Oreline
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum serveur privé l2
 
AccueilPortailGalerieRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -45%
Four encastrable Hisense BI64213EPB à ...
Voir le deal
299.99 €

 

 Les Archives d'Oreline (C4)

Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6 ... 9, 10, 11  Suivant
AuteurMessage
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:30

Belgarion et les elfes ....

j' etais maintenant commandant de l'armee blanche... je n'etais pas un donneur d'ordres , je le savais , mais je ferais de mon mieu pour honorer mon roi ... Cette nouvelle place au sein du royaume des hommes , si elle ne m'enchantait pas outre mesure , me donnait la possibilité d'agire , enfin !

un matin , j' envoyais une missive au gouverneur falagan pour me presenter a lui en tant que nouveau commendant , et donc " superieur " suivant les termes du traite qui unissait nos deux races .

Officieusement , Belgarion avait une autre idée en tete ...

le gouverneur me recut rapidement au village elfe accompagné de Lyzael, et j" y allait avec un compagnon de confiance ... le heros Raime !

arrivé la bas , le gouverneur fit installer ses hotes dans ce qu'il appelait son "bureau" ...

Son bureau etait en fait une terrasse en demi cercle , bordé de balustrade sculptés du plus bel effet , et au milieu de laquelle se trouvait une petite table ronde entourée de chaises elles aussi sculptés .

Il nous invitat tous a nous assoire a ses cotes . je respectait toutes les regles de courtoisie a leur egard , je ne voulait pas les offenser , ils avaient deja etes assez gatés sur ce niveau ! nous nous assayons donc tous quatres et je commencais ma visite par l'annonce de ma vraie venue .

Belgarion: gouverneur falagan ... Lizael ... voici les raisons de ma venue en votre paisible village : je souhaite dans un premier temps , suivant les termes de notre traite , venir me presenter a vous , pour que vous me connaissiez mieux , et sachiez mes objectifs , surtout ceux vous concernant , et aussi , je viens renouer un lien avec votre peuple ... que je respect profondement , et lui temoigner mon amitié .

durant le debut de la conversation , le gouverneur semblait polie , respectueux , mais plutot distant et mefiant . Ses yeux brillaient comme animés par les reflexions et pensées qu'il pouvait avoir ! cet etre , dans toute sa sagesse , devait etre un calculateur precis et meticuleux !

Mais plus je lui temoignais mes envies , mes sentiments , et ma vision ... plus il semblait devenir proche . la decontraction prenait place de plus en plus autour de la table et j'en etais ravi. Lizael semblait plus perturbée.

Belgarion: je sais que notre traite est dur pour votre peuple ... aussi je ne viens pas vous parler du present , mais de l'avenir . mes recentes prises de fonctions me permettent au moins d'agire , contrairement à avant .. meme si elles ne me rejouisse pas a proprement parler ! mon souhait , est ... qu'un jour nos deux peuples , puissent , dans un profond respet mutuel , se faire confiance , et s'entraider . Libres , chacun de son coté , mais attachés l'un à l'autre !

Je presentais un arc scuplté en ivoire et l'offrit au gouverneur en temoignement de mon amitié

Belgarion : cet arc a ete taillé par un de nos meilleurs artisans a ma demande ... je crois savoir que l'elite des guerriers de votre peuple sont des archers .

le gouverneur falagan se detendit encore plus Lizael etait maintenant aussi entrée dans la conversation et avait perdu un peu de la durete de son visage . Raime etait a mes cotes , et esquissait des apreciations que seul je comprenais sans dire mots .

le discution tournait surtout autour de mon envie de connaitre leur culture , de pouvoir leur faire confiance , et peut etre .. d'un jour leur egalité face a nous sur les ecrits ... mais nous ne parlions pas des choses directement , il y avait beaucoup de metaphore , et de figures de styles utiliser pour garder une distance , un respet , entre nous deux . le gouverneur falagan se detendit encore plus et je me sentai quelque part proche de lui . il avait des amis , des gens , sous sa responsabilité , tout comme je me sentais responsable des miens , meme de juan , l'archer qui m'avait annoncé son degout pour moi quelques jours auparavents

Soudain lizael fut pris d'une etrange reaction ... elle se levat et mis ses mains sur les oreilles ... et elle allat s'apuyer contre une balustrade a quelques pas de nous .

belgarion: qu'as t'elle ???

pas de reponse , la discution se poursuivi dans les meilleures politesses , mais je sentais que quelque chose clochait avec lizael ....

Lizael: en fait ... si ! il y a quelque chose dont nous devrions parler . mon peuple est rongé par une etrange maladie qui lui fait parfois entendre des sombre recits , pour certains meme , avoir des visions ! Belgarion: Ainsi ca affecte egalement votre peuple ! ? Lizael: Vous etes au courant ? les votre aussi ? Belgarion: j'ai u connaissance des recits de certains de nos fermiers , et de quelques villageois , qui disent avoir attrapés une etrange peste hallucinatoire .... mais je n'est pas encore pu me liberer pour savoir de quoi il retournait exactement . aucun cas n'as ete apparement signale a Aden !

Lizael me racontat les symptomes de cette épidémie qui semblait avoir gravement touché son peuple .... J'en pris connaissance , et d'apres ces dires , elle voyait elle meme des choses. Elle avait ete touchée elle aussi et assez gravement semblait t'il . je comprenait mieu sa reaction d'un peu plus tot .... elle avait u le discernement d'une silhouette , une sombre silhouette , et la ville de giran raisonnait dans son etre

Lizael : Giran , c'est la que se trouve le probleme , c'est de la qu'est lancé ce triste fléau ! et c'est la que nous devrions nous rendre pour l'endiguer ! Belgarion: Vous savez , le roi n'est pas au courant de ma visite en votre village , j'en ai u l'initiative pour vous demontrer mon respet et ma politesse , mais je ferais ce que je peut pour agire ... dors et deja gouverneur , tenez a votre disposition un archer de confiance , un soigneur , et un de vos meilleur eclaireur ! dés que j'ai de plus amples renseignement , je vous ferais parvenir une missive , et je pense organiser une mission de reconnaissance vers giran , pour savoir exactement de quoi il retourne .... Falagan: bien Lizael qu'en pensez vous ? Lizael : Je serais de cette expedition ! Falagan : je ne crois pas que ..... ce soit une idee tres indiquée Lizael .... oui , bien , vous avez surement raison , je tiendrait mes hommes a disposition!

J'avais le sentiment que les elfes me faisaient deja un peu confiance ... meme si je savais que ce serait le temps qui ferait le plus gros du travail ... Et cette chose qui s'eveillait depuis Giran , etait devenue pour moi l'occasion de prouver aux elfes , mon respet , et surtout , en les impliquant dans l'andigation de ce mal , de prouver a mon roi , les valeurs de ce peuple . Mais il allait falloir le ménager , Alliscus .... et cela n'etait pas encore gagné ! Je me sentait tel un chiffon qui se dechire lui meme entre son amour pour les peuples , et celui de son roi
de retour a Aden :

Belgarion: Raime ... mon compagnon ... que pense tu de tout cela ? Raime : Les elfes semblent avoir aprecier de mieu vous connaitre ... je pense que vous avez bien fair d'organiser cette rencontre .. commandant ! Belgarion : OH! Raime , mon ami voyons , ne m'appelle pas commandant ... enfin lorsque cela n'est pas necessaire , je suis ton ami , et je suis toujours et resterais Belga ! ( en souriant ) Raime: bien comme tu voudras alors ( en rigolant ) Belgarion : Alors allons chez nous , nous avons bien des choses a reflechir , et a preparer !

Belgarion: ah ? quoi donc ? falagan : tu n'aurais pas du Lizael ! Belgarion: mais enfin quoi ? Lizael: notre peuple soufre ces temps ci ! certains d'entre nous semble percevoir un chant funeste dans leur tete , une incantation malefique ! Belgarion : comment ca ?? expliquez moi ? Lizael: certains disent voir , une mage sombre dans leur reves , ou meme rever eveillés , ou plutot cauchemarder . Falagan: Ce mal ronge notre peuple depuis l'attaque du village sombre Belgarion: mais vous voulez dire que votre arbre mere ne vous protegent plus ?! Falagan: ces forces s'amenuise , il nous protege encore a ses pieds , mais pas au vilage drow ! Belgarion: ainsi ce mal a gagne aussi votre peuple Lizael: vous voulez dire que nous ne somme pas les seuls ? Belgarion: certaines rumeurs court ches les villageois et les fermiers ces temps ci ... heureusement il n'y a pas encore u de cas a aden !


[modifier] Une visite a Aden

Le landemain , un elfe fit son apparition , sur la grand place d'Aden , devant moi ... il me dit bonjour et semblait avoir fait un long voyage .

Iluzael : Je voudrais savoir ou se trouve le cartier general de l'armee blanche ? Belgarion : le cartier... generale de l'armee blanche ( en souriant ) ? qu'avez vous a y faire ? Iluzael: j'ai fait un long voyage pour venir trouver une personne repondant au nom de Belgarion ... je dois lui parler Belgarion : ah ah ah ... allons mon ami , pas besoin de trouver le cartier general pour ca ... vous l'avez devant vous , je suis .. Belgarion ! que me voulez vous ? Iluzael : je voudrais vous voir mais ... un peu plus en privé ...

j'invitais cet Iluzael a me suivre sur un des balcons de la cité ... je ne pouvais l'enmener au chateau pour n'avoir encore toucher mots au roi de ces affaires la ...

Iluzael : Lizael est gravement malade !!! elle m'envois vous trouver il parait que vous avez u une rencontre ... Belgarion : elle est ? vous voulez dire que ... Iluzael : comment vous n'etes pas au courant ? ses visions , ses cauchemards ! elle m'as dit que vous le saviez Belgarion : je ne pensait pas qu'elle etait si touchée que cela , comment va t'elle ? y a t'il un remede ? Iluzael: je suis son soigneur ... et medicalement , ou magiquement , je ne peut plus grand chose , mais il existe un remede ! Belgarion: je vous ecoute! Iluzael: il faut partir pour giran , et detruire ce mal a la source ! Belgarion : je suis deja sur le coup , j'ai demander a votre gouverneur de tenir a ma disposition , un archer de confiance , un soigneur , et un de ses meilleurs eclaireur ! je compte mener une expedition en Giran pour savoir ce qui se prepare la bas , mais je ne veut plus repeter ce qui s'est passe au vilage drow ! nous y allons uniquement dans un but de renseignements , nous aviserons ensuite , suivant nos informations ... Iluzael: dans ce cas , je serais votre soigneur Belgarion ! Belgarion ce sera un honneur ! votre gouverneur va etre informer des que je serais pret . Iluzael : maintenant je vais aller me reposer , ce voyage m'as fatigué , connaissez vous une auberge ?

J'indiquaut un endroit ou il pourrait etre bien acceuillit , puis je reparti au chateau , reflechir a ce qui se passsait ... il allait me falloir des hommes de confiance , et experimentés pour cette expedition ... et l'archer je ne pouvais plus compter sur l'archer Juan que je voulais faire devenir mon allié dans mes futures actions ... pour sa dexterité , son language , et sa precision . Il me restait mon ami Raime ... mais avais je envie de voir mon ami se voir causer du mal par ma faute .... le temps etait a le reflection ... ce qui m'inquietais le plus etait .... - " Comment convaincre le roi ???! "



reflexion , reflexion ... viendra l'action !!!
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:30

Belgarion avait fini d'elaborer son paln d'approche de giran .... il lui fallait seulement trouver qui enmener avec lui ... et le depart de Kérym l'avait chamboulé dans ses previsions .... qui allait il pouvoir choisir pour cette mission sans certitudes exacte ! quand le roi serait il disponible pour pouvoir le tenir au courant de ses actions ! ? Il n'aimait pas agire sans l'aprobation de son roi , mais les choses etaient lancées et il ne pouvais plus reculer ...

c'est alors qu'il recu une missive de Kérym

-"Belgarion , j'ai besoin de m'entretenir avec le roi ! et j'ai une idée pour ta mission ! il faut que je le vois , arrange toi pour qu'il accepte de me voir , je n'ai pas envie d'entrer dans les details ! "

A ce moment il ne fut certain de rien , il lui falleit rencontrer a nouveau Kérym pour savoir de quoi il retournait ... et remetre un plan sur pied le plus rapidement possible !

de toute facon il conduirait les elfes a giran , ou ailleur s'il le fallait , il ne reviendrait pas sur ca ! Arielle lui avait fait tourner la tete , et il voulait lui prouver ses sentiments pour elle !

-" Arielle , ma tendre Arielle , il est tant que nos peuples s'acceptent pour accepter notre union ! "
[modifier] direction furtive giran !

Voila , il etait temps !

j'avais ete chercher les elfes aupres de Falagan , et nous etions maintenant Maeliss , Vaknol , Iluzael et moi pret a risquer de nous faire prendre ! Mais il fallait trouver un remède pour nos freres cauchemardisants chez nous ! Ce mal etrange et sombre ! nous devons le trouver !

Vaknol en bon eclaireur prend la tete et nous guide vers nos peur les plus profondes ..... Je sens maeliss inquiete et dois faire preuve de determination pour ne pas la laisser flancher ! Iluzael prend soin d'elle sur la route et l'aide a franchire les nombreux passages a decouvert .

Une montagne , et son sommet , Vaknol de ces yeux d'elfe scrute l'horyzon a la recherche d'un danger quelquonc !

-" La voie est libre , avancons ! "

Nous le suivions ...... les doigts serres sur nos pauvre equipements! Qu'est ce que je donnerais pour avoir mon armure lourde ! et ma lance ! ce couteau ne tuerait pas une vache ! Mais nous devions nous faire discret ... le plus possible ... ne pas nous faire reperer....

le pont sud ! nous somme tout pret ... la moiteur commence a s'installer sur nos mains !

-" Vaknol ? que pensez vous de ce tallu le long du chemin ? " lui demandais-je

un rocher , un tronc ... nous avancions obstacle par obstacle vers la porte sud de Giran ...

Vaknol: Deux gardes a l'entrée ! Maeliss: je peut essayer un sortilege pour les endormir ? si j'arrive a me raprocher assez ! Iluzael : je peut en prendre un si vous voulez ! Belgarion : Bien ! maeliss et iluzael vous jetterez un sort au signal de vaknol , et nous courerrons comme des dératés a l'interieur de la citée ... ensuite nous prenons la premiere ruelle a gauche qui nous tombe sous le nez ! on ne s'arrete pas en chemin ! et si vous tomber sur qui que e soit , la mission est annulée , vous faite demi tour immediatement et courrez vous refugier dans les montagnes !

encore un arbre , un deuxieme , vaknol et maeliss prire a droite du chemin , iluzael et moi a gauche avancions de la plus grande mefiance ! l'atmosphere semblait s'alourdire au fure et a mesure qu'on avancait vers les fortifications ... un dernier arbre ... touchons du bois mes compagnons !

vaknol fit un signe de la main et les deux magiciens commancait leur incentation lorsque une ombre apparut devant l'arche de l'entrée ... mon soufle se coupe ! mon sang bouilli dans mes veines !

l'ombre repars dans l'obscurité ... peut etre est ce un piege ... elle est peut etre juste plus loin , attendant que je precipite mes compagnons vers elle a grand cou de course !

trop tard ! on est trop loin pour reculer....

les gardes tombe dans un lourd someil , je m'elance !!!! les autres cours derriers moi je les sent ! j'entre ! je suis entré ... vite la ruelle ... je la croyait moins loin ! un pas a gauche et me voila dissimule dans la ruelle etroite , suivi de mes compagnons !

nous y sommes enfin ! Giran ... mais la ville me semble etrangere ... je ne reconnais plus le lieu de mes premiers achats avec raime et gurdinne ... et ... quelque chose rode pres de nous ... !!!

l'abri d'une charette , d' une ruelle, un plus loin ... et des marches de la place centrale .. nous portait chance ... personne en vue ..

Belgarion: Je par jetter un oeuil vers la place suivez moi a mon signal !

le moment le plus redouté ... traverser la place et aller se loger contre les marches , devant le temple ! je ne pris meme pas le temps de regarder derriere moi ... si je meurs ils partirons et serrons sauf ... si je vis , nous auront fait ce chemin pour quelque chose !

Ouf ! le dos appuyer sur les marches je peux enfin constater que personne n'est .... Zuuut ! Quelqu'un sur le parvi !! un orc en tenue jaunâtre ! et un nain bientot ! Je fait signe a mes compagnon de ne pas bouger de la ou il sont !

ahhhhh... enfin ils s'en vont !

mes compagnons me rejoignent lorsque la visibilité reduite au travers de mon masque semble se reduire encore ! La chose est la !!! juste au dessus de nous !!! elle nous cherche ! le sang qui bouillait juste avant se glace maintenant ! la terreur s'empare de moi .. je sent le soufle de la chose au dessus de nous .. juste a quelques metres ! mais elle semble ne pas avoir decelée notre presence ... et continu une fouille meticuleuse du regard surement .. puis s'eloigne et s'estompe dans la noirceure de la nuit ... c'est le moment ! je traverse !

Quelques metres entre les marches , et les premieres colonnes du temple ! les plus perilleux depuis le commencement de notre voyage .. quelques metres a peine qui peuvent decider de tout ! pas d'hesitation , je fonce !

l'orc en toque jaunatre revien par ici .. mais trop tard , je suis derriere les colonnes de granit et il ne peut me voir !

quelques instants .. et mes compagnons seront aussi passés !

-"Nous avons réussi !!!!" non pas encore ... il nous faut des renseignements , et surtout .. repartir !!!

Notre éclaireur nous dit qu'il était temps de partir : les sombres arrivaient au Temple.

Rapidement, nous courrument ensemble au fond de l'église, et trouvâmes une porte sur la gauche, menant à l'extérieur. Déjà nous entendions les ennemis pénétrer par la porte principale. Attiré par la ruelle, Ilusael lnous demandais de quitter la cité par le Nord, et non pas par le Sud, par où nous étions arrivés. je regrettait le fait que nous n'avions récupéré aucune informations . Cependant Ilusael semblait avoir appris quelque chose lui ... mais je n'y pas le temps de lui demander que les bruits de nos hotes sombres se firent entendre Nous nous déplaçâmes furtivement, comme à l'aller, à travers la Place principale de Giran, et nous déviâmes au Nord. Lorsque nous entrâmes dans la rue, nous découvrîmes enfin quelquechose d'intéressant. Des runes, rouges, du sang. Ilusael dit juste "c'est ici" comme si il avait dechifré tout ce qui se tramait devant nos yeux lorsque les pas des drows se raprochait encor plus , nous poussant a sortir de cette ville desormais maudite !


[hrp] Un merci special a Almalexiel qui a joué un formidable jeu du chat et de la souri avec nous a Giran sans nous
target ... et qui a maintes reprise est passer a deux doigt de notre position ! merci pour son fair play , et son rp
aussi ... et merci aux participants de cet event ! [/hrp]

[modifier] Pour l'amour d'un roi

pendant mon absence les choses avaient bougées a Aden!
Il semble qu'un nain du nom de Méryl ai envoyé une missive nous declarant guerre .

-Reflexion de Belgarion sur la route du retour apres la mission a Giran:

Alliscus ..!!! que dis je ... plus que ca ! Neb !

plus vraiment un homme , et pas encore un dieu ... il nous envoie maintenant contre les nains ?! pourtant je les aime bien ... enfin pour certains , d'autres sont trop teigneux ! et la biere leur coule de trops d'endroits ... Sayuri ... ma petite Sayuri ... comme je suis désolé !

Mon roi me demande d'agire ! je ne vais pas trainer en chemin... Fini le temps des discutions , fini le temps de savoir si c'est une bonne idée ... Il l'à prouvé ! et à maintes reprises.. la raison est avec lui ! , ses calculs nous on amenés la ou nous sommes , et ca pourrai etre pire !

Je le suivrais jusqu'aux enfers si c'est la le chemin vers la liberté des hommes sur nos terres !!!!

ce fermier qui domine les hommes , et agite les pions du destin du bout de ses doigts !

Pourquoi ais je douté , meme une petite seconde .. cette seconde de trop qui a fait partir lanalia ! et Illis , et tant d'autres...

Il est temps de devenir celui que j'aurait du etre depuis longtemps !!! Pour moi ! pour eux ! et surtout pour lui !!!
[modifier] reponse a l'embargo

Les nains ont recus ordre de mener un sever embargos envers nous ... ordre d'un nain n'ayant pourtant pas autorité sur ce peuple..Mais il semble que ces alter egos l'ecoute , et nous commmencons a voir des nains nous eviter , sans doute par peur de représailles . la reponse de notre roi est d'enfermer tout nains exercant un embargo contre notre royaume. et nous ne tardon pas a executer nos ordres...
[modifier] les geoles d'aden

Au fond de la grande batisse de la prison, Kenstor le geolier note les entrées des nouveaux arrivants et range les preuves les incriminant.

Là depuis de nombreuses années, Kenstor n'a vu que peu de personne sortir des geoles. La plupart étaient coupables... peut être et son système de rangement des preuves ne facilite pas leur libération... un grand tas derrière lui où il suffit de piocher dedans au moment du jugement.

Ah encore un !

Une croix sur le grand cahier...

Bon mon pote, je t'explique comment ça marche ici. Tu te tais, tu prosteste pas et je te mets dans le quartier le plus propre de la prison. Tu hurles ne serait ce qu'une fois et je te range avec les orcs. Compris? Allez, avance ! Tu vas voir, ici la soupe est chaude et le pain est dure. Ah non, je suis bête, ça c'est notre ration à nous. Vous, vous n'avez que le pain dure. Ah ah ah ah...

[hrp] texte ecrit par notre divin Alliscus ;o)[hrp]
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:31

une lettre du roi sur le bureau de belgarion :

Lisez ceci commandant ...


Au peuple vivant dans les villes humaines, la menace gronde près de vos portes, votre roi, Alliscus, a encore plongé une fois de plus votre nation dans le chaos en déclarant une nouvelle guerre inutile. Ce genre de guerre qui ne vous fera peut-être pas voir grandir vos fils, qui verra vos enfants, le fruit de votre chair, partir armés, sans jamais revenir. Est-ce massacre utile alors que votre royaume est au bord de l'asphyxie ? Les villes sont encerclées, les armées ennemies se rapprochent, comment un seul peuple pourrait-il lutter contre l'alliance de tous les autres, tous réunis contre un seul homme. Nous ne vous voulons pas de mal, nous cherchons juste a dissoudre la tyrannie qui s'abat sur vous, victimes de ce mal !

Au commandant de l'armée humaine, combien de batailles inutiles remplies de morts se dechaineront encore sous votre commandement ? Combien d'enfants prendrez vous a leur famille, sans aucun espoir de les revoir ? Ne cherchez pas a sauver l'honneur d'un peuple encerclé et aux abois dans une seule et dernière bataille, la responsabilité au rang de l'histoire d'un tel massacre pourrait vous en être imputé, comment dans des années pourront ainsi vous regarder vos enfants ? Tout espoir a disparu, une seule race ne peut s'opposer a toutes les autres, c'est un fait, un simple calcul, le combat est perdu d'avance, deposez les armes avant de vous battre et vos vies seront epargnées, seul le règne d'un tyran qui envoie les enfants se faire tuer en son nom alors qu'il reste assis tranquillement dans son chateau nous interresse. Ou battez vous, et faites face a des orcs de 3 mètres, avides de rage, qui ne chercheront pas a faire de prisonnier... Vous avez encore un espoir, un echapatoire à la défaite humiliante et ridicule de tout un peuple, les nains auquels vous avez declaré une guerre qui a changé l'equilibre des forces... Mettez vous en contact avec eux, vos vies seront sauvées et protegées le temps que le tyran soit mis entre quatre fers.

A Alliscus, ainsi donc vous avez osé déclarer la guerre aux nains, peuple qui pourtant n'a jamais porté offense aux humains, alors que vous leur aviez donné votre parole, le soir de votre couronnement, de les laisser dans leurs activités libres, mais vous n'êtes pas un homme de parole, juste un homme assoifé de conquetes et de sang, malheureusement, ce règne est révolu, vos forces vous abandonnent et cette armée qui caracterisait votre pouvoir n'est même plus certaine de pouvoir faire face a l'alliance de toutes les autres races. Epargnez un massacre a votre peuple, préparez votre avenir pour avoir la vie sauve et éviter un lynchage humiliant par les citoyens d'Aden... Abdiquez sur ce constat d'échec, nous respectons les grands hommes, et votre sort sera traité de la meilleure manière possible, contrairement à la manière dont vous traitez vos prisonniers indépendamment de sa race...

Humains, humaines, habitants des villes sous occupation, choisissez la seule voie bénéfique pour votre avenir et celui de vos enfants, ne résistez pas et rendez vous au peuple nain sans que mal ne vous soit fait. Le légendaire accueil du peuple nain vous sera reservé jusqu'a ce que la délivrance de vos coeurs, de vos villes et de votre patrie soit effectuée... ou accellerez les choses et revoltez vous contre la tyrannie, pour la liberté, pour qu'arrête enfin de couler le sang ! Toute personne se rendant à un membre de l'armée de délivrance du royaume humain sera protegé par les nains, et aucun mal ne leur sera fait.

La lettre est signée en bas par Meryl, Maitres des Forges.


un instant de lecture ponctué de quelques grimaces plus tard , Belgarion se mit a penser comme il le fait si bien et si souvant :

-" Ansi eux qui ne dedaignent pas repondre a nos missives , eux qui sont restés les spectateur du monde depuis l'eternité , qui font des pactes avec les drows et les orcs , et ne nous accorde pas meme une reponse a nos demandes , nous parle d'etre responsable et d'assumer , de ne pas baisser la tete , et de faire face ! mais bong sang si ils etaient vraiment les spectateurs du monde , ils ne devraient pas nous affubler de leur defauts ! "

Belgarion s'aprochat de la fenetre de son bureau et jetat un coup d'oeuil par la fenetre :

-" Ah , finalement je ne voit pas d'armee encerclant le royaume ce matin non plus ! "

puis il laissa la feuille glisser de ses doigts , sur le sol , celle ci atterissant dans une royale poubelle , a coté d'un trognon de pomme , et de la paperasse habituelle ... avant de retouner preparer des chose plus importantes !
[modifier] pour les commercant et artisants d’Aden (acte1)

-"nos ressources commencent a diminuer , nous en avons pour encore un moment .. mais il ne faudrait pas laisser les choses continuer comme ca ! de plus les commercants se plaignent .. il sont obligés de se rationner ne sachant pas combien de temps cela va durer ! "

Ni une ni deux ... je parti aux ateliers du chateau !

Belgarion: DITES MOI ?! combien de cariolles avons nous ? Le chef d'atelier: huit en parfait etat mon commandant ! et une de plus si vous me laisser un peu de temps ! Belgarion: nous n'avons pas le temps !!! reparer la moi au plus vite , nous partons des que possible ! Le chef d'atelier: bien mon commandant! GEORGE ARRETE DE FENEHANTER!! SECOUS TOI LES PUCES NON DE NON TU AS ENTENDU LE COMMANDANT !!!!

je remontais au palais :

Les espions rapporte que les nains se barricadent dans leur village , il est d'apres eux casiment impossible d"y penetrer , ils ont sortis leur armes de sieges , et les ont retournées contre un eventuel sur leur village commandant !

-" Bien nous allons en profiter !!! une belle erreure de leur part ! "
[modifier] pour les commercant et artisants d’Aden (acte2)

Pas de nouvelle du commandant , tant pis ! , Les diligences , securisés par des gardes d'aden , etaient parties pour les mines ! ses ordres etait de partir , quoi qu'il arrive , avant la tombée de la nuit ! Les diligences etaient donc parties , au nombres de neuf , vers les mines , profitant ainsi du retrenchement des nains dans leur village ... a leur bord de sommaire couchettes etaient amenagées de piles de draps et de couettes. Les hommes devront piocher toute la nuit s'il le faut ! mieut vaut qu'ils soient en forme ! les gardes et leur cheveaux entourraient le convoit assurant sa protection contre les eventuels brigands ... sait on jamais ... et la caravanne disparue au loin , tandis qu'au chateau le chef d'atelier faisait les cents pas devant son etabli , inquiet plus pour ses engins sur roues que pour les hommes qui sont dessus !

la nuit tombait lorsque une compagnie revenait de gludio .. apparemant tout ne s'etait pas passer comme prevu .. des gardes racontent que deux ne sont pas revenues avec les autres ... il paraitrait meme que le commandant se soit fait remetre a sa place , enfin facon de parler , par un simple soldat ... et tout deux auraient disparut dans la nuit ... sans que personne ne sache ou ils sont partis ...

le jour se leva sur aden ... et toujour pas de nouvelles du commandant , ni du convoit ... tout le monde commencait a s'inquieter , a commencer par le chef des ateliers du chateau qui avait du user le sol a tourner , marcher , dans son atlier .. et n'avait pas du avoir long sommeil ...

en debut d'apres midi enfin ... une epaisse fumée fit son apparition au loin ... le convoit etait de retour ! mais la queue de celui ci etait en sale etat ... c'est le chef d'atelier qui ne va pas aimer ca ! avec le manque de someil en plus , son apprenti , George , va encore trinquer !

Enfin que vous est t'il arrivé soldat ???

Un dragon ! un dragon immense ! il nous a suivi sur notre retour des mines ! on a u la trouille au ventre comme pas deux foi ca n'arrive dans une vie m'sieur ! Mais un etrange humain est venu sur notre route pendant que nous faisions detaler le convoit a la vitesse d'un renard qui se sauve en pleine chasse .. il s'est drésser devant nous ! on a a peine u le temps de lui dire de s'ecarter de la route qu'il a decocher une fleche ! le dragon nous tombait dessus a ce moment precit en plus ! et citot la fleche frisant l'air , le gaillard s'est jetter au sol nous evitant , et la fleche est allée se loger droit dans un oeuil de l'oiseau !

Vraiment ??

oui m'sieur , meme que le dragon nous est tomber dessus sur la fin du convoit , on a perdu une diligence , et la suivante est salement endomagée , nous avons perdu un peu de ce que nos hommes on ammassés cette nuit ... mais grace a cet etrange personnage , nous avons pu en ramener en quantité suffisante !

Mais qui est cet homme ? un homme chassant le dragon seul ? c'est prodigieu!!! une seule fleche dite vous ?

Oui m'sieur , une seule ! meme que le gars , il a dit qu'il s'appelait Kaiiba , et puis il a disparut avant qu'on ai pu lui filer une bonne bourse!

enfin les reserves etaient faites ... le principale etait sauf ... hormis pour les malheureux se trouvant dans la voiture de queue ... mais les ressources amassés allait mettre les commercants et artisans de la ville a l'abri un bon moment ... septe diligences et demi pleines a craquer de minerais ... c'etait plus qu'il n'en fallait ... les reserves du royaume n'etant pas encore epuisés ...

il reste a savoir ou est passé le commandant maintenant ... la seconde nuit tombait et personne n'etait encore venu annoncer son retour au palai !
[modifier] Rumeur d’un retour

-" Eh dit , tu sais pas la nouvelle ? - Bein non quoi qui s'passe ? - il parait que le commandant est finalement revenu ! - Vraiment ??? - oui certains en parle , les gardes posté a l'ouest l'auraient meme vu mener un duel de gentils hommes avec un autre chevalier , avant de lui serrer la main et lui dire bienvenue ! -Surement une nouvelle reccrue pour le service militaire ! -Dit ? tu crois qu'on devrais le faire nous aussi ? -Oh tu sait moi je suis bien sur ma muraille , à regarder le ciel , les oiseau , et l'horyzon , je vois pas pourquoi j'irais me perdre dans les lignes enemies ?! -Bein je sais pas , a par tenir debout les yeux ouvert , et controler les allées et venues on a pas grand chose a faire ? on pourrais peut etre ... - Ouais c'est vrai que c'est le seul moyen de prendre du galon , mais moi je me suffit tu sais ... je prefere etre la et vivant que riche ou celebre , et mort ! -Oui mais quand meme ... quel prestige de rejoindre ces héros! ... et contribuer plus encore au royaume .. ce serait pas mal ....

les deux gardes se regarderent .. et se turent ... finirent leur chope , donnait le pourboire , et repartait chez eux , sans dire mot de plus sur cette discution ..

on rapporte que le commandant serait revenu a Aden ... peut etre s' est il refugier au chateau ... au bout de deux jours les gardes commencaient à trouver le temps long...
[modifier] les ressources enfin retrouvés

Nous avons enfin retrouves nos ressources , nous pouvons satisfaire le peuple et surtout , les artisans de guerre , sans qui nous ne pouvons gagner ! De plus , un nain n’as pas respecter l’embargot et aurait negocier directement avec notre roi une quantitée de plusieurs milions de capsules de de combats ! Nous sommes prêt a recevoir ces nains s’ils decident de venir nous trouver !
[modifier] enlevement de Gina
[modifier] mauvaise missive

Un messager arrive au chateau et va parler au premier garde qu'il trouve

Monsieur monsieur j'ai un message pour votre roi! Une de ses soldats a été enlevée et ses ravisseurs veulent que les nains Oceane et Ildephonse soient relachés avant ce soir sinon...il lui arrivera un malheur. Je ne sais rien de plus mais si vous voulez revoir cette Gina vivante faites ce qu'ils disent. Je dois retourner aller les voir avant la tombée de la nuit donnez moi votre reponse, je vous en prie

Le commandant arriva devant le garde , et le messager .. se demandant ce qui pouvait bien se passer pour qu'autant de bruit perturbe le calme du chateau !

-" Comment ? !!! bien ! retournez voir ces ravisseurs ... et dite leur que nous ferons l'echange ce soir vers 22h ! sur le deuxieme pont a l'ouest d' hunter village !

je ne peut laisser encore une des mienne aller a sa perte ! "

le messager fit une courbette rapide et reparti aussi sec , sans avoir pris le temps de se reposer , mais motivé par la bourse que le commandant lui avait tendu !

Le messager crevient essouflé et declare: Les ravisseurs on di nous vous attendront a l'heure prevue affin d'effectuer l'echange sur le pont entre Dion et Gludio. Vous pouvez venir a quatre afin d'accompagner vos deux prisonier Chaque partie restera de son cote de la riviere. Nous serons nous aussi quatre en plus de notre prisonnier. Vous arriverez par la route du village de Gludio. Le non respect de l'une de ces regles entrainnerai la rupture de notre accord et je suppose que vous vous doutez des consequences, mais nous espérons que votre parole sera tenue aussi bien que la notre l'auras été.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:31

Notre sang qui coule !!!

L'armee etait rasemblée sur le parvi de la cathedrale d'Aden ..

Le commandant commencat a discuter avec les chasseur de primes Illis , Gnaar , et Lanalia ... il etait si troublé par cette assemblée , qu'il n'avait pas vu le nain qui dormait a cote ... ni compris les mises en garde de juan

-" combien allez vous nous payer alors ? " Je vous offre un million par tete de nain que vous aller trancher ce soir ! et plus si vous tomber sur d'autres etres ! -" vous avez appris a nous parler Belgarion "

le sourir aux levres des chasseur retaint l'attention de Belgarion qui ne vit pas le nain se reveiller en sursaut et courir de panique , ni juan tenter de le ratraper...

Les explications furent donnés aux chasseurs , puis aux soldats présents le plan etait simple .. laisser les otages dans leur geoles , et partir sur le lieu de rendez vous ... les chasseurs postés de telle facon que toute retraites serait impossible ! prenant les ravisseurs en tenaille pour les avoir ! seulement a ce moment la personne ne put imaginer ce qui allait nous attendre !

sur le chemin un messager avait apporté une lettres des ravisseur donnant un autre lieu de rendez vous ! les choses ne s'arrangeais pas mais le commandant , borné par l'envie de recupérer Gina decida d'y aller quand meme .. Avec les chasseur avec nous nous ne risquons pas trop disait il ! une naine fut capturé par Raime juste avant de se remettre en chemin , et le commandant demandais a Maeliss de la ramener aux geoles d'aden. celle ci l'avait proposé juste avant et se mit en chemin accompagnée de quelques garde du village des chasseurs ! la compagnie etait a present au nombre de quatre comme le demandais les ravisseurs , raime , belgarion , tolomnia , et aelita... sans compter nos cheres chasseur de primes deja partis sur les lieux !

le rendez vous etait fixer par les ravisseur sur le pont a mi chemin entre gludio et Dion , et les chasseur se mirent en route avant nous pour passer de l'autre cote du fleuve , et se dissimuler dans les collines , de l'autre cotes du pont , en territoire enemi .. quand a la petite compagnie , elle se dirigeait maintenant de gludio , jusqu'a la lisere du fleuve , dissimulé par son lit ... l'heure du rendez vous aprochait !

-" nous pouvons nous cachés aisement en avanceant par le fleuve .. et arrive non loin du pont nous plongerons pour voir ce qui nous attend !"

les quatres humains se mirent alor a la nage , et arriverent tout pres du lieu de rendez vous ... la brume gachait la visibilité ... et on ne voyait rien a 10 metres. il fallait se raprocher plus pour pouvoir distinguer quelque chose .. le commandant se raprochait a fond de fleuve , avant de remonter a la surface ... lentement .. sans bruit , suivi de raime .. tolomnia et aelita etant non loin de la pretes a faire usage de la magie ... lorsque des ombres surgire de la brume ... beaucoup d'ombres ... cela s'agitait plus haut ! ces ombres etaient trop haute pour etre celles de nains ! mais qui alors ? nous nous attendions a voir une petite délégation naine accompagnée peut etre de quelques sombres ... mais ca grouillait trop la haut ! lorsque soudain un cri tretentit au loin !! pui des son de lames , des combats ! surement les chasseurs ! mais en si faible nombre on ne pouvais rien faire contre tnt ! les chasseur sont experimentes , ils sauraient s'en sortir indemnes !!

le commandant annonca une retraite a la compagnie ... tout les quatres se reculerent un peu , et se mirent a l'abri de rochers , non loin de là , esperant deviner quelque chose dans les brumes ! mais rien .. les bruits des combats s'estompèrent !

le commandant ramena sa troupe au abords de gludio ... difficilement car Raime revait d'en decoudre , et cela depuis longtemps .. et cette occasion , il aurait aimer en profiter ! le commandant le savais bien c'est aussi la raison pour laquelle il l'avait enmené !

la troupe s'arretait aux abords de la sortie sud de gludio .... esperant un signe des chasseurs ... mais l'attente fut trop longue ... il se passait quelque chose .. et si ... non! ne pas penser a cela !

Juan avait rejoint la compagnie , emplit de regard noirs vers le commandant , comme a son habitude ... mais celui ci ne pensait qu'a une grimace habituelle de l'archer .. et n'y pretait pas tellement attention , celle ci etant tourné vers le chemin , comme guettant quelque chose .. un ami, ou un enemi , il ne savait pas vraiment ... lorsque ,

-"Gina ??? !! "

Gina , la prisonniere avait pu s'enfuire !! apparement il y avait une douzaine de drows , orcs , et nain , la bas , et tous se sont precipités sur les chasseurs , oubliant Gina et lui permettant de fuir une foi sa surveillance affaiblie !

-"Oui , ils sont aller combatres les chasseurs de primes , je crois , j'ai pu m'enfuire ! je crois qu'ils les ont capturés .. mais je suis pas sure , tout est allé si vite ! pardonnez moi , c'est ma faute , ma faute ! "

Non Gina , ce n'est pas votre faute !! combien etaient ils ? qui etainet ils ? ou etiez vous ? et qui nous a fait parvenir cette demande d'echange ?

-" une naine ! j'ai .. ete assomé , et je me suis reveillée a giran , la j'ai vu cette naine discuter avec un drow , et un orc ! "

-"Quoi ???? un orc , un drow ? avec une naine ???? "

tout le monde partis un peu dans tout les etats possible et imaginable , le chasseurs etaient prisonniers d'une douzaine d'enemis , dont on ne savais pas grand chose ... et raime , avait une sale envie d'aller en decoudre meme seul contre tous ! Soudain !!!

Juan parti vers le nord en courant ! Belgarion le suivi et appercut alors une ombre entrer dans gludio par l'est ! et d'autres ombres repartir d'ou elles venaient ...

la compagnie fit le tour pour entrer dans la ville par le sud .. au cas ou .. et la ... stupefaction !!! Gnaar !!!!

-"Gnaar ??? mais ? que s'est il passer la bas ??? "

les revelations de gnaar ont fini d'achever la compagnie pour de bon ...

-" nous avons etes capturés commandant , des sombres , des orcs , des nains , et meme un elfe ! " - Un elfe ??? combien etaient ils Gnaar ?? il parait qu'il y en avait au moins une douzaine ? -"Une douzaine ?! Une vingtaine oui ! -Vingt !!!! ... et Illis , Lanalia ? -capturées aussi commandant , j'ai pu m'enfuire , ces ahuris m'ont ligotés les mains , mais on surment ete trop faineant pour me porter et donc on laisser mes jambes libres de leur mouvements... - Mais ... -Nous devrions rentrer au plus vite avant de nous faire tous massacrer Commandant!!" dit Juan les yeux emplit de rage !

la compagnie se mit en chemin , au pas de course, et cherchant a eviter les routes !

de retour a aden .. Gnaar revela au commandant les noms qu'il a pu entendre sur place ... des orcs , des nains , des drows , et un elfe ...le commandant n'en revenait pas !

Gnaar ? reposez vous et partez avec moi retrouver Illis et Lanalia

Mais Gnaar avait sans doute d'autre prohjets , il refusat la bourse de belgarion , ayant echoué dans sa mission , et parti comme il etait venu , mais seul ...

Illis , Lanalia ... je ne peut vous laisser ... pensat le commandant lorsque il se retournat et allait commencer un mot qu'a peine il recut un crochet du gauche de Juan furibond ! Belgarion se couchat sous le poid du coup porté , posa un genou au sol , et se releva aussi sec

-"Commandant je vous avais prevennu mais votre ego a voulu ne pas m'entendre !!!! voila ou nous en somme par votre faute ! " - Je n'ai pas voulu vous entendre ??? -Parfaitement !! tout a l'heure au lieu de crier vos plan sur le parvi de la place , et a cote de ce nain qui dormait !!! - le nai ... Quel nain ??? - Vous avez causé la perte de beaucoup d'entre nous deja !!! vous n'etes pas apte a nous diriger , votre egoisme demesur... - ET VOUS OU ETIEZ VOUS PENDANT CE TEMPS ??? -JE CHASSAIS CE NAIN QUE VOUS AVEZ FAIT FUIR LORSQUE VOUS AVEZ ENNONCE TOUT HAUT QUE VOUS DONNERIEZ 1 MILLION POUR LA TETE DES NAINS DE CE SOIR ... seulement il a reagit en pensent a ce qu'il allait arriver a ses freres ....

Le commandant compris son erreur , ... fatale , la scene se passait sous les yeux de toute l'armee ... un soldat remontant les bretelles de son commandants , les gardes ne l'oublieraient pas de si tot !

... commant auriez vous reagit en entendant un nain dire qu'il donnerait un million par tete d'humain !!!?? VOUS ETES LACHE !!! et ne meritez ps de nous commander ! - MOI LACHE ???!!! nous allons voir cela ! et pour ce qui est de vous commander ne vous faite pas de soucis !!!! -PAREILLEMENT ! JE QUITTE L ARMEE SUR LE CHAMP! - Encore ! cette fois ci ne vous embettez pas je le ferais pour vous !!

le commandant saisit sa lance et fit un pas vif

JE PARS CHERCHER NOS CHASSEURS DE PRIMES , JE NE LAISSERAIS PAS ILLIS ET LANALIA !!!

et se mis en route , seul

Raime le stopat a la sortie d'aden , et tentait de le raisonner...

-" tu ne peut partir , voyons , ce serait fuir tes responsabilités ! - justement , je n'en peut plus de ses responsabilités ... je n'arrive plus a gerer qui que ce soit ici et mes actions ne sont pas favorable et entraine trop souvent la mort des notres ... et je ne peut supporter d'avantage de voir les miens mourrir , qui plus est par ma faute ! - Voyons ce n'est pas ta faute ! et tes responsabilites sont ici ! je suis ton ami et je te demande de rester .. non plutot je te dit que tu restera !!! Raime commencait a prendre la mine colereuse en voyant son ami refuser d'entendre raison et vouloir a tout pri partir chercher celles qui n'etaient pas rentrées avec eux ! c'est alor que Belgarion fit mine d'avoir entendue raison grace a son ami ... et fit semblant de rentrer au palais ... mais a peine le premier mur passé il prit le chemin de gludio !!!

Toute la nuit il marchait , courrait sur les sentiers menant a ce fameux pont ! peut importe le poid de l'armure , peut importece qu'on dirait de lui a Aden , seul lanalia comptais dans son esprit , il l'avait aimé , elle aussi , mais pas au meme moment .. la vie avait decidé de ne pas faire de ces deux la un couple .. mais il ne pouvait s'empecher de ressentir quelque chose pour elle tout de meme ... malgres la peur qu'elle lui avait insuflée lorsqu'elle avait achevé Ney dans une torture infame !

le matin , quelques rayons chatouyaient a peine le ciel que Belgarion se dressait sur le pont de la veille ... il regardait l'est fixement , comme un objectif , la bas se trouvaient captive lanalia et Illis , il fallait les en sortir !

quelque pas de plus , un sentiers plus loin , plus la peine de se cacher , la ou je vais ils me verront forcément passer ... Enfin , les murailes de Dion etaient tout juste visible par dela une colline .. quelques pas de plus ... quelques metres ... les derniers que Belgarion put faire !

Au pied d'une fallaise , un pieu ! sur ce pieu une tete acrochée ! Celle de Lanalia !

Belgarion mis les genoux a terre... une larme coulat sur son visage ... Il aurait voulu crier de rage , meme au pied de la ville enemie et de ses fortifications entamés ... mais ni la rage , ni les cri , ni les mots , ni aucune pensées ne pouvais retrenscrire l'explosion qui venait d'avoir lieu dans son coeur ! une main posé au sol en guise d'appui ... une matiere bizard sous la peau .. le frottement d'un doigt sur un autre , et de la cendre qui par au vent .... celles de son amie , il le sentait ! et surement mélangés a celles d'illis .. un regard plus haut , la falaise , et des traces de calcination remontant la pente dans l'herbe ... pas de doute , un massacre !

Lanalia a pris fin , ses cendres mélangés a celles d'illis , elles qui étaient inséparable dans la vie , le seront dans la mort ! non pas une consolation ! juste un espoir pour une vie meilleur , ailleur , loin ... et puis a nouveau la tristesse ! un point qui se serre ! sur le doux sable gris... puis des larmes coulant sur celui ci ...

Une premiere et derniere carresse sur ce visage tant observé , tant convoité ... une douce et tendre caresse sur ces joues , ces levres ... si il y avait u un corps et non un pieu sous celui ci , cela fut presque romanesque ... un baiser sur un front qui ne ce plissera plus , ... un adieu a cet etres si respecté ... si grand , noble meme dans la mort ...

et puis la realité qui surgit ! un sac , un flasque ... et voila , le commandant qui s'en va , ramener Illis et Lanalia , toute deux confondues dans ce recipient de fer , et la tète de sa chippie de gourmande qu'il aimait tant , dans une poche de cuir , le sang coulant a travers les mailles des coutures... et marchant , les yeux vides , le visage blafard , et les jambes tremblantes .. sans force , sans vie , tel un zombi , vers aden ...
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:31

la perte d'un roi , la perte d'un pere
[modifier] perte d'un père

Quelques semaines apres ces accablants evenements , et toujour le coeur dechiré , je me rendais au palais sur invitation d'Alliscus. Je ne savais plus me tenir droit face a lui , sous mon comandement Illis et Lanalia sont mortes! Mais je ne savais pas que mon coeur allait bientot se dechirer pour de bon. Alliscus etait debout , sur la terrasse du palais , et j'allais bientot etre rejoins par Juan et Kerym. lorsque il se retourna et pris enfin la parole ... Je n'en cru pas mes oreilles! Juan et Kerym ?! Ses enfants ! comment cela ce peut ?! je n'ose y croire! ce devait etre un bon moment mais :

Alliscus: Je te confit le Royaume Juan , je ne reste pas ici!mon trone est maintenant le tient!

Il part ! Noooon impossible ! Est ce ma faute ? a cause de mon echec ?

Alliscus: Belgarion ! je compte sur toi aussi! tu n'es pas mon fils , pourtant je te considere presque comme!

Une larme faillit couler de mon oeuil lorsque Alli.. Neb , me pris dans ces bras . Ceci ressemblait fort a un aDIEU. Il partit precipitament comme si quelque chose l'appelait ailleur , et d'urgence ... et disparut dans les escaliers qui menaient a la salle principale du palais . Je pouvais presque entendre les portes claquer . Quel homme tout de meme ce paysan ! Il avait été comme le pere que les orcs m'ont arraché a mes neufs bougies a peine soufflées! Et maintenant son fils etait devenu mon roi.
[modifier] perte d'un Roi

j'essayait de vivre ... cela n'etait pas toujours aisé , mais Arielle m'aidait beaucoup a m'acrocher! Elle seule savait quoi me dire pour me donner le reconfort dont j'avais besoin. Nous etions sans nouvelles de Neb depuis plusieurs semaines. Avec Juan ... c'est ... spécial. Je sais qu'il ne m'aprecie guère , et , je pense que moi non plus . Son arrogance m'exaspère . Un jour il m'aprit qu'un elfe nommé Sunrion avait ete capturé car il voulait m'assassiner ...

Belga:Sunrion ?! je ne connais pas de ... sun... Juan: il dit connaitre votre femme , Arielle , et vouloir vous tuer car il l'aime! Belga: que! quoi ???

j'allais trouver Arielle qui me dit connaitre cet elfe , et me racontat tout. Elle voulait aller le chercher , et y serait certainement aller ... alors pour ne pas lui faire courir de risque inutile , je pris les devant! -j'irais delivrer ton ami!

et je le fit!

je partis sur le chant pour elven village , ou j"y trouvais Juan et une elfe. -Juan , je suis venu pour que tu libère ce prisonnier! Quoi ? mais pourquoi donc ? -C'est ma faute s'il se retrouve là , et il a avoué ses actes avant de les mettre en execution , il n'as pas vraiment l'intention de me tuer ! libere le ! -Ce n'est qu'as moi d'en decider Belgarion! -Justement , là non ! c'est ma responsabilité! -Belgarion je t'ordonne de rentrer a Aden , laisse moi ! -Bien ... c'est ainsi alors ? dit moi Juan ? _Oui ? -Tu as confiance en moi ou non ? -Ce n'est pas la question Belgarion , mais pour te repondre , j'avouerais que je n'aprouve pas ta maniere de faire! -Bien , donc si tu n'apprecie pas ma maniere de faire ... je n'apprecie pas non plus la tienne! , de plus si tu ne me fait pas confiance , pourquoi me laisser la charge de mener ton armée ? donc je te dit au revoir Juan , et bonne chance pour la suite !

l'elfe debout pres de Juan ouvrait de grand yeux ecarquillés en ecoutant notre "discussion"

-Belga que , tu es sous mes ordres ne dit pas de betises! -Eh bien plus maintenant , je suis arrivé dans l'armée blanche en disant a Neb que j'y venait en homme libre , eh bien aujourd'hui j'honore ces paroles et quitte le royaume en homme libre aussi!

je partis sans meme le saluer , et sans faire d'adieu ... mais c'etait tout comme , je ne reverrais plus Juan , prince de l'arrogance !

me voici un simple homme , moi l'encien heros d'aden , respecté et apprecié , j'allait devenir un homme parmi les hommes...
[modifier] Prisonnier malgres moi

La nuit tombée , je me faufilait a travers les plaines elfiques , plus discret que les animaux de la foret , plus silencieux que le rapace dans le ciel , et plus rapide qu'un eclaireur. Pas d'armure lourde , pas de lance! juste une tenue legere , un bandeau , et quelques sorts de magie appris recement. j'arrivait pres des geoles elfiques , et me cachait pres de ses murs. J'entendit alors un garde arriver et torturer le prisonnier. Une legere incantation entre mes mains... Tu ne crains plus ses aggressions sunrion , mais laisse le croire... le garde s'en va et laisse deux de ces acolytes garder la porte. Un garde de base est facile a leurer , un bruit a l'oposé crée volontairement , et voilà! ils disparaisse savoir qui est le propriaitaire de ce son! j'en profite pour me glisser dans la geole , laissant la porte tout juste refermée , mais pas jusque au loquet.

« Suivez moi » disl'homme masqué a Sunrion tassé au fond de sa geole. « Mais qui.... - NE BOUGEZ PLUS ! ! ! hurla Elendill, accompagné de quatre gardes qui bouchaient la porte de la prison. Ils étaient essoufflés, ils avaient du chercher trop loin et revenir précipitamment. L ‘homme masqué était piégé avec Sunrion. Elendill regarda un instant l ‘homme masqué puis lui demanda : « Qui êtes vous ? » Aucune réponse. Impossible de savoir si l ‘homme le regardait ou si même il l ‘écoutait.

« Soit. » Dit l ‘elfe mage en fermant la porte derrière lui. L ‘homme masqué et Sunrion se retrouvèrent face à face, dans le silence et l ‘obscurité de la cellule. Quelques minutes plus tard, l ‘homme parla enfin. « Vous aimiez Arielle ? » Cette question surpris sunrion, qui ne s ‘attendait pas du tout à ça. Il répondit quand même, se sentant plus apte à répondre à cet homme qui avait essayé de le sauver plutôt qu ‘elendill qui avait essayé de le tuer.

« Oui.. mais j ‘ai renoncé.. voilà pourquoi je suis là. Elle aime un humain, expliqua t ‘il avec tristesse, mais sans haine ni rage. Et vous ? qui êtes v... » Sunrion fut coupé, car la porte se rouvrit. Elendill, agacé par les éléments perturbateurs de la soirée, suivis d ‘une humaine, entrèrent. Elendill créa comme à son habitude une lumière magique pour éclairer la salle. Il voulait tout savoir.

« Connaissez vous ces deux personnes ? demanda t ‘il à l ‘humaine derrière lui. _Euh.. L ‘elfe m ‘est totalement inconnu.. et je pourrais essayer d ‘identifier cette personne si elle enlevait son masque. _Retirez votre masque, ordonna Elendill. _Je n ‘ai d ‘ordre à recevoir de personne, lança l ‘homme masqué. _Qui êtes vous ? demanda l ‘humaine. _Vous allez vite le savoir, Dame Aelita, après tout... » Avec un petit soupir, il retira son masque et fit tomber sa capuche sur ses épaules. Cet homme n ‘était personne d ‘autre que Belgarionn.

« Vous ! ! ! s ‘écria Elendill, boulversé. _Belgarionn ? ? » s ‘étonna Aelita. Sunrion resta un long moment immobile. Que faisait-il ici ? pourquoi lui.. ? pourquoi sauver celui qui voulait devenir son assassin.. ? Il ne comprenait pas. Il ne comprenait plus. Qui était son ennemi ? Si Belgarionn voulait le sauver... qu ‘est ce que cela signifiait ? Sunrion n ‘en pouvait plus. Tout se chamboulait dans sa tête. Sa propre race était devenue infecte avec lui. Il haïssait Elendill de tout son corps. Et soudain l ‘humain à cause de qui il se retrouvait ici en parti était là pour le sauver...

« Mais que faites vous ici ? ? ? demanda avec impatience un Elendill dépassé par la situation. _Je suis venu le sauver, répondit belgarionn en regardant Sunrion. _Pourquoi... ? pourquoi vouloir me sauver.. ? demanda sunrion avec peine. _Belgarionn ? N ‘est ‘ce pas l ‘elfe qui voulait vous tuer ? demanda Aelita qui ne connaissait qu ‘en partie l ‘histoire. _Peut être, oui. Mais c ‘est de ma faute si il est ici. _Vous serez tout les deux jugé ! ! ! cette histoire ne se finira pas comme ça ! s ‘écria Elendill pour rappeler que c ‘était lui qui dirigeait. _Jugé ? ah ! et pourquoi donc et par qui ? je n ‘ai plus de roi, je suis libre ! s ‘exclama Belgarionn. _Nous verrons. Vous n ‘allez pas vous en tirer comme ça. Vous serez jugé pour cet acte inutile et absurde ! _Allons, calmez vous, leur dit Aelita au bout d ‘un moment. _Vous n ‘avez aucun droit sur cet elfe ! ! » cria Elendill à Belgarionn. Sunrion eu un déclic avec cette phrase. Il voulait en finir avec Elendill.

« _VOUS EN AVEZ, VOUS ? ? ? ? ? Hurla t ‘il a Elendill en s ‘approchant avec une lueur meurtrière dans le regard. _Reculez ! ! ! ordonna Aelita. _Qui êtes vous pour dire ça ? ? ? ! ! ! comment osez vous dire que vous avez des droits sur moi ? ? continua Sunrion à l ‘adresse d ‘Elendill. _On m ‘a confié la garde de cet elfe ! expliqua Elendill aux deux humains. Il sera jugé par Falagan. _Mais c ‘est moi qu ‘il a voulu tuer ! ! c ‘est donc à moi de décider de son sort ! ! brailla Belgarionn, n ‘acceptant guère les propos d ‘Elendill. Je vais l ‘emmener avec moi. _Comment ? je vous l ‘interdit ! Falagan va juger ce prisonnier ! vous n ‘avez aucun droit ! ! Vous n ‘êtes même plus commandant, parait ‘il, alors vous serez jugé tout comme lui, lui lança l ‘elfe mage. _Sans mon intervention, il serait mort à cause de votre magie ! ! ! vous l ‘avez torturé ! ! ! lui renvoya Belgarionn. Venez avec moi dehors, faisons un duel. Le gagnant décidera de son sort. _Jamais !!! cette proposition est absurde ! c ‘est moi qui m ‘occupe du prisonnier ! lui dit elendill. _Aaaaah mais faites le taire ! ! ! Lança Belgarionn. Et puis non, je vais le faire moi même ! » Il leva son bras droit en direction d ‘Elendill qui soudain ne put émettre aucun son. Il tenta de prononcer des paroles, mais le silence sortit de sa bouche.

« Voilà qui est mieux. Je vais m ‘occuper de cet elfe comme bon me semble, déclara Belgarionn. Il va venir avec moi. » Belgarionn s ‘approcha de Sunrion. C ‘était pour lui très étrange. Il se retrouvait soudainement du même coté que Belgarionn. Contre Elendill. Les humains... il ne les avait jamais vraiment apprécié, mais aujourd ‘hui... il les aimait plus que son propre peuple. Mais tout le monde semblait avoir oublié qu ‘Aelita se trouvait dans la salle, quand soudain :

« J ‘ai du mal à croire qu ‘un homme comme vous nous ai dirigé pendant tant de temps.. Ou est passé votre sens de justice, vous qui était le modèle de tous ? Le commandant Belgarionn ? Vous n ‘êtes qu ‘un gamin capricieux... _Après tant d ‘années aux services du roi, je me libère enfin. Je vais faire ce que bon me semble, maintenant. C ‘est aussi par justice que je fais ce que je fais ce soir. » Elendill avait l ‘air énervé. Mais personne ne lui prêtait attention car il avait du mal à s ‘exprimer pour le moment.

« Vous ne pouvez pas l ‘emmener comme ça. Désolé belgarionn. » Aelita agita les mains, et belgarionn tomba sur le sol, endormi. Elendill parut soulagé un instant, de voir que lui aussi ne pouvait plus que se la fermer.

« Sunrion... c ‘est votre nom ? demanda Aelita. _Oui... en effet. _Expliquez moi ce qu ‘il vous est arrivé. » Sunrion regarda Elendill, avec haine et colère, puis Belgarionn au sol avec un air désolé. Il regrettait ses pensés et actes, maintenant. Cet homme n ‘était pas mauvais. Sunrion, avec du mal, se dit qu ‘Arielle ne pouvait qu ‘être heureux avec lui, finalement. Ce soir là, alors qu ‘il avait perdu tout espoir, il reprit goût à la vie. Et il raconta son histoire à Dame Aelita, qui semblait elle aussi pour la justice et à qui sunrion décida qu ‘il pouvait se livrer. Alors qu ‘il racontait, plus il avançait, plus elle écoutait attentivement sans l ‘interrompre, et Elendill prenait un air désolé. On aurait dit qu ‘il regrettait ses actes. Quand Sunrion eut fini, Aelita le regarda longuement. Puis soudain Elendill retrouva la parole, et alors qu ‘il inspirait pour parler, Aelita lui murmura quelque chose, et il sortit.

« Je regrette... C ‘est un homme bien.. il m ‘a prit la femme que j ‘aimais, mais j ‘ai été égoïste. J ‘ai voulu détruire leur bonheur. Voilà pourquoi je me suis rendu, pour m ‘en empêcher, et parce que je n ‘avais plus rien à faire en vie. Mais lui... Il m ‘a redonné envi de vivre, quelque part.. » finit Sunrion tristement. Aelita leva alors son sort sur Belgarionn. Il reprit conscience et se releva. Aelita lui expliqua ce qu ‘il s ‘était passé, et il reprit son discours.

« Laisse moi l ‘emmener, alors, lui demanda Belgarionn. _Il reste sous le contrôle des elfes... Nous ne pouvons rien pour lui.. Sauf si je fais une demande au roi. _Non, emmenons le tout de suite, sinon cet elendill va revenir ! ça ne servirait à rien ! _Je vais faire une demande pour le transférer. Si vous vous comprenez maintenant, il n ‘est plus vraiment coupable... Je vais faire mon possible, belgarionn, lui expliqua Dame Aelita. _Très bien, mais je refuse de quitter cette cellule tant que cette affaire n ‘est pas réglé. » Il y eut une pause. Puis sunrion prit la parole.

« Je m ‘excuse... je regrette tellement ce que j ‘ai voulu faire.. Vous êtes un homme bien, Belgarionn. Je vous remercie pour ce que vous faites... Mais.. pourquoi ? _Si on m ‘avait volé Arielle, j ‘aurais eu moi aussi des envi de meurtre. Je te comprends, et c ‘est de ma faute si tu es là. Voilà pourquoi je voulais te tirer d ‘ici. » Sunrion fut touché par ces paroles. Belgarionn l ‘aidait, et Dame Aelita voulait elle aussi lui donner un coup de main. Les humains venaient le secourir... d ‘une situation dans laquelle il s ‘était lui même plongé. Désormais, à contre coeur, Sunrion se disait que c ‘était des elfes qu ‘il devait se méfier maintenant.

« Vous devriez l ‘écouter... dit Sunrion à Belgarionn en parlant d ‘Aelita. Rester ici ne servirait à rien.. Mais je vous remercie... » Belgarionn refusa encore quelques temps de sortir, et Aelita dut employer la force. Elle l ‘endormit encore une fois, rappela Elendill et le transportèrent hors de la cellule.


[hrp]Merci a sun pour cette superbe imagination delirante parti a partir d'un simple emprisonnement , ainsi qu'a Aelita pour
un memorable duel de magie dont elle a su sortir en grande gagnante ;o)[hrp]

[modifier] reveil difficil

je me reveillais en la cathedrale d'Aden ... Aelita etait là ... j'essayais de me lever mais je ne mis pas longtemps a m'ecrouler sur le pilier qui me servait a present de soutient. - Tu ne devrais pas bouger Belgarion , tu es encore trop faible! -Pourquoi ? Aelita, pourquoi as tu fais ceci ? - pour vous aider , les elfes sont assez special! - ca je le sait que trop ! - ecoutez , reposez vous , nous irons chercher sunrion plus tard , laissons les elfes faire a leur manieres , je suis sur que cela se passera bien pour sunrion. - j'aimerais vous croire , mais ce que j'ai vus recement ne m'emballe pas . - ne vous en faite pas , je veillerais sur lui tant que vous ne le pouvez pas !

des que j'en eu la force , je quittait Aelita et son Eglise ...
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:32

sans nouvelles [passage a la c4]

Belgarion disparu a la suite de ces evenements ... il parti quelques années se ressourcer et tenter de reconstruire son Royaume , celui de feu son pere Belraven , et parcouru le monde a la recherche d'artisans capable de s'acomoder de cette tache. Lorsque le travail de restauration de son Ile detruite fut un peu plus avancé , il designa un architect pour prendre en charge la fin de cette grandiose restauration. Une idée trottait dans sa tete depuis un petit moment ... un projet d'une ampleur plus vaste que sa petite ile natale , plus grandiose , et plus noble . Quelque part au nord des terres humaine , une citée construite par la main de l'homme , dont la rumeur dit qu'elle est la plus belle et la plus agreable a vivre , etait tombée aux mains des sombres ! Cette sitée du nom de Rune , avait eté errigée pour acceuillire la plus grande flotte marchande qu'oreline ai connu.Belgarion visait cette citée , il voulait etre a sa tete pour l'offrire a sa bien aimée , et par la meme occasion , vanger la mort de Lanalia.Il etait donc temps pour lui de revenir sur le continent , pour preparer son dessin.Il revint sur nos terres voir Arielle...et... dans un deuxieme temps , il organisat des jouttes entre les meilleurs combatant de ce monde , pour trouver de nouveau compagnons dignes de mener cette grande tache à ses cotés .
[modifier] Une rencontre , un espoire

Lors de ses jouttes entre gens de bonne compagnie... Belga fit la rencontre d'une personne bien etrange au premier abord... Un femme du nom de Matilda, venue elle aussi , defier les terrifiant gladiateurs. Oh! elle ne remportat pas son combat , loin de là , mais son courage et sa bravoure l'interpela. Il fit connaissance avec elle sans se douter que ... par la suite , elle allait jouer un role decisif pour sa propre survie. Les moments passé en sa compagnie semblait lui rapeller quelqu'un du passé .. mais il ne savais pas trop qui ... Quelque chose de famillier emanait d'elle.
[modifier] courtes retrouvailles

Ma douce a peine retrouvée , voici que je rencontre Taria , et qu'elle nous aprend que Sunrion a été capturé par les Sombres! Les Sombres ! toujours aussi viles ... je les detestes ... Il serait victime de leur tourmente a Rune , une fortification recemment concquise par ces creature de l'ombre alors que j'etait occupé sur mon ile . Rune , que je convoite ... pour y couler peut etre ma retraite . Rune ou je souhaite epouser mon Arielle! Il n'as vraiment pas de veine Sun! Je part il est dans une geole elfique , je reviens huit ans apres il est dans une geole sombres. Ca ne s'ameliore pas pour lui. Mais !!! a peine ais je le temps de rassurer Taria que Arielle disparait. Je la ratrape vite , la connaissant que trop. -Arielle , ne tente pas l'impossible , ne pars pas pour Rune ! - Oh non j'avais juste besoin de sortir prendre l'air -Tu es sure amour ? je ne tiens pas a te perdre alors que je viens de te retrouver! j'irais chercher sunrion , mais pas comme ca , il me faut une armée pour marcher sur Rune! -Oh oui mon doux Belgarion , je ne compte pas faire de folies -Tu me le promet?! -Je te le promet. -Attend moi quelques minutes , je reviens.

je depose un tendre baiser sur ces tendres levres , et je retourne parler a Taria , et tenter d'en apprendre un peu plus . lorsque je ressort , aucune trace de mon Arielle! Envolée , disparue! Ca fait un tour dans ma tète et je comprend alors... tu viens de me tromper mon coeur !

Taria! , Arielle a disparue , je suis certains qu'elle est partie pour Rune , mais seule elle ne depassera pas meme le territoire Orc! je file!
[modifier] Deboussolé

J'avait traversé le continent a la vitesse d'un stryder malade , mais c'etait deja pas mal pour un homme en armure lourde. Arrivé dans le territoire Orc , et n'ayant pas croisé Arielle ni trouvé sa trace au moment de passer la porte separant du territoire humain , un mauvais presentiment m'envahit ... je continuais cependant mes recherche plus au nord ... mais ma progression etait ralentit . Si les orcs me chope ici c'en est fini de moi . Mais apres quelque milles de plus , toujours aucune traces . je m'assit sur le sommet d'une colline , et pris ma tete en mains . Arielle !!!! qu'as tu fais ! tu avais promis ! .... quelques minutes d'inactivité , ne sachant pas par ou penser , ni comment aller , ou l'inverse ... et je me remit en marche vers le sud ... elle n'avais pas pus passer par ici , ou j'aurais forcement croisé des trace de son passage . meme aussi mauvais pisteur que je suis !


Des mois de recherche suivirent ...

[modifier] Cauchemard d'un reve

Cela faisait maintenant des mois que j’avais quitté la terre d’oreline , terre de deception et lieu de perditions pour de trop nombreuse ames selon moi égarées … ceci , a la recherche de ma bien aimée disparue comme un courant d’air . Aucune pistes , rien … pourtout le meme néant … de villages en village se repetaient continuellement les memes bagarres d’ivrognes de comptoirs, mais rien ne me raprochait d’Arielle. Pourtant mon amour pour cet etre m’avait poussé a continuer ma route ! Mais desespoir grandissant , plus j’avancait dans le noir , plus cet amour se transformait en haine envers ceux qui sont la raison de sa perte. Ces drows et leur fourberie genetique , ces elfes et leur incapacité a reagir rapidement , ces humains trop occupés a se chamailler le royaume de feu mon Roi , et ces orcs sauvage et barbares qui , s’ils l’ont capturée , me l’ont sans doute deja assassinée. Tous je les haissait maintenant … sans distinction aucune ! Mais je songeais surtout a ces saletés de pointus ! pourtant race de ma douce … Les sombres pour leur avidité d’arrogance et de decheance , et etre la raison de la perte d’Arielle … et les clairs pour leur inactivité . Il m’avait pourtant prevenu a mainte reprise , mon Roi …

-« Ce peuple est faible et lache ! … sans l’ombre de la carcasse vieillissante de leur tronc sacrée ils ne sont capable que de se cacher derriere mille pretext pour ne pas prendre parti dans la lutte vers la sainte lumiere ! »

Comme j’aurais du vous ecoutez , mon Roi , et vous autres … lanalia , Illis , Tanella … Et comme vous me manquez , mes enciens compagnons !

Je ne voulais que le bonheur pour moi et les miens … mais on m’as tout arraché ! Et maintenant Arielle … et avec toi mes derniers reves et mes derniers espoirs ! Au moins toi tu est toujours là … ma chere lance ! Toi au moins tu ne m’as jamais abandonnée ..

La route que j’avais suivie me menat finalement a Hydrolia … la citee elfique dont tu m’avais tant parlée .Mais elle ne m’apparaissait pas comme la grande citée dont tu m’avais parlée … peut etre a cause de la rage qui grandissais en moi .. mais comme une petite ville fortifiée et a l’architecture elfique trop chargée , empoisonant l’oeuil de trop de splendeur au point de provoquer un degout chez le visiteur . En plus qu’est ce qu’ils ont ces habitants a me faire tous de grand sourirs niais a mon passage ! Rhaaaaa je deteste les voir heureux et insouscient comme cela !! …. Je boue …. Tout ces sourirs et ces visages radieux sont des couteau affutés caressant gentiment la plaie de mon desespoir et de mon malheur … faut pas que je m’eternise ici ou a force de monter en temperature je vais finir a point !

….. et finalement … arrivé a la bibliotheque de ta foutue citée ….. j’appris ….. !

Comment as-tu pus ?! Comment m’as-tu abandonné Arielle !!!

Tu disais m’aimer … Est-ce en me quittant le jour de nos retrouvailles et en partant dans le lieu le plus eloigné de moi que tu me prouve ton amour !!!!???? Toi aussi as-tu fais preuve de la meme lacheté que celle de tes confreres et sœurs ???? Pourquoiiiiiii !!!!!!!!

… un moment de repit …

-« Maintenant il me semble te detester aussi !!! » Me donner des reves que je ne pourrais plus jamais assouvir … meme mes ennemis n’ont pas reussis a me blésser plus que toi !

… puis l’orage….

Ca y est …. Elle est là … je la sent monter encore pourtant … ma colère ! cette impression de toute puissance qui l’accompagne est comme le doux chant que tu me contais sur les rives du lac , doux et agreable , et chaud pour mon cœur devenu froid comme de la pierre . Un autre pointu … l’arrogance d’un autre visage niais de fausse bonté et ca y est, je craque ! Je ne peux plus la contenir cette fois ! c’est elle qui me contrôle ! Un manche serrer de deux point aussi ferme que la poigne d’un golem de siege , et un tranchant qui s’eleve dans la piece … a peine un cri , ettouffé par un morceau de chair s’ecrasant au sol …. Tu ne sourira plus ! maintenant !

Je voulais terriblement ranger ma derniere amie lorsque j’eu pris conscience de mon acte , mais je n’y parvint pas ! C’est toi qui me contrôle maintenant ?! bien ! alors guide moi !!! montre moi ta puissance que je t’evalue !

Jamais personne n’avais du autant se defouler dans une Bibliotheque … j’eu une pensée pour ma tendre Milia , elle aussi disparue… comme si on m’arrachait toute mes femmes ….

Puis se fut le tour du voisinage , et des maisons allant au dela , et d’encore d’autre !!! Partout , je sacageait , je brulait d’un desir de vengeance , de pouvoir , et de cruauté ! Je devenais pire que ceux que je combatais jadis !

Une aura bleuté semblait s’evaporer de moi …. La sueur magique de ma haine sans doute !

Le palais … le pire est a venir … mais peut on etre capable de pire ?

Deux jours plus tard , j’u ma reponse . Hydrolia n’etait plus !

Devant les fumet montant des habitations ravagées , une larmes se mit a couler sur ma joue … La derniere larme versée avait ete pour Lanalia .

De vieux souvenir traversèrent le neant de mon esprit vagabondant …

De vieux adversaires … des promesses faites et non tenues , et ce meme sourir , sadique et arrogant … venant d’une poignée d’elfes noirs . Lanalia !!! on m’as fait oublier en me faisant croire au bonheur !!! Je sais maintenant que le bonheur ne sera qu’illusion . Je me rappelle maintenant . J’ai fait une promesse! et me revoilà en quete de la tenir ! Je vous vois rire de la ou je suis !!! mais si je suis capable de ceci pour des rires d’inocents , imaginez ce que je vous reserve , salissures !

Rune me voici sur le chemin qui mene a toi , avec cette fois plus de raison , ou de deraisons de venir te chercher ! attend moi … je ne suis pas si loin !
[modifier] Un chez sois longtemps oublié

Quatres mois apres le massacre d'Hydrolia , Belgarion , maintenant une ame errante sans but , sans vie , depourvue de la moindre trace d'humanité , avec son regard vide et son tein blafard , etait rentré chez lui . Dans un lieu qu'il avait longtemps oublié ... celui de ses premiers amours , de ses premiers combats , et point de depart pour tout ce qu'il vecut ensuite . Le village des chasseur avait bien changé depuis qu'il n'etait pas revenu. Meme la cabane de Millia , qui semblait perdurer dans le temps comme Enchantée par on ne sait quel envoutement , avait perdue son petit charme coquet contre un amoncelement de ronces traversants le plancher , et une pellicule de poussiere degringolant du toit. Il ne semblait pas y avoir u de visite depuis pas mal de lunes ici. Belgarion montait , d'un pas lent , sur le pont de singe qui le menerait bientot dans son tout premier domicile bien a lui . Enfin il arriva sur le perron , tendi le bras et atrapa une chaise en bois fabriquée par un artisan au visage grimacant qu'il avait croisé dans les sous bois ramassant des branche et qui lui avait compté quelques histoire . elle n'etait plus aussi abouti qu'une fois la main de l'artiste passé dessus. il semblait meme que certains barreaux ne tenaient plus ou etaient fendu . il la posa en equilibre contre la facade , et s'enfoncat dedans , la mine baissée , en etendant ses cannes contre la ballustrade surplombant le precipice . A la belle epoque il aimait beaucoup cet endroit car il lui permetait de'appercevoir Millia et cette petite naine dont il a oublié le nom traverser la place pour aller dans leur boutique . il restat assi un moment assis , là , a reflechir , sans doute sur les malheur dont il etait responsable , sur ce qui a pu l'amener a devenir ainsi , lui qui etait si gentil autrefois . Il fini par s'endormir , affaibli par le voyage ...

.... un grondement retentit alors , en levant la tete , apres avoir ouvert les yeux , Belgarion vi les montagne nord du village vasciller legerement , et un craquement retentit de la falaise. le sol ondula et sa chaise de bois , affaibli par le temps , cedat pour s'ecrouler sur elle meme. Belgarion fini sur son arriere , au sommet du monticule de bois fendu. ....

-"Meme ici on ne me laisse pas en paix !!!"

Il tendi la main vers son baluchon et entra a l'interieur , donner un cou de menage a la saleté... comme par le passé avec les sombres , puis sorti ses pieces d'armure du baluchon pour frotter durement le sang accumulé ...


[modifier] Talking Talking...

Apres avoir passé un hiver entier dans le village des chasseur , pour aprendre a canaliser cette "colere" qui gronde en lui, Belga repris les chemins... et ceux ci le menerent vers Talking Island , ou il avait appris que Matilda s'en etait allée .Il savais que seul , il n'arriverais pas a controler ce mal qui le ronge de l'interieur , il lui fallait de l'aide , et il savait pleinement que le seul moyen de redevenir un galant chevalier etait de se trouver en bonne compagnie . Matilda qu'il n'avait pas vu depuis assez longtemps , devait avoir elle aussi fait un bout de chemin ... et il etait préssé de la retrouver.. meme si il ne lui aurait jamais avoué . Il savait aussi que lorsque il la verrai il ne pourrait pas se montrer trop extraverti , et qu'il allait surement devoir porter seul , ce fardeau qui pese sur lui depuis hydrolia. Un pied a terre , enfin , le voila sur l'ile!

"Un campement , ce marchand m'as dit , qu'elle vivait dans un campement! en avant ! je dois le trouver, courage , marcher m'empechera de penser! "

En arrivant je rencontrait une vielle connaisance avec matilda ... ma meilleure recrue du temps de mon commandement , avec qui j'avais combattue devant la porte ouest d'Aden lors de son recrutement , ce cher Luciferkira ... ainsi que deux autres personnages qui allaient devenir mes compagnons aux aussi , Trenn et Farowir , deux fiers combatants .
[modifier] Mariage Elfique
[modifier] La nouvelle viens d'arriver

Belgarionn tenait une missive dans sa main. Il rentra sous sa tente dans laquelle Matilda l’attendait.

« Matilda ? » « Oui ? » « J’ai une nouvelle à t’annoncer … » « Euh … oui ? » « J’aimerai que tu m’accompagnes quelque part » « Oui bien sur, sans problème. »

Et à regret il lacha …


« C’est à un mariage »

Il est etonnant comme la nature des femmes peut changer du tout au tout en un bref instant. En un éclair, une femme mure, réfléchit et posée venait de laisser sa place à une enfant immature.

« UN MARIAGE !! J’ADORE LES MARIAGES !! C’est tellement beau !! »

Belgarionn baissa la tête, navré. Il s’attendait et redoutait une telle réaction. Matilda avait le visage empourpré et les yeux vitreux de plaisir Elle faisait de petits sauts sur place tout en tirant sur la cape de Belgarionn.


" ON PART QUAND ON PART QUAND ?" " Prépares tes affaires … nous allons partir sous peu! , je dois juste trouver un present a offrir a mon vieil ami..."
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:34

~°Chapitre I : Le réveil°~
près une longue période de Coma, un orc se réveille, marqué dans sa chair par des blessures qui semblerais être des blessures de combat et qui, à première vue remonterais à plusieurs mois.


Etonnamment il ne se souvient de rien, ni même de son propre nom. Habillé du minimum pour ne pas mourir de froid, il avait juste avec lui une petite épée endommagée par de petites fêlures sur laquelle est écrit « Brams, Orc de la Horde », cela doit être mon nom pensa-t-il.


Une fois qu’il retrouva son équilibre il ce leva d’un bond, attrapa son épée et attaqua une créature qui était à proximité en ce disant : « Ce que mon esprit a oublié mon corps ce le rappellera ! ». S’étonnant lui-même, il tua aisément la bête et il se conforta dans l’idée qu’il était un combattant.


Muni de son épée et de ses quelques vêtements, Brams pris la route pour un voyage lui permettant de recouvrir la mémoire et de découvrir ce qui a précéder son réveil.


[modifier] ~°Chapitre II : La révélation°~
près un entraînement rigoureux en solitaire dans des terres désolées Brams se mit en route pour un voyage plus vaste qu’il ne l’avait envisagé, il parcoura le continent de parts en parts à la recherche de quelque chose ou de quelqu’un qui pourrait le mettre sur la route de son passé.

Essuyant de nombreux affrontement, du pour la plus part à une certaine haine raciale, Brams décida de rentré chez lui, où du moins la ou il s’est réveillé, c’est à dire au village des orcs. Sans en avoir la certitude, il sent que quelque chose le rappel à cette ville, a ses racines…


Il a bien longtemps que cette orc a abandonné la petite épée qu’il avait avec lui a son réveil, préférant une masse plus pratique pour le combat, quand soudain il la vit, sur le sol posé devant le temple de Paagrio avec la gravure qu’il avait presque oublié « Brams, orc de la horde » C’est alors qu’en la ramassant, il fut atteint d’un flash et tombât violemment sur le sol.


Durant ce flash il vit passer des mois peut-être même des années de ce qu’il semble être sa vie passée. Ce voyant combattre, saccager, tuer, piller tout ce qu’il y avait sur ça route et a son réveil il vit un vieux Shaman le regardant adossé à un pilier au centre de la ville, cet obscur personnage appela Brams avec un ton familier qui n’était pas inconnu a l’orc.


- Qui est-tu ?

- Tu ne te souviens donc vraiment de rien ?

- A part quelque flash, je n’ai aucun souvenir et vu ce que j’entrevoie, je ne sais pas si je veux en savoir d’avantage… Mais réponds à ma question qui es-tu ?

- Je suis Orgrima, shaman et recruteur de la horde…

- Recruteur ? Est-ce toi qui ma recruter dans la horde ? Tu me connaissais ? Raconte-moi !

- Ton cas était… comment dirai-je, complexe… nous nous sommes connus bien avant cette époque ?

- Cette époque ?

- Je suis un grand shaman et de ce fait j’ai de grand pouvoir dont certain inconnu de la plus part de mes confrères.

- Que veut-tu dire ?

- Nous avions besoin de toi et de tes capacités pendant la guerre contre l’alliance mais tu ne voulais pas te battre à nos cotés… tu pensai trouver une issue pacifique à ce conflit, sans doute ton coté érudit. Mais on m’a ordonné de te faire plier et j’ai du m’y résoudre.

- Comment me forcer à combattre contre ma volonté ?

- J’ai du utilisé un sort de contrôle mental sur ton esprit pendant ton sommeil.

- Alors, tout ce que j’ai vue, tous ces crimes… Je les ai vraiment commis ?

- Ce n’était pas ta faute… Mais ce n’est pas tout.

- Qu’a tu d’autre à m’apprendre ?

- Je te parlé de l’époque car j’ai commis un acte grave ce jour la… Pour te sauvé de la bataille qui était perdu, j’ai toucher à une chose interdite a nous pratiquant de la magie… Le temps, nous sommes ici dans le futur, Bien des années après ce jour maudit qui nous ta amené ici et je t’ai longtemps attendu…

- Mais pourquoi moi ? En quoi méritais je plus qu’un autre de vivre ?

- Ton âme était pure même pour un orc, cette guerre t’a corrompus et c’est en parti ma faute, grâce à moi tu peux vivre est essayer de trouver le chemin de la Rédemption.

- Mais, … comment ?

- Trace ta propre voix et trouve en ton cœur les réponses aux questions que tu te pose, maintenant que tu sais la vérité je peux m’en aller, j’ai déjà trop vécu de toute façon, bonne chance dans ta nouvelle vie mon ami, que Paagrio te protége.


(Passage du personnage de Chaotique/neutre à Chaotique/bon)


Ce retrouvant seul au milieu du village des orcs, Brams compris qu’il n’avait d’autre choix que de parcourir les terres du continent pour apporter son aide la ou cela lui semblé possible pour ce racheter des péchés qu’il avait commis par le passé.


Quelque moi passèrent durant lesquelles Brams visita de nombreuses régions et essaya de faire du mieux qu’il pus, quand, un jour, de retour au village des orcs il croisa le chemin d’un de ses congénères, Jewal, c’est ainsi qu’il se nommai. Il se présenta en tant que chef de la Horde… Après lui avoir expliqué la situation, Brams compris qu’a la suite de la bataille durant laquelle il avait été envoyé en ce temps, la horde avait perdu leurs territoires et leurs influences devenu paria de cette société, il fallais redonné vigueur et noblesse a notre race anciennement resplendissante. Il décida lors d’une réunion commémorative des orcs de rejoindre de nouveau la horde, mais cette fois de son plein grés pour corrigé les injustices faites à ses frères, mort en vain par le passé.


L’ironie du sort voulu que … La rédemption de Brams passe peut-être par la guerre.


[modifier] ~°Chapitre III : Un futur sombre°~
près avoir décidé de retourner dans la horde, Brams fut incorporé dans les rangs de l’Est, sous la tutelle du puissant Sorathal et il devint son disciple sous le titre de « Masse de l’Est ». Brams suivit sont « frére » dans un entraînement pénible et difficile mais ce ne fut en vain car il en ressortit plus solide et plus fort que jamais. Durant cet entraînement beaucoup de souvenirs lui revinrent en mémoire, sa jeunesse, ses études, ses idées à propos de la guerre et de la politique raciale… il se rappela que les persécutions qu’il a subit à son réveil, ce sont celle que les humains subissaient autrefois lorsque les orcs régnaient. Il se promit que si les orcs revenaient au pouvoir, il ferait tout pour empêcher que cela ne dégénère de nouveau.


Beaucoup de temps passa jusqu'au moment ou il se sentit prêt. Il quitta l’enseignement de Sorathal pour tracer sa propre voie comme le voulait Orgrima … Il resta éternellement reconnaissant envers la personne qui restera sont professeur à jamais, Le grand Sorathal… Pour être exact, un an passa… toute sa mémoire lui était revenue et il acquit le titre d’ « Orc Ancestral » car grâce à son voyage à travers les âges, ses connaissances étaient très étendues dû à l’éducation qu’il avait reçu à Aden lors de l’âge d’or des Orcs. Il continua son voyage en restant dans l’attente d’un appel de Jewal qui devrait lui signaler les mouvements de la horde…


Un jour lorsqu’il passa par Gludio, il vit placardé un parchemin sur une poutre à l’entrée d’une taverne. Il fut surpris car il était signé Golkan ! Il fut étonné car sa seconde entrée dans la horde s’était déroulée à la suite d’une commémoration de la mort de cette orc. Surpris par les violents écrits de Golkan, il partit à la recherche de ses frères venant de la horde pour savoir comment ils allaient réagir. Après quelques recherche il retrouva Jewal dans le village des orcs et on lui assigna durant cette rencontre une mission : recruter les orcs qui ne font pas parti de la horde ou, en cas de refus, les éliminer pour trahison à la cause. Cette mission était douloureuse pour lui car elle lui rappela ce qui lui était arrivé dans sa jeunesse quand il refusa de prendre parti dans la guerre pour mettre au point une issue pacifique au conflit de l’époque…


Quelques semaines passèrent… La politique était devenue très instable, la guerre pouvait éclater à n’importe quel moment… pendant que Brams effectuait quelques basses œuvres prés de Heine, il apprit que Jewal avait attaqué Aden avec quelques troupes, son ancien professeur Sorathal et Golkan en personne et leur assaut s’était conclu par l’assassinat du roi et la prise de la capitale. Suite à cette nouvelle, Brams retrouva Jewal au centre d’Aden et ce dernier lui expliqua les nouvelles lois qu’il voulait établir, poussé par son oracle Golkan, Jewal prônait une politique dure et violente ce qui ne lui plaisait guère et n’ayant pas son mot a dire, Brams parti en quête de réflexion…


Ses frères étaient vengés, mais Brams ne le senti pas comme une victoire, quelque chose n’allait pas, mais … quoi ?


[modifier] ~°Chapitre IV : La rencontre°~

~ ( ~ Cette partit ce déroule durant la réflexion de Brams sur la politique des orcs actuelle ~ ) ~
n jour pendant une promenade à Gludio à la recherche de calme pour réfléchir, Brams fit une étrange rencontre … une orc, une orc sur ces terres, ça fait bien longtemps qu’il n’en avais vu… mais Brams avait une mission, traquer les orcs qui ne sont pas dans la horde pour les recruter, les faire prisonnier ou les tuer… Malgré les doutes qu’il avais à propos de la politique de Jewal et Golkan, son devoir resté le même et, c’est avec ça en tête qu’il alla voir l’orc qui semblé perdu …


Brams, fort de ses multiples combats avancé sur de lui, quand soudain, arrivé prés de cette orc, elle fit un demi-tour sur elle-même pour ce retrouver face à lui, Brams se figea un instant… en le regardant, l’orc resta silencieuse mais elle le regardé avec insistance…


( Brams entama la conversation avec hésitation )

- Bonjour belle orc que je n’ai pas le plaisir de connaître.

- Bonjour, vous…

- C’est la première fois que je vous voie, je pensais connaître tout les orcs de cette région.

- C’est que je viens d’arriver du Nord… je m’appel Grimila

( Un court silence s’installa )

- Et vous ?

- Je me nomme Brams, je suis un orc de la Horde.

- La Horde ?

- Oui …

( pendant une dizaine de minute et pendant que Brams lui expliqué ce qu’était la Horde, Grimila ne quitta pas Brams des yeux, et lui ne quittai pas non plus le regard de Grimila )

- Vous êtes troublante… vous ne faites pas parti de la Horde, que dois-je faire de vous ? Dois-je vous emprisonner ?

- Je n’ai qu’une seule idée…

( Brams hocha la tête. )

- Je vais rester avec vous jusqu'à ce que l’on voi ce Jewal car, j’aimerai bien vous rejoindre dans la horde …

- Vous m’en voyer ravis, votre compagnie sera très agréable, je n’en doute pas…

( Les deux orcs s’échange un sourire timide.)

- C’est étrange…

- Quoi donc ?

- Je n’aurai jamais proposé ça à un autre orc, d’habitude quand il me parle il reparte vite en courant.

( Elle éclata de rire )

- Je suis, comme qui dirait … différent.

- C’est ce que je ressens…

- Mais … pourrait-on se tutoyer ? Ce serait bien plus agréable si nous devons voyager un peut ensemble.

- Juste un peut, pourquoi ?

( Brams ce senti gêné, ne répondit pas et ce contenta de sourire )

- Voudrai-tu t’entraîner avec moi ? Tu as l’air fort et je ne serais plus seule…

- Je ne vois aucun inconvénient à cela.

( Brams sourit )

- D’accord, je te suis.

( Grimila lui fit un clin d’œil )


Bizarrement, Brams ne l’appela jamais sœur comme il était coutume entre orc, il sentait qu’elle était différente pour lui, il ne la voyer pas comme une sœur. Pendant des jours et des jours les deux orcs voyager ensemble, ce rapprochant chaque jour de plus en plus, ils avaient arrêté de chercher Jewal, ils voyageaient ensemble sans ce soucier du monde qui les entouré… Les gestes devenaient de plus en plus tendre et affectueux, au bout de deux semaines, une grande affection s’était installé entre eu deux.


- Grim… On ne peut pas continuer ainsi, j’ai une mission à accomplir…

- Je le sais bien.

- Voudrais-tu … rester avec moi ?

- Que veux-tu dire ?


Brams s’expliqua sur ses sentiments avec hésitation par peut de la réaction de Grimila, Celle si gêné le rassura par de tendre baiser. Ils étaient ensemble, c’était un non-dit mais tout deux savait qu’il y aurait un avant et un après…


Grimila proposa de trouver Jewal au plus vite pour qu’elle puisse intégrer la Horde et accompagner Brams dans ses voyages. Ce dernier pensait qu’avec la situation actuelle il se pourrait qu’il se trouve à Aden, et ils se mirent en route ensemble.


Arrivé à Aden, comme le pensait Brams, Jewal était devant l’église, fier de « sa ville ». Après de courte retrouvaille Brams présenta Grimila et après quelques questions que Jewal lui posa, la jeune orc fut intégré à la Horde et elle eut aussi la permission de suivre Brams dans ses missions.


Après quelque semaine Grimila était devenu plus aguerrit, Brams voulu lui montrer un endroit qu’il avait visité par le passé, en compagnie de son professeur, la tour de Cruma, après un passage obligé dans les marais entourant Cruma, les deux orcs rentrèrent dans la tour. Après quelque heure d’entraînement, Brams fit un geste que Grimila n’apprécia pas… mais après quelque minutes de discutions le calme était revenu dans le couple et l’amour que Brams éprouvé pour elle ne faisait que s’accroître, après quelques nouvelles heures d’entraînement, Brams proposa un bain pour ce laver de des odeurs des marécages…Grimila accepta immédiatement en souriant.


Brams connaissait un endroit qu’il avait aperçu après son réveil, une petite chute d’eau avec un bassin prés du village de Talking et c’est la que leur pas les mena. Sur l’initiative de Brams ils montèrent en haut de la cascade, enlevèrent leurs armures et d’un même pas, ils sautèrent dans le bassin. Après avoir nagé pour ce séparé de l’odeur des marais de Cruma, le couple s’installa sur une pierre qui apparaissait à la surface de l’eau au milieu du bassin et sur cette pierre le temps se figeât, les deux orcs s’était rapproché, plus proche qu’ils ne l’avaient pas été, ils parlent longuement, blotti l’un contre l’autre pour ce réchauffer.


Un amour sincère et avoué naquit en cet instant, le nom-dit n’était plus d’actualité…quand Brams regarda le ciel c’était le matin… ils avaient passé deux jours l’un contre l’autre. Leur amour était pur, malgré la guerre qui était omniprésente, mais ils n’étaient plus seuls pour affronter ce futur incertain. Depuis ce jour, ils se promirent de ne plus jamais se quitter, leur vie ne serait plus jamais les mêmes. Brams et Grimila resteront ensemble quoi qu’il advienne.


[modifier] ~°Chapitre V : Prise de distance°~
a guerre arrivé à grand pas… les responsables de chaque camps était pressé d’en finir et cela ce comprenait… cela faisait longtemps que ça aurait du arrivé, un combat pour garder notre ville, notre terre… étant des orcs, notre place à toujours été à affirmé… ils comprendront bientôt … Ils ce rassemblent … nous aussi ce combat sera terrible et nous le sentons tous.


Les préparatifs allé bon train mais notre organisation n’était pas notre point fort… Et les places de tout le monde n’était pas très bien définie pour cette bataille… Moi même, j’ignorais la place qui m’était destiné. Cette guerre étant inévitable, je décidé quand même d’y prendre part, c’était mon devoir après tout même si mon opinions était quelque peut divergent avec celui de notre chef. D‘ailleurs, j’émet toujours de gros doute envers la personne qui nous a ouvert les porte d’Aden… une certaine Harneria, j’ai l’impression que nous sommes manipulés telle de vulgaire marionnettes… mais je resterais bien vigilant, on ne manipule pas mes frères impunément et si je ne me trompe pas, ma vengeance sera terrible, mais malheureusement, j’ai l’impression d’être le seul a vraiment me méfier de cette personne…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:34

Je prit une décision grave et engagé ce jour la … Je décidé de prendre du recul par rapport au groupe, j’espère par cette action ne pas me faire influencer et rester objectif envers les différentes menaces qui pourrait s’opposer a nous.


J’ai décidé de ne mettre que très peut de monde dans la confidence, on ne sait jamais. Je parti tout d’abord en direction d’Aden ou je trouverai Jewal à coup sur… J’arrivé d’un pas pressé au cœur de la ville et je vit, comme mon intuition me poussait à le croire, Jewal assis sur les marches devant l’église prés du centre de la ville.


(Comme à son habitude, il me senti approché dés mon entré dans la ville)


- Mon frère… comment va tu depuis tout ce temps ?

- Je me porte a merveille mais … j’ai quelque soucie…

- De quelle sorte de soucie il s’agit ?

- Harneria, je n’ai aucune confiance en elle…

- Et alors ? nous n’avons plus besoin d’elle à présent …

- Je sent comme une grande menace plané sur nous et je ne veut pas rester a rien faire…

- Tu ne me crois pas capable de protégé mes hommes ?

- Si, bien sur mais je sent que ce qui plane et plus vicieux que toi … il faut s’en méfié…

- C’est à ce point la ?

- Je le ressent comme ça …

( Un grand silence s’installa entre les deux amis ...)

- Soit, même ton enquête, si tu obtiens des informations, fait les moi parvenir.

- Pour cela je vais devoir m’éloigner du groupe, rester a l’écart et a l’écoute des bruits qui court.

- Je comprend, tu as ma bénédiction.

- Je ne veut que très peut de personne au courant, il n’y aura que toi et mon maître, je resterai en contact avec vous tous par lui, ça te convient ?

- Oui , tant que tu es la pour la fête

(Jewal éclata de rire, et Brams suivi)

- Bien sur, je ne manquerais jamais ça !

- Contact Sorathal par lettre d’abord, il est dure a trouver c’est temps si, mais nos pisteur le retrouve vite…


(Jewal souri, fiers de sont système de courrier, une bonne façon de s’entraîner pour les jeune moine pensait il)


J’écrivit en hâte une lettre qui ferais vite venir mon maître a moi, cette enquête ne pouvais attendre plus longtemps. Je stipulais sur cette lettre que je me trouver a Heine, car j’allais me mettre en route tout de suite pour cette ville, quelque affaire m’appeler la bas.


(Quelque jour ce passa… presque une semaine)


Arrivé devant la ville, j’ai eu un choc, le choc le plus violent de toute ma vie… J’ai vue mon maître, cette montagne … au sol, battu, laissé pour mort… je me précipité sur lui avec une potion que j’avait trouver dans sur le chemin, je lui fit boire et l’aida à se relever. Si j’était arriver une heure plus tôt… Je me maudit pour avoir écrit cette lettre… j’ai du lui demander d’une façon trop désespéré, il a sans doute cru que c’était vital… sinon il ne serait pas arriver avant moi … Après son réveil il m’appris que c’était l’œuvre d’un drow et d’une elf… Elhessar et Merissa, le nom du drow ne m’était pas inconnu, Urukai m’en avais déjà parler… sont ancien disciple… juste un traître …Je connais mon maître, il ne laissera pas cela impunie.


Après qu’il ai pris du repos, je pu lui parler de mes idées et de mon projet d’enquéte… Embrumé par la rage de la trahison qu’il venais de subir, il n’en supporterai pas une autre, il accepta immédiatement, me souhaita bonne chance et parti en quête de vengeance…


Je retrouvé Grimila au centre de Heine, je lui expliqué mon projet et elle s’en doutait car elle m’avais entendu pendant la réunion… je ne puis rester sans rien faire, elle accepta sans mal quand je lui ai dit qu’elle pouvait venir avec moi, rien ne pourrait nous séparé, c’est aussi pour elle que je veut que notre race revienne à son apogée et tout obstacle sera anéanti.


[modifier] ~°Chapitre VI : Retour de rancune°~
ui est ce drow… cette question rodez dans sa mémoire… je le connais, je l’ai déjà vu mais… c’est si floue … ça me rappelle quand j’était amnésique…


Outre la personne dénommée Harneria, une autre chose lui rodé dans la tête… ce drow … Il l’avais déjà vu par le passé mais ou ? quand ? il l’ignorais mais … quelque chose lui frappa la mémoire… quand il vis son maître au sol les flèches encore planté et sanguinolente dans le corps, ça réveilla une vielle blessure en lui… Les blessures que lui avait faite un drow, un drow qui avait essayé de le détroussé pendant qui était faible, juste après son réveil, Brams n’avais jamais su de qui il s’agissait mais il fut énormément surpris quand il le vit à la réunion de la horde. Après qu’il fut parti menez son enquête, Brams chercha Aila qui semblé le connaître, il n’eu que peut de contact avec cette drow matriarche de surcroît… et ces quelques contacts furent… explosif, la dame était plutôt joueuse et maniez bien ses boules de feu, le bras de Brams s’en souvient encore Il dit à Grimila de rester en arriére et c’est avec une grande prudence qu’il arriva prés d’Aila…


- Bonsoir, Ail…

( Sa phrase n’était pas terminé qu’il dû esquivé une boule de feu puis une deuxième, la troisième quand à elle s’écrasa sur son bouclier et le fit reculer de deux pas )

- Oh, un orc…

- Toujours aussi chaleureux l’accueil…

- Que crois tu en venant ici ?

- J’ai juste une petite question et je te laisse …

(Brams n’était pas sur de lui, aussi fort qu’il soit devenu… Aila à toujours eu la réputation d’être la meilleur des mages drow et ce n’est pas peut dire…)

- Parle, je te répondrais peut être…

( Un jour de chance peut être, mais elle semblé prête a répondre a sa question…)

- Dis moi… le drow qui était à tes cotés durant la réunion, tu le connais ?

- Si je le connais ?

( Aila éclata de rire…)

- Oui bien sur, c’est mon satané amant !

(Brams restera figé une petite seconde, surpris.)

- Et .. quel est son nom ?

- Il s’appel Shinteo

- C’est compris, merci.

(Brams ce leva d’un bon)

- Mais… que lui veut tu ?

- J’ai une petite histoire à réglé avec lui…

- Avec mon Shinteo ? bonne chance

(Aila étouffa un petit rire… )

- Allez, maintenant ouste !

(Aila fit un geste et Brams fut expulsé a 10 mètres d’Aila en un souffles comme porter par les vents.)

Brams repartis comme il était venu, rejoignit Grimila et repris la route mais il avait obtenu sont renseignement , Shinteo… Ce drow … lui aussi il faut s’en méfié, il est instable. La prochaine fois que je le rencontrerais, j’aurais ma masse à porter de main…

La rancune est tenace chez les orcs race d’honneur est de fierté … l’action qui avait engendré cette rancune date d’il y a plusieur année mais… Pour un orc fier, c’est comme si c’était hier.
[modifier] ~°Chapitre VII : Aprés la bataille°~
a bataille s’était déroulé quand nous l’avions décidé… une défaite… la bataille fut rude.

Ils frappaient plus fort, leurs flèches étaient plus précisent. Nous n’étions pas préparé à ça…et moi j’était préoccupé ailleurs… Grimila, ma tendre avais disparue… Le combat était a peine achevé, beaucoup était mort mais quelques un d’entre nous purent ce relevé et fuir, les enemies était trop occupé à crié leur victoire, dans les cris on dicerné un nom... galaar, … fuir … un mots qui signifié beaucoup de chose… une défaite, un exil, le retour sur Elmore tant de chose qui c’était déjà produite, un retour en arrière alors que notre race devait allé de l’avant et revenir à son apogée, pardon, j’ai échoué mes frères, pour cette fois mais je n’abandonnerais pas !


C’est ainsi que nous avons quitté Aden, un petit groupe, une petite vingtaine, nous nous sommes séparé pour plus de discrétion en ce donnant rendez vous au village Orc sur Elmore, la nous serions tranquille pour préparé une possible contre offensive. Je me déplacé tant bien que mal avec deux flèches plantés dans mes côtes mais c’est à ce moment que j’entendis une petite voie d’une personne qui était mal en point et cette voix ne m’étais pas inconnue, c’était Grimila.


J’aperçu une cape ensanglanté à coté d’un buissons, une grande peur s’empara de moi … non pas elle, pas ma Grimila, je pris la cape, il y avait deux odeurs… celle de Grim et celle d’un humain… J’entendis de nouveau la voix, je me dirigé vers elle et je retrouver ma chère et tendre, au sol, blessé, lacéré ce vidant de son sang, heureusement je n’avais pas utilisé tout mes bandages durant la bataille et je pu faire stoppé son sang de couler, il ne lui restais que très peut de force, je ne voulu pas la questionner pour ne pas la fatigué d’avantage je lui dit juste de ce reposé pour recouvrir des forces.


Quel beau couple nous faisions, blessé, marqué dans nos chairs mais je devais tenir pour nous deux et je la pris dans mes bras la serré contre mon cœur et couru, pour partir de ce continent qui n’était plus le notre désormais, j’avais déjà oublier la défaite, je ne pensais qu’a elle… un territoire on peut toujours le récupéré si j’avais perdu mon amour ce soir, je ne m’en serais sûrement pas remis.


Mon amour… nous rentrons chez nous… ou que ce soit, l’important c’est que nous soyons ensemble… Je t’aime.


[modifier] ~°Chapitre VIII : La disparition °~
ous étions rentrés chez nous, en Elmore, notre patrie, mal en point mais vivant. La défaite nous avait tous blessé mais nous n’allions pas nous laissé abattre pour si peut, une guerre et faite de bataille, d’autres viendraient sûrement …


Je m’étais remis de mes blessures pendant le trajet du retour, comme certain de mes frères mais ce n’était pas le cas de tout le monde, Grimila était toujours gravement blessé, je la déposée chez nous et parti cherché notre oracle, Golkan car il a parmi c’est multiples dons celui de guérison et après avoir examiné Grimila, peut de temps fus nécessaire a sa complète guérison.


Notre vie repris son cour, calme et paisible, nous étions ensemble et tout allé pour le mieux, les orcs reprenais de la vigueur, le village était vivant, ça faisais plaisir a voir.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:34

Un matin comme les autres, après une nuit comme les autres … je vis avec stupeur que Grimila n’était pas a mes cotés, je sortie de chez nous pour me lancé à sa recherche dans tout le village mais se fut en vain, autrefois ça lui arrivé souvent de partir seule chassée mais elle m’avait promis de ne plus le faire depuis « l’accident » j’attendit dans le village, espérant la voir revenir mais, cela aussi fut en vain…


Après avoir envoyé nos meilleurs pisteurs à sa recherche je parti du village pour me lancer moi-même dans les recherches, je fouiller tous les endroits ou nous avions l’habitude d’aller, toutes nos zones d’entraînements mais personne… elle n’était pas la…


Grimila avait disparue, sans laisser de trace… une fuite ? Un enlèvement ? Une vengeance ? QUI est surtout POURQUOI ?


Je m’étais décidé pendant la nuit suivante, privé de sommeil, j’allais utiliser toutes les forces que j’avais acquises à sa recherche, pour son retour prés de moi …


Une voix résonnée dans ma tête…


Ou es tu mon amour ?


[modifier] ~°Chapitre IX : La folie °~
es recherches n’en finissaient pas … tous les jours, toutes les nuits, je ne pouvais dormir sans elle, après avoir prévenu mes frères de mon départ je partis sur le continent pour continué les recherches, attrapant des humains, les torturants pour tiré quelque information… sans résultat …


Après deux semaines sans sommeil la fatigue commencée à ce faire sentir, une rage naissante apparaissait en moi, une rage envers moi-même incapable de retrouvé celle que j’aime…


Mes pas m’amenèrent vers Aden, capitale autrefois à nous, étrangement cette nuit la je surpris un garde, seule faisant une ronde prés de la route… je ne lui laissé pas le temps de crier et après lui avoir brisé la mâchoire… certaine réponse viendrait sûrement a mes oreilles…


- *crachant du sang*

- vers la tour…

- *crachant à nouveau du sang*

- Une non-humaine… vers la tour … à attaquer un humain …


Il m’avait vus… Je ne pouvais le laisser vivre sans avoir d’autre comme lui a mes trousses… alors ma masse fut rapide et précise, la tête de l’humain roula sur le sol discrètement sans fracas… cette mort ne s’ébruitera pas.


La fatigue ce faisais de plus en plus sentir, je cherché prés de la tour mais en vin mais j’entendu des bruits de combat dans la tour, il faillais que ce soit elle, je l’avais enfin retrouvé !

C’est ainsi que je m’engagea dans la tour… un endroit ou m’avait emmené une fois mon ancien maître pour me montré quelques techniques… je devrais être de taille à présent…


Après une heure de recherche j’arrivais dans la sale d’ou provenais les bruit de combat et la à ma grande surprise, il s’agissait d’une drow à sa vu je me suis mi a poussé un hurlement monstrueux, rempli de rage et de colère pour m'être a ce point trompé, elle pris peur et m’attaqua, le combat fut cours, la fatigue que je ressentais me fit faillir, malgré le fait qu’elle ce battait a l’épée, elle fit tomber la foudre sur moi, ne pouvant rien faire je lancé ma masse de toute mes force dans sa direction et avant de tomber inconscient je vis son visage fracasser par ma masse dans le mur de la pièce derrière elle.


Je repris mes esprits … sûrement quelques jours plus tard … couverts de mon propre sang… regardant la drow dans le mur avec un dégoût inhabituel, j’arracha ma masse sur son cadavre pourrissant et … je ne savais plus ce que je faisais la…


Entouré de monstre je me mis a frappé, frappé … encore et encore… jours après jours, n’ayant pas d’autre but que de vidé cette tour maudite de tout les êtres foulant ce sol, durant ce carnage j’exterminé un groupe d’elf … plusieurs groupe d’humain … et des centaines de créatures.


Un jour un pisteur orc me retrouva, il me cherché depuis plusieurs jour pour m’annoncer qu’une réunion va avoir lieux, il est vrais qu’avant mon départ du village j’avais était élu au conseil en tan que responsable de l’est sous le commandement d’Urukai. Quand le pisteur évoqua son nom je me repris mes esprits et me mis en route pour le village orc ou la réunion avais lieu… Pendant le trajet je ne réalisé pas le changement qui c’était produit en moi… j’était devenu plus violent, plus radical, plus … sauvage…


Durant la réunion Urukai nous fit par de la futur attaque a laquelle l’armé aurait participé, elle ce ferait avec l’aide des drows avec qui nous avions pris un accord, je me gardé bien de raconté ce qui c’était passé dans la tour … ça n’aurais apporter que des problèmes…


- *mal de crane*


Mais durant la réunion … ce que j’avais fait me revint en mémoire… les carnages… le sang… la violence…des sentiments que je ne voulais pas revinrent me hanté…


- *commence à avoir de la fièvre*


Des batailles … Encore du sang… Je… n’en ai pas eu assez… je me sentais libre pendant que je massacré tous ces gens…


Ma respiration s’accélère, mes frères membres du conseil s’aperçoivent de mon malaise… mais … il est trop tard


Je dois partir… ou il va y avoir des morts… même mes frères mourront … tous … doivent mourir… non … pas tous … si … tous …


Je me lève en sursaut… et pris la direction de la sortie … j’interdis à mes frères de me suivre et je du me montrés très … expressif …


Je parti en direction du temple … pensant que ça me calmerais mais … ce ne fut pas le cas… Golkan était étrangement absent … heureusement pour moi d’ailleurs car … ne sachant a qui m’en prendre pour la disparition de mon aimé… je m’en pris à la première personne venu devant moi … c’était l’effigie de Paagrio… et ma lance finie planté dans sa représentation.


Je sentais que j’allais de nouveaux sombrés alors je courais pour sortir du village mais … Urukai réagi mal … il m’envoya deux pisteurs à mes trousses … Et je ne pu me retenir… Dans ma rage, je n’en vis qu’un mais… ma masse vola … et alla s’écraser sur le crâne de cet orc, ce frère … Je parti ensuite droit devant sans m’arrêté, ce qui c’est passé aujourd’hui changeras mon futur…


Pendant ma course effrénée pour m ‘éloigné de mes frères je sombrais de nouveaux, la folie reprenais le dessus…


Une autre voix résonnée dans ma tête maintenant …


Ni dieu, ni frère, ni ami… Tous doivent périr…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:35

~°Chapitre X : Début des combats °~

[<-Extrait des récits de la bataille de Giran->]
sprit trouble, tourmenté...

- * On m'appel.. on a besoin de moi ...*

Esprit trouble, tourmenté...

Mes pas m'emmènent vers Giran... je vois un attroupement... des orcs, des drows ...

- Ce rappel de la réunion qui avais précédé la première crise -

- * L'attaque... c'est aujourd'hui... *

- * Vais je réussir à me contenir ? *

- * Il le faut... j'ai un devoir à accomplir...*

- je m'approchais discrètement du groupe, restant distant et discret -

- * je ne sais pas si Urukai m'a vu, comment réagirais-t-il pour ce qui c'est passé lors de la réunion ? *

- * un laps de temps s'écoule, temps que je ne suis pas en mesure d'évalué ... *

mon esprit se recentre... sur une cible... les humains

Concentré, Haineux...

Le combat s'engage, les corps volent, les orcs et les dows présent fond preuve d'une vivacité et d'une célérité sans faille...

Les humains n'arrivent pas a contenir une telle charge...

Les vagues de gardes s'enchaînent, s'écrase sur un groupe déchaîné.

Soudain... mon esprit commence à défaillir... les envies de mort et de violence revienne me hanté...

- * Je voie les humains se regroupé, certains orcs tombent, soignés par nos mages... ils avaient opté pour une défense plus compacte, plus difficile a percé... *

Il me faut réagir...

Esprit trouble, tourmenté, haineux...

- * Je fonce dans le paquet compact, avec ma lance, plusieurs coup circulaire, des corps volent, le paquet est désolidarisé, mes frères sont avec moi ... la vague est repoussé... puis une autre ... *

Trop de sang, haine, violence...

- * Je dois m'écarter, vite... *

- Je pris vite du recul par rapport au groupe, attendant que tout le monde rentre dans la ville -


Tous les habitants couraient, essayé de fuir pour leur vie... en vain, étant encore dehors, je tranché les quelques humains qui avaient réussi à sortir de la ville, mais ce bonheur etait troublé par mes actions et mes pensées... je devais parlé à Urukai... et cela dans les plus brefs délais.


La ville etait à nous, c'est l'esprit troublé que je rentre dans cette nouvelle Giran, jonché de cadavre et couverte de sang, en direction du chateau désormais à nous...


[modifier] ~°Chapitre XI : Une nouvelle rencontre °~
’est après une courte marche, enjambant les cadavres que j’entre dans le château de Giran, il faut vite que je parte car même ici … personne n’est à l’abris, un Drow du nom de Tristan à failli mourir à cinq mètre du trône … comment aurait il pu savoir … mais heureusement … quelqu’un a détourné son attention de moi, ce qui lui sauvas la vie … ma main était sur ma masse … prête à sortir et à tué encore …


C’est après une longue discutions avec Urukai que je sortis du château de Giran, je m’étais mis d’accord avec lui … je devais m’éloigner pour le moment, pour la sécurité de nos frères, certaines personnes on le dons de me calmer, c’est heureux car je ne sais pas ce qu’il se serait advenu si j’avais attaqué mon ancien frère d’arme et nouveau chef …


Mes pas me firent aller à l’ouest, sombrant de nouveau dans la folie, juste à quelques mètres de la ville de Giran, étrange mal qui me ronge …


Encore un laps de temps qui s’écoule sans que je ne puisse le définir…


Je me retrouve dans un endroit bizarre … la souffrance et respirable ici … des tortures … beaucoup de morts … S’en est presque palpable … Je me senté bien en cette endroit … et j'y ai pris du repos …


Encore un temps d’une durée indéfinissable s’écoule…


Je me réveil … remplis de rage et de colère… je fonce tout droit et j’arrive dans une ville, je crois reconnaître Dion, c’est ici qu’un carnage eu lieu et c’est peut dire … à peine le seuil des magasins franchis, je tuais vendeurs et client, m’amusant de ma lance pour couper plusieurs têtes… m’acharnant sur certains plus que d’autres… je revoie le pauvre qui se pris ma lance dans le ventre, je l’ai tourné jusqu'à en avoir des fourmis dans les doigts …Un elf a bien essayé de m’arrêté mais … me voyant, il compris vite que c’est la mort qui l’attendait et le temps que j’extirpe ma lance du corps d’une de mes victimes il était parti…


Je sortis du dernier magasin de la ville et j’aperçus un attroupement prés d’une roulotte, un bonheur pour ma lance … Je ne sais pourquoi ils tremblés tous, apeuré, affolé mais immobile je pris mon temps pour ajuster mon coup et ma lance tranchas net, six têtes se mirent à voler, et quand les six corps tombèrent, je découvris derrière eux … une créature couverte de sang, une naine d’après ce que je put reconnaître…


Ne sachant pourquoi, je ne su que faire, je resté la, en face d’elle immobile, et elle, en face de moi terrorisé… Au bout d’un moment, elle hurla de terreur et tomba inconsciente, je ne sais toujours pas pourquoi mais je n’ai pu lui faire du mal, je me suis assis à coté de son corps inerte après avoir planté ma lance au sol et la regardé évanoui et couverte de sang… Peut être cette image me rappelé mon passé mais ne sachant pourquoi, dés l’instant ou je l’ai vu mes envies de massacres on cessé, mon calme et revenu et mes pensées était de nouveau clair et construite…


Après quelque minute elle repris ses esprits, me regarda et retomba inconsciente… je ne pouvais la laisser dans cet état, ayant moi-même retrouvé mes sens je la mis sur une de mes épaules et après avoir ranger ma lance sur mon dos je l’emmena près de la rivière et je l’y jeta, espérant que ça la nettoie et que ça la réveille du même coup, elle était réveillé mais … grosse erreur de calcul, la petite ne savais pas nager apparemment, je plongeas à mon tour la voyant en difficulté et après l’avoir remonté sur la berge de nouveau inconsciente, j’attendis à ses cotés son réveil.


Peu après elle repris conscience, après avoir craché avec difficulté l’eau quelle avait avalé, elle s’assit à mes coté épuisé, l’eau nous avait nettoyer tout les deux et ne me voyant recouvert de sang elle semblé interrogative … et je pris la parole ce qui sembla l’étonné encore plus.


- Est-ce que tu vas bien ?

- Vous savez donc parler ?

- Oui, je suis un orc mais ça ne m’empêche pas d’être intelligent…

- Un norc ? C’est la première fois que j’en rencontre un comme vous… vous êtes comme ces montres que j’ai déjà rencontré ?

- Il y a deux type d’orc, les instruits et les sauvages…

Elle semblé boire mes paroles, découvrant de nouvelles choses … cela m’amusé et elle aussi d’après moi.


Après une longue discutions j’appris son nom, il s’agissait d’Anuba, jeune naine qui se promenés à Dion ou elle avait emménagé provisoirement, je lui expliqué pour le mal qui me rongé en ce moment mais ça l’intéressé plus que l’effrayer, surpris de cette réaction, je me pris d’affection pour cette petite personne qui m’avait, pendant la discutions, offert sa peluche, la nuit se mit à tombé on avait discuté plusieurs heures … Elle me dit que son père allé partir à sa recherche ou envoyé des gardes la cherché si elle ne rentrés pas vite et c’est après l’avoir prise, assise sur mon épaule qu’on se mit en route pour Dion.


Arrivé aux portes de la ville je vis les cadavres de mon massacre … on se regarda un cours instant et après l’avoir déposé au sol, je posé un genou à terre.

- Je ne peux pas t’accompagner plus loin… cette ville n’est plus sur pour moi en ce moment …

- Tu as raison tu devrais t’éloigner un peut … nous nous reverrons bientôt ne t’inquiète pas.


Après avoir hoché la tête en signe d’approbation, je ressortis vite de la ville voyant un grand groupe de garde arrivé dans ma direction.


Malheureusement… le plaisir de cette nouvelle rencontre fut gâché quelques minutes plus tard … une centaine de mètres plus loin, peut être deux, mes pensées s’assombrissent de nouveau … La folie s’empara à nouveau de moi … Je dois être maudit…


La voix revenait dans ma tête…

Tue ! Tue ! Tue ! …


[modifier] ~°Chapitre XII : Une période de remission °~
eaucoup de temps c’était écoulé depuis la dernière fois que je n’était pas rentré au village… entre l’avancement de la guerre et mes autres responsabilités… Mes crises se faisant de plus en plus rare, Je voyagé toujours autant, rencontrant de nouvelle personnes. A cette époque Je croisai la route de plusieurs drows, dont certain que je connu par le passé , je revu Olorae une amie perdu de vue depuis longtemps ainsi que Sylianne, une drow que j’avais croisé quelque temps auparavant, Giran est vraiment une ville propice à de nombreuses rencontres… Les sombres avaient chacun leur histoires… tout comme les Orcs… Croire que l’on est prédestiné a tel ou tel choix en fonction de notre race est tellement idiot… c’en est déconcertant… Avec tant de personne rencontré tan d’histoire vécu… je ne comprend pas pourquoi cette évidence ne m’a pas sauté au yeux avant…


La guerre… encore une chose stupide, enfin … cette fois je n’ai pas le choix … il faut me battre, je ne laisserais pas mes frères mourir en vain cette fois, si je peut faire quelque chose, je le ferais, la cruauté de ces humains est affligeantes… Ce regroupement doit etre détruit et cela par n’importe qu’elle moyen.


Je n’avais pas revu Anuba… la petite a du bien grandir… c’est dommage, tant de chose m’accapare. Je me suis même rapproché d’une humaine a cette époque, rencontre brève mais intense, cette rencontre fut surprenante, même pour moi, la démotivation… une perte d’espoir… Grimila était toujours dans mon cœur mais son retour semblé impossible depuis toute ces années…


La politique s’enlisait… quelques petites altercations sans gravité jalonnais une période relativement calme… les esprits bouillonnait toujours mais, sans étincelles rien ne remontai les tensions à la surface…


De ville en ville, de rencontre en rencontre, mon voyage continuais toujours pour rechercher ma moitié, après d’innombrables heures de méditation je réussi a stoppé complètement les crises… mes pas m’amenèrent plus au nord et c’est la que je fut frappé par une vision qui me troubla à un point que je n’imaginais pas, c’était elle … elle était la… devant moi … enfin … Grim …
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:36

[modifier] < Chronique de Grimila & Brams >
[modifier] ~°Chapitre XIII : Une nouvelle vie, une nouvelle chance°~

[Brams]
près un long silence, nos regards plongés l’un dans l’autre, nous nous somme enlacer, sans plus de palabre, une étreinte que j’avais presque oublier… dans ses bras le temps semblais s’arrêté, nous avons parler de longues heures l'un contre l’autre, c’est avec un grand bonheur qu’elle accepta de rentrée avec moi au village.


Durant le voyage pour rentré chez nous, je lui ai demandé ce qui l’avais retenu si loin de moi et pourquoi si longtemps. Voyant un visage attristé, je lui ai dit qu’elle pouvait se confié dés qu'elle se sentirais prête… mais vite j’oublié ses années de recherche… Le temps avais passé, un bonheur indéfinissable remplissais ma vie en cette instant … ma moitié m’était revenu… Une fois rentré nous vivions heureux, dans notre petite maison au village. L’année qui suivie nos retrouvailles fut magnifique et insouciante.


Nous nous sommes marié quelques mois après notre retour, ne nous quittant plus c’était si évident… mais nous devions un peut plus tard faire face à un changement de poids… Grim était enceinte et heureuse de cette nouvelle. Elle m’appris ce jour la les raisons de sa disparition durant cette si longue période, elle était enceinte mais n’était pas prête pour ça…et s’était enfuis par peur, sans soin ni attention… elle perdit notre enfant...mort née… Je fus père et je ne le savais même pas, je ne lui en veux pas… J'ai compris a ce moment la les raison pour lesquelles elle ne m'en avais pas parler avant ... Ca a du être douloureux pour elle autant que pour moi lorsque j’ai appris cette nouvelle, mais c’est du passé, une nouvelle chance s’offre à nous…Moi … père, ça me fait sourire en y pensant, plusieurs matin, je me réveille en espérant ne pas avoir rêvé cette année…


- *la caresse tendrement pour la réveiller doucement et attend qu'elle ouvres les yeux, sa tête contre la sienne, murmure* Ma chérie ?

- *ouvre les yeux en souriant* Bonjour mon amour

- Dit moi ... suis je en train de rêvé ?

- De rêver? Non mon trésor tu ne dort pas

- *sourit tendrement avant de l'embrasser* Certaines nuits j'ai peur que tu disparaisse à nouveau...*la regarde profondément dans les yeux*

- *lui sourit tendrement* Non mon amour je ne disparaîtrais plus jamais. Mon bonheur est avec toi et lui *sourit en caressant son ventre*

- *caresse aussi son ventre* Tu pense que ce sera un garçon ou une fille ?

- Humm *sourit regardant son ventre* Je ne sais pas, qu'aimerais tu avoir, as tu une préférence?

- Un petit garçon à entraîner ... Ca pourrais être amusant *rit*

- A entraîner ? *dans un ton mécontente*

- Et bien ... *ennuyer* Ca t'embête ?

- La guerre est loin à présent.. je n'en vois pas l'utilité.

- Tu aimerais avoir un enfant incapable de ce défendre ?

- *détourne son regard* Il n'est pas encore né que l'on parle de cela *déçu* Et puis cet enfant peut êtres une fille aussi...

- *l'embrasse* De toute façon... je serais toujours la pour vous protéger...

- Il n'auras aucun besoin de savoir se défendre si je suis toujours la *lui fait un clin d’œil*

- *sourit rassurer*mon amour? A tu pensais à un prénom?

- Oui mais ... Je n'arrive pas à en trouvé un qui me convienne *se gratte la tête sur le lit*

- *sourit* moi j'avais pensais a Brasmila si c'étais une fille *pensive*

- Tu pense que ce sera une fille ? *sourit, amusé*

- Non j'aimerais t'offrir un fils *sourit*

- Ne crois pas qu'une fille me gênerais *sourit avant de l'embrasser* de toute façon... si c'est une fille ... nous pourrons toujours avoir un fils plus tard *sourit* nous avons le temps ...

- *sourit et l'embrasse tendrement* Oui tu as raison mon amour.

- Maintenant ... nous avons tout le temps ...

[Brams]

Je m'imaginais déjà dans mon rôle de père, serrant mon enfant dans mes bras, l'emmenant faire des balades en foret, chassant avec lui et... L'entraînant au combat en cachette de sa mère… J'était impatient.


Plusieurs mois passèrent et dés que les nains eurent fini leur oeuvres nous décidâmes d’emménager dans Goddard, une des nouvelles villes du Nord, plus grande et plus fréquenté que le village. Urukai a eu la gentillesse de me donner une des quatre grande maison du centre, pour service rendu a-t-il dit … ca me fait sourire… tan de combat vecu … j’ai de la chance d’être encore en vie… Quand je pense à ceux que j’ai connu en arrivant ici … Si peut sont encore en vie…Nous ne sommes plus que trois… les autres … tous morts ou disparu… Seul mon maître, Sorathal,Urukai et moi restons … nous sommes de vrais vétéran maintenant, le noyaux dur de la horde, je repense a Jewal de temp en temp… j’éspére qu’il repose en paix…


Goddard est une grande ville et l’action qui s’y passe compensera le manque de combat car il faut le dire… la paix s’étant installé, à par quelque bagarre parsi parla il n’y a plus de conflit et je n’ai pas envie de rouiller, on ne sait jamais et puis … je vais avoir un enfant à entraîner, cela va demandé une grande forme s’il a autant la bougeotte que sa mère… Et puis peut être que nous pourrions nous en occupé ensemble, ça risque d’être amusant. Je suis si heureux que nos chemins se sois lié …

[Grimila]

Voila nous y somme c’est le grand jours. Entendre mes cris lui donne des frissons dans le dos… je vois que ça lui fait mal au cœur de me voir souffrir ainsi et qu’il a sûrement peur pour moi… ça main est moite, il ne doit certainement plus la sentir tellement que je la lui serre sous la douleur mes contractions… La douleur s’intensifie… Elle est presque a l’insupportable. Mes yeux coule tout seul. C’est a lors que je me mis a pousser des hurlement de douleur et que mon bien aimé Brams sursauta et s’affola. Ce n’était pas comme ça la première fois… non pas comme ça… L’inquiétude s’installa sur moi… et si je le perdait aussi ? Non pas encore… non je ne le supporterais pas ! Les douleurs devenaient de plus en plus violentes. Je vis la voisine arriver, demandant à Brams d’apporter de l’eau, beaucoup d’eau et des linges propre. Les trait sur son visage ne m’inspirais pas confiance, je savais qu’il se passer quelque chose… j’avais si peur… pourquoi ne disait elle rien ? Brams revient très inquiet, avec l’eau et le linge. Il me reprend la mais et me dis de ne pas m’inquiéter. Elle s’est mise a crier :


- Par le siège! par le siège! , Grimila pousser ! Pousser!

je senti une partis de mon corps se déchirer. Mon bien aimé prés de l’évanouissement.

- Encore pousser ! Pousser bon sang !


Je pris mes dernières forces et poussa jusqu’a épuisement. A mon réveil mon amour était là, prés de moi me cajolant et me pressentant notre enfant. Une magnifique fille. Prise par l’émotion je suis tomber en sanglots, Brams était si heureux. J’aurais aimé lui offrir un fils mais je ne regrette rien, il était comblé ainsi. Le nom de notre fille ? Brasmila. Je trouve que se prénom lui va a merveille…

[Brams]

Après la naissance de notre enfant, nous devions trouvé une activité fixe, histoire de lui apporter une petite stabilité, des parents qui courent le pays … ce n’est pas très bon pour le développement de notre fille, alors nous nous sommes installé pour travailler dans une petite forge ou je met en pratique l’enseignement que j’ai reçu de certain de mes amis nains comme Minimo et Grim est une très bonne vendeuse, c’est une activité amusante connaissant notre passer guerrier… comme quoi, tout peut arrivé.

[Grimila]

Quelque mois plus tard notre petite chérie faisait sa première dent. Nous étions très heureux surtout quand elle prononça son premier mot.


- Gousi gousiiiiii

- paaa...

- Pa ? Dis Papa… PAPA, essaye ma chérie

- Paa... *elle souria* Paa ?

- Dis Papa, papa

- Papaaa

-*fous de joie* Grim elle a dit papa ! Elle a dis papa !

Grimila s’approcha en souriant et pris la petite dans c’est bras.

- Papa ? Redit le à ta maman.

- Papa papaaa

- Oh ! elle sait dire papa ! Essaye de dire maman

- Papaaa papaaaaa

- Non maman, pas papa…

- papaaa papaaaa

- Ce n’est rien ma chéri, elle te le dira bientôt *l'embrasse tendrement pour la consoler*

- Oui tu as raison *sur un ton déçus* ce n’est pas grave … on à le temps *sourit*

[Grimila]

Quelques semaines plus tard Brasmila fit ses premiers pas nous étions si heureux, elle grandissait si vite. Le temps était si paisible nous fessions beaucoup de promenade tout les trois. J’avait appris à aimer les fleurs et je nous avais fais un ravissant petit jardin. Quand à Brams même avec son travail de forgeron, il s’occupé bien de la petite, il est même en train de lui construire une balançoire. Je suis heureuse… elle a enfin dit maman en avancant vers moi avec ses petite jambes, j’en ai pleuré de joie, ce moment restera gravé dans ma mémoire toute ma vie…

[Brams]

Le temps passa, jours après jours, mois après mois, années après années… Nôtre bonheur était complet, notre fille a 9 ans maintenant, ca fait un moment deja qu’elle pose des questions sur notre passé et nous lui expliquons tout, lui cacher notre passé guerrier ne sers à rien, j’ai juste évité le sujet de ma période … de trouble dirons nous. Quand j’en ai parlé à Grim elle fut choqué alors si je lui en parle je vais attendre un peut … pas la peine de la troublé avec des choses du passé… Grim ne veut pas mais je suis obliger de l’entrainer un peut … c’est dans son sang, elle m’a deja vu me batre contre des monstres à la sortie de la ville… elle veut faire pareil… elle le reclame… qu’est ce que j’y peut … Si Grim l’aprend je sens que je vais passer un sale quart d’heure… elle serais capable de sortir ses griffes, il faut que nous soyons discret, je tien à mon pauvre dos… Enfin je lui aprend juste les bases, qu’elle puisse se défendre à l’école, je ne veut pas qu’elle devienne soldat … de toute facon, les orcs non plus besoin de soldat, pourvu que ca dure.


Les jours de nostalgie je vais voir mes vieux amis, quelques drows ou des veilles connaissances orcs comme mon maître, qui s’ennuyer ferme sans combat… c’est vrais que j’avais du mal à imaginé le grand Sorathal faire autre chose … Pour ma part, ce calme m’apaisais… je vivais avec la femme que j’aime et je regardé ma fille grandir dans un monde en paix… que demander de plus… Quand on y pense… il y a dix ans … qui aurait pu prédire qu’il y aurais la paix ?
[modifier] ~°Chapitre XIV : La fin d'une vie°~
spoir d'enfant, réve désuet... la paix ne pouvais rester indefiniment ... un jour que je travailler dans ma forge, j'ai eu la visite d'une amie, Olorae, elle m'apprend que suckolem, un orc qui a était elu comme ambassadeur de notre race avais eu un comportement etrange voir inquietant lors de leur précédente reunion ... Elle m'aprend aussi que la voix d'un dieux c'est fait entendre ... cette voix a préché le chaos et disais qu'elle avais deja 5 personnes travaillant pour elle en place... même les dieux son stupide alors, que puije faire contre ca du haut de ma petite position ...


Apres son départ je ne pu me resoudre a travailler ... j'était assis sur mon etabli pensif quand un autre ami arriva, Urukai. Je lui expliquer le cas Suckolem et il m'aprens qu'il a monter une faction d'orc appeler L'armée su chaos, ca ne laisser rien présager de bon ... mais c'est la que la discution pris une tournure que ma deplu ... Urukai pensait que peut etre il faudrais ce servir de cette situation pour... reprendre ce qui était autrefois a nous...


Nos terres ancestrale.. tan de mort pour cette utopie... encore des réves stupides, je lui ai fait comprendre clairement que je me battrais contre tout ce qui travaillerais contre la paix... Je ne veut pas que Brasmila vive dans un monde en guerre... c'est ca réponse qui a tout déclencher...


"Ca ne présage rien de bon pour l'avenir de ta fille" * rit*


Noir de colére... le voyans se jouer de la situation je saisi le marteau de forge que j'avais à porter de main et lui mi un gros coup sur le crane pour l'assomer mais ... c'etait Urukai ... le chef des orcs... j'aurais était en tenu de combat, j'aurais peut etre pus agir comme je voulais mais la... ca ne ce passa pas comme prevu...


Choqué par le coup,il se jetta sur moi, heureusement que je fait enlever les armes dans mon etablissement ... une bagare s'en suivi pret du feu a coups de points, de tisons ... de marteau de travail ... pensant a l'avenir de ma fille en danger, je ne pu me contenir... et la rage que j'avais contenu depuis le retour de Grimila dans ma vie refis surface... ma tête se remis a chauffer mes yeux a s'obscursir... je perdis le contrôle...


Meme à mains nues mes coups était devastateur, Urukai commencer à faiblir, je le senter mais grasse a son agiliter il passa audessus de moi en un saut... fonca vers la sortie...

Il savais qu'il n'y avais pas d'echapatoire... Il pris ses griffes posé prés de l'entrée et en un coup bien placer me mis K.O enfin c'est ce qu'il croyer...


A semi inconscient, seule la rage me tenai les yeux ouvert et alors qu'il s'apretter a partir je me suis relever, et je couru vers lui, rempli de rage et de colére... le coup que j'allais porter allais le tuer... c'était le but...


Il senti le danger et avec tout ce qu'il lui rester comme energie, il me porta un coup au coeur... mais ... je n'avais que mon tablier de cuir... faible defence face à un coup d'orc qui lutte pour sa vie... mon corp fut transperser de part en part... m'écroulant sur lui, crachant du sang, deja innerte, je pensais à ma femme et à ma fille, toute mes actions défilérent devant mes yeux... ma vie...J'espére que grimila s'en sortira... je ne pourais plus la proteger désormais...Mon amour...



Reprenant mes esprits juste avant de rendre mon dernier soupir, dans les bras d'Urukai, Il m'entendit murmurer:

"Grim... pardon..."
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:41

Celen Liz
Un article de Le RP d'Oreline.
Jump to: navigation, search


Sommaire
[masquer]

* 1 Enfance
o 1.1 La vérité
* 2 Découvertes
o 2.1 Rencontre
o 2.2 Voyages (textes co-écrites avec Shaelia)

[modifier] Enfance


[modifier] La vérité


’est l’histoire d’un roi et d’une reine. Ils avaient un grand, très grand royaume, et ils étaient tous deux jeunes et beaux. On racontait, de partout dans ce royaume, qu’ils étaient le couple le plus heureux qui soit. Le roi s’appelait Galaar et la reine, Naia. Oui, ils s’aimaient très fort…Autant que Kimeor et moi !



Seliah caressa tendrement la joue de Celen qui l’écoutait, ses yeux curieux grands ouverts, comme le sont ceux de toute petite fille à qui l’on raconte une histoire.


- Peu après leur mariage, leur bonheur grandit encore lorsque Naia mit au monde un enfant. Une petite fille…Aussi petite et jolie que toi ! Ils étaient heureux de cette naissance, et pensaient que rien ne pouvait venir entacher leur bonheur. Mais ils étaient roi et reine, et comme dans toutes les histoires, il y avait un méchant qui les jalousait et les haïssait. Et il a réussi à faire partir Galaar très loin…Dans un endroit où il ne pourrait plus voir sa Naia. Alors, la reine voulut partir à sa recherche. Mais c’était trop dangereux, et elle ne pouvait pas emmener sa petite fille durant ce long et périlleux voyage. Alors, elle fut forcée de la confier à des personnes de confiance.


Celen fronça légèrement ses fins sourcils.


- Ils étaient gentils ?

- Oui, très gentils. Ils aimaient beaucoup la petite fille et s’occupèrent bien d’elle. Elle ne manqua de rien.

- Sa maman ne lui manquait pas ?

- La petite fille ne savait pas… Elle pensait que les amis de sa maman étaient ses vrais parents ! Et, comme ils n’avaient pas d’enfant, ils la considéraient comme leur propre fille.

- Est-ce que Naia a retrouvé Galaar ?

- Non, ma chérie. Naia ne l’a jamais trouvé.

- Que s’est-il passé alors ?

- Eh bien…Un jour, Naia vint chercher sa fille. Elle l’aimait de tout son cœur et ne l’avait laissée pendant tout ce temps que pour la protéger. Alors, les amis étaient très tristes.

- Ils ne pouvaient pas vivre ensemble ? Ainsi ils auraient tous été heureux…

- Non, ça n’était pas possible.

- Pourquoi ?

- Parce qu’ils étaient trop différents.


L’enfant réfléchit quelques instants, comme pour intégrer ce qui pour elle n’était pas du tout une évidence.


- Et la petite fille ?


Une ombre passa sur le visage de Seliah, mais Celen pensa que c’était l’histoire qui la rendait triste.


- La petite fille…Je ne sais pas, Celen. C’est… c’est à toi de me le dire…La fin c’est que… Naia vient te chercher demain.



[modifier] Découvertes


[modifier] Rencontre
e jour déclinait sur l’Ile aux Murmures. Vêtue d’une légère cape de voyage, Celen déambulait d’un pas décidé à travers les ruelles de la ville principale de l’île. Lorsqu’elle traversa le mur d’enceinte, elle jeta un coup d’œil en direction de la mer et s’arrêta, hésitante. Sa mère l’attendait, et le jour tombait encore vite en cette saison. Mais l’océan était si magnifique à cette heure du jour… La jeune fille haussa les épaules. Elle ne s’y éterniserait pas. Pressant le pas, elle se dirigea vers le promontoire qui s’avançait vers la mer. L’air sentait le sel, une odeur qui lui rappelait son enfance. La Tour d’Ivoire était bien loin de la mer et, même si elle adorait y étudier, son île lui manquait. Pourtant, c’est à Aden qu’elle était née. Et qu’elle aurait dû grandir. Par habitude, elle leva les yeux vers le ciel et fixa la première étoile qui venait d’apparaître dans le ciel encore clair.


Papa…


Lorsqu’elle arriva enfin en vue de l’océan, elle se sentit revigorée. Le vent léger dans ses cheveux était telle une caresse, et elle ne se lassait pas d’entendre le rire moqueur des mouettes au dessus d’elle. Tout à coup, un bruit léger la fit sursauter. Elle ne s’était pas rendue compte qu’elle n’était pas seule. Une femme était elle aussi accoudée à la balustrade, fixant l’horizon. Celen se sentit gênée.


- Pardonnez-moi. Je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un.


La femme se retourna. Elle avait l’air las et fatigué, et ne semblait pas être du coin.


- Vous sentez-vous bien, Dame ?

- Oui, ça va…


Tout à coup, quelque chose passa dans son regard. Comme si elle avait vu un fantôme. Celen sentit peser sur elle le regard de l’étrangère, ce qui la rendit très mal à l’aise.


- Comment t’appelles-tu ?


Méfiante, la jeune fille fronça légèrement les sourcils.


- Pourquoi cette question ?

- Répond-moi, Celen !


Abasourdie, Celen recula d’un pas.


- Co…comment connaissez-vous mon nom ?

- Alors c’est bien toi…


Les yeux de la femme s’emplirent de larmes, ce qui n’eut pour effet que d’accroître le trouble de Celen.


- Mais qui êtes vous ?

- Mon nom est Seliah.





[modifier] Voyages (textes co-écrites avec Shaelia)
Je veux voguer sur d’autres eaux

Accoster sur d’autres rivages

Je ne veux pas de ces barreaux

Je suis trop jeune pour être sage


Je veux dormir sous des étoiles

Différentes de celles que l’on voit ici

Montez à bord, hissez les voiles

Et partons donc avant la nuit


Je veux voir de mes propres yeux

Non à travers des tas d’ouvrages

Des aventures sous d’autres cieux

Découvrir d’autres paysages


Vous me manquerez, oiseaux chanteurs

Eaux murmurantes et air salé

C’est à vous qu’appartient mon cœur
N’ayez crainte… Je reviendrai



’est au petit matin que la jeune Celen rejoignit Seliah sur la place de Talking Island. L’air était frais, le vent doux, et la lumière naissante du matin enchantait l’atmosphère, donnant au départ du voyage une dimension profonde, que Celen adorait. Celle-ci était venue avec un sac chargé de toutes sortes d’habits, ustensiles, qui pesait bien lourd sur sa petite épaule. A la vue du sac, Seliah rit un peu, lui prit et alla le poser chez elle. Elle n’avait strictement rien sur elle, hormis ses légers habits et ses deux épées.

Suivie par une Celen toute excitée, Seliah prit la direction du port de l’Ile aux Bardes, et les deux filles embarquèrent pour la ville de Gludin, sur le continent. Le trajet en haute mer ne manqua pas de rappeler à Celen la première fois qu’elle avait pris ce navire, en compagnie de sa mère, alors qu’elle n’avait que cinq années. Celen bouillait d’impatience de savoir où elles allaient aller, mais Seliah elle-même n’en savait rien. Après une nuit de repos, à Gludin, elles partirent … Tout droit.

Seliah était totalement différente durant le voyage qu’à l’ordinaire. D’habitude joviale et toujours excitée, elle était là calme et ne parlait que peu, et son excitation laissait place à une vivacité infernale, elle semblait ne jamais fatiguer, ne jamais flancher, et Celen suivait difficilement sa seconde mère. Peu à peu, en voyant Seliah rêveuse au sommet d’une montagne, à écouter le vent, où en la voyant tout simplement dans ses voyages, Celen comprit que Seliah se retrouvait ici dans son élément, et qu’elle la percevait comme elle était vraiment. Son attitude des jours ordinaires n’était que l’expression de son besoin de bouger. Comme Seliah le disait souvent elle-même, elle n’était qu’une pelote de vent qui avait peur de s’immobiliser …





Eva, porte nous jusqu’au continent !

Sahya, que les vents nous soient favorables !

Celen se précipita à l’arrière du bateau et agita joyeusement ka main en direction de Naia.

« Prends soin de toi Maman ! Ne t’en fais pas, je serai de retour avant que tu n’aies eu le temps de t’ennuyer de moi ! »

Naia envoya un baiser à sa fille, hésitant entre l’appréhension et la joie de la voire si heureuse. Après tout, elle n’était pas seule, et ce voyage la réjouissait tant…

Enfin, l’ancre fut levée et le bateau s’éloigna lentement du quai. Lorsque sa mère ne fut plus qu’un point sur la côte au loin, Celen courut à l’avant et s’appuya contre la rambarde, oubliant presque Seliah. Elle ferma les yeux quelques instants, respirant à pleins poumons l’air frais et salé du large, puis fixa l’horizon. Dans deux heures à peine, elles accosteraient dans le port de Gludin. Où iraient-elles ensuite ? L’ignorer était mille fois plus excitant…

Celen songea à la première fois où elle était montée sur un bateau. Elle avait alors seulement cinq ans et venait de quitter Seliah. Elle partait pour une nouvelle vie. Loin d’Aden et de ceux qu’elle avait cru être ses parents. Elle pensa à la peine qu’elles avaient eu toutes les deux, aux larmes. Et toutes ces années perdues ! La Seliah actuelle était bien différente de la Seliah de ses souvenirs. La vie ne l’avait pas épargnée.

Elle songea alors à son père qu’elle n’avait jamais connu. A Tergal, qui avait fait de son mieux pour l’élever comme sa fille, tout en sachant parfaitement qu’il ne pourrait jamais remplacer Galaâr. Ni comme père, ni comme mari.

Ta mère ne m’aime pas, Celen. Son cœur est déjà pris.

Elle revoyait ses yeux emplis de tristesse, d’impuissance et de résignation à la fois, et regretta de n’avoir pas fait plus. Elle aurait dû lui dire combien elle l’aimait. Pauvre Tergal. Il méritait pourtant d’être heureux.

« Ne t’approche pas trop du bord, Celen, c’ets dangereux. Tu pourrais tomber, ou une vague t’emporter. »

Machinalement, la jeune fille se retourna l’air indigné.

« Maman, j’ai quinze ans, je… »

Mais ce n’était pas sa mère qui se tenait là. C’était Seliah. Celen éclata de rire et pris les mains de la jeune femme dans les siennes.

« Merci, Seliah. Merci de vivre avec moi cette aventure. »

Elle hésita, puis se jeta dans ses bras.

Tu m’as manqué…



- Toi aussi, Celen, tu m’as manquée, t’imagines pas à quel point …J’aurais voulu revenir te voir, ces dix dernières années, mais j’en ai jamais eu le courage. Je voulais pas que tu me voies dans l’état dans lequel j’étais …

- Tu vas mieux, maintenant …

- Oui, un peu. En partie grâce à cet Endymion, qui est très agréable …Et en partie parce que je te revois un peu !, fit Seliah en souriant, sachant bien au fond d’elle que tant qu’elle ne retrouverait pas Kimeor elle ne serait pas heureuse...

- Où irons-nous après Gludin ?

- J’en sais rien, Celen.

- Tu vas me montrer de jolies choses ?

- Oui, mais je sais pas encore où elles sont … On improvisera !

- J'ai tellement hâte... Quels bons moments nous allons passer ensemble!

- Si tu t’accroches à tes petites jambes, oui !

- Pff …Je ne suis plus une gamine, je sais marcher !

- On verra si tu tiens mon rythme, ma petite chérie …

Seliah tira la langue, puis tourna le regard vers la mer, goûtant un peu au vent salé qu’elle adorait. Il était différent des autres vents, celui de la mer …Puis, au loin, elle distingua la côte, et mit Celen devant elle, l’enlaçant, et lui montra du doigt la terre au loin.

- On arrive déjà sur le continent, regarde … Tu vois ?
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:41

Chevalerie
[modifier] Chevalerie

Nom : Chevalerie

Race : Humain

Sexe : Homme

Age : 24ans

Classe : Chevalier

Proffesion :Chevalier errant

Image:Chevalerie
[modifier] Biographie

Loin vers le nord existe une île, là-bas la terre n’est faite que de roc. L’été il fait froids, les faible plantation de l’île ne parviennent pas a nourrir l’ensemble de la population. L’hiver les tempête et le froid achève la forteresse centenaire à petit feu. Cette île porte le nom de Urden, diriger par un Roi tyran, les habitants reconvertis en bandits pillent les cotes avoisinante, brûlant les villages et tuant les villageois. Cette île est le refuge du mal ! D’après les percepteur royaux…

C’est sur cette île que le père de Vérité, alors Roi d’un royaume sujet aux attaques des pirates, se battit, se Roi pourtant si peut enclin a la guerre assistait sans rien faire à la mort de nombreux villageois. Mener par le Roi, l’armer parvint a prendre la forteresse, le Roi pirate, préférant la mort a la défaite se jeta du toit de son donjon dans la mer, on ne retrouva jamais son corps. Dans son immense clémence le Roi adopta son unique fils.

La bas, il fut rebaptisé selon les coutumes locales. Et il se nomma alors Chevalerie, alors âgée de cinq ans il commença une nouvelle vie. Petit à petit la cour sembla accepter la présence de cet individu, même si elle ne l’apprécia jamais. Malgré l’amitié qui le lier a son frère, qui par le plus grand des hasards avait le même age que lui ; Chevalerie attira toujours la haine de Royale le Frère aîné de Vérité.

C’est alors que le Prince Vérité et Chevalerie s’entraînèrent à l’épée et se perfectionnèrent dans les sciences. Leur grand frère préférant les soirées de la haute noblesse aux entraînements était gros et chétif, mais c’était l’héritier.

Plus les ages avançait, plus le Roi devenait mourrant ; Royale ne dissocier plus son frère Vérité avec Chevalerie, et les traita de bâtard. Le vieux Roi ne disait rien, il passait ses journer dans sa chambre a dormir, et s’est ainsi que Royale commença a s’imposer sur le trône. On l’appela Majesté, et beaucoup avait oublié le vieux Roi, sauf quelque vieillard sénile.

Et se qui devait arriver, arriva, le Roi mourut, Royale monta sur le trône et chassa ses deux frère du royaumes. Vérité et Chevalerie alors dépouiller de tous furent embauché dans un petit bateau de marchandise. L’embarcation paris vers le sud et fit escale dans un port inconnu aux deux jeunes princes déchu, un port du nom d’Heine. Les deux princes alors âgés de vingt ans utilisèrent leur économie pour acheter une maison, surplombant le port…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:42

Présentation

« On dit que l'eau se refuse à laver le sang des assassins, on prétend qu'elle effleure la peau sans vraiment la nettoyer et qu'on en sort pas moins criminel que lors du meurtre. Les sombres, excellent amis de la mort, en furent alors pour leurs comptes et usèrent de leurs arts honnis pour trouver un remède. Ils firent, non pas de honte mais bien d'hygiène, tant et tant de morts qu'ils en concluèrent, alors qu'ils avaient sacrifié plus de soeurs et de frères qu'ils n'en avaient, que seul l'oubli nettoyait du sang. Comme l'oubli est une denrée précieuse, le sang devint noire sur la peau des sombres et le nom de ce peuple devint bientôt frère de celui d'assassin. »

Proverbe d'Oren

Nom : Dalhar

Race : Sombre

Metier : Danseur de lames

Sexe : Mâle

Age : Jeune adulte

Religion : Shilen

Alignement : Chaotique lunaire

Guilde : Les Fils de Shilen
[modifier] Des contes d'une mort annoncée
[modifier] Bon baiser des marais

Présent:

« Et frère ! Frère ? Serais tu mort ? » Ce n'était pas de la compassion qui animait cette phrase. Ce n'était que l'appât d'un gain facile pour un sombre trouvant au pied du lac un autre aux allures d'endormi. Le sombre se pencha pour capter un souffle de vie sur le corps de son frère lorsqu'une des mains du cadavre, qui n'en était plus, vint lui prendre la gorge.

« On dit que lorsque l'on écoute les plaintes de la pluie, on peut entendre le gémissement des Loreleïs ! On dit qu'elles cessent alors d'en vouloir à ton coeur et qu'elles te prennent en pitié ! » la voix n'est pas celle d'un mort mais celle d'un comdamné, Un de ceux dont le décès est proche et s'il ne sait pas quand la mort viendra, du moins connait il sa toilette. Son regard s'alourdit et les souvenirs reviennent.

Retour au passé:

« Mâle je vais t'ouvrir d'un second sourire et t'embrasser sur ces nouvelles lèvres afin de prendre ta vie ». Nous ne sommes plus maintenant mais avant, ce n'est plus une voix mâle mais celle d'une jeune fille vêtue d'acier et de givre. « Ne préfères tu pas dire: Chlaf tu es mort? » la voix qui répond est celle de notre condamné mais plus jeune. Il n'en mène pas large face à une dague et une femme en devenir (On dit que Shilen ne s'interesse pas aux détails de l'âge pour donner ses bienfaits) armé qu'il est d'une canne à pêche et d'un hameçon.

« Le dire avec fierté s'est en partie le travail achevé ! Et sans victime c'est de ma peau que le fouet goûtera ! » « Et crois tu que le fouet reconnaisse en un mâle pêcheur un adversaire de choix ? Ne crois tu pas qu'il croira que tu te ries de lui ? »

L'étreinte se dessert et le ton de la jeune fille s'orage de reproches et de mots plus simples « T'es pas chiant comme victime ! Je me tape tout le marécage à la recherche d'un déchêt (Un elfe en argot juvénile) ou d'un humain à égorger, j'en trouve pas ! Même pas une naine à tuer pour la forme. Je me dis chic un noireaud (Pour les non initiés le noireaud est le sombre qu'on va sacrifier car il est désigné comme victime volontaire) et paf... Il faut que tu sois pêcheur... T'as pas honte d'un métier si bête? »

Le jeune mâle la regarde surpris et rougissant « C'est pas que je sois pêcheur uniquement hein ! C'est qu'il faut être patient quand on veut égorger des gens et que mon maître me dit que la pêche est un bon moyen » la rougeur devient carmine devant le mépris de la jeune fille « Et puis j'aurais mes épées et je m'entrainerais que je suis sur que je ferais une bonne victime ! »

« C'est vrai ? Je veux dire, tu ferais ça pour moi ? » la jeune fille qui s'appelle Liru affiche un grand sourire de conquérant « La prochaine fois tu te bats et je t'égorge ? » Elle en vient même à taper des mains. « Euh.. Ben promis.. C'est grave si je te tues ? » « T'a pas le droit je suis une fille » et elle tire la langue « Oh ben ça va pas être facile alors » et le temps qu'il finisse ces mots et son apprentie égorgeuse est partie « Je m'appelle Dalhar au cas ou ça t'interesse un jour ! » Et de les crier, les souvenirs se dérobent pour rappeler le présent.

Pour en revenir au présent:

Sa main écrase la glotte de son adversaire sombre pendant que celui-ci geint « Je ne savais pas mon frère... Je suis dé... Je ne voulais rien te dérober» la voix se perd dans un gargouillis de sang et le corps s'éffondre. « Je n'ai jamais été doué pour faire de jolies lèvre Liru... Encore un que je n'ai pas réussi... Pardonne moi... Même sur toi je n'ai pas pu...». Dalhar a grandit depuis cette première rencontre. Il n'est plus pêcheur depuis longtemps et danse avec ses lames comme avec des femmes mais toujours il recherche les Loreleis...

« Et ce n'est pas dans ce lac que je trouverais ma réponse » finira cette brève histoire.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:44

Le fils renié
Il était une fois, dans une contrée lointaine, un puissant seigneur qui se battait sans cesse pour défendre son royaume de l’invasion des Orcs et des Gobelins. Au bout d’une cinquantaine d’années, il réussit à repousser l’ennemi hors de ses frontières, mais, le comte Speedrynn commençait à se faire vieux. Sa mort profiterait bien à l’ennemi qui pourrait réduire à néant tous ses efforts. Fort heureusement, il attendait la venue au monde de son futur héritier. Au fond de lui, il espérait profondément avoir un fils pour qu’il puisse maintenir la paix au sein du royaume et qu’il puisse avoir la force d’aller combattre s’il le fallait pour cela.

Grande fût la joie du seigneur quand il apprit la naissance de son enfant, qui de plus est un fils. Mais la mère du jeune nourrisson mourut suite à cela. Après avoir été le plus heureux des hommes, le comte devint l’homme le plus triste de la Terre. Le cœur meurtri, il renia son fils, le tenant pour responsable de la mort de son épouse. Pour l’éloigner le plus possible de lui, il invita un de ses cousins qui vivait hors de son royaume pour qu’il le prenne en charge. Son nouveau père dut prêter serment de ne divulguer à personne les origines de cet enfant. C’est sur une petite île nommée Talking Island qu’il fut élevé dans une petite ferme, seul avec son nouveau père. Il fut baptisé Darkhen car il croyait au contraire de son père légitime, qu’il était l’ennemi des Ténèbres. Les années passèrent et Darkhen devint un bel et jeune homme, il acquis aussi une force considérable avec les travaux qu’il faisait à la ferme. Ressemblant de plus en plus à son vrai père, son beau-père décida de lui avouer toute la vérité sur son histoire malgré le serment qu’il avait fait : ce fut le choque, on ne revit plus le jeune Darkhen pendant 1 mois comme s’il avait disparut.



[modifier] Retour au royaume
Après les révélations de son oncle, il décida de rencontrer son père. Pour cela, il traversa de nombreux royaumes, bravant tous les dangers. L’arrivée sur sa Terre natale ne fut pas aussi bien qu’il l’espérait, son père lui refusa d’entrée dans sa cité sous prétexte que ce jeune homme n’était qu’un vulgaire vagabond. Vexé, il repris la route à contre cœur pour rentrer chez lui. A son retour, son oncle avait disparu sans laisser de traces. Bien décidé à le retrouver, il questionna tout l’entourage, organisa des battues, posa des avis de recherche dans tous les villages … mais ses efforts ne furent pas récompensés. Au bout de plusieurs mois, il abandonna les recherches et dans le désespoir le plus total, il retourna au château de son père.

C’est la qu’il appris que son oncle avait été condamne à mort pour « Haute Trahison », plein de haine, il voulut assassiner son père qui l’avait abandonné lâchement et qui lui avait enlevé la seule personne qui l’avait réellement aimé en ce monde. Son âme devint alors plus sombre que les ténèbres, on dit même avoir vu les flammes des enfers dans la prunelle de ses yeux tellement sa rage était grande. A lui tout seul, il tua la moitié des gardes de la cité mais la fatigue ne lui permis pas d’atteindre son père face à la centaine de gardes qu’il restait. Arrêté, il fut enfermé en attendant son procès.

Contrairement à toute attente, le jugement de Darkhen pour avoir tué de nombreux soldats ainsi que d’avoir tenté de porté atteinte à la vie du comte fut clément. Le verdict fut : « Le fils du comte : Darkhen, sous l’influence de la folie est déclaré coupable des crimes dont il est accusé. Cependant, notre seigneur admet qu’ils ont été perpétrés par sa faute. Messire Speedrynn, le tribunal n’ayant aucune raison valable de vous emprisonner, vous êtes donc libre. Que Tyr guide vos pas ! »
[modifier] Adieux

Après son jugement, Darkhen compris qu’il devait pardonner son père pour tout ce qu’il avait fait comme il l’a fait pour lui lors du procès. Mais après tous ces morts et les remous qu’avaient apporte le fils du seigneur Speedrynn, cela réveilla le passe, et bientôt les Orcs ainsi que les Gobelins se remirent en marche sur les terres du royaume, une armée plus grande et plus puissante que jamais, et on dit qui plu est qu’il y aurait d’autres alliers à eux dans leurs rangs…

« Mon fils, j’ai besoins de toi plus que jamais, retourne d’où tu viens, deviens l’homme le plus fort. Deviens la Lumière. Et comme dit la prophétie, partout où tu iras avec tes alliers, la paix et la joie reviendront ! » « Je le ferai père, pour vous, pour moi, pour le peuple ! Adieu ! » « Adieu mon fils ! »

Avant son départ, son père lui donna son épée qui possédait une légèreté et une puissance incomparable aux autres : Elventhril. Sur ces dernières paroles, il disparut dans la nuit sur son cheval blanc, laissant son père à la merci de l’ennemi.

Après avoir récupéré le peu d’affaires qu’il avait à la ferme, il partit à l’Académie pour apprendre tout ce qu’il faut pour devenir un chevalier accompli. Au bout de 2 années d’effort intense, il eut l’immense privilège d’entrer dans le cercle très fermé de l’Ordre des Templiers. C’est parmi de sages moines et de puissants paladins que notre paladin évolua jusqu’au jour où il jugea qu’il était enfin temps qu’il aille employer ces dons pour aider les personnes nécessiteuses qu’il rencontrerait sur son chemin, en attendant de trouver de nobles âmes pour l’aider dans sa quête.



[modifier] Le destin de Paladin
[modifier] Rencontre de Druyah
C’est en chassant le mal dans Elven Ruins qu’il fit une bien étrange rencontre. Alors qu’il se battait courageusement face à une horde de morts-vivants répugnants, une lumière éblouissante jaillie d’une pièce voisine de la bibliothèque que Darkhen souhaitait sanctifier, pour que le peu de documents qu’il restait sur le passé Orélien soient sauvés. C’était une magnifique Drow, sa puissance mystique n’avait d’égal que sa beauté. Une aura mystérieuse l’entourait, cependant une chose plus puissante que l’attirance physique semblait agir … Une fois face à elle, il se prosterna de la manière la plus respectable possible :

« Salutation ravissante Drow ! » Elle répliqua de la façon la plus naturelle : « Bonjour à vous noble chevalier ! » Et avec sa voie la plus douce elle lui dit : « Je vous en prie, relevez-vous. Je me nomme Druyah Speedrynn, et je sers Tyr en tant que Grande Prêtresse. » Surpris par cette révélation, Darkhen devint rouge, si rouge que l’on aurait put le croire devenu fou. « C’est impossible, je m’appel Darkhen et pour votre gouverne, je suis le seul et unique enfant du Comte Speedrynn. » Toujours aussi calme, les paroles de sagesse semblaient sortir si aisément de sa bouche, sur ses lèvres on pouvait apercevoir sa sincérité la plus pure. « Je savais que je vous trouverais ici, chaque soir depuis votre rencontre avec notre père, il prie pour que nous nous retrouvons. Tyr a décidé qu’il était juste que nous nous retrouvions en ces lieux. » « Vous seriez donc ma demi-sœur ?!? Une Drow... » L’inquiétude due à la vérité se lisait sur son visage, mais tout n’avait pas encore été dit. « Avant que notre père connaisse votre mère, il se maria en secret à une modeste Drow : ma mère, de peur de la réaction du peuple, il préféra la quitter officiellement mais il ne savait alors pas qu’il l’avait mise enceinte. J’ai donc vécu dans l’ombre d’un roi durant toutes ces années sans pouvoir jamais le rencontrer ! » Une larme coula alors le long de son doux visage, avec sa main Darkhen la retira. « Ma sœur, ensemble nous retournerons aider notre père et rien ni personne ne pourra nous en empêcher ! »

Sur ces paroles, ils se serrèrent très fort tout en pleurant de joie et partir ensemble à la s recherche d’une guilde qui pourrait les aider dans leur quête. Soudain, un fantôme apparu de nul part profitant de notre inattention se jette sur nous, mais heureusement le fourreau de Darkhen se trouvait non loin d’eux. Mais alors qu’il essayait d’atteindre le plus rapidement possible, Druyah eu l’idée de figer temporairement le monstre pour que son frère gagne du temps. Profitant de la mauvaise posture de leur ennemi, il pris un maximum d’élan pour le frapper et le détruire en un coup. Mais l’irréalisable se produit … l’épée au contact de la glace se brisa en mille morceaux. Prit de paniques, ils fuirent avec le maximum de parchemins sacrés, ainsi qu’avec les restes d’Elventhril.


[modifier] Sa nouvelle demeure : Oméga
Ne connaissant meilleur forgeron que celui de Gludio, Darkhen se mit en chemin au plus vite car sa foi était sa seule arme, et elle ne pourrait pas le défendre indéfiniment. Druyah lui proposa de l’escorter, mais rien que d’imaginer sa sœur qu’il vient à peine de rencontrer, et qui le sauverait deux fois déjà lui était insupportable. Il lui expliqua donc qu’il n’en aurait que pour une semaine, et qu’à deux ils mettraient beaucoup plus de temps. Ils restèrent de longues heures à parler de leur vie et de leurs exploits passés, ainsi qu’à se contempler. Dire au revoir était trop dur, la peur de se perdre une seconde fois était trop forte. Le cœur serré, ils se serrèrent une dernière fois dans les bras, puis il partit pour son long périple.

Arrivé à Gludio, il se renseigna pour savoir où se trouvait cette fameuse forge, il apprit alors que son forgeron était parti pour la grande citée d’Aden. Déçu par cette nouvelle, il décida alors de s’acheter une nouvelle épée le temps de reforger Elventhril. Et c’est en sortant de chez l’armurier qu’un nouveau miracle se produit : une magnifique elfe se tenait devant lui, bizarrement il ne pouvait plus bouger, il était figé par la grande sagesse qu’elle semblait dégager. Complètement perdu par les évènements, Darkhen commençait à douter de sa force car ça faisait déjà la deuxième fois qu’il perdait tous ses moyens. Ce ravissant visage elfique ne prêtait pourtant aucune importance à lui, elle semblait regarder l’horizon fixement, comme si elle attendait un événement.

C’est à partir du moment où une humaine franchie les portes de Gludio qu’elle changea d’attitude, lorsque l’humaine fut assez proche de lui, il vit alors qu'il s’agissait en fait d’une puissante magicienne. Peu à peu la mobilité de Darkhen revenait, la discussion pouvait alors commencer. La ravissante elfe se prénommait en fait Merissa, c’était la guide spirituelle du Clan Oméga, qui est le seul clan anti-guerre clanique Orélien. Ensuite, j’ai appris que la magicienne, pas moins belle se prénommait quant à elle Youmie, et faisait-elle aussi partie de ce clan. Darkhen voyant que ses idées étaient partagées par ce clan, il leur proposa donc son épée. Après murs réflexions, elles acceptèrent sa proposition. Il prêta donc serment de Loyauté et de Fidélité au grand Alpha. Youmie offrit alors généreusement un présent de bienvenue, puis elles disparurent aussi mystérieusement qu’elles étaient apparues. Darkhen repartit alors rejoindre sa sœur du plus vite qu’il put pour lui annoncer la nouvelle.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:44

[modifier] Le journal de Druyah

C’est au village de Dion que le rendez-vous était fixé, mais à son arrivée. Oh surprise ! Sa sœur n’était pas là… Ce n’était pas dans ses habitudes mais elle savait se défendre donc pas de quoi s’inquiéter. Mais au bout de 2 jours, il commença à s’imaginer le pire. Pendant sa troisième nuit au village, un mystérieux rôdeur sous une large cape noire était passé assez furtivement : il avait tout d’un drow et sûrement maléfique, mais cela ne faisait pas de lui un criminel, Darkhen ne l’importuna donc pas, il se contenta juste de garder l’œil sur lui, mais la fatigue commençait à se sentir : 2 jours déjà qu’il ne dormait plus, il finit donc par s’assoupir.

Le lendemain matin, il se leva en sursaut … comme s’il s’était passé quelque chose de grave, et bizarrement un journal abîmé et tâché de sang était arrivé sous le coude de notre héros durant son sommeil. Il pensa tout de suite au mystérieux drow … il interrogea alors tout Dion pour savoir où il était allé, et à sa plus grande surprise, personne ne l’avais aperçu. Dans le brouillard le plus complet, il décida de se lancer dans la lecture du journal.

A la dernière page on peut trouver cet extrait : 1er paragraphe : « Mon frère parti pour Gludio, je me dirige donc vers Dion. Ce village sera plus prospère et donc nous aurons moins de problèmes, je suis épuisé par les combats il me faut un peu de repos. »

2ème paragraphe : « Je marche encore et encore … les jours défilent et rien ne se passe. Pour vu que mon frère ne tard pas. Je suis seule et fatiguée. »

3ème paragraphe : « La nuit tombe, je ne vais pas tarder à faire un feu et à monter le camp. Minuit, un rôdeur s’approche : il me prévient d’un danger imminent, et il semblerait que la source soit un marais maudit à l’ouest de la petite citée. Malgré ses dires, je sentais qu’il voulait que j’y aille. Il disparu aussi spectaculairement qu’il n’était apparu : discret, agile et rapide tel un assassin. Je dois maintenant dormir ; demain sera sans doute une journée éprouvante ! »

4ème paragraphe : « Ma curiosité est trop grande et ce rôdeur m’obsède tellement … je dois éclaircir cette affaire ! Je me dirige donc vers ce fameux marais, plus je m’approche de lui plus le brouillard est épais : je sens le mal ici ! J’ai comme l’impression qu … »

La phrase est coupée brusquement, ce drow, ce sang, ce retard de Druyah, … La nervosité, le stress, la peur envahissent alors le jeune paladin. Mais pas le temps désespérer, au lieu de réfléchir il faut agir ; Il prend son sac, son équipement et Elventhril et s’en va en courant. Une course contre la montre commence alors...



[modifier] Les sentiers de la perdition
[modifier] La Terre des Exécutions
L’air est lourd, pourtant un brouillard très humide enveloppe ce marais. Il fait sombre et l’on peut entendre toutes sortes de hurlements. La légende parle d’un lieu où nombre de personnes ont souffert, on entend encore les victimes, mortes depuis fort longtemps, se lamenter et crier de toutes leurs tripes leur agonie éternelle. Mais pas de place pour le doute, décider à retrouver sa sœur, il bravera toutes ses craintes !


Malgré l’atmosphère où il est difficile d’apercevoir quoi que ce soit à 1 mètre, la silhouette d’une immense charpente est visible à plusieurs kilomètres à la ronde ! Au bout de quelques heures, il trouve son chemin et se rapproche du centre de ce maudit lieu. Une dizaine de guillotines semblent former un cercle autour de la colline sur laquelle se situe l’immense bâtiment. L’odeur pestilentielle des cadavres rend l’ambiance encore plus glauque, encore plus inquiétant, une rivière de sang semble prendre source du haut de cette colline.
« Je ne veux pas le croire … NNNNNNOOOOOONNNNNN ! Pas toi Druyah ! Ce n'est pas possible … »

La belle et jeune drow n’était plus qu’un cadavre déchiré violemment, les vêtements en lambeau, complètement dévisagé et le corps entièrement démembré ; les pieds dans le sang, et totalement anéanti, il tombe d’un coup sur les genoux puis s’effondre dans cette mare de sang. Le cœur déchiré entre la tristesse et la haine, il relève cependant vers le ciel espérant voir les dieux si cruel. Au lieu de ça, il vit le drow en haut de cette gigantesque bâtisse qui était ni plus ni moins qu’une guillotine géante. Alors qu’il s’apprête à escalader à bout de force cette immense structure, le rôdeur prend peur de cette aura de haine qui entoure le jeune paladin, et c’est dans une explosion magique qu’il se vaporise.


[modifier] La disparition d'Oméga

Seul au milieu de cette boucherie, le cœur meurtri et l’âme noircie … avec une seule piste maintenant disparue, il tombe à terre et s’évanouie. Au bout d’une semaine, le clan s’inquiéta du voyage sans retour de Darkhen … Youmie sur les traces de notre héros entra dans Exécution apportant la chaleur du cœur et la lumière du soleil pour percer les ténèbres. C’est elle qui le réveillera de son cauchemar, malgré les évènements la vie continue pour eux contrairement à Druyah, bien décider à retrouver le responsable, ils reprennent exténués la route…

C’est vers Gludio que me menait Youmie, là où tout avait commencé… et donc là où tout devait finir. Cette fatalité, j’ai commencé à y croire. C’est arrivé là-bas que l’on m’apprit de bien mauvaises nouvelles, Merissa avait disparu avec une nouvelle « recrue Drow ». Youmie m’avait donc caché ça pendant tout un voyage et nous avons perdu un temps précieux en faisant en tel chemin juste pour que je ne sois pas assommé par tant de malheurs.
C’est marrant comme le temps paraît beaucoup plus long lorsque l’on est seul … Tellement d’énergie dans ses recherches, pour rien, aucune trace, aucune rumeur. Le doute semait les esprits des derniers membres et la peur d’une attaque dans notre mauvaise posture fît fuir les derniers. Je n’ai pourtant pas désespéré, sûrement la haine qui était en moi qui me poussait à agir. Et si ce drow avec Merissa était celui que je recherchais aussi ? Mes recherches me menèrent à la grande cité d’Oren, ses immenses remparts semblaient bien renfermer de terribles secrets. Je ne crois pas au hasard, et c’est pourtant bien en ce lieu que j’ai retrouvé : MERISSA. Après tant de temps, elle avait fort bien changé, elle paraissait si forte et si fatiguée à la fois. J’étais si heureux de la retrouver et si malheureux en même temps. D’autant plus que le mystère planait encore sur ce Drow car j’appris qu’elle n’avait pas de souvenirs clairs. Ma haine et ma joie ne semblaient pas faire bon ménage en moi, j’ai eu un pincement au cœur : J’ai fui, tout comme la vérité et le bonheur m’évitent depuis si longtemps. Mon père, ma sœur, ma famille ‘adoptive’ maintenant. Je fais la promesse de la servir, et ne jamais me laisser embarquer par la haine en devenant paladin. S’en était trop, encaisser toujours plus était inhumain,. Je sentais au fond de moi que si je continuais, j’allais craquer, et les répercussions seraient terribles. Je rêvais chaque nuit de la mort de ma sœur et de bains de sang dans lequel j’avais les pieds, les piles de cadavres des victimes de ma vengeance. J’avais donc 2 issus, m’exiler loin de toute civilisation pour être sure de ne pas tuer ou sombrer dans le mal que j’avais toujours chassé et qui pourtant était en moi depuis toujours : j’ai tué ma mère … enfin, c’est ce que nous croyons tous.
[modifier] Le Fléau
L’arrivé du Fléau fut une opportunité pour moi. Voyant comment cette « civilisation » évoluait, celle que j’avais toujours défendue. Je devais me mettre en route pour aller au plus loin d’elle, dans l’espoir fou qu’à mon retour un renouveau inespéré soit établi. Il est temps que je parte, ma haine s’attise et la mort se fait monnaie courante. Je voulais à contre-cœur que ce mal soit l’épuration de ce monde, qu’il punisse les ingrats et que le cycle de la vie reprenne son court juste après. Je vous laisse vous en débarrasser : moi je m’en vais au plus loin de lui et de vous !


Une lettre fût déposé au pied de l’Arbre Mère, chez les elfes :

Merissa, Je vous ai juré fidélité et de servir les causes justes. Aujourd’hui le mal me ronge, et pour ne pas trahir cette partie de moi que je veux sauver, je dois vous quitter ainsi que tout être qui soit. J’espère que le fléau sera la solution divine à tous les maux de ce monde que j’attendais depuis si longtemps, et qu’il vous épargnera. Je serai toujours à vos côtés même si vous ne me voyez. Je vous aime.

Votre serviteur à jamais, Darkhen Speedrynn




[modifier] L'envole du Phoenix

Les années se succèdent, le fléau a retiré tellement de vies qu’il n’en reste plus assez pour qu’il puisse survivre : Tel un vampire, il s’est éteint par manque de sang frais. La lumière reperce les nuages et l’achève. Mes blessures ont peu à peu disparues avec le temps, j’ai tellement été aveuglé par ma douleur que j’en ai oublié mon père, Merissa … ont-ils survécu. Seule trace de ma vie sur ces terres : une lettre, tout le monde me croit mort et pourtant je suis encore de ce monde.


Je sens la vie reprendre le dessus sur le mal tant en moi que dans les Terres d’Oreline. Vivre dans la nature profonde m’a presque fait oublier l’usage de la parole. Cela fait bien 3 ans que je n’ai pas parlé, et je crois que cette période sombre suivie du « trou noir » a fait de moi quelqu’un d’autre. Me voilà déchu, la personne que je suis devenu ne fait plus de moi le paladin que j’étais autrefois. Si je reviens à la civilisation, ça sera incognito, car le peu de personnes qui me connaissaient, et qui ont peut-être survécues me croient probablement mort. Ma vie va sûrement recommencer à zéro, peut-être une chance de me rattraper de ma première vie où je portais le mal en mon âme. Cette époque est révolue et je rêve encore que le fléau est supprimé les problèmes de ce monde laissant place à une société parfaite où l’Homme est en harmonie avec la nature. Je me laisse guider par mes rêves jusqu’à Aden en espérant les voir de mes propres yeux.

A une trentaine de kilomètres de celle-ci je peux déjà en juger par son aspect hors normes que des hommes encore plus puissants qu’autrefois y sont présents. La force rime avec perfection pensais-je, mais a tord. C’est à cheval que j’atteins la herse d’entrée, et à ma plus grande surprise des gardes « m’attendaient » là-bas. En tentant d’entrer à cheval, ils m’ont fait descendre de celui-ci par la force. L’hospitalité n’a pas évoluée à ce que je voyais, et pourtant ça ne s’arrêta pas là. A peine fais-je deux mètres que deux autres gardes m’arrêtèrent sur-le-champ pour port d’arme dans la Citée. Me voilà sans armes et incapable de payer mes amendes : Je suis condamné à rester ici jusqu’à ce que je règle cette histoire, et j’espère ne pas en avoir d’autre. Je décide donc de me faire passer pour un touriste venu visiter la capitale, même si ce n’était pas loin de la vérité. J’eus du mal à mentir pour pouvoir soutirer des informations aux passants sur « ce monde » où j’avais débarqué.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:44

J’ai pu alors constater que le Fléau n’avait rien arrangé du tout car le mal engendre le mal et les gens à qui j’avais à faire étaient belliqueux et paranoïaques. Je me demandais même si quelque chose de plus ne c’était pas produit pour que de telles choses soient entrées dans les mœurs. Ce sont les noms de Amadeo Cadmus et Zaken qui me mirent la puce à l’oreille.


Malheureusement je n’ai pas que mes connaissances à remplir, mais mon porte-monnaie aussi, je pars donc à la recherche d’un boulot.

La semaine sera longue dans cette boulangerie, payé avec des cacahuètes pour tant de travaux : c’est inhumain surtout que cet argent ne me reviendra jamais ! Exténué, à la limite du rejet de la vie : C’est le goût amer de l’injustice qui ressurgit du passé tel l’effet désagréable du sang dans la gorge. Shilenya jour bénit où le boulanger profite de son repos, jour où je paye ma dette qui n’aurait jamais du être.


Je sors de l’établissement pour aller donner l’argent au responsable de la garde en fonction. Et c’est à l’instant où je sors du bureau de celui-ci que je rencontre une jeune elfe insouciante, qui m’apprend que « cette garde » recrute et qu’elle y va de ce pas. Ne me connaissant ni personnellement ni de réputation passée, je me fais passer incognito pour un simple voyageur cherchant de l’aide. Naïve par l’âge et le manque d’expérience Leia me répond sans broncher et semble même me craindre. Me jouant de ses sentiments, je me suis amusé à lui faire peur en me faisant passer pour plus idiot que je ne le suis, elle partit donc vite au temple où devait avoir lieu la cérémonie : La ponctualité est très réclamée par l’armée personnelle de « Monsieur le Roi.

Après qu’elle m’est quittée aux marches de l’église, c’est tout un cortège de recrues qui se mit à défiler pour rejoindre le berger : Hugh Fineblade. Me demandant ce qui pouvait inciter ces braves gens à venir des 4 coins d’Oreline. Attirer autant de monde pour défendre un monarque inutile, il fallait que je voie dans quoi il en retournait. Je décide donc d’aller espionner cette « remise des médailles » ou plutôt des laisses qu’on leur attribue pour être bien docile et servir son bon maître.

L’image du chien qui veut son nonos me venait aussi à l’esprit avec la remise des équipements royaux, je pris alors conscience que j’avais été dupe tout autant qu’eux dans mon passé : « qui sommes-nous pour dicter des règles ? ». Tous ces serments d’allégeance stupides pour un homme peu différent des autres à l’exception qu’il a le pouvoir, pour je ne sais qu’elle raison.

La fatigue et l’ennui de cette cérémonie militaire se faisaient sentir, fort heureusement pour moi, un spectacle se préparait avec un ancien ami : Elhessar. Même si je ne l’avais plus vu depuis longtemps : lorsqu’il avait des ennuis, mais maintenant il est puissant et donc nul doute qu’il m’est oublié. Son caractère de bon vivant ne fût pas du goût de tous, il se fit donc arrêter par la garde avant qu’il puisse faire son final.


Ca fait du bien de retrouver des visages familiers même si se rendre compte qu’une terrible épidémie n’a rien changé en ce bas monde. Les gardes tenant le pauvre drow vont sortir de l’église, il me faut maintenant partir avant que quiconque me reconnaisse : je ne veux pas être mêler à aux molosses de ce qui aurait pu être mon guide si je n’avais pas eu la chance de changer. « Sœur, mon père, Merissa : Grand merci, vous m’avez sauvé ! ».

L’ennui, le malheur, la solitude, … tout ce que l’on ne peut envier était pourtant la majorité de son existence. Et pour éviter de s’en retourner seul désespérément dans la nature où il faut chasser pour survivre, en solo contre nombre de créatures hostiles. Non ! Cette pensée lui était insupportable. Et pourtant, depuis la disparition des oracles ainsi que de sa sœur, puis l’arrivée du Fléau puis celle du roi, l’espoir ou plutôt le peu qui résidait au fond de son âme furent anéanti. C’est en examinant les différentes perspectives, qu’il s’endormit au pied d’un arbre à Aden. Peu de temps après il était dans son plus profond sommeil, là où tout est réalisable pour le meilleur comme pour le pire.


Ca à l’air si vrai, je me réveille dans le petit bosquet d’Aden, il fait beau, les oiseaux chantent. Je décide alors de me relever après cette bonne sieste pour m’en aller vers la porte sud, et c’est avec stupeur que je vois là-bas toute une légion d’hommes. J’essaye de sortir mais les gardes de la porte m’en empêchent sous prétexte de mise en quarantaine de la citée. Je ne comprends pas, elle est encore plus resplendissante qu’avant, et ses hommes ont l’air bien en forme. C’est alors qu’un garde me bloque avec sa lance en me priant de laisser mon épée dans son fourreau, j’obéis sans discuter et on me met dans le rang.

Me voilà parti pour je ne sais où. A peine avions-nous franchi la moitié de la plaine toute en verdure fraîche, sous un doux soleil qu’en quelques pas nous passâmes sur une terre aride, désertiques. Le cri des corbeaux sur les cadavres remplaçait celui des chants mélodieux des oiseaux d’Aden et le ciel plus ténébreux que jamais crachait des éclairs par milliers. Des cadavres, partout des cadavres surtout des orcs, je comprends alors vite vers où nous allions. Les orcs après avoir réussi à marcher jusqu’à Aden en ne remportant que des victoires furent sûrement surpris par la puissance restante des hommes ou par leur technique : Peut-être ont-ils employé la ruse pour vaincre le reste de l’armée orc. Mon voisin de rang m’affirma qu’après cette déclaration de guerre le roi ne resta pas là, il proclama que la race orc devait être supprimée pour ne plus jamais prendre de risque ; Le génocide légalisé.

Je ne sais comment à la seconde d’après nous étions devant cette ville orc. Les archers tirèrent les deux premières attaquent, puis ce fût le tour de la vague des lanciers : moi. J'étais au première loge de ce désastre, une drow agressive, inconsciente se lance plein de rage sur moi. Illuminée par sa beauté je ne l’attaqua point et lorsqu’un garde l’a tua pour me sauver que je reconnus Druyah. Plein de haine, je me mis à tuer le plus de gardes possible jusqu’à ce qu’un d’entre eux m’abatte.


Un sursaut, mon nez saigne, je me réveille. Ouf ! Ce n’était qu’un cauchemar, je laisse mon cœur baisser en rythme, puis je me rendors.


Mon deuxième réveille se fera aussi à Aden, cependant se sera le bruit de pillards qui réveilleront. Je me lève vite pour courir et lui sauter à la gorge, et c’est là que je vois avec horreur qu’ils sont partout, dans chaque maison, chaque magasin : les pirates de Zaken. J’entends des cris de viol au loin, je n’en peux plus je me mets à pleurer la situation, plein de désespoir et d’impuissance. En dernier réflexe suicidaire, je pense à Druyah pour me rendre plus fort grâce à l’assombrissement de mon âme. Plus berserk que paladin, je range mon bouclier pour laisser place à une immense épée à deux mains.

Trop occuper à saccager, voler, violer et tuer, je les prends dans les dos sans scrupule et les égorge comme des chiens. J’ai bien dû en tuer une trentaine avant qu’une ne sonne l’alarme, ils étaient pas moins de 50 sur moi pour être sûre que je ne fuis pas. Après ce passage à tabac, je vois au ralenti un gourdin muni d’une pierre à l'extrémité m’arriver tout droit sur la tête, puis … trou noir.

A mon réveil, je suis dans LE palais d’Aden, avec un énorme mal de tête, presque aussi grand que ma bosse, et j’ai du sang plein l’armure extérieurement comme intérieurement. J’essaye de me relever et la je constate que … mes mains sont enchaînées avec mes pieds, eux-mêmes enchaînés à un énorme boulet. Encore mal au point, j’entrevois difficilement les détails, c’est avec le flou que j’aperçois un grand homme s’approcher de moi, mon oreille droit encore intacte, j’entends les gardes saluer leur chef. Je devinais alors qu’il s’agissait de Zaken en personne. Il avait en fait été surpris par ma folie de s’attaquer seul aux propriétaires de ces terres, et de la force, ainsi que de la hargne que j’avais en combat. Mon état après le passage à tabac le satisfaisait d’autant plus, il me proposa alors de me battre à ses côtés.

« JAMAIS ! Plutôt mourir que vous servir ! » Et je lui crache à la figure en disant ironiquement « Vous auriez dû me bâillonner ça vous aurait évité ça ! » C’est pendant que je riais de lui qu’on m’exécuta, je sens la pique s’enfoncer dans mon ventre.


Je crache du sang par la bouche comme si rêve et réalité étaient liés. Une pomme se décroche d’une des branches de l’arbre puis me tombe sur la tête : c’est le choc qui me réveilla de cette sieste, et peut-être de mon coma depuis la mort de Druyah. Les royalistes comme les anarchistes veulent le pouvoir pour la paix. Mais il ne leur suffit pas, ils veulent des morts, des guerres : pas du maintien d’une paix paisible et tranquille. Et c’est toujours le peuple qui trinque, l’un par l’enrôlement de force dans l’armée, l’autre car il sera sur le passage. Et si aider le peuple était la solution contre les tyrans de ce monde…

10 ans avant le Fléau à l’école militaire de Talking Island,

Pour mon douzième anniversaire mon oncle me fit le plus beau des cadeaux au monde : Il m’offrit mon entrée pour mes études d’arts martiaux pour devenir seigneur de guerre. Il avait dépensé les dernières économies que lui avait données mon père et dû même ajouter les siennes pour compléter car les professeurs de ses écoles sont souvent des grands guerriers, héroïques ou simples bourgeois vainqueurs de plusieurs batailles ; qui dit célèbre dis très onéreux !

Cette formation se faisait en 4 années pendant lesquels il fallait devenir qu'un avec son arme. Libre à soi de découvrir laquelle lui correspond le mieux, car elle restera jusqu'à la fin de notre vie notre unique chance de survie. Après la fuite de mon royaume natale, j'avais hérité du nom de mon oncle devenu officiellement mon père, tout ça par crainte qu'on me retrouve pour m'assassiner avant d'avoir atteint mon but ultime : monter une armée pour ré instaurer la paix. Après, il fallait de nouveau 4 années de plus pour devenir paladin car après la connaissance du combat, il fallait apprendre à maîtriser la sagesse. Celle-ci a but remettre notre vie entre les mains de la justice qu’il faudra défendre coûte que coûte jusqu’à la mort. Il se trouvait que le gérant de cette école de formation était un très bon ami de mon père dans le passé, et il me reconnut dès le premier regard à notre entretien. J'étais en première année, fils de paysan d'après mon identité, les bizutages furent durs car les fils de la bourgeoisie et de la seigneurie ne pouvaient supporter ma présence ; pas moins que celle de la gente féminine dans cette enceinte. Le gérant était devenu proche de moi après la découverte de mon identité, et la manière dont il me défendait face aux autres fût mal pris par eux. Jaloux, ils me pourrirent encore plus la vie ; Jusqu'à ce qu'un homme, devrais-je dire un champion qui était en 4ème année, vaillant, généreux et puissant apparu dans l'ombre des longs couloirs qui menaient à la salle où j'étais torturé. Il avait tout pour devenir le meilleur des paladins du royaume : il s'appelait Snake Demoni.

Il ne pouvait pas se permettre de me sauver indéfiniment, il fallait que je puisse me défendre seul. C'est pourquoi il décida de m'apprendre tout ce qu'il savait, dans la limite de mes possibilités d'apprentissage autant dire au début que des bases. Respecté de tous, il était très craint dans l'établissement et à force de traîner avec lui, je le devins aussi très vite. C'est sans aucune surprise qu'après cet apprentissage avec celui que je considérais comme mon frère que mon année se passa sans accrocs, et qu'il réussit son test final pour acquérir le titre de seigneur de guerre. Alors que j'entrais maintenant en seconde année, il passait qu'en à lui ses examens de préparation pour entrer dans l'Ordre des Templiers ce qu'il arriva sans aucune difficulté. Bien décidé à travailler dur, je le suivais : il était mon model. Pendant 3 années il m'offrit tout son savoir, tout ce qu'il apprenait pour devenir paladin. J'allais sur les traces de mon frère car avec toute l'avance que je prenais, tout était facile. Tellement qu'avec un sacré coup de pouce du gérant je sauta les deux premières années de préparation pour devenir paladin. Tout semblait aller pour le mieux jusqu'au jour où Snake appris la mort de son père. Il fût en deuil toute une année et lui qui était plus qu'un exemple pour moi devint bientôt l'opposé. Le cœur rempli de colère et de tristesse, lorsqu'il réapparut, nous fumes tous deux en dernière préparatoire.

Une seule personne sera prise pour devenir membre des Templiers car de moins en moins de gens s'engagent sur la voix de la lumière, et encore moins tiennent jusqu'à la 8ème et dernière année d'apprentissage. Mon frère sera mon rival d'orénavant car nous voulons tous deux cet unique billet pour entrer dans ce cercle très fermé pour des raisons différentes, et par des méthodes différentes voir opposées. Alors qu’il utilisait sa haine pour vaincre les autres à l’entraînement ( ce qui lui permettait d’être plus fort et dans un sens d’être sélectionné pour devenir le paladin de cette année là ), moi j’utilisais la foi tel que l’on nous l’avait instruit. Impossible de nous départager à partir de nos performances durant l’année car l’un était sans doute l’humain le plus puissant de ce royaume, et donc un élément plus qu’intéressant ; L’autre moins fort avait tout de même un esprit mieux tourné vers la justice, et beaucoup moins ambitieux. Ayant chacun des atouts important pour l’Ordre, et ne pouvant se permettre d’un prendre deux, il décida d’organiser un match décisif. C’est ainsi que commença un combat acharné entre mon frère et moi, s’est vrai, il était surpuissant : en un seul coup il avait détruit mon bouclier, il ne me restait plus que mon arme maintenant, mais j’avais foi en moi, en l’enseignement que l’on m’avait apporté et en mon épée. On dit qu’avec le temps, la colère s’attise ; en combat s’est un peu pareil car sa haine, ses coups forts apportent la fatigue alors que la sérénité ne prend pas un pli. Pendant des heures il s’acharna sur moi, et je ne faisais qu’esquiver, bloquer ou encaisser mais je savais qu’à un moment il craquerait, me laissant ainsi une ouverture. Ce fût le cas au bout d’une douzaine d’heures et c’est avec une simple prise que je le mis à terre, puis KO avec un coup du manche.

C’était fini, je sus dès ce jour qu’il ne me regardera plus jamais comme avant : trop écoeuré, trop énervé, trop triste… Ce grand frère est perdu alors qu’ensemble nous aurions pu accomplir de grandes choses mais au lieu de ça, nous feront le ying et le yang. C’est pendant qu’il dormait la tête dans la poussière que la cérémonie ce fit, mais quand elle toucha à sa fin il avait disparu. L’âme sombre et tourmentée, avec ses connaissances martiales, aveuglé par la haine il sera bien vite un des plus puissants Vengeurs Noirs qu’il n’y ait jamais existé. Mais seul il n’ira pas loin, j’espère ne jamais devoir le recroiser, mais les opposés s’attirent…

5 années ont passé,
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:47

Le haut conseil de l’ordre des Templiers vient de me remettre le titre de Haut Templier. Après avoir servi avec tant de ferveur et de loyauté le royaume d’Aden durant 5 longues et épuisantes années. J’en ai perdu la notion des choses qui font la vie, si importantes soient-elles : Femme, Famille, Vacance, Loisir …

J’ai exécuté tellement de missions au cours de ce temps qu’exterminer des races entières même si elles sont malveillantes ne me fait plus rien, sauver des vies est devenu si banal, et aider les pauvres si naturel. En réalité, je ne devais pas ce titre qu’à cela car jamais dans l’histoire il n’avait été décerné à une personne ayant effectué moins de 20 ans d’expérience, en réalité ce conseil craignait quelque chose. Etant d’imagination débordante j’ai d’abord cru que c’était moi car j’étais devenu assez populaire et surtout puissant car une énergie anormale m’habitait : comme si la spiritualité de Tyros c’était installé en moi. Beaucoup de ceux qui font partie de cet ordre sont en fait issus de familles de grands seigneurs, de puissants chevaliers tellement glorieux et renforcés par leurs nombreuses batailles qu’on les dit surhumains.

D’après la légende, il y a plusieurs milliers d’années un grand sage nommé Tyros avait acquis tellement de sagesse, et de force en essayant de faire justice dans le monde que le mal avait quasiment cessé d’exister. Considéré comme un demi-dieu pour les hommes, mais comme un rival pour les dieux créateurs, Paagrio quelque peu jaloux du talent de cet être humain réussi à convaincre Gran Kain qu’il pourrait être un élément néfaste. Tyros fût alors appelé par celui-ci, ne pouvant éviter cette confrontation il alla à ce rendez-vous sans se douter qu’il se ferait piéger par Paagrio. De cette trahison serait née un parchemin qui recèlerait les pouvoirs de Tyros. Bien évidement personne ne sait où il est. On dit que les oracles en garderait le secret… mais rien n’ai plus risqué d’aller les questionner à ce sujet surtout quand le risque est sa vie pour une chose à l’existence aussi incertaine. Mais des écoles ont été ouvertes dans plusieurs endroits pour former les guerriers avec les textes sacrés concernant la science de Tyros, trop peu nombreux beaucoup de ces écoles ont fini par devenir de simples écoles de chevaliers.

Ce qu’ils craignent vraiment en fait, c’est que dans mes recherches pour atteindre la spiritualité de Tyros, je tombe sur ce parchemin. Ils ont pensé que me mettre « à la retraite » serait la solution à ce problème. Ce titre en effet fait cesser toutes les obligations du conseil et seules les valeurs de l’Ordre sont à garder ; comme aider les gens que l’on croise, mais ne plus devoir aller à leur rencontre par une mission. A la différence qu’avec ce titre honorifique j’acquis le droit de former un disciple, c’est ce qui me mènera à faire le tour des centres de formation de gardes, dans les différentes villes du royaume pour tenter de trouver l’homme qu’il me fallait. Très peu de gens ont la volonté et encore moins ont la capacité d’achever cette formation. Il faut donner beaucoup d’énergie et faire d’énormes sacrifices. C’est dans cette recherche que je suis tombé sur un jeune guerrier nommé Galaâr Liz, simple fils d’artisan il me marquera à vie pourtant. Seul au milieu de tous ces gardes on pourrait le croire exclu, marginalisé. Le fait est que les gens le craignent car il est l’homme qui manie le mieux la masse d’arme de tout Gludin. On m’a raconté qu’il paraissait danser ses combats tellement qu’il était vif, et tellement habile qu’on croirait qu’il se bat au sabre. Peu connu dans le royaume faute d’être socialement indigne, il est célèbre dans la région Gludienne pour ces actes de prestigieux, et son immense générosité : c’est lui qu’il me fallait.

Quelques années après ce sinistre événement dans les alentours d’Aden,

Après ce réveil d’une rare violence, je me décide à partir sans laisser de traces comme j’avais pris l’habitude juste avant cette arrestation. Peu importe ce qui suivra : ils ne connaissent pas mon nom… je passe aux quartiers de la garde récupérer mon modeste équipement avant de partir vers mon passé. Ces larges portes, ces immenses murs dédiés à la grandeur des morts d’Aden, le mausolée royale, que de souvenirs ; c’était mon rêve de jeunesse de mourir pour Aden et d’y être enterré, mais les temps ont changé. Ce cimetière délaissé a provoqué la colère de ces héros passés qui se sont sans doute réveillés contre ce Roi. Tant de souvenirs renaissent en moi en voyant ce lieu si important à mes yeux. Devant cet homme puissant entouré d’une aura de sagesse incroyable au milieu de tous ces morts… non ce n’est pas possible je devais rêver pourtant juste après avoir posé mon regard sur lui il se jeta à mes pieds en criant :

« Maître, maître, vous êtes en vie dieu merci. Je l’ai toujours senti au fond de mon cœur. Les larmes aux yeux Pourquoi m’avez-vous abandonné ? -Vous devez confondre de personne, je ne suis qu’un simple rôdeur, je n’ai jamais eu de disciple ni d’esclave ! -Darkhan, pourquoi me mentez-vous ? Vous êtes amnésique ? »

Sur ce nom je pris conscience qu’il tenait vraiment à moi, mais comment était-ce possible qu’il me reconnaisse …

« Pourquoi tiens-tu tant à remuer le passé jeune homme ? Si tu n’es pas une illusion…Tu parais si magique… si peu humain. -Je n’ai fait que suivre votre voie Sir Darkhen. Tout en baissant la tête. -Si tu ne veux pas finir véreux comme le reste de l’Ordre des Templiers, je te conseil de t’écarter de ton rêve, et de devenir un simple solitaire profitant de tes dons pour survivre. -Vous n’êtes plus l’homme que j’ai connu, mais je ne veux pas abandonner si prêt du but. Suppliant. Continuez ma formation, je veux que vous soyez fier de moi, je ne veux pas mourir inutile. S’il vous plait. A genoux. Montrez-moi le chemin pour accéder à la sagesse, je m’en fiche des risques que j’encourrai avec l’Ordre, je serai muet mais aidez-moi. Je veux pouvoir vous suivre et je vous le rendrai, à deux nous pouvons changer le cours de choses… En grognant je répondis : -Qu’il en soit ainsi, j’achèverai ta formation de paladin. Après il te restera le choix de la cause que tu défendras, celles du Roi, du peuple ou les tiennes. Tu demanderas à ton cœur, et nous verrons si nous continuerons ensemble sur le même chemin de la Vie… »

Une semaine plus tard, Galaâr m’annonça qu’il avait décidé de me suivre et d’aider le peuple : Il était devenu Paladin, nous partirons en croisade contre le nouveau Mal de ce monde, notre expérience mènera peut-être à l’Osmose avec Tyros. Quoi qu’il en soit, notre but sera difficile à atteindre. Mais Galaâr est un jeune homme d’avenir, il a eut la force de raviver ma flamme, s’il arrive à en faire autant avec les gens braves peuplant Oreline ; alors nous serons bientôt prêts à nous battre pour notre liberté sans aucun risque.

Tellement emporté par mon imagination, et tellement chamboulé par tous ces événements que j’en avais oublié mes malheurs et surtout : Snake… Dans cet élan de reprise du goût à la vie je prenais encore plus de risque que jamais. Mais comme on dit : l’espoir fait vivre et bientôt j’allais le vérifier. Gagner, mourir ou re disparaître mais cette fois si à tout jamais. Je resterai donc dans le rôle de rôdeur jusqu’à me constituer le front de libération.

Après avoir fait ce rêve étrange, Darkhen décida de se mettre au service du peuple. C'est en initiant son jeune apprenti Galaâr à l'art de Tyros qu'ils se jurèrent de se protéger mutuellement jusqu'à la mort. Bien décidés à combattre le nouveau mal de ce monde plus camouflé, plus sournois et plus dangereux que jamais. Nos vies seront consacrées à changer ce monde, nous avons pris le chemin du plus grand temple d'Aden pour implorer la bénédiction de son Grand prêtre pour cette périeuse croisade que nous nous préparons à commencer. Et c'est à notre plus grande surprise qu'il nous dirigea vers un sanctuaire secret dans lequel il stockait une quantité phénoménale de ressources parlant de Tyros, de son art et de sa légende. Après avoir juré de garder ce secret jusque dans notre tombe, elle nous donna une quantité astronomique de connaissances à son sujet. Kordelius Tyræn était notre plus gros atout, nous devions le protéger à tout prix, "Mon épée sera votre !" "Et ma masse !" : son immense sagesse saura nous guider. Que sa lumière nous aide dans notre quête, qu'elle nous éclaire dans ce monde obscur dans lequel nous allons mettre les pieds, et qu'elle réchauffe les cœurs des Oréliens qui ont tant souffert...


Voilà bien longtemps que je n’ai vu personne de mon clan, je me demande ce qu’ils deviennent ni même s’ils sont encore en vie. Alors que je remets de l’ordre dans ce Temple, avec le temps, la solitude, et le silence j’en viens à me poser la question de ce que je fais, et ou est-ce que ça mènera. Les gens aujourd’hui rejoignent des causes sans trop y réfléchir par pouvoir, peur de l’ennemi, choisir le camp le plus fort : bref la facilité et le déséquilibre de ce monde. Si je ne veux pas tomber, que l’Ordre ne tombe pas, que les générations à venir n’oublie jamais l’enseignement des plus anciens sages qui existé sur ces Terres.


Mais comment pouvoir interagir sur cette réalité avec pour simple arme ma volonté : Il va falloir que je trouve des personnes avec la volonté d’agir en ce sens, car il est trop lourd de le faire masqué, alors que dans une jeunesse pas si lointaine je prenais les problèmes de face. Pour commencer en ce sens, quoi de mieux que d’aller écouter les promesses de notre souverain, dont le retour d’une fameuse garde ! J’imagine qu’elle sera aussi glorieuse que celle qui avait voulu me recruter par le passé. Les lois sont fixées depuis peu, et théoriquement prometteuses, j’espère qu’elles le seront aussi bien dans la réalité. Le pardon est au temps ce que le paladin est au peuple, j’ai accepté de parler librement avec la future reine pour subire un dernier affront avant de tourner une page de l’histoire de Naia. 19 ans, les rêves plein la tête, la vie dans sa poitrine, et l’amour dans sa tête, elle m’a demandé d’être le témoin de son mariage avec le roi, et ainsi accéder au trône légalement, et être en confiance vis à vis de la personne qui aurait dû la former à devenir paladine.

Mais je me suis absenté, et Galaar n’étant que paladin et non Haut Templier ne pouvait former d’autres paladins, d’où l’équilibre d’un autre savoir : l’amour. Ce geste que de le reconnaître par le fait d’être témoin de mariage suffirait-il à pardonner l’abandon d’une élève ? A rendre moins amer les évènements passés sans les effacer pour autant ? Je ne sais pas, mais ma conscience me dit qu’il faut que je le fasse, le pardon est bonne chose qui ne coûte rien, et celui d’une reine n’est que plus important. Galaar ne le sait pas, et ne se douterait même pas que j’accepte. J’aime être imprévisible comme cela, et je crois que ce goût ou plutôt cet instinct va m’aider à trouver les braves gens : Ceux qui veulent se battre pour préserver l’équilibre de ce monde, et éviter la destruction totale du mal comme du bien. La paix prêcher par certains par des méthodes radicales ne me dit rien qui vaille, je vais donc rester sur mes gardes tout en essayant de ne pas lever l’attention de cette garde, ni du Roi. Tout revient donc à paraître le plus fidèle possible au royaume : j’irai faire cette officialisation pour eux, et pour pouvoir continuer mes projets tranquillement.


Je ne sais pas du tout où, ni comment je vais faire pour trouver en si peu de temps le monde qu’il me faut pour aboutir à un groupe assez fort pour pouvoirs contrer les différentes forces de ce monde, dans le but de maintenir un équilibre, et la paix mais il faudra pourtant bien que je le découvre…Je garde foi, en attendant je finis de réinstaller notre Temple, et peut-être qu’après j’en sortirais pour m’en aller en direction du château d’Aden, à Pilgrim Temple, ou à la recherche de volontaires à travers les contrées d’Aden…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:47

Quelle sensation bizarre qu’est de sentir la vie ré envahir mon corps, cette sensation amplifiée par le fait de vivre son passé dans le présent comme si c’était une prémonition que j’avais vécu et vu. Suivre notre Kordelius avec Galaâr s’était comme suivre Merissa avec Ubrika… que de nostalgie ! Pendant ces mois où nous cumulèrent sagesses avec les connaissances de notre prêtre bien aimé et par ses manuscrits ancestraux tout semblait aller pour le mieux, nous avancions plus vite que jamais dans nos recherches à trois. Nous formions une bonne équipe et à ce rythme nous pourrions vite nous préparer à nos projets pour défendre le brave peuple d’Oreline, mais c’était calme, un peu trop calme en vérité.

Cette période de répit ne dura même pas une année car bientôt les grondements des tambours orcs arrivés en masse dans la vallée se faisait entendre ainsi que les bruits graves des cors de guerre faisaient vibrer les murs d’Aden. Plusieurs légions orcs entouraient la belle citée, aucun espoir pour la garde de triompher face à cela. Pourtant en ce jour du 17 Narië, au petit matin, le roi Amadeo Cadmus sonna lui aussi les cors de guerre d’Aden, trop sur d’eux et inconscients les hommes obéirent.

Premiers levés de drapeaux les flèches fusent que se soit vers les orcs comme vers les hommes les premiers massacres de masse commencent.

A bout de flèches, la deuxième vague d’assaut est entamée et bientôt des milliers d’orcs se mettront à courir vers les portes où les attendaient les mâchicoulis et les meurtrières comme dernières défense face aux béliers acharnés.

Les hommes débordés et complètement affolés par cette attaque surprise ne purent rien y faire. J’entendais déjà le craquement du bois des lourdes portes… c’était le début de la fin. Sortir aurait été du suicide, connaissant les techniques peu évoluer des orcs en combat nous avons décidé d’attendre leur invasion mais il ne fallait pas qu’il tombe sur notre sanctuaire.

Les portes se brisent et tombent, j’entends encore les hurlements des hommes qui se trouvaient derrière. Ils se faisaient saigner les uns après les autres en débandade, ils fuirent… mais le roi avait déjà donné l’ordre de seller le château. Le peu d’armée qu’il restait fût pris en étau, ils furent égorger sauvagement jusqu’au dernier par ces barbares.

Trop occupés à vouloir envahir le château, nous nous pressâmes de fuir cette cité mise à feu et à sang. Il ne restera plus que la Garde pour se battre face à cette Horde. J’eus une dernière pensée pour Leia avant de devoir sacrifier tout ce que nous savions sur Tyros pour que jamais les orcs n’apprennent l’existence de nos projets. Nous mîmes le feu et nous partîmes dans leur dos. C’est en franchissant la porte ouest qu’un des orc posté dans un mirador donna l’ordre de nous tirer dessus. Une chance pour nous que les orcs visent mal de loin, ils nous ont seulement blessés, mais la fuite dans cet état jusqu’à Oren s’annonçait très mal.

Un vif coup de vent se fait sentir dans notre dos, le sifflement d’une flèche arrivant droit sur nous se fait entendre : elle se plante directement dans la cuisse de Galaâr. Puis une deuxième arrive dans son mollet, et bientôt tout une déferlante d’autres flèches arrivent en notre direction. Trop mal au point pour fuir, ne voulant le laisser à l’ennemi, Kordelius décide de le guérir sur place avec un sort de soin mineur quand soudain une flèche perdue se plante dans son bras : impossible pour lui d’employer la magie. Bien décidé à se sortir de ce mauvais pas, j’ai mis toutes les forces qu’il me restait pour porter mon ancien disciple et à porter les affaires de notre grand Prêtre blessé.

La route est longue jusqu’à la cité d’Oren surtout dans les conditions dans lesquels nous essayons de la rejoindre. Obligé de courir un homme dans les bras car il se peut que les orcs aient décidé de lancer une troupe à nos trousses pour ne pas que nous donnions l’alerte. Mes dernières forces m’ont quitté, la ville est encore loin : j’ai échoué, qu’on me pardonne un jour…Mort de fatigue, je tente quand même de déposer délicatement le jeune paladin et je tombe violemment à ses côtés. Mes paupières sont lourdes mais je lutte pour ne pas m’assoupir. Je vois un nuage de fumée au loin, il s’approche de plus en plus. Je vois alors un régiment d’une vingtaine d’orcs former un immense nuage de terre à 200 mètres. Mes paupières tombent, je force pour qu’elles se relèvent. Je les vois à 100 mètres ils chargent vite, très vite. J’essaye de sortir mon épée mais ma tête, tellement lourde tombe vers l’avant je suis trop exténué pour me lever et me battre : c’est la fin. Les yeux fermés je me concentre sur le bruit de leurs pas pour voir à quelle distance de ma mort je suis. Je les entends avec leurs cris de guerre barbares, et je relève alors la tête pour voir ma mort de face.

Oh stupeur ! A ce moment précis où je rouvre mes yeux : un drow à la fière allure, une longue et fine lame à la main, tout aussi luisante que son plastron se dressait devant nous et bien prêt à combattre cette horde. Mais à 20 contre un nul doute que ce prétentieux même bien équipé allait se faire massacrer. Contrairement à toute attente, ce fût tout le contraire : il était rapide comme l’éclair et il combattait avec tellement d’aisance qu’on aurait die qu’il flottait dans les airs. Avec une grande classe il s’est retourné très lentement tout en essuyant sa lame couverte de sang orc et son regard se posa sur moi en premier, comme si je l’intéressais. Son visage m’était familier malgré tout ce qu’on peut dire comme quoi les drows se ressemblent tout. Trop fatigué et croyant voir un revenant, je tombe dans un lourd sommeil après toutes ces émotions.

Je me sens plus léger que jamais et plein de vie, que s’est-il passé ? Je regarde autour de moi étonné avec tous ces arbres qui m’entourent, la lumière du soleil qui traverse les feuilles et j’entends des centaines d’oiseaux gazouiller suis-je au Paradis ? En fait, je n'étais pas loin d'y être, c’est ce que me disait Elhessar, qui se trouvait à mes côtés avec Kordelius et Galaâr. Il avait réussi à faire un bandage à notre Prêtre pour qu’il puisse nous guérir, je lui en serai à jamais reconnaissant. Mais sa bonté ne s’est pas arrêtée là puisqu’il nous avait conduit au temple construit par les mains de Tyros lui-même par le passé. Lieu mythique et légendaire, la forêt le renfermait comme son plus gros secret, celui que nous devrons garder à l’avenir car il sera notre sanctuaire…

Dans la plus populaire des tavernes du royaume d'Oreline était soigneusement clouée sur le mur derrière le comptoir luxuriant. Tout autant que le fameux parchemin en question, car le gérant en prenait aussi soin que son bar. Il sera peut être la clé de la paix sur les terres d'Oreline...


Peuple d'Oreline,

Notre histoire est en train de disparaître avec les villes que le mal met à feu et à sang. Rallions-nous malgré nos différents du passé, pour pouvoir vivre enfin en paix.

Hommes et femmes d'Aden au courage exceptionnel, Braves et puissants petits Hommes des montagnes d'Elmore, Gracieux elfes de lumière des hautes Terres, Si vous voulez que tout cela cesse une bonne fois pour toute, levez vos armes contre ce mal qui ronge notre royaume et rejoignez la voix de la lumière !

Ce Pagrya 17 Yavannië aura lieu une grande réunion dans la grande cour derrière la taverne, j'espère que les bonnes âmes y seront nombreuses car si le prix à payer pour la paix est la guerre, alors il en sera ainsi...



En bas du texte, on aperçoit la signature du mystérieux groupe qui investit le royaume dans la plus grande discrétion : L’Ordre Déchu. Le style d'écriture employé laisse la trace d'un mage de grande sagesse, par la légèreté et la beauté de la signature.

Pas loin d'une semaine plus tard; très tard dans la nuit un rôdeur alla frapper à la porte de l'auberge, juste 1heure après sa fermeture pour être sûre de ne pas s'être mis à découvert. Il s'agissait en fait ni plus ni moins du premier paladin déchu qui avait autrefois aidé le gérant à monter sa taverne. Un grand respect mutuel existait entre-eux malgré leurs vies fortes différentes qui se croisent trop peu. Il était venu prendre connaissance du nombre d'intéressés et des profiles des diverses personnes qui sont allées voir de plus prêt l'annonce, et ceux qui l'ont questionné dessus. Son ami lui donna un épais livre où le maximum de descriptions y étaient prises. Après avoir pris un verre pour la route, il repartit bien vite car le temps jouait contre lui : plus que quelques jours pour que d'autres personnes se présentent à l'auberge... plus qu'une semaine pour s'organiser et prévoir la sécurité en cas de problème. Dernier échange de mots, il remet sa cape : il reviendra plus tard.

Voilà maintenant un mois que j’ai rencontré ce jeune garçon nommé Perceval, peu robuste il possède cependant un caractère digne des plus braves. De plus il semble précoce dans l’art de la magie. Je pense que sa puissance sera à la hauteur de mes espérances dans la conquête que nous nous apprêtons à commencer. Mais vu son âge, il n’était bien sur pas venu jusqu’à moi seul. En effet, un pieu Chevalier d’Einhasad, qui plus est très lié moi qu’à elle malgré mes différents avec ceux qui se prétendent la représenter, au fond de moi je la vénère par espoir. Tous deux enchantés par le message que veut porter notre groupe au monde d’Oreline, et séduit par le charisme de notre bien aimé Kordelius il adhérèrent bien vite. Leurs cœurs étaient purs, je me suis à peine méfié d’eux en les présentant à notre maître et je ne le regrette pas.


Cela fait trop longtemps que les différents groupes représentant le Bien d’Oreline sont éparpillés dans le royaume alors que les forces du mal se lient entre-elles. Il était donc de notre devoir de les rallier pour en discuter, connaître et annoncer des buts communs. Kordelius me chargea de remettre un parchemin pour l’afficher dans un lieu stratégique, discrètement et pour toucher un maximum de personnes. J’ai opté pour le bar d’un très vieil ami de Gludin, ainsi le Pagrya 17 Yavannië, une bonne vingtaine de nobles âmes à première vue se réunirent. C’est vêtu comme un rôdeur que je m’y rendis pour ne pas attirer l’attention sur mon retour, et en effet j’avais bien fait : Merissa y était, et la discussion tourna bien vite à la guerre et uniquement ça. Découragé par ce constat, je pris la parole un instant avant de disparaître bien vite dans les ténèbres.

« La Lumière pour la paix n’était pas là ce soir… »

Les tensions et les gains de cette bataille seront bien différents pour tous ces gens biens différents, ralliés juste par leur Haine des Orcs. J’ai hâte de voir comment ils vont se découper le Royaume après comme de vulgaires corbeaux. « Non, Aden tu ne me reverras pas. Du moins pas cette fois-ci, tu m’as déjà fait tant souffrir avec ton Roi et ta garderie ! »


J’ai repris goût à la vie et les combats inutiles ne m’intéressent pas. J’accepte cependant que mes Hommes y prennent part s’ils y tiennent s’ils pensent que s’est leur destinée et qu’elle a un sens. J’espère qu’ils reviendront…

J’ai eu vent de la victoire éclatante de l’alliance menée par notre intendant au trône : le jeune Galaâr. Le plaisir que m’apporte mon ancien disciple est grand car il libère une ville symbolique du royaume ; En espérant qu’il ne s’arrête pas là car beaucoup d’autres sont détenues par des êtres tout aussi malveillant que la Horde, voir pires. Il y aura des représailles, et ça tout le monde le sait.


Ce retour glorieux d’Aden a valu une blessure à Lancelot, l’un des éléments les plus prometteurs de notre communauté. Déjà petite nous voilà bien réduit. Mais j’ai confiance en ce futur royaume. Il y aura pour la première fois un Roi issu du peuple, et non d’un « cercle fermé » tels que les nobles qui vendraient n’importe quoi pour se sauver… Et surtout Paladin ! En espérant qu’il n’oublie pas l’enseignement que j’ai pu lui apporter avec beaucoup de temps, et d’énergie. Et c’est donc pour notre bien mutuel, du royaume et de l’Ordre Déchu que par le jugement de Galaâr nous avons sectionné le lien entre lui et notre guilde : son destin sera ainsi d’autant plus clair, devenir roi c’est arrêter d’être paladin tout en gardant en tête le bien de son expérience passée, et tirer avantages des erreurs passées des autres et de soi-même. Si son cœur est aussi pur que ce que j’ai toujours cru, nul doute, il sera le Roi que le peuple humain attendait depuis si longtemps déjà.

Partant du principe qu’il y a maintenant un Roi digne de son nom aux rênes du pouvoir, le but de notre clan sera quelque peu modifié : Le rôle du Monarque est de gérer son royaume, et de satisfaire ses sujets, soit pour nous une tâche en moins. Mais il est dans la nature humaine de basculer aisément dans l’extrémisme bon comme mauvais : c’est ce que j’ai appris au cours du temps avec Kordelius, et son apprentissage de Tyros. C’est la nuit suivant le don du certificat de propriété du Temple d’Aden par Galaâr que j’en ai pris conscience : l’Alliance est grande, j’ai même entendu dire qu’un Orque en faisait part, et un Drow ; et aucun elfe n’est mauvais à ma connaissance, et si ce déséquilibre évolue, je n’ose même pas imaginer les conséquences. Avec le départ de Galaâr, je prenais plus de responsabilités sur l’avenir des Déchus. Demain j’irai remettre de l'ordre notre ancien temple, et faire la surprise à Kordelius de le rendre le plus proche possible du sanctuaire qu'il était avant son incendie.


La réintégration des Déchus à Aden pourra se faire sous le regard des autres, nous n’avons plus à nous cacher, seules nos méthodes, et l’identité de nos membres feront encore partie de l’ignorance du reste du monde. Demain je me montrerais à découvert, j’ai le traque ne sachant ce qu’il reste de moi. Mais je sais qu’il le faut si je veux de nouveau trouver des personnes destinées à être l’élite du peuple : Celles qui veulent préserver l’équilibre de la paix en évitant d’irriter les races éprises de préjugés, qui vont sûrement subir à l’avenir la guerre qui est lancée. Les secrets de Tyros ne nous seront pas inutiles pour cette aventure qui s’annonce difficile, demain je reviens au pays…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Oct - 21:48

Dendurr
Un article de Le RP d'Oreline.
Jump to: navigation, search


[modifier] C'est qui ?

Olaff Dendurr! son nom mérite à lui seul quelques explications, qu'il ne donne pas facilement!! mais voilà toute l'affaire...dans son village natal, certains vous diront que la puissance de ses machoires pouvait briser n'importe quel os de n'importe quel bête, d'autres encore, vous chuchoterons qu'un jour il a du se battre contre un cougar enragé et qu'il lui a arraché la gorge de ses dents, oui olaff, pas le cougar...

Ce nain vient de bien loin! et ses ptites jambes ont parcouru plus de lieues et vu plus de paysages que beaucoup n'en verront jamais. Il a affronté une quantité incroyable de dangers, a fuit jambes à son cou plus d'une fois également!

Pourquoi un tel périple ? mais pour la boisson pardis! la vrai, pas la pisse de la dernière taverne du coin non, l'alcool, le fort, le bon! "on est un nain ou on l'est pas" vous dirait Dendurr. Et c'est avec l'amour de la boisson, la bonne! , qu'il quitta son village avec comme premier objectif de découvrir le meilleur alcool, à tous les gouter! car peut etre que celui-ci était bon, mais peut-être que celui dans la ville, la contrée d'à côté, sera de bien meilleure qualité!

Un siècle de voyage s'écoule, Olaff peut maintenant se vanter d'être pilier de bar quelque soit l'établissement et ce qu'il sert, tant il a bu, tant il boit, et tant il sait qu'il boira, ce nain est une barrique, pleine, à n'importe quelle heure de la journée et ce en toute conssience! comme si son état sobre n'était pas pour lui un état...naturel! ce serait même un état si rare qu'il traine une réputation méritée là ou il passe : "Dendurr ? c'est l'Alcoolisme fait Nain !!"

Mais pourtant, malgrés la varité, et quantité, abérrante de boisson absorbée, Olaff restait insatisfait, et il finit par se dire qu'il n'y avait pas encore d'Alcool "suprême" digne du nectar des dieux, un alcool qui serait à la fois extrèmement gouteux mais terriblement fort, à vous réchauffer le corps enterré dans la neige jusqu'au cou!

C'est pourquoi, avec son flair du bon alcool infaillible, Olaff devint lui-même un fabricant, et il établit des espèces d'ateliers là ou il allait, revendant ses meilleures creations, ses moins bonnes aussi, aux établissements des villes, il était d'ailleurs reconnu pour son alcool et les concours qu'il organisait lors de ses passages.

Mais, après plusieurs décénies, il jugea que sa quête de l'alcool suprême n'avançait plus, il lui manquait d'exotisme, qu'il ne trouvait plus sur ce continent, aussi il décida d'embarquer dans un navire expéditionnaire qui fit une halte au grand port de Giran, les terres d'Oreline...

c'est ici que notre nain descend pour se rendre à Giran, ou il se trouve, une fois encore, un endroit ou établir son atelier....il va avoir beaucoup à faire, beaucoup de villes à visiter, de nouveaux alcools à goûter, mais cette fois il le sent, il y a quelque chose de différent, il se sent proche, à quelques échecs seulement de LA trouvaille, LA recette, qui mettra un terme à sa longue quête d'alcoolique permanent...


[modifier] Olaff Dendurr de Giran, fabricant d'alcools exotiques
[modifier] Nina et la taverne "Libation du Bastion"

Une nouvelle taverne vient d'ouvrir à Giran! et qui voit-on rappliquer, totalement ivre ? Olaff biensur, après une journée de boulot a-c-h-a-r-n-é ! ... rapidement il en vient à parler de son "métier", que dis-je sa passion! avec la patronne Nina, qui se montre fort intéréssé, proposant même à Olaff de lui apporter un échantillon de ce qu'il distille.

Le soir même s'organise un concours entre lui et un sombre nommé Raizzen, Olaff pensait gagner haut la main, mais le sombre magicien, marmonnant entre ses dents à chaque verre, ne semblait pas affecté par l'exellente bière naine servie. Le concours dure toute la nuit, au petit matin, Olaff a bu le double du sombre, du fait d'un handicap l'obligeant à boire plus car il est nain...et surtout bon joueur! Finalement ils décident tout d'eux de s'arrêter, pour laisser Nina fermer la taverne, néanmoins le sombre insiste pour payer toutes les consommations. En voila un qui sait tenir l'alcool!! se dit Olaff, qui garde ce sombre, premier du coin qu'il rencontre, dans son estime pour ses qualités de "pilier de bar" !!
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMer 24 Oct - 4:02

Eldandil : Un cristal parmi le fer des armes.

Je suis Eldandil. Dans ma langue, cela signifie « Cristal ». Je dois ce nom au premier cri que j’ai poussé il y a plus de 200 ans, d’une voix pure et cristalline ; et à la transparence cristalline de mes yeux, signe rare chez ceux de mon peuple… Issu d’une modeste famille de teinturiers, j’ai longtemps vécu dans les quartiers entourant la ville d’Hannova. Ne portant que peu d’intérêts au commerce de la teinturerie, mes yeux se levaient vers le ciel pour admirer le palais imposant du Prince Liannnan, surplombant toute la cité.

Je me suis porté volontaire afin d’effectuer un service militaire, et me suis rapidement découvert un goût certain pour cette vie. Je signais alors pour intégrer l’armée royale, dans laquelle je commençais en qualité de recrue. Quelques décennies passèrent avant que je ne sois promu au rang de sergent.Je me suis alors intéressé à la strategie, le commandement , et ai suivi l'exemple et le parcours de mon lieutenant, Maitre Amil-Galdor, le fils aîné du Prince lui-même. Lorsque celui-ci reçut le poste de commandant de l’armée royale, offert par le roi, il me promut au rang de lieutenant. Je suis donc devenu Maître Eldandil, 7ème lieutenant de l’armée royale, officier en charge de la garde affectée à la protection du palais.

J’ai plusieurs fois eu l’occasion de rencontre le prince, principalement lorsque notre commandant réunissait les 12 lieutenants de son armée, lorsque les humains et les nains menaçaient de trop près les territoires que le Général Véndil Gan parvenait à garder sous domination elfe.

J’ai assisté à la chute du roi, et me trouvait aux côtés du commandant Amil – Galdor lorsque son cheval fut abattu par une violente rafale de sorts et qu’il combattit jusqu’à la dernière seconde. J’ai reçu un violent coup au ventre, puis me suis réveillé sur le pont d’un bateau, en compagnie de nombreux exilés qui fuyaient le royaume. Refusant de rejoindre l’île qui abritait les elfes qui cherchaient refuge loin du continent, je pris le bateau qui quittait le port et après deux mois de navigation, j’arrivais au port de Giran…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMer 24 Oct - 4:04

Elendill

[modifier] La Vie d'Elendill
[modifier] Fiche Perso

Nom : Elendill Do’Amn

Age : 159 ans

Race : Elfe

Sexe : Homme

Classe : Speelsinger

Profession : Capitaine de la garde Elfique


[modifier] Chapitre I : Amn
Elenlos,tel est mon nom, que dire de moi ? Que je suis né dans un pays lointain du nom d’Amn. Je ne vais certainement pas vous compter les nombreuses anecdotes qui ont marqué ma vie d’officier elfe durant les 140 premières années de ma vie.


Mon père était un mage d’exception, a service du Roi Elfe. Il était aussi son meilleur ami. A la mort de ma mère il voulu que mon frère et moi apprenions a notre tour la magie. La magie qui coulait dans les veines de toutes notre familles depuis le commencement des temps, n’avait aucun effet sur nous, Nous étions comme des oiseaux possédants des ailes, mais ne les utilisant pas. Ce problème nous suivit longtemps, notre père ne nous le pardonna jamais…

Un jour un maître d’escrime m’aborda et me dit qu’il pouvait faire de mon frère et moi de véritable bretteur. Nous avions à peine 50ans lorsque nous commencions notre formation, pendant près de 50ans, 4h de nos jours était conservé à l’apprentissage de l’art de la lame. Ce fut dure, mais a force et avec un entraînement si complet je sentis l’art se former en moi. Mon bras ne faisait plus qu’un avec la lame.

C’est après mes 100ans que je m’engagea dans l’illustre armer Elfe. On me chargea d’une mission assez spéciale. Il y avait à Amn, un dangereux dragon du nom d’Elendill qui avait jadis tuaient de nombreux elfes. Il avait était vu il y a peu vers d’ancienne ruine au sud. C’est à la tête de mes vingt hommes que je me rendis dans ses ruines. On ne trouva aucune trace de Dragon, seul quelque gobelin inoffensif. Nous sommes rester la bas durant deux long années à attendre la venu du dragon. L’ambiance était au plus bas dans le camp. Nous attendions un combat qui venait jamais et d’on l’issu était incertaine…

Mais enfin, c’est au cour de mon tour de garde que je vu une silhouette. Grande élégante, svelte, on aurait dit un elfe. Je l’aborda et vit son visage, un visage d’homme, mais je sentais une puissance bien plus profonde. Je sentais une telle présence. Les mages nous avaient prévenus, que le dragon peut se métamorphoser. J’avais devant moi le dernier dragon d’Amn. Je lui demandai son nom. Il sourit et me répondit dans une vois sobre et rocailleuse « Je me nomme Elendill, tu doit être Elenlos ? Tu es venu ici pour me prendre, tel est notre destiner » Je fit signe a mes soldat de menotter le dragon. Je me rendis alors au camp pour me reposer et méditer des paroles d’Elendill. Le sommeil vint rapidement à moi. Je rêvai, durant cinq jours et cinq nuits, d’un autre monde, je vis au plus profond, un mal, un arbre. Je me sentis comme atrier vers ce monde. A mon réveil je n’était plus le même. Toute mes penser n’était tourner que vers cette autre monde. Nous ramenions le dragon vers la citer royale lorsque le regard d’Elendill se porta vers moi, je ressentis encore cette puissance. J’avais alors une vision, une barque attacher a une rive. Je ne pus résister à ce pouvoir. Au cour d’une nuit je me leva discrètement, je ne pris aucune affaire. Je chevauchai jusqu'à l’aube en direction du nord. Mon cheval était rapide, mais il ne supporta pas la course et mourut vers le deuxième quart de la journer. Je continuai à pied, courant a travers les plaines verdoyantes, les forets. En direction d’un avenir tout aussi incertain que mon retour. J’arriva enfin à la cote, je vu la mer. Je suivi la cote vers le sud pendant deux jours et je vu la barque. Au même moment que je coupait la corde qui me retenait à la terre, je partait pour un voyage sans fin. Existait il vraiment une terre au nord ? Je coupai quand même la corde. Alors que je ramais pour quitter la cote, quelque chose en moi se réveilla, je m’évanoui. Je ne sais comment mais je fut réveiller sur une plage, que sait il passer ? La barque est revenu sur la cote, elle s’est écrasé sur les rochers et je survécu miraculeusement…

Le dragon me disait toujours de me dirigeait vers le nord. Je ne reconnu aucune terre d’Amn, et me redit comte que je n’était pas revenu sur Amn, mais sur un autre monde. Comment cela se pourrait il ? Après trois jours de marche je vis au sommet d’une montage, une grande foret en contre bas. Mon regard de porta sur une cité, elle avait émerger au milieu des arbres, au dessus du lac. Je partis en direction de ce village. J’arrivai au deuxième quart de la journer. La citer était belle. Une belle elfe aux cheveux d’or et dans une splendide robe blanche arriva vers moi. Elle avait une voix cristalline, magnifique et me dit « Bonjour mon enfant, je me nomme Shaelia, quel doux nom portait vous ? » Je sentis une crampe paralyser mon corps, je voulu prononcer le nom d’Elenlos, mais aucun son de jaillit de ma bouche. Seule quelque chose en moi me disait de répondre par mon vrai nom, maintenant. « Je me nomme Elendill »
[modifier] Chapitre II : L'arriver
e soir même ou j’était arriver au village, je me rendit, selon les indication de Dame Shaelia à la rencontre d’une Dame, dénommé Lizael. J’avais certaine capacité, je voulais aider mon peuple. Je me rendis donc devant Dame Lizael et je lui indiquai mon cas. Elle accepta ma candidature, et j’entrais dans l’armer Elfe, l’armer Boréale.



Cette même nuit, fut le moment de montrer mes capacités à mes semblables. Alors que l’astre de la nuit diffuser son aura, Plusieurs dizaine d’humains se téléportèrent au milieu de notre village, que venaient ils faire ici ? Les rayon de la lune réfléchissaient sur leurs armures et illuminés le village. Leurs armures, toutes scintillantes, portants divers couleurs : du blanc écarlate jusqu’au noir profond, en passant par le bleu royale et le rouge. Une humaine se détacha du groupe et hotta son heaume. Elle nous donna ordre d’attaquer le village des Drows. Je sentis une certaine tension chez Lizael, mais elle se plia au ordre de cette humaine, quelle humiliation !

Nous partîmes donc le soir même, en direction du Nord-ouest, à travers la foret. A chaque pas l’ont pouvait voir les rayons de la lune… Après une marche de plusieurs heures nous entrions dans une sorte de marais puant et visqueux. La brume y régnait, on ne voyait qu’a 10m. Une fois sorti de ce cauchemar on commença une approche plus douce. On vit l’entrer de la grotte, ou les Drows se terrent. Etrangement elle n’était gardée que par deux Sombres. Etrange, se pourrait-il que les Drows se caches à l’intérieur, pour nous tendre un piège ? Je n’eut pas le temps de penser et d’envisager toutes les possibilité, une flèche sifflait en l’air, elle parcouru une magnifique parabole avant de s’enfoncer dans la poitrine d’un sombre. Sitôt le premier ennemie a terre, nous chargions, laissant bien entendue les humains se précipiter en premier. La bataille fut brève, je n’incenta aucun sort. Aucune goutte de sang ne tacha ma tunique. Tous les drows furent massacré, ainsi que les femmes et enfants.



Par la suite on nous confiât la tache de garder un Drow, qui avait miraculeusement survécu à la sauvagerie des hommes… Elle perdait beaucoup de sang, notre magie n’eut aucun effet sur elle, nous la laissâmes donc à elle-même, dans le petit village de Dion. Les hommes sont de véritables chiens…
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMer 24 Oct - 4:05

Elenlos

[modifier] Présentation

Nom : Elenlos

Race : Dark Elfe

Sexe : Féminin

Classe : Shilien Oracle

Alignement : Chaotique Neutre

Guilde : elle n'en a pas

Résumé du Background : Ayant tué sa mère dans un accès de vengeance, Elenlos provoqua le meurtre de son père contre sa volonté. En ayant tiré des conclusions sur les comportements excessifs, elle ne cherche que son propre intérêt et sert les causes qui la servent elle. Profondément meurtrie par la perte de son père, elle a souvent deux compagnons intimes : l'un son homme et l'autre remplaçant inconsciemment son père.
[modifier] Background
[modifier] Les fantômes du passé

« Peu en ces terres savent quelles ont été mes errances et moins encore connaissent mes origines… C’est pourquoi j’ai décidé de déposer ici mes noirs souvenirs.

Terrés au plus sombre d’une caverne, un groupe d’elfes noirs célébra l’union d’un couple sans pareil : celui d’un mage et d’une guerrière aux noms de Maeglor et Eölina. Je naquit à la tombée d’une froide nuit enneigée et mon père voyant mes yeux noirs et brillants s’ouvrir décida de m’appeler Elenlos (étoile des neiges immaculées dans le langage des anciens).

De mon enfance, il ne me reste que quelques souvenirs de jeux, de rires et de tortures de poupées elfes que je fabriquais de mes mains…, période bénie mais hélas révolue.

Alors que j’approchais de l’âge adulte, mon corps devenant le reflet de l’élégance de mes ancêtres, mes parents eurent de plus en plus de discussions à propos de mon devenir. Ma mère voulait faire de moi une guerrière, pour rejoindre la cause qui était la sienne : égorger tous les membres de races inférieures. Mon père quant à lui voulait me donner les bases de la magie noire, ce qui selon lui était une manière bien plus propre de torturer et de tuer ses victimes. Les années passèrent, mais pas le désaccord de mes parents. J’apprenais l’art des armes car notre clan était en majorité guerrier et répugnais l’art noir, car il était la cause de la malédiction portée à notre peuple. Malgré cela, mon père m’apprit en secret les premiers sorts noirs qui me permettraient de lire le désespoir de mes victimes pendant leur agonie, des fois même il m’initiait à la poésie noire, étant l’un des rares intéressés par le sujet. Ces séances nous rapprochèrent à un point que je ne saurais décrire…

Il advint un jour où ma mère appris ses cours donnés derrière son dos, ce qui la mit dans une fureur indescriptible. Les disputes devinrent quotidiennes et violentes, allant jusqu'à griffer au sang, au point qu’un jour alors que je rentrais de mon entraînement, je trouvais ma mère attablée, seule, le regard dur comme je ne l’avais jamais vu. « Ta destinée sera guerrière, ma fille, et plus aucun autre sujet ne viendra troubler ton esprit dorénavant. - Mais, Mère…. - Silence ! s’écria-t-elle. Ton père est mort, j'ai jeté sa dépouille sous le sycomore au cœur de la forêt ! Son influence ne te détournera plus de ta voie ! » Bien que j’accompagnais cette révélation par le silence, le coup qu’elle me portât fut dévastateur et mon esprit fut en ébullition toute la nuit. Au matin, ma décision prise, je me levais, déterminée. J’approchais à pas de loup de la couche de ma mère et lançait un sort d’immobilité. Je n’eus dès lors aucun mal à trancher sa gorge et à la regarder se vider de son sang avec délectation, la sachant incapable d’intervenir. Cette vue me fit rire aux éclats, ma vengeance assouvie, mon exaltation étant à son comble.

Je pris quelques affaires, le recueil de poésie de mon père et je courrais vers le seul endroit que je voulais voir : le sycomore. Arrivée devant lui, nul corps en décomposition ne donnant d’indice, je cherchai longtemps en vain. Au bout de plusieurs heures, un elfe noir vînt à ma rencontre et je lui demandais ou pouvait se trouver le corps de Maeglor. A mon grand étonnement celui-ci me répondit : « Mais il n’est point mort ! Je l’ai vu moi-même s’installer dans la hutte qui se trouve au bout du chemin par lequel je suis arrivé ! »

Mue par cet espoir, j’arrivais hors d’haleine au bout du dit chemin pour trouver la hutte brûlée et mon père encerclé par le clan, toutes épées dehors, le menaçant : « Avoue ton crime, chien ! - Je vous répète que je ne vois pas de quoi vous parlez ! - Tu nierais avoir assassiné ta propre femme parce qu’elle t’a banni, alors que le sort maudit dont elle a été victime n’est connu que de toi aux alentours ? Et où est ta fille, l'as-tu égorgée et jetée aux loups ? - Comment osez-vous ? Bande de barbares, même pas capables de comprendre l’intérêt de notre art ! Qui croyez-vous a protégé vos demeures, bande d'imbéciles ! » Cet éclat fût de trop et je vis mon père transpercé de part en part par les épées. Sa chute durât une éternité, son regard me transperça plus durement encore.

Je ne me souvient pas comment je réussi à m’enfuir. Au cours des années qui suivirent, je n’eut qu’une pensée : vous qui pensez résoudre tout par l'action, réfléchissez mûrement : laisser les tueurs froids et professionnels faire leur métier.

J’ai tué ma mère pour mon père, et il en est mort, tel est l'ironie qui me ronge. Qui pourra jamais le remplacer en mon cœur ?

Ici commencent mes errances…"
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMer 24 Oct - 4:06

Elthaim



Le Soleil se levait, invariablement comme chaque matinée sur le continent d'Oreline, d'Aden à Gludin en passant par Dion... Et, juste à côté, sur le village de Floran. La lumière tamisée inondait déjà la place du petit bourg, qui de place ne portait que le nom car il s'agissait plutôt de l'unique parcelle de terrain assez vaste entre les différentes maisons et chaumières qui composaient Floran. Un peu plus à l'est de ce dernier, le Soleil commencait également à s'infiltrer dans la grange d'une petite ferme aux alentours du village, et se mit à chatouiller un coq qui rêvassait encore sur sa motte de paille. Le volatile se réveilla et constata par lui-même l'arrivée du matin, comme toujours... Il bomba la poitrine et inspira fortement, et resta quelques secondes ainsi dans une pose majestueuse, avant de hurler a tu-tête son chant des plus sonores qui résonna dans toute la fermette. Il inspira à nouveau afin de chanter une seconde fois, et se prit un coup de bâton derrière la nuque, se qui l'assoma et de sa précédente pose majestueuse, il alla s'écraser en contre-bas de son tas de paille. On entendit un grognement, puis une forme se dessina sortant de la paille, une forme humaine... Il s'agissait d'un jeune garçon qui se relevait péniblement, après avoir passé très certainement la nuit dans la grange, comme à son accoutumée. Il passa sa main dans ses cheveux ébouriffés afin d'en faire quelque chose de correct, et d'en retirer les brindilles de paille qui s'y étaient nichées durant son sommeil... Son air fatigué contrastait avec ton teint enfantin, ses cheveux mi-longs bruns lui gênaient encore la vue et le garçon y remédia d'un revers de la main. Il portait des vêtements déchirés et usés, d'un gris banal, et son manque d'expression sur le visage était assez intrigant, mais s'expliquait facilement par le réveil difficile qu'il venait d'endurer, portant dans sa main droite le manche d'une fourche qui lui avait servi à assomer le coq quelques minutes auparavant.

Je m'appelle Elthaim, fils de fermier de la contrée de Floran, j'avais quinze ans et je vivais avec mon père, qui est donc fermier si vous suivez... Enfin il passait le plus clair de son temps à boire et surveiller d'un oeil inattentif son potager, tandis que je faisais office de machine à tout faire dans cette ferme... Entretien des bâtiments, servir la nourriture des animaux et arranger leur habitats, et évidemment entretenir le potager une fois que mon père s'endort sous l'effet de l'alcool, lui faisant croire à son réveil qu'il avait la main verte, sa seule fierté en ce monde, travail qui me vaut quelquefois de m'endormir en pleine activité comme ça a dû être le cas cette nuit... Je ne parle que de mon père, parce que ma mère est parti il y a déjà longtemps de la ferme pour épouser un autre gars, elle vit désormais à Dion et ne passe que très rarement ici, voulant certainement oublier cette mauvaise passe de sa vie ainsi que l'existence de son fils... Enfin je dirais même de ses fils, ayant un grand frère de six ans mon aîné, mais celui-ci a également quitté le cocon familial il y a quelques années pour s'engager dans une faction de Magiciens à Dion. Mais il venait dès que possible rendre visite à mon paternel quand il avait une permission, même si pour ne rien cacher c'était surtout pour me voir qu'il venait. La présence de Shinon, mon frère, était la seule chose plaisante qui pouvait m'arriver, quand il était là il s'occupait de moi et de mon éducation, par exemple. Mon père s'en moquait de son côté, argumentant qu'un fermier n'avait pas besoin de savoir lire et écrire pour gagner sa vie, ni même de magie... Cependant il en était bien question lorsque Shinon venait à la maison, il m'apprenait certains rûdiments magiques comme sur comment se concentrer afin de lançer un sort. Néanmoins la seule chose que j'ai réussi à faire un jour, c'est de créer une minuscule boule de feu assez instable, qui failli bien embraser un tas de paille si mon frère ne l'avait pas geler avec un sort de glace. Je me souviendrais de la discussion que j'ai eu avec mon frère juste après ça...

" - C'est plutôt pas mal, tu te débrouilles malgré les faibles connaissances que tu as."

" - Mais... C'était du feu, le feu n'apporte que la destruction comme le dit papa... Je suis un mauvais magicien..."

" - Pas nécessairement, le feu peut aussi être synonyme de vie: il permet de se réchauffer lorsqu'il fait froid, de faire cuire la nourriture, de..."

" - tuer aussi..."

" - ...Ecoute Elthaim, tuer n'est pas obligatoirement quelque chose de mal. Si jamais quelqu'un de mauvais venait à porter atteinte à ta vie, le tuer ne serait pas un bien ? Et la magie du feu est excellente pour ça. Tu n'es pas un mauvais magicien, les mauvais magiciens utilisent la pyromancie de manière chaotique... Si un mage du feu arrive à maîtriser son art de manière à aider les autres, alors ça sera un bon magicien. Je sais que c'est assez ambigü, mais la magie du feu n'est pas mauvaise en soi."

Mon frère avait ce don pour me calmer, même si je trouvais cette fois ses propos assez abstraits. Que penser pour un jeune homme de 15 ans le fait de tuer autrui, même pour se protéger. Enfin ne dit-on pas combattre le feu par le feu. Le feu...

"Au feu !"

Le cri provenait de la place du village, aussitôt une ribanbelle d'hommes, femmes et enfants accoururent pour voir ce qu'il se passait. La ferme des Altina, la plus à l'Ouest de Floran, était en train de brûler. Les adultes commencèrent à sortir de quoi éteindre l'incendie, mais une chose se passa qui laissa en stupeur tous les gens présents: une forme humanoïde sortait de la maison en flammes. Certains poussèrent des cris de soulagement, d'autres plus perplexes continuèrent à regarder la scène. L'homme se dirigeait vers la foule en marchant d'un pas lourd, puis plus le temps passait, plus il s'approchait et plus on eu put croire que sa taille devait dépasser largement celle d'un humain normal. Et tout à coup d'autres formes sortirent des flammes pour se mêler à la grande silhouette dont les traits se dessinaient au fur et à mesure qu'il s'approchait de la foule...

"Des orcs !"

Il ne fallut que ces deux mots pour mettre en panique tout le village. Nous qui pensions être loin de la guerre et complétement isolés, voilà que cette dernière venait sonner le glas de la tranquilité du village. En voyant le peuple s'affoler, les silhouettes se mirent à charger d'un pas à faire trembler le sol vers leur bétail à abattre. D'un coup de hâche les crânes se fendaient, les corps se divisèrent en deux, le chaos venait d'arriver sur Floran... Mon père me prit la main de force et se mit à courir vers la ferme.

"Viens Elthaim, il faut protéger la ferme de ces infâmes monstres verts !"

Malgré mes protestations et mes plaintes mon père nous enferma dans notre fermette, la plus éloignée du village. Avec un peu de chance les orcs allaient l'oublier, mais le défoncement de la porte par l'un d'eux me ramena à la réalité. Mon paternel se mit à brandir une fourche vers l'ennemi, qui se brisa au contact de la grosse armure de plaques du titan. Quelques secondes plus tard la tête de mon père volait avant de rouler jusqu'à mon pied. Je tombais à la renverse, complétement tétanisé par la peur au fur et à mesure que l'orc se rapprochait de moi. Il se mit à brandir sa hache lentement, tandis que je levais ma main comme pour l'empêcher de me frapper de son arme. J'aurais voulu le tuer, avoir les moyens de le vaincre comme mon frère me le disait, mais je n'ai pas ce pouvoir... Je poussa un ultime cri de peur mélangé à de la hargne, et tout à coup une quantité qui me paru infinie d'énergie se mit à me traverser le corps pour se rassembler dans ma main. Une seconde plus tard un missile de feu jaillit de mes mains à la surprise de l'orc. Mais ce dernier eu le réflexe de se pencher sur le côté et esquiva la boule de feu, qui vint embraser le toît de la demeure. L'orc commenca par afficher un air énervé, puis se mit à rire.

"Ah ah j'ai une bonne idée ! Je vais sortir et je te laisse le choix: soit tu sors à ton tour et je te tue, soit tu restes à pleurer dans cette maison et tu mourras par tes propres flammes, "magicien". Ah ah ah !"

Et c'est toujours en rigolant qu'il prit le chemin inverse et sortit de la maison. Peut-être n'avait-il pas du tout songé à la porte de derrière menant à la cour, sans doute. Je ne pu m'empêcher de me dire sur un coup de tête "c'est con un orc..." et ayant repris des forces dans mes jambes, je me leva et prit la poudre d'escampette par derrière. La nuit tombait et je n'eu pas le moindre mal à m'éloigner ed Floran, tandis que des cris de douleur continuait à être poussé depuis la grande place de ce jadis si calme village...


Je me mis à courir le plus vite possible, partant à l'Est pour m'éloigner le plus loin possible de ces infâmes orcs. Je suivit une route vers le Nord en pensant qu'elle m'amènerait à une civilisation plus prospère, mais c'était l'une des premières fois que je sortais du village de ma vie et je n'avais donc aucun repère. Exténué et mort de faim, je m'écroula...

Je devais être au Paradis, tout était blanc et respirait la pureté, mais l'arrivée dans la pièce d'un vieillard emcapuchonné dans son manteau me ramena sur Terre. Après m'avoir offert un petit plat frugual, il m'expliqua qu'il était un vieu Sage de la Tour d'Ivoire à la retraite et qu'il m'avait trouvé durant sa collecte de champignons... Bah il en avait trouvé un beau, me dis-je. Je lui raconta mon récit et il me narra que la veille, la ville de Dion avait été envahie par les troupes Orcs et Sombres, mais ignorait que le village de Floran avait été impliqué dans la bataille. Dion... Shinon, j'espère qu'il était encore en vie... Il resta silencieux et m'invita à sortir en ville, pour prendre l'air. Oren... Moi qui n'avait jamais quitté mon village natal, c'était comme une révélation de la civilisation. D'un autre côté je trouvais l'ambiance beaucoup moins joviale qu'à Floran, allez savoir pourquoi... Le vieil homme m'invita dans une auberge pour manger un coup avant de reprendre la route vers son cabanon où il habitait, et entre deux bouchées de nourriture j'entendais parler les badauds d'à côté.

"Eh t'es au courant ? Dion serait tombée avant-hier !"

"Ouais je sais, même qu'il paraît que c'est une stratégie du roi Alliscius Cadmus et son Armée Blanche pour faire croire à notre faiblesse à l'ennemi et lui faire prendre position là-bas."

"Et c'est-y pas dangereux comme ça ? Pis les pauvres ont bien dû souffrir pour une simple "stratégie", qand même."

"Bah c'est quoi la mort de quatre bouseux par rapport à la fin d'une guerre ?"

Après ses paroles, l'homme reçut une assiette en pleinte tempe, ce qui le fit commencer à saigner abondamment. Il se retourna pour m'affronter du regard, le mien était noir et plein de haine. Il crût bon de se venger de cet acte mais le vieil homme se leva en faisant tournoyer dans sa main une boule de feu incandescente, ce qui eut le mérite de faire rasseoir l'homme tandis que nous quittâmes l'auberge. Plus que les Orcs, la faute incombait à un seul homme: Alliscius Cadmus et l'Armée Blanche...

De retour à son cabanon, le vieil homme demanda à ce qu'il puisse me prendre comme tuter légal. Il était fasciné par mon récit, et surtout le moment où j'ai lançé cette boule de feu sur l'orc. Certain de mes talents en magie, il me prit sous son aile et m'éduqua à la magie durant huit longues années... Jusqu'au jour où il rendit l'âme durant son sommeil, il ne s'est jamais réveillé...


Les cheveux au vent, et un sac bien plein, un jeune homme se présenta devant la grande ville... Aden. Son nom lui-même était le symbole d'un royaume prospère et en paix depuis de longues années. Et cette capitale accueillait maintenant un nouvel habitant. Cet homme se recoiffa de la mèche lui recouvrant les yeux, et s'enfonca dans la ville pour trouver un habitat. C'était il y a un an...
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Zarana
The raleuse
Zarana


Nombre de messages : 2196
Age : 44
Localisation : Seule ...
Date d'inscription : 26/09/2007

Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitimeMer 24 Oct - 4:07

Feawen
Un article de Le RP d'Oreline.
Jump to: navigation, search

~> Acte I - Le banissement de Feawen et sa venue sur les terres d'Oreline


La princesse Feawen, fille de Fealyn et Gelion, vit les premières plaines verdoyantes de Celentir un jour de fête, la dâte exacte étant inconnue car sa véritable nature fut cachée aux yeux de son peuple. De sang royal, ses parents ne la désiraient point et aucun elfe, ni homme, ne devait savoir le secret du destin qui devait la lier jusqu'à ce qu'elle quitte le monde tel que nous le connaissons. Les haut-elfes de la forêt dite de Beleth, la joyeuse, ne surent qu'après trois siècles environ, lors du Carnage de la Forêt de Beleth, que Gillion n'était pas héritier unique et qu'il avait une soeur. Tant d'années passèrent donc pendant lesquelles Feawen devait pratiquer ses activitées en dehors de la communauté, n'étant, d'autant plus que son secret était bien gardé, que très peu connue des autres elfes. Des plans lui vinrent en tête, tantôt venant d'elle-même et parfois de sa plus fidèle conseillère et confidente, Lyliane. Ces plans étaient certes osés, mais restaient toujours dans une optique pacifiste et engendrant le moins de conséquences négatives que possible. Mais elle ne fit rien.


Vint un jour où, s'éloignant toujours plus de sa forêt d'origine, Feawen entraperçu une armée d'orcs et d'humains rebelles du Nord établissant un campement non loin d'une entrée peu gardée. Elle se fit un devoir d'avertir au plus vite le roi, son père en vérité, malgrès ses interdictions d'apparaître devant d'autres elfes. Son couroux fut terrible et il lui ordonna de se retirer immédiatement dans ses quartiers, mais elle s'exclama : << Les ennemis approchent de nos terres, ils sont par milliers et armés, prêts à combatttre ! Nous ne pouvons ignorer ce campement, il en va de notre futur en ces lieux. >> Mais Gelion ne l'écouta point et fut ignoble. Prit de haut dans son orgueuil et vexé de ne pas avoir été averti par sa garde postée au Nord, il la fit enfermer dans le donjon le plus sinistre de la cité, ignorant les conseils de sa fille qu'il n'aimait point. Il lui rendit visite le lendemain, lui demandant d'implorer son pardon, ce qu'elle ne fit pas. Elle fut donc jugée injustement et bannie de ses terres jusqu'à ce qu'un contre-ordre soit donné par Gelion. Elle trouva refuge sur les terres d'Oreline au-delà de la mer vers l'Ouest, sur un autre continent bien plus grand que celui qui fut le sien.



~> Acte II - Le ravage de la forêt de Beleth


L'assaut des ennemis de Gelion et Fealyn fut donné trois jours après. La bataille dura plus d'un mois et fut terrible. Nombre d'elfes, d'hommes et d'orcs tombèrent sur ce qui fut une magnifique cité heureuse. Le camp de l'Ennemi pris le dessus malgrès les moult pièges tendus par les elfes, et finit par piller cette forêt, annihilant ses dernières défences. Rien ne fut épargné, à part les quelques survivants, au faible nombre de quelques centaines. Ils se réfugièrent plus au sud, dans une autre forêt prêt du port de Mirgon. Ils espérèrent n'être jamais trouvés, le temps de reconstituer leurs forces et reprendre ce qui leur était dû, mais furent débusqués bien trop tôt.


Feawen, avertie par un messager qui n'était autre que Lyliane, vint à temps avec une centaine d'elfes venus des terres d'où elle prit refuge avec l'aide de Melena qui téléporta ces forces envoyées par la reine Naelia. Lyliane fut transpercée d'une flèche empoisonnée en chemin, mais livra tout de même le message à temps avant de succomber. Elle fut enterrée comme il se devait, avec beaucoup de larmes. Les armées elfes dirigées par le roi Gwidan se joignirent à la troupe envoyée par Naelia mais en demandant le mariage de Feawen avec le prince Gwidion, fils de Gwidan, en échange de leur aide. Les orcs et les humains fourbes battirent rapidement en retraite en apercevant les renforts, les croyant beaucoup plus nombreux encore que ce qu'ils n'étaient, mais Gelion fut transpercé par une hache orc devant un arbre centenaire, tandis que Fealyn fut emportée au loin, puis maltraitée et finalement tuée pour amusement.


Cette trève temporaire laissa le temps aux forces accompagnant Feawen de libérer les elfes de Beleth et de les emmener avec les navires de Gwidan vers les plaines de Valma. Celles-ci étaient accollées au royaume de ce dernier, et ce fut là que les elfes de Beleth furent déposés, au Sud de leurs nouveaux alliés, en attendant que la fusion des deux peuples soit décidée. Ils étaient troublés par les récents évènements et Feawen fut reconnue seule souveraine par son peuple, ce dernier ne voulant être gouverné par personne d'autre car Gillion, héritier avant Feawen, avait disparu lors de la dernière bataille et qu'ils ne voulaient que d'un souverain au sang royal. Ceci mettait cette dite fusion en suspend. Feawen finit par revenir en Oreline, laissant malgrès elle son peuple à son nouveau destin pour un temps, en attendant de décider de son futur.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.horizon-lineage2.fr/
Contenu sponsorisé





Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Empty
MessageSujet: Re: Les Archives d'Oreline (C4)   Les Archives d'Oreline (C4) - Page 5 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Les Archives d'Oreline (C4)
Revenir en haut 
Page 5 sur 11Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6 ... 9, 10, 11  Suivant
 Sujets similaires
-
» Les Archives d'Oreline (C1-C3)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Oreline :: La Grande Bibliothèque :: Archives-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser