortionnaire non ! " pensat il a ce moment la !

il enmena Ney dans la salle nord , puis , s'empressat de la faire s'assoire , et lui dit a l'oreille :

Dame Ney ! vous etiez mon ennemie , mais je ne peu les laisser vous torturer a mort ! je ne suis pas celui la ! Si vous me le demandez , je vous enmenerai hor du chateau , vivante !

Ney: je ne vous ferais pas courir ce risque !

Belgarion la fixat dans les yeux :

-" Je vous le demande alors , partons , je ne pourrais voir mes compagnons vous traiter ainsi meme si vous etes notre enemie ! "

-" Belgarion !!! soldat ! veuillez sortir ! " dit soudainement Lanalia en entrant dans la piece

Ney : ne vous en fait pas pour moi , et faites attention a vous !

belgarion lancat a ney par dessus son epaule en se dirigeant vers la sortie et en essayant de ne pas montrer ses emotions a lanalia et illis maintenant présentes dans la salle :

- " au revoir .... dame Ney .... " -" au revoir ... Belgarion ... "

Belgarion traversat la salle en courant , se hatat de monter les escaliers , et croisat un groupe sur le balcon .. il lui semblait avoir vu Alliscus , Raime , et d'autres ... mais il n'y avait pas tellement prete attention , il se mit a l'ecart , contre la ballustrade , et regardait en bas ! Lanalia etait en train de faire preuve d'une violence jamais vu ! elle et Illis se defoulaient sur la drow , et lui fire monter sous la torture la rampe menant a l'hotel . tout se passait tres vite , et a la fois tres lentement , la respiration de Belgarion n'avait plus de rythme et il ne savait pas si il etait essouflé ou non . Le roi le rejoignit et lui dit a l'oreille :

-" Je sait ce qui vous passe par le coeur , je n'ai pus l'empecher , c'est pour cela que vous devez vous decider a prendre du gallon et a moderer les choses pour que cela ne se reproduise plus ! "

mais Belga u a peine le temps de faire monter l'information a son cerveau , il etait trop occupe et horrifie par la scene qu'il voyait , plus loin en bas , sur l'hotel de la salle nord . Lanalia etait maintenant si cruelle , qu'il ne la reconnaissait plus . ce n'etait pas possible , ce n'etait pas elle ! il allat se mettre plus loin encore sur le balcon , abbandonnant le roi , et se trouvant face a Ney qui ne disait mot ... meme sous la torture qui lui etait infligé ! il la regardait fixement , essayant de lui dire avec les yeux " met le ! porte le masque , ne soit pas idiote ne soufre pas ainsi ! " Ney croisat son regard et dessinait un leger sourir sur ses levres , lorsque Illis fit passer une lame pret de son visage ! un cri retenti tandisqu'Illis tennait maintenant une des oreilles de la drow tel un trofet ! une deuxieme lame s'elevat soudain !

Belgarion: NOOOOOOOoooooon !!!!

Chlac !

tout etait fini a cet instant ! Belgarion fixait Ney essayant de s'aproprier ses dernier moment de conscience et se dit a lui meme :
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:26

Ney .... dame ney .... vous qui etiez mon ennemie jadis , vous que je devait detruire ... vous m'avez aujourd'hui fait ouvrir les yeux ! sur moi meme et sur ce que je veux devenir ! j'honorerai votre promesse ... et votre memoire ... et vous que je n'ai connu que l'espace d'un procet , sombre et morbide ... resterez gravée dans ma memoire a tout jamais ! -" au revoir .... dame Ney ..."


[hrp] Pour moi ce fut un events qui figurera parmi les meilleur vecu sur oreline ... cela grace surtout a Ney et tristant !
je m'en souviendrai toujour , et espere de tout coeur vous revoir bientot tout les deux ! je regrette simplement de ne pas
avoir u l'occasion de rp avec vous en dehor de cet event ... mille merci donc a tout les deux et a l'armee blanche .

nous avons passez un moment d'une qualite rare ! [ hrp]
[modifier] Une ombre parmis la lumiere [1er acte]

J'etait parti pour mon ile natale , cette ile que je n'avais pas revue depuis mes 9 ans et dont je n'avais pour souvenir que les moments de bonheur vecus ici ! je faisait depuis toujour abstraction de ce qui s'etait passe la bas ! En arrivant dans le lagon le bateau jettat l'encre , et 3 marins m'aidérent a rejoindre la cote sur une barque . je ne savais pas encore pourquoi je revenait , quelque chose m'appelait la bas , sur la colline ou se trouvait le chateau ou jadis reignait mon pere!

quelques heures plus tard , dans les dedals des souterrains du chateeau , je me frayait un chemin dans l'obscurité .. mes accompagnateurs m'avait deja lachés , mais je marchais d'un pas rapide , j'etait guidé par une force si puissante que je n'avais presque pas conscience de ce que je faisait!

une porte , elle s'ouvrit dans un grincement strident sur une piece carré , de 10 pieds de cote pas plus. La , dans la poussiere , je sentais une force ... une force terrifiante , mais qui m'appelait tel une sirène appelant un marin vers elle .. je ne pouvait resister et je m'empressait d'ecarter les toiles d'araignées de mes bras . j'avancait mes mains a tatons sur les formes dans le noir , lorsque elle efleurère quelque chose de dur , de froid , du metal... Je sortis une besace de ma ceinture , et mis tout les morceaux de metale dedans . Le poid ne semblais pas me gener , et je regagnat la sortie a travers les coursives etroites pour enfin arriver a la surface.

Au grand jour , je tombat devant le chateau sur les marins , qui ouvrirent de grands yeux ronds en me voyant.

-" Vos ?! vos yeux messire Belgarion !!! ils sont vides !!!! "

ils semblaient tous efrayer de me voir ....

Je repris mes esprit petit a petit , et en quelque secondes , je me sentai moi meme a nouveau , plein de justice , de coeur , et de compassion.... la chaleur regagnat mon corps et je devint alors curieu de voir ce qui se trouvait dans mon sac.

-" Une armure !? serai ce ? mais oui ! c'est celle de mon père !!!! "

Je me mis alors a trembler . et me rapellait avoir vu mon pere devenir fou en la portant lors d'un combat de gladiateur au pied du chateau . c'est meme a ce moment qu'il avait commencé a se mettre en tete de rechercher ses descandant si je me rappele , mais les souvenirs sont vagues .... qu'importe , il me fallait une nouvelle armure , cela tombait bien .

et je regagnait le bateau pour partir sur le continent ,revoir Aden , le reve de Neb ! la route avait ete dure , et longue pour se frayer un chemin jusque la sans se faire voir , mais j'etait comme absent , et etait souvent dans mes pensées . Arrive a aden je fit la rencontre d'Edohamas , qui souhaitais rejoindre nos rangs et ... comme il me semblait etre un homme de valeur j'avais appuyé son entrée chez nous , mais a peine le temps de faire connaissance avec lui et de lui montrer ses appartement , de lui donner une armure un peu plus resistante , que je devait me mettre en chemin pour rejoindre mes camarades , rester postes au villages elfe, sans avoir plus d'explications! il me tardait de revoir ce paisible village , plain de magie , et d'espoirs !
[modifier] Une ombre parmi la lumiere [2eme acte]
Arrive au village elfe , je cherchait un endroit ou me repose , j'etait epuise de mon voyage , et avait du distancer des
poursuivants a travers collines , forets , puis montagnes .

Je ne savais pas ce qui m'attendait au village , ni pourquoi on m'y avait envoyé , j'esperai qu'il ne sagissait ps d'une nouvelle rebelion , cela aurait mis en peril les relations elfes / humains . A peine reposé , je compris que la tention etait a son comble , quelque chose se preparait ici ... mais personne n'avait l'air de savoir quoi ?

quelque heures plus tard les troupes elfes et humaines s'etaient rassemblés , et le commendant Tanella commencat a nous expliquer . C'est alors que je compris !!! On nous envoyait detruire les drows , ceux qui n'avait pas pris la route pour giran !

-" Tuer tous ceux que vous trouverez , femmes , enfants ...."

Enfants , femmes ! mais il n'en est pas question !!!!!! pensais-je .

je veut bien combatre des soldats , des guerriers dont la vie ne sert qu'as s'arreter un jour , mais leur famille , qui ne cherche qu'a vivre . Cette tanella me preocupe de plus en plus ces temps ci ! je dois faire attention. Illis la couvre il n'est pas facil de s'opposer a ces deux la !

j'allat alors plus loin me changer , apres tout , cette bataille serait l'occasion de porter ma nouvelle armure au combat , pourquoi s'en priver . A peine enfilée et arnaché a moi , je me senti a nouveau leger , absent , guidé ....

---

Pendant le combat , les troupes elfes et humaines n'urent aucune resistance , les drows avais du tous partir s'ammasser a giran ! il n'y avais devant nous qu'un gurrier et deux guardes pour nous barrer la route .. Belgarion crachait de rage et de colere , il avait envie de sang ! il fallait qu'il en fasse couler !

---

Je reveint a moi tout d'un cou , et ouvrit les yeux .... le , spectacle , devant moi , etait a vomir , l'odeur des corps , le sang partout ... je fut emprunt alors a une rage personelle indefinissable .. je me mit a crier un grand coup et je degainait ma lance de toutes mes forces pour la faire s'ecraser dans la paume de la main de la statue de Shilien ... laissant apparaitre comme une cicatrice sur la déesse comme sign de colere , que ma colere pouvait se destiner aux dieux auwx meme ! cette marque que je laisse sur shilien , cette statue enteré comme abaissé plus bas qu'un homme , serat la garante de cette funest journée !

-" Que m'arrive t'il ? ou suis je ? qui suis je ? "

-" mais ?! oui bien sur c'est elle ! elle m'appelle a elle ! "

-" je doit me mefier d'elle , elle pourrait s'emparer de mon ame"


Je venait de comprendre quelque chose de terrible ...

j'allat m'isoler , et je ne cherchait meme pas de nouvelle de mes compagnon , je ne suis pas aller feliciter notre roi , je suis reste de mon coter , a penser , reflechir ... Quelque chose se passait en moi , quelque chose que je ne savais expliquer
[modifier] la legende des chevaliers de la grande Aden[humour inside]
[modifier] la quete du graal selon lanalia

La quête du Graal selon Lanalia


Du vin !!! Donnez moi du vin !!!!

Belgarionn était d’un rouge cramoisi. On aurait pu confondre son visage et l’amure du Roi. La bataille avait été rude, les soldats méritaient un peu de repos et de détente. Belgarionn savait très bien se détendre.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:27

Les discussions allaient bon train ...

-La prochaine fois je taperai avec ma lance dans la main gauche, ça laissera peut être une chance à nos adversaires… - Ouais bein moi je taperai avec les pieds !!!

Le repos des guerriers ...

Lanalia restait un peu en retrait profitant des mets délicieux que le Roi avait demandé pour le banquet. Observant les scènes de joies, de plaisir et de luxure. Autant l’alcool ne la tentait que peu … autant la nourriture fine ... Voila bien qui était son talon d’Achille.

Le banquet se déroulait dans les règles de l’art.

Mets après mets, blagues après blagues, histoire de chevalerie après histoire de chevalerie


Je partais au combat, normal, me remettant à peine de la soirée de la veille. J’arrive sur le champ de bataille … Voila t-il pas que j’avais oublier ma lance !!??


Les anecdotes Belgarionnienne étaient reconnues dans l’Armée Blanche, comme des anecdotes de qualité.


Lanalia elle n’en perdait pas une miette !!!

Des anecdotes ... et des victuailles. C’est alors que les choses s’envenimèrent. Les muscles de Lanalia se tendirent, son regard porté sur sa proie.

* Non elle ne m’échappera pas !! Ca il en est hors de question !!!*

Ses instincts de chasseresse se réveillèrent en elle. Le regard froid, essayant de s’intégrer au maximum dans le décor. Elle se mouva telle un félin.

* Bientôt tu seras mienne !!!*


A l’instant même un ennemi se rapprocha de sa cible.Elle pressa le pas le plus discrètement possible pour ne pas attirer l’attention.


* Non Non Non elle est a moi !!!*
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:28

Serrant du poing rageusement, elle fit un saut vif et rapide pour éviter un serviteur qui se trouvait sur son chemin. Elle le laissa sur ses talons tout en continuant son chemin.


La proie se rapprochait. Elle touchait au but.


* A MOIII !!*

Un bond rapide en avant … la main tendue vers le Graal !!!

C’est alors que Belgarionn, pour éponger un peu le dernier litre de vin qu’il avait absorbait durant les quelques minutes précédentes, eut envie d’ingurgiter un met un peu spongieux.


* NOOOOONNNNN *


Lanalia apercevait la main de Belgarionn se rapprochant du plat.


* Pas si prêt du but !!! Je vous en pris !!!*


Son cœur fut comme percé d’une flèche. Belgarionn venait de s’en emparer.

Il la saisit et l’enfourna goulûment d’une seule traite dans sa bouche.

Hmmmm Une merveille cette tarte aux fraises !!!. Oups !! Je n’avais pas vu qu’il n’en restait plus qu’une …. Personne ne la voulait j’espère !! Excusez moi !!!

Lanalia alla se rassoire à sa place … quelques grognement et regard foudroyant plus tard.


[modifier] La magie selon lanalia

- Lanalia, il est temps. Tu as acquis assez d’expérience en magie !! - Oui Maître ? - Le moment est venu. Tu seras à même de dompter cette puissante force de l’assaut des éléments. Deux choses sont nécessaires Lanalia !! - Oui grand Maître ? - Tu vas d’abord devoir trouver un parchemin d’apprentissage du sortilège. Les créatures qui l’ont en leur possession sont viles et puissante !! Soit prudente. - Bien maître !! - Et la deuxième, l’apprentissage de cette magie nécessitera une grande concentration. Personne, jusqu’alors, n’a pu apprendre ce sortilège. Mais tout laisse à croire qu’il est le plus puissant des sortilèges de ce monde. - Mais Maître, me croyez vous capable de … - Oui Lanalia. Je crois en toi. Je t’aiderai

Lanalia sortit de l’église la tête basse, dans ses pensées.

Un tel sortilège !!! Je pourrai occire la vermine a moi toute seule grâce a ça !!*


-Un regard charmeur et angélique-

* Vous voulez bien m’aider les gars ? Ca sera facile, un petit bout de papier de rien du tout à leur extorquer !!! Même un gamin de 2 ans y arriverait je suis sure !!

Ne pas dire la vérité lorsque l’on a besoin d’aide Une doctrine selon Lanalia.

Mince j’ai encore oublié mon bardât et ma lance !!! Je vais vite les chercher en ville, attendez moi la, je reviens !!!

Les inconvénients de partir en chasse avec Belgarionn…

Quelques heures de marche plus tard, ils arrivèrent à proximité du troupeau de licornes. Les observant à distance ...


-Ahhh on est venu pour faire du cheval ?? J’avais pas compris ça moi !! - Non Belgarionn … Ce sont les gardiennes du parchemin !!!

Chacun se prépara pour la bataille. Affûtage des épées, resserrage des armures, s’alimenter un peu.


A L’ASSAUUUUUUUUUUUUT

Belgarionn partait toute lance devant pour occire les ... faibles … licornes.

Deux ou trois coups de sabots plus tard, quelques bleus et equimoses notre lancier changea d’attitude et devint plus prudent. Se plaçant un peu en arrière du groupe. La bataille fut longue et laborieuse. Extenués, de nombreuses plaies et bleu couvrant leurs corps, le groupe finit enfin par soutirer le parchemin a la reine des licornes.

Un gamin de deux ans oui oui … Râla un peu Belgarionn, rapidement consolé par la gourde de vin qui lui fut tendu.


Le parchemin en sa possession, Lanalia retourna voire son Maître de Magie. De nombreuses heures furent nécessaires pour décrypter le parchemin et en comprendre le sens.
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:28

Mais tout cela n’avait pas été vain. Elle le maîtrisait. Elle allait pouvoir sauver le monde entier de la menace des sombres. Elle allait être la … sauveuse !!!


Belgarionn ? Tu peux venir me protéger le temps de l’invocation du sors. J’aimerai en connaître tout son pouvoir !! Mais j’ai besoin de temps pour …

Dès les premiers mots Belgarionn avait commencé à grogner, encore échauder par leur dernière bataille commune. Mais il accepta rapidement. Un sourire charmeur, des yeux doux. Et le lancier fondait.

- Allons dans la vallée du dragon !! Les monstres sont assez puissants pour que je puisse tester mon sortilège !! - Euh, oui, je veux bien mais ils sont puissant quand même Lana !!! - N’ait pas peur, ma nouvelle magie va les réduire en cendre en une seconde !!

Il leur fallut quelques heures de marche pour arriver dans une zone peuplée de monstre. Belgarionn, toute chevalerie dehors, se posa quelques mètres devant Lanalia, faisant front.

C’est à ce moment la qu’une créature repéra leur présence et fonça droit sur eux. Lanalia commença à invoquer son sort.

50 mètres

Lana ça vient ?

40 mètres

Lana il se rapproche la

30 mètres

Lana, tu peux y aller la n’hésite pas !!

20 mètres

Bizarrement plus il se rapproche, plus on voit qu’il est causto !!

10 mètres

LANAAAAAAAAAAAA


5 mètres

Ayaaaaaaaa -Cri de la magicienne laissant parler tout sa puissance-


C’est à ce moment là que l’incantation pris fin.


–CHHHBBBBOOOUUUNNNNGGGG-

Le monstre venait de violement projeter au sol le lancier et le piétinait rageusement. Un petit nuage de fumée autour de la vile créature, étant le seul résultat de la … puissante … magie de l’assaut des éléments.

Lanalia utilisa alors un sortilège plus… basique … pour endormir le monstre. Elle aida Belgarionn à se relever, étourdit et, pour changer, couvert de bleu et de sang.

ON REVIENDRA TE TE TE … Enfin on reviendra quoi !! Vile créature !!!

Lâcha dignement un Belgarionn boitillant, par-dessus son épaule. L’art du lancier !! Rendre ses nombreuses fuites dignes !!


[modifier] La quete du dragon selon Belgarion

Le jour se levait sur nos terres , et la veille avait ete une journée bien remplie pour Belgarion ... il avait tres mal dormi , et s'etait reveillé avec des yeux sortant de leurs orbites .

-" je me sent si seul ! , je vais y remedier , je vais me trouver de la compagnie ! "

Quelle idee il n'avait pas u la ... quelques heures plus tard il discutait avec maria , une jeune droguiste du village de dion lorsque il entendit des pas se raprocher , et soudain ... BlAAaam ... , vit au dessus son epaule la delicieuse Arkhein trébucher sur le seuil du magasin ...

-"Quelle entrée renversante ! " lui dit elle en attrapant son bras pour se relever

Elle aussi etait a la recherche de compagnie , et elle etait venu querire des information tout comme Belga sur l'endroit ou l'on peut trouver des Bebes dragons de compagnie ...

ni une ni deux , ils partirent ensemble pour cette fastidieuse quete , sur informations de Maria .

Belgarion prenait la suite d'Arkhein , et la suivait au pas. apres quelques heures de marche , ils s'enfoncaient dans la vallée enchantée ... arkhein virant a droite , puis a gauche , prenant un tunel , escaladant une montagne , empruntant un pont de feuille ...

-"Quelle rodeuse née " , su dit Belgarion en esayant de la suivre , et surtout de ne pas la perdre ....

Lorsque elle lui avouat etre completement perdue ! Belga aurait pus tomber sur pire compagnie pour se perdre , mais il prefera reprendre la suite des operation et se mit a observer les lieux ...

il avait enfin touver la bonne direction , qui le menerait a la fée Mymyu, lorsque il sorti de sa concentration et appercut Arkhein s'enfoncer dans un couloir et lui dire:

-" j'ai trouvee c par la on fait la course ! "

a peine le temps de se metre au pas de course qu'il l'avait perdue et du avancer seul dans cet etrange valee , en esperant la retrouver ! Et il l'a retrouva , pres de la fée Mymyu , et elle lui dit d'une voix presque enfantine , faisant foix de naiveté, et aussi de tendresse :

-"j'ai gagnée "!! avant de se mettre a danser et a rire .

Belga surpris par tant de detachement par rapport au evenements ne vit pas la pierre se detacher de l'eau et trebuchat dessus

-" Oh vous etes tout mouillé maintenant c malin ca ... "

alor Belga sorti se changer non loin de la , en essayant de garder oreille sur la disuction entre Arkhein et la fée...

lorsque il revint a elle , elle lui annoncat que la fee avait acceptée de leur donner chacun un bebe dragon , a condition de lui rapporter 40 euf d'un dragon vivant pres de la ville d'oren ... ils se preparairent a partir , et , resterent figés un moment l'un devant l'autre avant de s'ecrier tout les deux en meme temps :

-" Je vous suit !!!" -"je vous suit ! "

erf ... la journée promettait d'etre longue ...

ils arriverent pres d'oren et se mire a recherches les oeuf avec vivacité ... Belga n'avait pas osée dire qu'il avait mis plus de temps car il en avait cassé trois en se defendant contre un homme lezard ...

ils se remirent en chemin pour rejoindre la tour d'ivoire , Arkhein savait que la bas il y aurait un passage magique vers la vallee enchanté... sur la passerelle sud de la tour , Arkhein se mis en equilibre sur le rebord et se mis a adopter un comportement enfantin , elle jouait , dansait , faisait demonstration de son agilité ... Belga lui avait peur qu'elle ne tombe dans le vide , mais elle n'etait pas tombée ... ils rejoinèrent le passage vers la vallee , et se retrouverent au nord de la valle .. sauf que ... entre eux et cette vallée , se dressait maintenant une montagne !!!

-"eh bien , cette journée restera gravée dans ma memoire dame Arkhein"!

apres encore des efforts pour escalader cette pente , et bien plus pour en redescendre sur l'autre versan , Belga etait essouflé , extenué ... si il avait su , jamais il n'aurait porté son armure lourde pour une telle aventure ! Enfin , la fée Mymyu leur donnat leurs récompense .... deux bebes dragons males ... se chamaillant , pour recevoir une caresse d'Arkhein pendant que Belga n'osait en demander , lui ...

Ainsi s'acheva sur le soleil couchant la quete de la compagnie pour nos deux heros , rentrant a dion se reposer avec a leur suite deux petits monstres qui ne faisaient que de se disputer .... Mais Belga en son fort interieur , savait qu'il avait accomplis l'aboutissant de cette quete , au moment ou elle avait commencer , en profitant de la compagnie de la plus merveilleuse ... (et etonnante ) ... personne qui soit , celle de dame Arkhein ...

[hrp] lol ceci sont quelque appercu de l'ambiance qui peut parfois regner au sein du Royaume Humain ... merci a tout mes
compagnons pour chaque moment de fou rire et d'humour comme on les aime bien et vivement les prochains[hrp]
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:29

La quete de l'épée de Tarandil

Notre roi avait apris l'existence d'une épée magique capable de lui procurer un avantage certains contre nos adversaires et se hata de nous faire part de ses trouvailles , pour s'empresser de nous envoyer chercher meme jusqu'au confin des terres s'il le fallait cette fameuse épée ! ce que nous fimes , pressés d'aller écraser nos adversaires grace a elle et a la fureur de notre roi !


[modifier] L'épée de Tarandile , les indices se denouent ....

Le roi nous avait tous convoqués ... nous n'avions que peu de renseignements a lui apporter .. j'avais trouvé un compte relatant une bataille ou tarandile avait apparement ete impliqué , juan , lui avait trouvé une épée rouillée chez un vieille homme qui portait apparement le meme nom ... Lanalia !! ... je venait de la blesser , qu'avais-je fait , elle qui avait tout fait pour moi depuis mon arriver dans l'armée ! Elle s'avancat a son tour :

-"Moi ! j'ai des renseignements , mon roi ! voulez vous enfin les entendres ?!"

plus tard nous etions en chemin pour heine ! , a la recherche d'une petite fille que lana avait surprise a parler d'un certain "Terenduile" ... enfin je n'avait pas encore tout compris a ce moment la .. mais l'envie de rapporter cette epée a mon roi debordait en moi ... accompagné d'une melancolie a l'egard de Lana !

Une fois en vile Illis nous demandat de trouver cette petite fille , qui devait avoir les cheveux rose et une robe marron... nous nous sommes tous disspersés , je voulais la trouver le premier , rester le champion d'aden ! ... mais lorsque j'appercut la petite fille , je me rendit compte que juan etait deja là ! et je fut surpris de l'aisance dont il fit preuve pour la seduire et s'approprier sa confiance , en la consolant ... Je le laissait donc faire , et me mit un peu en retrait lorsque je vit Ajira , seul plus loin :

Belgarionn : Ajira ... voyons ... pourquoi t'isoles-tu ainsi ? Ajira : C'est évident ... *soupir* Je ne voudrais pas faire peur a la fille. Belgarionn : Pourquoi voudrais tu lui faire peur ? Ajira : *se lève, et les gens aux alentour, surpris, s'écarte loin de lui* ... voila pourquoi ... Belgarionn : Enfin ... mais ... Ajira : Connait tu seulement une personne, ne serais-ce qu'une seule qui n'ai pas reculé en me voyant ? Meme Alliscus m'a pris de dégout en me voyant ... Belgarionn : Ben ... moi ... Je n'ai pas reculé quand tu t'es rapproché de moi ... Ajira : Tu doit bien etre le seul ... Belgarionn : Allons mon ami, viens donc avec nous Ajira : ...

Je sentais le desarrois en lui comme le soleil sur ma peau en plein été ! .. je pensait savoir ce qu'il ressentait , et l'envie d'aider mon ami a se sentir en accord avec lui meme me pris soudainement !

La petite fille avait apparement perdue un objet , une bague de corail bleu ... et Illis nous ordonnat d'un ton insupportable de partir a sa recherche ... comme si nous allions laisser cette pauvre fillette ainsi , bien sur que j'irai chercher cette bague , mais il n'etait null besoin de me le demander ainsi...

la bague aurait disparut dans les alentours de la fontaine sur la place principale de la citée , et ce coup ci , pas question de laisser quelqu'un d'autre me prendre le merite ... Je l'ai dresser pour ca , lui il m'aidera a la trouver avant les autres !

-Aller Croc dur ! cherche !!!!

Mon dragounet commencat a humer le sol a la recherche de quelques chose de bizard , quelque chose qui n'etait pas a sa place ! il fit quelque tours sur lui meme , scrutat les alentours , et tousa un halo de fumé comme un homme toussant son cigar , et , il se mis a courir vers une structure de la place ! j'appercut alors l'anneau bleu , scintillant au soleil ... et m'empresait deja de le crier aux autre :

-" Je l'ai trouvée! je l'ai trouvée "

je le ramenait alors aux autres

-" Enfin c'est Croc dur qui l'a trouvée !

je lui tendit un sac de graine et ne pus lui en donner un peu qu'il se precipitat desus en englouti le sac a son grand complet et se remuant de plaisir au sol ! il etait aussi fier que moi !

-" regarde petite ce que mon dragon a trouver la ba !"

je tendit l'anneau a la fillette qui ecarquillat de grands yeux !

-" oh monsieur tout gris , c'est elle ! , c'est ma bague ! merciii monsieur tout gris !! je peut vous faire un bisou pour vous remercier monsieur tout gris ?" -"bien entendu petite , avec plaisir"

je me penchait pour recevoir le merci de l'enfant , et etait a nouveau celui qui avait réussi dans sa tache , certe , pas tres courageuse , ne presentant pas de grands danger , mais j'avais réussi , et reprennait confiance en moi ! j'en avait tellement besoin , et le baiser de l'enfant me rechauffait le coeur !

plus tard , juan et illis discutait avec l'enfant , essayant de savoir ce que l'enfant svait sur ce " Terenduile " ! Je pus voir Illis parler avec tendresse en public pour la premiere fois , et m'appercut qu'il n'y avait pas qu'une guerrier sous cette cuirasse , mais aussi une femme !

Ajira : *chuchotte* Bel ... Je pense que je devrai partir ... Je suis inutile ici ... Je vais rentrer a Aden, pour aller chercher quelque chose a la bibliothèque. Belgarionn : Ajira ! Reste avec nous ! Nous allons partir hors de Heine ... Ta magie nous sera assurément utile ... Ajira : ...... La petite Liana sera avec nous, hors de Heine ? Belgarionn : heu ... non je ne pense pas ... pourquoi ? Ajira : Je ne voudrai pas l'efrrayer, rapelle toi ... Belgarionn : *soupir* Prépare toi a partir, on s'en va bientot. Ajira : ... Bien ...

Ajira me preocupait a nouveau lorsque un evenement inatendut se produisit ! :

Ajira : ... Liana : M'sieu ??? Ajira : heu ... oui ... ? Liana : Je peut vous faire un bisou a vous aussi, pour m'avoir aidé ? Ajira : Ben tu sais, je n'ai pas fait grand chose ... Liana : *lui coupe la parole* T'es aussi beau que mon cricri ! Tu veux pas etre mon amoureux ? Mon cricri est en vacanse la ! Ajira : .......................................................... Liana : *lui fait un bisou et se pousse* Ajira : *ne sais plus quoi dire, quoi faire* Juan : * au loin * quel tombeur ! *rigole* Belgarionn : * rit* Ajira : hey ! *rougit * arretez vous !

Ajira ne devait plus palire de sa vocation ! cette petite fille n'avait aucunement peur de lui , au contraire , et mon coeur se rechauffait encore de plus belle ! Apartir de cet instant c'etait sur !, Ajira , son trouble avec lui meme , pouvait etre endiguer !
[modifier] En route vers Border outpost

Nous etions tout trois retourner au chateau apporter enfin de bonnes nouvelles au roi Alliscus .. le sourir se redescinat sur ses levres , et la fureur montat en lui , il parti en tete de convoit , tout arme en avant , heureux de mettre enfin un pied en dehor du chateau ! nous le suivions dans son elan , et il nous insuflait a tous la force de courir malgre le manque de repos ! ...

Apres une longue et penible marche , a travers les plaines de la gloires , puis la tour de l'insolence , et encore bien des chemins escarpés , nous arrivions enfin pres du but ! le roi faisait preuve d'une humour toute particuliere sur le chemin dont je n'avait jamais assisté :

Alliscus:" Belgarion a votre avis , le chemin de droite , ou de gauche ? " Belgarion:" Celui de droite m'inspire plus confiance mon roi ! " Alliscus:" tres bien prennons a gauche alors !!!!" Belgarion:" ..." les autres se mirent a rirent comme jamais ... je ne savais plus ou me mettre Alliscus:" Je plaisante héros , ne m'en veuillez pas pour ma bonne humeur debordante !" Belgarion:" je ne vous en veux pas mon roi , je suis juste .... surpris"


Nous arrivâme a l'entree de la mine ...

Alliscus fit un pas en avant lorsque il se pit a pleuvoire des dragons partout !

Alliscus:" Prenez gardes compagnons !!!"

tout le monde sortis ses armes , et les lancat a sa maniere sur les bestioles ailées ... Juan decochat les fleches a une vitesse prodigieuse , Illis et Alliscus tranchaient les ailes avec leur épées , tandisque que je faisait tournoyer ma lance pendant que lanalia nous emplifiait de sa magie avant de degainer a son tour des épees !

en quelques temps seulement , la marrée de dragon avait ete submergée par notre esprit d'equipe ! et il ne restait qu'un par terre d'oiseaux mort gisant sur le sol dans d'affreuses lamantations ...

....

plus loin , pres de l'entrée de la mine , un homme , accompagnes de gardes se postaient tranquilement ... en nous appercevant , les guardes fondirent sur nous ... et se briserent comme une charette dans un mur au contact d'Alliscus qui s'empressait maintenant d'interroger l'homme tremblant. celui ci fit tomber de ses mains une pierre. Alliscus la ramassat et fit deguerpir l'homme qui s'enfuit a toute jambe vers l'entrée de la vallée ... Alliscus commencait un disour :

-" Compagnons , grace a vous , et a votre courage , cette quete de l'épée de tarandile se voit aujourd'hui grandement entamée et je vous honnor de ... "

lorsque un cri retentit , la ba , vers l'entree de la vallée ou s'etait engoufré le fuyard , suivi par un craquement epouvantable , et enfin , un corps se mit a raisonner .... faisant trambler la roche autour de nous !

nous avancions prudement pour voir quel danger encore nous guettait ...

le spectacle devant nous nous fit reculer d'un pas ... Une armée d'orcs , la rage au ventre et les armes aux poing marchait sur nous !

Lanalia:" je comprend mieux pourquoi cette mine est abandonnée " Alliscus:" préparez vous mes compagnons , il va falloire vous surpasser pour en venir a bout .. " Juan:" regardez ! il y a un deuxieme rang qui nous bouche la sortie derriere !" Illis:" montrons a ses orcs de quoi nous sommes capables" Alliscus:" prenez gardes , cela ne va pas etre facil cette fois ! " Belgarion:" lanalia , je ... et moi je n'ai pas droit a ta magie protectrice ? " Lanalia:" ... " Belgarion: " je .. erf ... tant pis "

et j"empoignat ma lance , les mains moitent , et le coeur tremblant devant ce qui s'avancait au pas de marche sur nous !
[modifier] l'armée rentre enfin

Au petit matin , les sentinelles d'Aden firent raisonner les trompes !

L'armee est revenu , le roi est sauf !!!

les passant virent le compagnie entrer en Aden , essoufflée . Quelques fleches s'etaient engoufrés dans les articulation de l'armure de Belgarion . Lanalia avait de petits yeux ... comme si elle n'etait qu'a moitier reveillée , ou a moitier endormie plutot .. l'arc de juan , sa corde etait detendu , et ses mains , strillées de laceration .. combien de fleches avait il du décocher cette nuit la ? ! Le roi , marchait trankilement , mais semblait etre en forme , il soutenait son lieutenant pour l'aider a avancer ... Mais ce qui frappat les badaus , ce ne fut pas l'etat dans le quel rentrait l'armée ... mais plutot les sourires desciner sur les fasciesces de celle ci , malgres la fatigue et les blessures ... personne ne compris , et sans doute personne ne comprendrait jamais ce qui s'etait passé cette nuit la ... Mais ce qui etait sur , c'est que notres armée avait encore accompli quelque chose ...

Maintenant un peu de repos attend nos amis ... ... Quelques jour plus tard , une rumeure courrait chez les guardes du palais : Le soldat Juan s'etait vu remettre le titre de "Heros d'Aden" , l'elevant ainsi a la meme gloire que certains de ces compagnons ! pour avoir aider le roi dans sa tache de trouver une arme redoutable ...

[ Fin de la premiere partie de la quete de l'epée de tarandil qui s'est deroulé rp le samedi 4 fevrier , merci d'avoir
suivi cette lecture ]
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MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 4 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:29

L'anniversaire du roi

Les trompes se mirent a raisonner dans le palais , les guardes etaient vetus de leur plus beau apparats . Tout etait mis en oeuvre pour que malgres le manque de compagnons presents , la plupart etant tout simplement en poste en d'autres villes , la soirée puisse rejouire le roi .

la delagation composé d'Aelita , d'Ethmos , de Jacen et de Belgarion s'avancat au pas de fete vers le trone ... Alliscus , qui n'avait pas ete prevenu , ouvrit de grand yeux ronds , et compris alors ! Lorsque les trompes se turent , les quatres compagnons s'inclinerent dans un meme elan devant leur roi , crierent leur joie , et se mirent a chanter gloire au roi

Belgarion:" vive le roi !!! " Jacen:" Vive le roi" Belgarion:" longue vie au roi " Aelita:" Vive le roi " Ethmos:" bon anniversaire au roi" Belgarion :" bon anniversaire mon roi " Aelita:" Heureux anniversaire mon seigneur" Jacen:" Gloire a vous !"

malgres la maladresse du rythme de leur criades , le roi esquissat un large sourire . On aurait dit un enfant devant une surprise !

Alliscus:" OOh comme vous me touchés là mes compagnons !" Belgarion:" vous n'esperiez tout de meme pas que nous allions oublier !" Aelita:" tout nos voeuds de longevite mon seigneur!"

puis dans sa bonté instinctive :

Alliscus:" Mais je crois que je ne suis pas le seul a feter mon anniversaire aujourd'hui il me semble ?! "

tout en souriant et fixant Belgarion... Les autres ecarquilleres de grands yeux ...

-" Vous nous l'aviez caché ! bon anniversaire a vous aussi "

et alors la petite compagnie se mis a chantoner une seconde foi , mais a l'honneur de Belga et sur invitation du roi. Quel seigneur , le jour de sa naissance , pense aussi a ses suivants , et les honorent tout autant ?! ce roi n'etait pas comme les autres ....

Alliscus:" puisque il en est ainsi , vous partagerez tout les quatres ma tablée ce soir !"

Et nous voila suivant le roi jusqu'a la terrasse du chateau d'aden , ou nous attendait une table somptueuse , garnit des mets les plus fins ... le valet Kruger etait la , pret a servir nos moindre desir sur un plateau d'argent! Je ne pus m'empecher de jetter un oeuil au plateau des desserts , et a constater , le tres alléchant gateau de fraises , et , de penser a Lanalia qui ratait ce spectacle ! Cette foi ci , c'etait sur ! j'allais remetre ce gout dans ma bouche et elle ne pourrait m'en empecher !

le roi nous invitat a nous assoire a ses cotés , et l'ambiance n'etait plus tellement au us et coutume , mais nous etions tous plutot decontractés ... meme le roi semblait se relacher un peu ... apres tout , s'il ne s'accorde pas une pose le jour de son anniversaire , quand le ferait il ?

et c'est alors que :

Alliscus:" Belgarion , j'ai ... quelque chose pour vous "

il sorti un petit paquet et me le tendit ...

Belgarion:" Ohhh mon roi ... ce ... c'est trop d'honeur venant de votre part je .."

Belga se mit a rougir un peu puis :

Belgarion:" a vrai dire ... j'ai aussi quelque chose pour vous Alliscus ! " Alliscus: " vraiment ? mais vous d'abord alors !"

j'ouvrit le petit paquet , et decouvri un tissu raffiné , bleuté cousu avec un fil d'une finesse remarquable ..

Alliscus:" ceci est un masque brode par un couturier magicien ! " Belgarion:" c'est ?! c'est splendide mon roi ... je ne sais comment vous remercier !!! j'en cherchait justement un mais un magique , je suis encore plus content ! " Alliscus:" a vous maintenant !" Belgarion : " j'ai en effet un petit present pour vous mon roi .... du moins , ce cadeau est de ma part et de celle d'illis , qui vous le savez ne peut etre presente ce soir puisque elle est partie en reconnaissance ! " Alliscus:" je vous ecoute" intrigué

Belga lui tendit un petit carnet marron borde de feullures d'or ... et pris un regard fier

Belgarion:" Ceci mon roi , est le journal intime d'une naine ! elle y relate des passages de sa vie , mais surtout ... ces recettes d'aprentissage , et des informations sur son metier ! elle y parle notement dans un chapitre , d'une pierre bleuté scintillante....

le roi compris alors de quoi il etait question et souriat de plus belle a Belgarion qui etait toujours aussi fier de lui apporter cette nouvelle ...

Belgarion: " .... vous vous souvenez , cette pierre que vous avez rapporter de notre derniere quete , et qui est cense etre capable de contenir un grand pouvoir dans un objet . mais le plus interressant mon seigneur , se trouve a la fin de cet ouvrage , ou nous pouvons lire le nom de cette naine ....

Belga se mit a conter ses parole pour faire encore plus profiter le roi de ses mots , celui ci etant deja en train de sauter a la fin du petit carnet , toujours emplis d'un large sourir.

Belgarion:" Illis a cherchée a nouveau dans la bibliotheque du palais en partant de la pierre pour entamer ses recherches , elle a trouve ce journal , quand a moi , lorsque elle est venue me raconter sa trouvaille , je me suis empressé de faire des recherches dans les status des commercants de nos villes ... et vous savez quoi ?

Les yeux d'Alliscus se mirent a briller

Belgarion:" Cette naine est toujours en activité et exerce son metier dans l'une de nos villes ! " Alliscus:" Belgarion , ce .. cadeau me rejouit profondement!" Belgarion:" Mais de rien mon roi , il faudra aussi remercier Illis , sans elle je vous aurait offert une épee , ou une nouvelle armure , mais vous en avez deja tellement ! je pense aller voir cette naine prochainement et y trouver plus de renseignements "

...

le repas se poursuivi ... Aelita se regalait avec les fruit de mer , tandis que les hommes , plus carnassiers , preferaient la viande tout juste grillée au feu ... d'abord les cotes de porc fumantes , puis le poulet broché .. accompagné de pommes chaudes et rondelettes ... ce festin etait sans doute le plus beau jamais gouté par Belgarion qui prenait soin de mettre chaque met sur sa langue .... son ventre voulait explosé , mais il ne pus se retenir de manger ces merveilles que lorsque la vision de la tarte au fraises lui rapelat de laisser de la place ...

il servit Aelita d'une bonne part , celle ci lui adressant un sourir en accompagnement de ses remerciements , puis fit de meme avec ethmos , avant de servir royalement Alliscus , et de se garder , certe un part moyenne , mais celle qui l'avait le plus attiré ...

Ethmos: -reprendrai bien une part- Belgarion: - lorgne la derniere part restante , et ethmos qui est deja sur le point de finir la sienne- Belgarion:" est ce que quelqu'un en reveut ? - en regardant Aelita - Aelita:" non je vous remercie" Belgarion: - fixe le roi - Alliscus:" non je vous remercie aussi vous m'avez deja servi une tres belle part " Belgarion: - regarde maintenant Ethmos avec anxieté - " et vous mon ami ? vous en reprendrez ? Ethmos:" bien , si personne n'en veut oui pourquoi pas " Belgarion: - Et merde ! - " bien , donnez moi votre assiete ! " Ethmos:" Mais vous n'en voulez pas vous ? " Belgarion: - SI SI DONNE LA MOI !!! - " Oh non je vous en prie vous la vouliez " - triste-

Le repas aprochait de la fin , et Alliscus nous fit decouvrir un breuvage appelé " caffé" ... on aurait dit de la boisson drow , noir et amer comme une nuit d'hiver ... mais en y ajoutant un peu de miel , ou meme de vanille , voir les deux , cette boisson devenait tout autre chose.. Alliscus nous invitait a la deguster sur les remparts du chateau dominant le jardin sud . Et là ! , une chose inatendue se produisit ! Le roi nous parlait de son passé !! Belgarion avait ete tres curieu sur le passé de son chef mais n'avait jamais osé poser de questions , meme pas a faran ! Il racontait sa vie de fermier , le chemin fait jusqu'alors , et son amour .... Jamais le roi n'avait parut aussi proche de ses suivants ... ce moment etait benis des dieux ... et la petite compagnie ecoutait les recits de Neb ! lorsque ....

Belgarion: " regardez , sur le pont levis ?! mais c'est ?! RAIME !!!! il est revenu !!! "

le temps des retrouvailles et le roi allat se reposer en privé , suivi bientot par Aelita et Ethmos , et Belga restait un moment a parler avec son ami enfin retrouve , avant de prendre conge lui aussi ...

un sentiment de confiance et de bien etre régnait en cette soirée de fete au chateau .... Mais bientot il faudrat reprendre les chemins ... les choses s'agitent au loin ... et l'épée doit etre retrouvée !

[ Super mini event improviser le lundi 6 fevrier , un grand merci au participants qui on franchement bien suivi et joues le jeu ... encor un moment tres agreable... merci a ceux qui auront suivi cette lecture ! ]


[modifier] Naissance d'un amour
J'avais pour habitude , lorsque j'etais songeur , de me promener sur les rives du lac , pres de la porte sud d'aden.

Un jour , par hazard , je m'aprochais du lac , lorsque , derriere un sol pleureur , j'entendit du bruit . Ecartant quelques branches , le spectacle que je contemplait alors me donna un saut au coeur . Une elfe , se baignait sur ma plage préférée , nue dans l'eau clair. j'en fit craquer une branche. - Que ?! Qui est là ?

-Oh !! je .. hum . pardonnez moi je me promenais et ... j'ai entendu du bruit!

-Pouvez vous vous tourner que je me rhabille ?

-Hum! bien sur , mille pardon ma dame !

et nous nous sommes assis , sur le rivage , et commencère a converser . Sa discution , sa douceur , me plaisait beaucoup , et je ne me lassait pas d'etre là avec elle .

-Je dois m'en retirer Belgarion

-Bien Dame Arielle , je vous en prie

-Nous reverrons nous ?

-Je l'espere dame Arielle , mais je viens souvent ici , alors il y a de fortes chances.

Et en effet , quelques jours plus tard , alors que Belga se promenait pour reflechir a des soucis concernant le royaume... il la revit ! assise là ou je l'avait quittée auparavant . Apres une discution entamée:

Arielle: Je vous apprecie en tout cas!

-merci lui repondis-je en rougissant

Je vous apprecie egalement beaucoup... dame Arielle...

-Je vous remercie

Belgarion la pris tendrement dans ces bras , guidé par moultes forces ou pulsions ou sentiments

-De quoi revez vous Dame Arielle ?

-Je ... reviens d'une expedition avec un ami, Akira. lui repondit elle en rougissant Vous ? vous connaissez Akira ?

Belga ecoutait le son de sa voix douce et reposante

C'est un elfe charmant et il a beaucoup d'humour.

-Non , je ne sait pas de qui il sagit.toutefois , s'il est votre ami il doit etre charmant , en effet.

apres un sourire , elle lui repondit:

-D'autres elfes sont mes amis vous savez , et ils ne sont pas ce que l'on peut qualifier de "charmant".

-Ah oui ?

-Ils se font meme du soucis pour moi en pensant que vous n'etes pas une personne de confiance.Mais moi j'ai confiance en vous !

-Comment ca ils n'ont pas .... ohhh oui je les comprend! Cependant ces temps ci je me consacre a eux , j'espere leur redonner ce qu'ils ont perdus ...

-Allons Belgarion , vous n'avez pas a vous justifier , ce qu'ils pensent de vous n'as rien a voir avec ce que moi je pense de vous !

-Mais ce sont vos freres dame Arielle , c'est important pour moi. Encore plus depuis que j'ais fait votre rencontre.

-Non juste quelques amis , et je ne partage pas leurs avis sur les humains.

-Je comprend cela ... je ne partage pas non plus tout les avis de mes freres sur les autres races...

-Il est certains qu'ils se montre affectifs envers moi , peut etre trop meme , mais ils ne sont pas pour moi ce que vous etes. Belgarion lui rendit son sourir charmeur...

-Je ne comprendrais pas que l'on ne veuille devenir affectif envers vous dame Arielle , vous etes si .... Mais j'y songe ... quel age avez vous ?

-j'ais 122 ans , je suis encore jeune et idote. repondit elle en lui souriant

-Oh vous avez deja eu le temps d'aprendre bien des choses je suis sur... comparer ... a moi ! vous etes surement plus sage que moi !

elle se mit a rire .

-ca m'etonnerais , mais qui sait ... repondit elle.

Je ne vous ais jamais demandée ce que vous faite a Aden ?

-Eh bien ... je suis .... le commandant de l'armee du royaume... dame Arielle.Depuis peu.

elle le regardat dans les yeux et souris

-Toute mes fellicitations commandant Belgarion .dit elle avant de claper de legers aplaudissements.

-Oh vous savez , je ne me rejouit pas forcément toujours de cette promotion ... je ne suis pas un donneur d'ordre .

-Je suis sur que vous etes un tres bon commendant!

-Eh bien ... le roi a confiance en moi puisque il m'a confié cette tache... j'espere etre a la hauteur, c'est parfois difficil d'oeuvrer a la fois pour le royaume et pour les autres peuples... mais j'espere etre a la hauteur.

-Il as raison... j'ai moi meme confiance en vous !nous avons un temps magnifique n'est ce pas ? Belgarion la regardait tendrement

-Oui tu as raison !

ils se sourièrent mutuellement , et belgarion s'aprochat d'elle.Elle se mit a rougir.Il se posa tout contre sa poitrine , et regardais l'horizon loingtain et le paysage. Elle rougit encore et passa sa main dans les cheveux dorés du lancier. Il sera un peu plus sa main...

-Vous savez ... -Oui ? lui repondit elle en serrant egalement sa main . -Je pourrais passer beaucoup de temps avec vous ... -Moi aussi Belgarion , moi aussi...

il sourit et elle posa sa tete sur la sienne lui dit:

-Je me sent si bien en ta présence... -Moi aussi...

elle approchat ses levres de celles de belgarion et s'arreta.Il tourna legerement la tete , et efleura les sienne... et alors elle l'embrassa tendrement. il lui rendit ce baiser en apprecient son excquise douceur. Elle se redressa lentement et il rouvrit les yeux.

-Belgarion ,je vous aimes ! -Je tombe amoureux de toi aussi Arielle !

Ils se sourièrent encore mutuelement avant de s'embrasser a nouveau

-Je veux emporter ce bonheur avec moi ou que je sois. lui dit le fougueux lancier

Elle se bloti contre lui et il l'enserra. elle posa sa tete sur son épaule tandis qu'il passait ses bras sur sa petite taille d'elfe en deposant un baiser dans son cou . Ils passerent un moment tout les deux , enlassés l'un et l'autre , au bord du rivage , avec pour fond sonor le clapot de l'eau... Une force d'une infinie grandeure venait de naitre en Belgarion , et cette force s'appelait Amour !
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